un rêve presque bien réel
Après les émotions de la soirée ils ont été forte en rebondissement je m'endors comme une masse enveloppée dans la couette la tête enfoncée dans l'oreiller , habillé d'un simple t-shirt usagé et d'un petit short oui sur le côté droit, accompagné de grosses chaussettes, car avant de partir j'ai oublié d'allumer le chauffage et le temps que les pièces se réchauffent alors qu'il faisait un froid de canard dans la chambre j'ai dû me couvrir un peu plus pour ne pas attraper froid. Mais à peine 10 minutes après m'être endormi je me retrouve dans une forêt humide et sombre habillé tel que j'étais, je fus vite frigorifié me frottant les bras vigoureusement pour tenter de nous réchauffer quand un bruit effrayant d'un grognement me fait sursauter.
Sans perdre de temps je me mets à courir comme si ma vie en dépendait, ne cherchant pas à savoir si quelqu'un me poursuit. Maintenant je suis dans une forêt essoufflé, sa fait bien 5 minutes que je court dans cette forêt au air lugubre entouré d'arbre au branche noueux ,deformer par le vent ,projetant des ombres inquiétant tout autour de moi, je regarde de temps en temps derrière mon épaule, la peur brulant mes entrailles.
Par instinct je tourne la tête, essayant de voir mon poursuivant, je sais que je ne devrais pas regarder derrière moi, sa me ralenti grandement, je sais pas qui me suit mais il est rapide, je l'ait entendu m'appeler d'une voix d'abord douce et angélique, jusqu'à devenir impérieuse, autoritaire de mon refus d'obtempérer, je tremblais de tout mes membres a la fois apeuré et frigorifié. je me demande encore se que je fou la《 merde》 ,j'ai a peine fermé les yeux ,que mon esprit c'est retrouvé la, coincé dans cette forêt incroyablement immense et effrayante .
__ attend ma douce chérie, n'ai pas peur, car nous sommes lié a jamais, je ne veux que toi et personne d'autre je te montrerai comment ont chéri l'être aimer ,vient vers moi .
Ses mots mon glacer le sang, je ne le connais pas, un petit cris aiguë, sort de ma bouche quand je me retrouve face a un ravin, paniqué je me retourne me retrouvant face a un loup immense, avec des yeux irréel d'une couleur polaire a la limite du blanc, mais tellement envoûtant que je n'arrive pas a décrocher mon attention de la sienne, quand une voix sussure dans ma tête ,je secoue la tête pour la chassé
__ non non laissez moi
__ oh si bébé, je t'ai retrouvé mon adoré
__ laissez moi je réitère
Je hoquet les lèvres bleuis par le froid bon sang a telle pointque je tremble, ma mâchoire paralyser , mais malgré sa je sens de la sueur dégoulinis le long de mon dos et sur mon front , alors qu'un vent froid balaye la terre et le ciel, grelottant mon corps suinte la peur, les mains moite s'activant de bas en haut sur mon short, je baisse la tête pour voir dans quel état il se trouve et relève la tête pour voir se loup brun me dévisager la gueule ouverte avec sa langue qui pend et de la fumée sort de ses nazo,scrutant mes moindres en silence, finissant par se rapprocher doucement, d'une fouler légère en s'arrêtant a 1 mètre de moi, la tête d'abord pencher, les yeux arimer au miens, puis la relève la langue pendante sur le côté, sans qu'il a chaud d'avoir tant courut pour me rattraper.
__ laisse moi me présenter a toi mon bébé
__ laissez moi
__ comment le pourrais-je je te désire tellement
__ on se connaît pas comment pouvez-vous dire que vous m'avez retrouvé....je ne connais même pas votre nom, je ne sais rien de vous on ne sait jamais vu en chair et en os.... et...puis, et puis arrêter de me parler qu'est-ce que vous faites dans ma tête merde sortez de la tout de suite lui dis-je en éructant effrayer la voix filant vers le aiguë tellement ma gorge est atrophié.
