34 - Chapitre.
Dans la peau de Younes.
J'étais plongé dans un profond sommeil quand Neyla vient me réveillé.
- Neyla : Younes réveilles toi.
Je gémis.
- Neyla : Younes ?
Casse couille celle-là.
- : PUTAIN TA GUEULE
Je la pousse par terre. Elle me saoule de bon matin à me réveillé. J'ouvre mes yeux et je la vois assise au sol habillé d'un tissu rose bizarre qui brillait et des pantoufles pour les petits de six ans.
- : Wesh c'est quoi cette veste là ?
- Neyla : Mais... C'est beau non ?
- : T'as craqué tu crois j'vais trouvé ça beau sérieux ?
- Neyla : Putain sale pédé vas te faire enculé !
Je me lève et vais dans la cuisine. J'allais lui faire regretté ses paroles mais finalement non. J'avais vu des crêpes, c'est bon elle s'est faite pardonner.
- : Je retiens le pédé.
- Neyla : Ouuh j'ai peur...
- : Attends, je te fais rien parce que y a ça.
Je lui montre les crêpes.
- Neyla : Mdrr bismi'Allah.
Je m'assois en face d'elle et je me met mit à graille mon assiette comme un affamé.
- Neyla : Calmoss.
- : T'es fou toi je suis pire qu'un singe.
- Neyla : Mdrr jure w'Allah ?
- : Mdrr il est ou le Nutella ?
Elle me donne le pot de Nutella.
- Neyla : Tiens.
- : Tu sais il mange quoi ? Il manque un gros Coca énervé.
- Neyla : Ahh t'es dégueulasse tu manges du coca avec ça ?
- : Bah ouais y a quoi ? Je mange même de la pizza pour le petit déjeuné.
- Neyla : Euuh tu manges du couscous aussi non ?
- : Avec du hlib et des dattes.
- Neyla : C'est les marocains qui font ça.
- Younes : Je suis quoi moi ?
- : Je sais pas...
Ouuh.
- : Mdrr sort.
- Neyla : Tiens !
Elle me lance du jus d'orange sur les yeux. Et mais je vais la niqué cette petite.
- : JE VAIS TE NIQUER.
Elle se foutait de ma gueule. Elle s'était levé et là, je la voit habillé d'un débardeur et d'un short gris. Younes, calme toi, retiens toi. Je crois que c'était bien la première fois qu'elle était habillé comme ça. J'avais trop envie de la manger. Mais non la vie c'est pas du poulet. Je prends de la crème chantilly et je lui étale sur ses cheveux.
- Neyla : NOOON PUTAIN PAS LES CHEVEUX TA GRANDE RACE !
- : Mddrr tu vas faire quoi ?
Elle se met face à moi, avec sa petite taille. Elle me regardait concentré, j'en ai profité pour lui étalé du Nutella sur le visage.
- : C'est du caca !
Elle riait.
- Neyla : JE TE DÉTESTE !
- : Tu m'aime trop pour me détesté.
Ont couraient de partout dans la maison comme des vrais gamins.. J'étais mort de rire. Neyla elle ramait pour m'avoir. Quelques minutes plus tard elle me met du Nutella sur les yeux. Elle en étale sur ses lèvres pulpeuses.
- Neyla : Qui veux un bisous ?
- : Ahh casse toi.
Je commençais à courir. Au bout d'un moment ça sonnait à la porte. Neyla avait ouvert la porte sans regardé qui c'était. C'était mes parents et ceux de Neyla. Lahchouma w'Allah... Zeubi.
Dans la peau de Neyla.
Je me regardais de haut en bas, et c'est là que j'avais remarqué que je portais un débardeur et un short. Oh non, pas ça.
- mère : Ya willi y a eu un attentat ici ?
- : Euhh... Non enfin c'est Younes.
- Younes : Hein ? C'est toi qui a commencé ouais.
- khelti Nora : Weldi t'as pas changé hein ? Laisse ta femme tranquille un peu !
- : T'as vu khelti...
Il me regardait avec un regard noir.
- kheli Ahmed : Ils sont mignon nos enfants.
- père : Ont les a pas mariés pour rien hein.
- mère : Ah oui...
- khelti Nora : Bon allez vous changez les enfants.
Nous lui répondirent par un "Ok" et nous allons dans notre chambre. J'étais morte de rire et Younes aussi.
