28 - Chapitre.
Youssef et Younes avait délabré la chambre de Nesrine. Des objets au sol, d'autres cassé. Nesrine qui pleurait toutes les larmes de son corps. Je stressais comme une folle. Mais j'avais également peur, pour mon frère et pour mon mari. J'essayais de les séparé. J'ai reçu beaucoup de coups mais j'essayais quand même de les calmer.
Bilel est enfin arrivé avec Samir. Oh non pas lui. Je l'aime pas. Bilel les séparé, puis Samir se met à frapper Younes. Mais d'ou il touche à mon homme lui ? Désormais ils étaient deux contre un. Bilel me regardait désespéré.
- Bilel : Wesh c'est quoi ça ? Je l'ai ramené pour qu'ils les sépare pas pour qu'il se bat aussi ce con.
- : OHH ARRÊTEZ ARRÊTEZ !
- Nesrine : ARRETEEEEEEZZZZZ !!!!
- : MAAAIIIS ARRETEEEZ LA CON DE VOUS !
- Nesrine : OHLAA...
Samir s'est directement arrêté , il sépare Younes et Youssef. Et bah dis donc, quel con celui-là. Mais Younes lui, frappait Samir, de plus en plus fort, alors monsieur Samir le frappait aussi. A ce moment là, j'ai eu une magnifique idée. Vous vous dites sûrement : "Neyla tes idées me font peur parfois..." Je me dirige vers la salle de bain, pris un saut et le remplis d'eau froide, glacé. Je vais vers les gars et leur lance l'eau. Samir m'a regardé énervé, il voulait me tuer c'est sûr. Younes et Youssef continuaient à se battre. Ils sont tombé au sol à cause de l'eau mais ils continuaient quand même à se battre. Samir se dirigeait vers moi en me prenant par le cou.
- Bilel : Ohh lâche ma sœur.
- Samir : Elle m'a mouillé zeubi, je suis trempé.
- : Lâche moi bâtard !
Il serre de plus en plus pour me relâcher. Bilel avait enfin réussit à les séparé. Le téléphone de Youssef était plus loin qu'eux. J'en ai profité pour cherché la photo. C'était Samir qui lui avait envoyé. Oh, le salop. Je remets le téléphone à sa place. Youssef et Younes faisait peur à voir. Bilel il les regardé choqué. Et Samir lui, était sur son téléphone.
- Bilel : OH C'EST QUOI CE BORDEL ? QU'EST-CE QUE VOUS AVEZ A VOUS BATTRE VOUS ? CA VA PAS OU QUOI ?
- Youssef : Demande à tes putes de sœurs
Bilel nous regarde Nesrine et moi d'un air furieux, Nesrine baissa les yeux, la pauvre.
- : Il s'énerve pour rien là à cause d'une photo.
- Youssef : Ferme ta gueule.
- Bilel : As-y montre.
Je saisis le téléphone de Youssef en main et je lui montre la fameuse photo. Il fronça les sourcils avant de donner me mettre une gifle, phénoménale.
- : Mais...
- Bilel : C'EST CA RIEN ? C'EST CA ? ELLE SMAKE UN GADJO MAIS C'EST RIEN ?
- : MAIS ELLE A PAS EMBRASSER !
- Nesrine : Je l'ai pas embrassé arrêtez de me frapper s'il vous plaît...
- Bilel : TU ME PRENDS POUR UN CON TA GRANDE RACE ?
- Nesrine : Je me suis mis devant lui pour pas qu'on le voit en photo... Parce que je savais que vous allez me niqué.
- Bilel : C'EST QUI SUR LA PHOTO ? LE MEC LA JE VAIS LUI PARLER EN DEUX DEUX !
- Nesrine : C'est Rani...
- Youssef : J'TE REVOIS PLUS TRAÎNER AVEC LUI SALOPE.
Je me retourne vers Samir, en le pointant du doigt.
- : ET TOI T'AS QUE CA A FAIRE DE FOUTRE LA MERDE ? SALE ENFOIRER !
- Samir : MAIS RANI C'EST MON PETIT FRÈRE ZEUBI ! C'EST MON REUFRE.
- Bilel : QUOI ?
- : QUOI C'EST TON FRÈRE ?
- Samir : Et ouais je savais pas putain...
- : EN PLUS C'EST TOI QUI A ENVOYER LA PHOTO ! BAAH BRAVO MORAY !
- Youssef : PETIT BÂTARD CASSE TOI ET DIS BIEN A TON P'TIT FRÈRE QUE SI IL TRAÎNE AU TOUR DE NESRINE JE LUI FAIT COULER SON DEM.
- Bilel : W'ALLAH T'ES UN GROS CON TOI LA VIE.
- Samir : MAIS COMMENT VOUS ME PARLEZ LA CON DE VOS RACE J'SUIS PAS VOTRE PÉDÉ MOI !
- Bilel : AS-Y TA GUEULE ET VAS-Y DIRE A TON FRÈRE VAS-Y !
- : OUAIS ET ARRÊTE DE FOUTRE LA MERDE.
Younes: NEYLA J'VAIS TE NIQUER FERME TA PUTAIN DE GROSSE GUEULE.
Youssef: TOI.
Il donne un coup de pieds à Younes.
- Youssef : PARLE BIEN PÉDÉ !
Younes se lève pour lui mettre une droite mais Samir et Bilel les séparé.
- Bilel : Vas-y Neyla prend le, ils vont encore se battre allez dans l'autre chambre.
J'étais à bout.
- : Non c'est bon on part.