__ je m'appelle Aïdan o'sullivan, je règne sur l'Irlande depuis un certain nombre d'années maintenant.
Dos au ravin les pieds frôlant le vide, je ne peu plus reculer, je suis bloqué et si je veux sortir de la il faut que j'avance et sa c est non .ma respiration se reduit de moitié, se déversant lentement dans mon corps pour éviter de mourir étouffé et comme a chaque fois que je me trouve coincer les mots sort de ma bouche sans vérifier mes pensées c'est a du direct.
__ mais les hommes loup ça n'existe pas et de toute manière ce n'est qu'un rêve mon rêve vous n'avez jamais existé déterminé à le repousser.
__ c'est ce qu'on verra à ma douce promise en attendant tous les soirs tu me verras que tu le veuilles ou non je serai toujours là jusqu'à ce que Tu m'acceptes et crois-moi tu le feras je ne te laisse pas le choix car tu es mienne et ça là pour l'éternité, la déesse de la lune ta choisi pour moi et je l'accepte avec un grand plaisir quand je te vois à très bientôt dit-il avant de faire demi-tour et de partir sans se retourner une seule fois.
Tout un maelström de sentiments me percute d'une violence inouïe, Je suis à la fois frustré ,soulagée et décontenancé, je ne sais que penser de cette situation et pourtant je sais très bien que je suis dans un rêve, mais ça me semblait tellement réel que j'ai du mal à faire la part des choses . Pendant notre échange mon nez a ressenti toute ses odeurs a la boisé et animal entêtante, alors je secoue la tête très fort et rentre mes ongles dans ma chair pour me réveiller et ça marche, car je me réveille à d'un bon dans mon lit en me retrouvant assise toute transpirante la respiration haché ayant beaucoup de mal à me calmer, mais poumons se gonfle au maximum pour récupérer l'air et au bout d'une demi-heure j'arrive à peu près à reprendre mes esprits et mon corps alourdie d'une certaine langueur, je me rendors aussitôt entouré d'une odeur flottant dans la chambre, la même que dans mon rêve, mais cette fois elle m'apaise sans attendre, sans faire de rêve ni de cauchemar.
......
Quelques temps plus tard après m'être laver d'une longue douche chaude et réconfortante ,suivie d'un petit déjeuner complet. je bouche mes lèvres d'une main pour empêcher un petit cris de surprise quand Daniel pose une main sur mon épaule pour me faire ramener à la réalité, main sur le cœur je le regarde alors que les siens me des visages sans surprise en sondant au plus profond de moi, comme si il savait quelque chose qu'il ne me dit pas, un petit sourire taquin horne sa bouche. je sais qu'il ne peu pas savoir impossible, il n'ai pas télépathe ,il ne peu pas lire se qu'il y a dans ma tête, me dis-je en me traitant d'idiote, je ne vois pas ce qui pourrait savoir franchement. il est juste docteur généraliste, alors je me rassure comme je peux et attends de voir ce qu'il a à me dire .
Ont vient juste de laissé partir le dernier patient
__ alors
Je fait une moue un peu dubitative
__ je sais pas ils avaient l'air hésitant quand même
__ mh ne t'inquiéte pas jeune femme sa le fera, laisse leur le temps il s'y feront a un moment ,quand tu les guérira, sa leur paraîtra comme une évidence rigole Daniel
Le faite qu'il ait l'air détendu me rassure un peu, puis je me fige a l'entente de sa question.
__ tu as bien dormi, tu a l'air fatigué dis moi ,son air inquisiteur qui me détail .
me déstabilisant je déglutis et tente un sourire détendu ,je lui ment avec un léger regret, mais après tout ont se connaît pas énormément me dis-je ébaillis par son air sérieux.
Il s'inquiète et vient s'installer face a moi
__ non ca va n'oublier pas , c'est ma première nuit ici
__ oui excuse moi dit-il plus détendu je n'avait pas remarqué la tention dans ses épaules et puis arrête le vouvoiement s'il te plaît appelle moi par mon prénom nous allons travailler entre étroite collaboration pendant un moment dit-il en pensant la tête en avant pour mieux me regarder.