- Younes : T'es une grosse connasse toi.
- : Mdrr je sais.
- Younes : Vas-y change toi, je vais te regardé.
Il pose son regard pervers sur moi.
- : Hahaha. Très drôle.
Avant de quitter la chambre il me touchait les lèvres recouverte de Nutella pour m'en déposé sur le bout du nez.
- Younes : T'es toute mignonne comme ça.
- : Pff... Méchant !
Je vais dans la salle de bain me douché.
( ... )
Je fourre mes fondants aux chocolats dans le four et vais rejoindre ma famille.
- mère : Ahh bah voilà comme ça t'es belle, tout à l'heure tu ressemblais à un singe !
- père : Ma fille jamais de la vie elle ressemblera à un singe.
- : Ohh, t'es trop hnine baba je t'aime.
- père : Moi aussi ma princesse, viens me faire un bisou.
Je vais en courant lui déposer des milliers de bisous comme une petite fille.
- khelti Nora : Younes chouf comment ils sont mignons toi aussi viens me faire des boussah y'Allah !
- Younes : Mais je suis un rajel moi.
- kheli Ahmed : Hcheum weldi lève toi.
- Younes : Ça va...
La scène était à mourir de dire, on aurait dit un gosse. Il embrasse le front de sa mère plusieurs fois. Je vais dans la cuisine préparé du café, du Oasis et j'attends que les fondants cuisse. Une fois prêt je vais ramené le tout dans le salon.
- kheli Ahmed : Fallait pas benthi c'est beaucoup.
- khelti Nora : C'est vrai benthi.
- père : Moi je dis pas non...
- mère : C'est pas bien Neyla, il va trop grossir bebek après. Moi même si j'en mange handi la taille mannequin.
Nous rions.
( ... )
Mes parents et mes beaux parents venaient tout juste de rentré, ils avaient déjeuné chez nous. Younes était parti se doucher. Tandis que moi je pensais à Sonia. Elle me manquait vraiment. Ca me faisait vraiment bizarre de ne plus la parlé. C'était comme-ci il me manquait quelque chose dans ma vie. Je décide de l'apeller pour avoir une sérieuse discussion. Mais elle ne répondait pas, bon tant pis. Younes me rejoint.
- Younes : Ah ouais toi.
- : J'ai fait quoi encore ?
- Younes : Pourquoi tu fais des gâteaux quand y a des invité mais à moi t'en fais pas ?
- : Ah ça c'est parce que t'es méchant avec moi.
- Younes : Ah ouais ? Younes il est méchant ?
- : Mddr ouais même quand tu me mettait du Nutella sur le visage.
- Younes : Ça c'était le sheytane Younes.
- : Ouais ouais.
J'ajustais ma chemise.
- : Ont fait quoi ?
- Younes : Je sais pas moi.
- : Tu veux pas qu'ont invitent Hymène et son mari venir mangé chez nous ?
- Younes : Ouais si tu veux.
- : Bah vas-y je l'appelle.
- Younes : D'accord.
J'appelle Hymène elle répond au deuxième appel.
- Hymène : Allo ?
- : Selem c'est Neyla !
- Hymène : Aleykûm selem, ça va Neyla ?
- : El hamdûlillah et toi ?
- Hymène : El hamdûlillah je vais bien. Sinon quoi de neuf ? Il t'embête pas trop Younes ?
- : Non ça va, ça va il est gentille mdrr.
- Hymène : Mddr j'espère hbiba.
- : Je voulais te proposer de venir manger chez nous ce soir avec Oussama. T'es libre ?
- Hymène : Attends je demande à Oussama.
- : Saha.
- Hymène : C'est bon ont est libre à partir de dix-neuves heures, parce qu'avant je dois faire une échographie.
- : D'accord bah à partir de dix-neuves heures alors ?
- Hymène : Parfait, vas-y je te laisse ma belle bisous !
- : Bisous.
Je raccroche.
- Younes : Alors c'est bon ?
- : Ouais ils viennent à partir de dix-neuves heures.
- Younes : Ok.
- : Je vais faire les courses il manque quelques trucs pour ce soir.
- Younes : Je viens avec toi.
- : Mais je suis pas un bébé je peux y aller toute seule, tu sais ?
- Younes : Je suis pas un zemel pour laisser ma femme faire les courses toute seule.