Je prends Younes par le bras, au début il ne voulait pas me suivre. Mais il a finit par cédé. Nesrine nous rejoint avec son sac à la main. Nous sortons du bloc. Et vous savez quoi ? En ouvrant la portes il y avait deux jeunes filles qui écoutaient à la porte. Younes leurs a donné une gifle chacune. J'étais choquée, il était allé fort. Les deux adolescentes pleuraient en s'enfuyant. Nous descendons jusqu'en bas. Les teneurs de murs étaient toujours là, je n'ai pas prit la peine de leurs dire bonsoir. J'étais pas d'humeur. Nous priment la voiture de Younes.
- : Tu veux que je conduise ?
- Younes : Non.
- : Mais...
Il me coupe d'une façon violente.
- Younes : Vas-y m'énerve pas.
Je me lève et vais m'asseoir derrière à coté de Nesrine. Il m'énerve ce gros nerveux. Toujours à s'énerver pour rien.
( ... )
Nous sommes enfin arrivé devant la maison. Le trajet n'a pas été très long. Younes roulait vite, comme un fou. Nesrine et moi essayons tant bien que mal de cacher notre peur. L'ambiance était glaciale. C'était pesant. Je sors de la voiture avec Nessrine mais Younes restait dans la voiture.
- : Tu vas ou ?
- Younes : Je vais graille un kebab.
- : T'es sérieux toi ?
- Younes : Y a quoi même ?
- : Ont peut venir ?
- Younes : C'est mort.
- : Euh pourquoi ? Ont put peu être ?
- Younes : Ouais.
Pff. Connard.
- : Ok ok.
- Younes : No sah je t'en ramène un.
- : Pourquoi je peux pas venir alors ?
- Younes : Parce que y a que des gadjos maintenant. J'ai pas envie qu'ils te regardent en plus t'es en robe.
- : Prends moi sans oignon sauce algérienne hefeck.
- Younes : Et toi Nesrine ?
- Nesrine : Je veux rien.
- : T'es sûre ?
- Nesrine : Certaine.
- Younes : D'accord.
- : Younes ?
- Younes : Hum ?
- : Fais attention sur la route, roule pas vite.
- Younes : T'inquiètes pas.
Je ferme la portière. Puis nous gagnons la maison. Nesrine avait posé son sac, elle prit une douche pendant que je me changeais. J'enfile un pyjama. Elle me rejoint vêtu de son beau pyjama rose et son chignon mal fait. Je la soignais dans la salle de bain. Youssef ne l'avait pas raté. Après avoir finit nous nous installons dans la chambre. Et nous nous nous mirent à discuté. Quand mon téléphone se mit à sonné, un appel d'Aminata. Je décroche.
- Aminata : Weshh grosse tu dates !
- Aliyah : Ouais ouais Neyloush. Comment ça va ?
- : Ahh les filles vous m'avez manqué. Bah franchement je vais pas trop bien mais bon el hamdûlillah et vous ?
- Aminata : Bah nous ça va écoutes comme d'habitude. Mais toi il t'est arrivé quoi ?
- : Longue histoire...
- Aliyah : Racontes !
Je leurs raconte toute l'histoire, du début à la fin.
- Aliyah : Mais non ? Je suis choquée sah. Et elle va bien Nesrine ?
- : Mhouais.
- Aminata : Rohh miskina elle s'est fait niqué.
- : Ouais, mais bon elle avait pas qu'à resté avec un gars.
- Aminata : Ouais c'est vrai mais bon, voilà quoi.
- Aliyah : La pauvre w'Allah.
- : Ouais mais bref, sinon quoi de neuf vous ?
- Aminata : Bah je bosse encore plus qu'avant.
- Aliyah : Moi, je vais à la fac. Comme d'habitude quoi.
- : Qu'Allah soit avec vous les filles.
- Aliyah : Amîn... Et toi tu vas pas travaillé ?
- : Je sais pas du tout, avec Younes on en a pas en parlé.
- Aminata : Ahh je vois et sinon ça avance vous deux ? Racontes nous tout coquine !
- : T'es folle mdrr, bah ça va, on s'entend plutôt bien. Donc pour le moment tout se passe bien.
- Aliyah : Ahh et toi ? T'as parlé avec Sonia ?
- : Même pas, j'allais le faire mais Bilel il m'a dit qu'elle a raconté de la merde sur moi. Alors je l'ai pas appelé.
- Aminata : Chaud... Mias c'est bizarre quand même, depuis quand Sonia et Neyla se parlent plus ? C'est trop bizarre.
- Aliyah : T'as vu c'est chelou.
- : Ouais je sais. Bref les filles c'est pas que je vous aime pas mais je dois voir Nesrine. Allé bisous.
- Aminata : Bisous poulette.
- Aliyah : Gros boussah hbiba.
Je raccroche et vais voir Nesrine. Elle était assise sur mon lit. Je m'assois à ses coté, et nous nous mirent à discuté.
( ... )
Younes m'avait donné mon kebab. J'e l'avait manger d'une rapidité incroyable. Nesrine naviguait sur Facebook. Quand elle reçoit un message. Elle regarde son écran étrangement. Alors je m'empressais de regardé qui pouvait lui envoyé un message, à cette heure ci. L'écran affichait son nom, en gras.
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Selem aleykûm mes Harisettes vous allez bien ?
Alors, ce chapitre ? J'espère en tout cas qu'il vous a plut. La suite arrive très très prochainement. Avec un Dans la peau de Younes. donc préparez-vous. En attendant votez, partagez et commentez la chronique. Ça fait toujours plaisir de lire vos p'tits commentaire. Dîtes moi en commentaire comment vous voyez la suite de la chronique.
A votre avis qui a envoyé un message à Nesrine ?
J'essayerais de répondre à tous les messages privé, mais j'ai pas trop le temps.
Gros bisous sur vos joues. Que l'Harissa vous protège.
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