Son regard a changé d'un coup de couleur rien a voir avec celle que je connais, la elle est brillante et réfléchis une tendresse qui me touche et me déstabilise.
__ d'accord Daniel je bafouille quand lui sourit chaleureux
__ bien maintenant allons manger, je connais un petit restaurant formidable, tu m'en diras des nouvelles dit-il joyeux et...affamé en se levant prontment de sa chaise ,
Il semble emballé par l'idee, je voie bien qu'il très faim sa ce lit sur son visage comme dans un livre ouvert, au point de se lécher le pourtour de sa lèvre inférieure,étrange non je hausse les épaules en me disant que sa doit être dans ses habitudes de bon vivant .
__ ok dis-je a moitié emballé ayant pas tres faime mais contente quand même de visiter un peu le coin ,le quartier avec Daniel
__ ah oui j'oublie quel idiots je fait dit-il en se grattant le menton les sourcils quelques peu froncés, jenny nous attend d'ailleurs.
__ ah ok c'est bien mais ou
__ dans mon restaurant préféré d'ailleur c'est la ou je voulais t'emmener sa tombe bien
Nous avons effectivement rejoint jenny qui n'a put venir travailler avec nous pour une obscur raison, que son explication par parue bancale mais je n'ai rien après tout ,je ne connais pas aussi assez, elle n'ait pas obligé de tout me dire ,elle a une vie ou peut-être un autre travail qui lui prend tout son temps.
En tout cas même si je me sens perpétuellement suivie et observer a longueur de journée nous avons passé un déjeuner formidable et une fin de journée aussi ,je rentre chez moi heureuse et fatigué la tête bien remplie.
Arriver dans ma chambre l'esprit chahuté je ne voie pas cette ombres m'entourer progressivement alors que je quitte mes vêtements l'air ailleurs, jusqu'à se qu'un son gutturale qui semble appréciateur a mon effeuillage se fait entendre, me laissant d'abord effrayé, la course de mon cœur effréné me rappelle au présent, puis je senti deux main chaude remplacer les mienne, que l'on ecarte avec douceur mais conviction ,en remarquant moi même que je l'ai voie pas, mais bien présente par leurs intensité et la chaleur qui s'en dégage, me troublant ma peau parsemer de chair de poule inapproprié a mon humble avis, quand une voix sombre et attire mon attention quant il parle dans un souffle allangui
__ j'avais raison d'accepter cette inéluctable lien, tu es merveilleuse et tellement belle, ta peau Soyeuse, ton corps me rend tellement dingue et en plus de sa ton esprit est grand, intéressant comble mon besoin au plus haut point ma déesse au courbe enchanteresse.
__ qui qui est la bredouillais-je désarçonné ,la tête remplie d'émoi .
Impossible de résister des qu'il ouvre la bouche bordel et aussi surtout quand il envahis mon espace de son aura puissant, quand il me touche fait chier c'est pas possible de faire autrement que de succomber, mon traître de corps agit en tout autonomie, c'est très dérangeant pour moi et j'arrive pas a sortir de se coton ou il m'enveloppe constamment quand il est dans la même piece que moi, sa brouille tout et empêche ma tête de réagir rationnellement.
Trop tard je me rend compte trop tard que l'on me pousse gentiment vers la salle de bain
__ bientôt ma douce en attendant laisse moi prendre soins de toi ,te laver,te chouchouter comme j'en crève depuis des jours,s'il te plaît supplie t-il d'une voix ou perce le désir, ne me refuse pas sa dit-il en me sentant me raidir d'inconfort.
__ Aïdan souffle mes lèvres , doucement
__ oui mon ange ,je comprends ta peur,j'irai doucement mais me demande pas d'être patient j'y arrive plus
__ pourquoi moi, je ne suis qu'une humaine insignifiante
__ oh non tu ne l'ai pas crois moi et parce-que je t'aime...toi aussi d'ailleurs .
Complètement embrouillé je pouffe amer
__ n'importe quoi comment tu peu dire sa,ont se connaît a peine tu va trop vite dans tes conviction je raille sur la défensive.