- : Comme tu veux.
( ... )
- : Non Younes ! Prends pas de bonbons t'as déjà pris des chips et du chocolat.
- Younes : Et alors wesh, t'inquiète.
- : Mais après tu vas grossir, j'ai pas envie moi.
- Younes : T'as pas envie...
Il souriait, je me retenais de pas rougir.
- Younes : Tu le kiffe mon corps ?
- : N'importe quoi.
- Younes : Assume, assume un peu non ?
- : Aller vite, je dois préparé le dîner pour ce soir moi !
- Younes : Ouais, ouais...
Nous avions enfin terminé de faire nos courses. Nous arrivons à la caisse. La caissière était un spécimen à la peau de couleur orange. Une oeuvre d'art en quelque sorte. Quelques bouts de tissus transparents lui servait de vêtements. Son regard insistant était posé sur Younes.
- : Euhh. Toi là ?
- caissière : Oui ?
- : T'as vu lui.
Je lui montre Younes.
- : C'est le mien. Compris ?
- caissière : C'est pas grave, ont le partagent ?
Elle riait de son rire cristallin et insupportable.
- : Tfou ! T'es qu'une grosse pute.
- Younes : Parle bien ta race. Et toi d'ou tu me regarde ? Je sais que je suis beau mais calme ton cul meuf.
- caissière : Hihihi... Tu te laisse pas faire j'aime bien !
- : Viens ont changent de caisse, sinon j'vais la frapper cette salope.
Je le tire par le bras et je change de caisse.
( ... )
Nous sommes arrivé à la maison. Nous déposons les courses dans la cuisine.
- Younes : Alors comme ça je suis à toi ?
- : Bah ouais t'es mon mari, c'est logique.
- Younes : Elle était bonne quand même.
- : T'es sah la ?
- Younes : Ouais.
- : Vas-y me parle même plus.
- Younes : Mais non je rigole wesh, toi t'es encore plus bonne qu'elle.
- : Me dis plus jamais ça.
- Younes : Bah quoi ? C'est un compliment.
- : Pas pour moi.
( ... )
J'avais finit de cuisiné. Je vais enfilé une belle robe bleue marine ceintrée vers le haut et évasée par le bas. J'attache mes cheveux en chignon buns tressé. Je me maquille légèrement.
La sonnette retentit, Younes va ouvrir en accueillant Hymène et Oussama. Je vais les saluer.
- : Alors comment ça va ?
- Hymène : El hamdûlillah.
- Oussama : Je suis refait ont a fait l'échographie. Hymène elle a des jumeaux.
- Younes : Raiie j'vais être le meilleure tonton. Hella w'Allah.
- : Bsahtek frérot.
- Hymène : Ouais je sais mais je stresse un peu, t'as vu comme j'ai jamais eu de gosse. Là c'est deux bébés à gérer.
- : Je comprends ma belle.
- Oussama : Ouais mais sinon c'est tarpin bien wesh.
- Younes : Grave w'Allah, c'est dégaine. Moi aussi je veux des jumeaux.
- Hymène : Ouais c'est vrai, je veux être tata aussi.
- : In sha Allah quand Allah nous le permettra.
( ... )
Avec Hymène nous étions entrain de regardé mon album de mariage pendant que les garçons jouaient à la play.
- Hymène : Sans être indiscrète. Je peux te poser une question ?
- : Vas-y c'est pas grave.
- Hymène : Sûre ?
- : Et certaine.
- Hymène : Est-ce que toi et Younes vous l'avez fait ?
- : Non, jamais.
- Hymène : Je pensais que oui, parce que vous êtes proche quand même.
- : Ahh tu trouves ?
- Hymène : Ouais vous êtes henoune en tout cas.
- : Merci.
Hymène: Et vous vous aimez ?
__________
Selem aleykûm la famille, comment ça va aujourd'hui ?
Voilà voilà c'est finit pour aujourd'hui. J'espère que le chapitre vous a plut. Comme je suis gentille je vous ai écrit un long chapitre donc je mérite pleins de bisous. Non je rigole hein, quels sont vos impressions sur ce chapitre ? Je suis gentille je ne vous ai pas mit un GROS gros suspens hein.
A votre avis que vas répondre Neyla ?
Je vous fait de gros bisous sur vos joues molles. Qu'Allah vous préserve bande d'Harisettes.
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