Il rit un brin moqueur et dit
__ regarde ton corps la bien compris lui, même si ta tête si refuse pour l'instant, laisse le aller tu comprendra se qu'il tente de te dire, se ne sera que meilleur pour nous sussure t-il.
Il es tout prêt,si prêt de ma bouche, que ma réplique reste bloquée dans ma gorge, j'en perds ma réplique .
Parce que oui je sens son souffle sur mes lèvres, mon corps prend feu instantanément a l'imaginer en face de moi, je me rappelle trop bien de lui, de son visage tant tot dure ne me reconnaissant pas, puis doux a la seconde suivante les yeux pétillant de désir et d'espoir.
Puis prit dans un tourbillon de bien être pendant qu'il finit de me déshabiller,ne pouvant rien feire pour stopper tout sa ,que mes mots tant réfréner par la peur sorte.
Car je me rend compte que maintenant , que tout la fatigue, la mélancolie que je ressens, c'est l'éloignement qui en est la cause.
__ mon dieu pourquoi sa fait si mal, j'ai l'impression de mourir a petit feu
Je sens Ses lèvres caressent On artère ,qui pulse a vive allure.
__ parce que nous sommes loin l'un de l'autre alors que je suis sous le jet d'eau, qui me fait du bien en clignant des yeux pour chasser l'eau de ma vu, qui embrume mon besoin de voir cette forle qui apparaît devant moi, a l'aide de l'eau qui par magie forme un corps sculpturale qui se bouge lentement vers moi me prenant dans une étreinte fievreuse tout en me soufflant ses mots d'amour et désarroi de ne pouvoir etre réellement prêt de moi, en chaire et en os mais pour me faire patienter, viendra tout jour me prouver son amour, dont je ne devrais pas douter.
Sa presence me perturbe, je n'arrive plus a réfléchir correctement,alors je me dit quand je serai seul avec moi même.
__ nous sommes lié me dit-il en couvrant mon corps comme un objet précieux, de corps d'âme et d'esprit.
《 a merde》
J'entends, je l'entends rire dans ma tête
《 re merde》
__ s'il te plait c'est nouveau
__ mon bébé ne t'inquiète pas, je te laisserai a tes pensées sans interfèrer mais je me fou de sa quoi qu'il arrive tu es a moi grogne t- t-il en passant ses main sur mes épaules.
Il me masse délicatement le corps, sans aller au delà de l'inconvenant, pourtant je le sens frustré mais il me respecte et pour sa je l'en remercie profondément.
__ je ferai tout et rien sans ton accord mon petit ange ,je tiens trop a toi pour te blessé, la vie que je veux avec toi, m'importe plus que tout, alors je te fait confiance pour te poser les bonnes questions et a qui t'adresser en cas de doute.
Au moment où il Dis ça je vois clairement la tête de Daniel et Jenny qui disparaissent Aussi sec, J'acquiesce en comprenant enfin se qu'il se passe .
__ si tu savais comme ton corps me donne envie dit-il en passant une main sur l'arrondit de mes fèsses.
Se geste sensuelle me fait frissonner et repense a marc sans le vouloir, jamais avec lui je n'ai ressenti un quart j'en suis sur.
Un grognements mécontents me ramène a l'instant présent
__ pense pas a lui grogne t-il
Je souris taquine
__ jaloux
__ oui assure t-il tout en continuant de me cajoler tendrement .
Quand tout change et devient intense dans sa paume chaude et que ses gestes anhardie par l'envie subite, dévire vers le sensuelle ,dans un érotisme affolant, qui menrobe comme une deuxième peau,qui me fait fondre tant mon ventre palpite d'envie.
《 mon dieu》 je souffle
__ oh bébé laisse toi faire tu va aimé
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