Je me réveille difficilement légèrement nauséeuse, les paupières qui refuse de s'ouvrir beaucoup trop lourd du au effet encore actif du au résidu de somnifères qui coule encore dans mon sang , a force d'insister j'y arrive enfin, je me mets a flipper en manquant d'air, je m'etouffe en ne reconnaissant pas la chambre ou je me trouve, me demandant se que je foutait la et puis soudain une tonne d'informations se déverse rapidement tel un tsunami dans ma tête, se profilent ensuite devant mes yeux.

Le doute, la peur, les questions ,ensuite mon départ Daniel chez lui, tout ces questions qui se bousculais dans ma tête qui sont sortis par ma bouche et puis...puis le jardin, Daniel a moitié nue a été un moment des plus gênant , la transformation en...en...loup.

Tout me revient et c'est pire ,je vais mourir d'étouffement a tel point cette réalité, se monde que je connais pas, se monde surnaturelle c'est violant pour moi ayant encore du mal a encaissé.

__ oh la du calme mon amour tout va bien je suis la, je comprends que tu soit encore derouter et derouter par se qui t'arrive mais ne t'inquiète pas c'est normal.

Un corps chaud et robuste me soulève et me porte jusqu'à des cuisses tout aussi puissante que ses pectoraux où mes mains se sont posé par habitude ou nécessité.
Je ne dit rien et me laisse bercé ka gorge nouer incapable d'exprimer mes pensées complexes désordonné mais étrangement se contact me fait du bien,je fond sous ses attention je sais que sais lui.

__ n'ai pas peur tout va bien se passer, jamais je te ferai de mal, je tiens trop a toi, tu mienne.

Ses mots me fond comme un électrochoc, je cligne des yeux plusieurs fois pour revenir a moi, la vu encore flouter par le sommeil l'esprit emprisonné dans du coton incapable dans sortir , je sens quand même le matelas s'affaisser a ma gauche un corps chaud tente de se rapprocher doucement de moi , les sens en alerte je lève les mains pour l'arrêté, son charisme a beau être impressionnant je ne céde pas, secoue la tête en grognant plus irrité qu'autre chose a présent, se qu'il s'empresse d'imiter lui aussi mécontents, incapable de se tenir loin je le sens.

Il pense que je le repousse et je doit dire qu'il a pas tout a fait tord, je perçoit sa colère mais je m'en tape, il tente encore de se rapprocher en essayant d'agriper mon épaule pour me ramenervers lui, mais je refuse, alors je m'écarte sur la droite, se qui le fait juré et pesté pour mon geste quand la voix de jenny lui dit sèchement mais avec une pointe de respect.

__ alpha Aïdan laisse lui le temps bon sang, qu'elle puisse déjeuner, se changer en prenant une bonne douche.

__ mais .....je peu pas, impossible marmonne t-il entre ses mâchoire

Cette fois c'est Daniel qui lui coupe la parole.

__ Jenny a raison Tu as bien attendu jusqu'à présent tu peux encore attendre un peu ,qu'elle puisse mettre de l'ordre dans sa tête.

__ mais elle me repousse, je ne peu l'accepter de ma moitié.

__ arrêtez vous allez la faire fuir a force c'est se que vous voulez s'enerve jenny les poings serré devant elle le fusillant du regard.

J'ai ramené mes genoux contre mon buste, mes bras les entourant,ma vu est revenue net ,je regarde autour de moi, pendant qu'ils discutent ou plus tôt se prénne la tête comme si j'étais pas la, l'esprit ailleurs, je n'ai prit le temps de rien, même celui de détaillé Aïdan et repense a se qu'a dit jenny, dans un geste automatique je tire sur les couverture en me glissant hors du lit sans leur jeter un regard, une exclamations fuse mais je continue en me dirigeant vers la salle de bain.

__ voila vous avez gagné regarder elle a peur maintenant ,elle fuit notre présence.

__ jenny sa suffit dit Daniel sur un ton las

J'ai comme une sorte d'étouffement, de ras le bol, une onde étrange m'écrase vraiment le corps, j'ai l'impression qu'on me retiens, ayant du mal a avancer mes membres pèse une tonne, comme si quelqu'un ou quelque chose m'empêche de m'éloigner, mais je fait fit de tout sa ,en repoussant tres fort cette sensation loin de ma tête dans un dernier effort avant d'être engloutie, je ne veux pas ceder, je m'avance vers la porte qui est face a moi pour quitter cette chambre.

__ au bout du couloir la dernière sur la droite me cris Daniel

__ non grogne Aïdan

__ mais laissé la enfin, elle va se rafraîchir, elle a le droit quand même

__ pas sans moi j'entends avant de me retrouver dans un couloir que je connais pas.

Et effectivement c'est la dernière donnant face a un escalier et je mit en gouffre sans attendre , colle lourdement mon dos a cette porte une fois fermée a clé et clos mes paupières soupire lourdement épuisé et la tristesse qui m'envahit fait mal. Daniel ma parlé de se lien, dans ces comtes et je crois que c'est se qui m'arrive car je sent une souffrance horrible, c'est sa en fait cette aura qui me plomb le corps qui m'empêchais d'avancer en me torturant les méninges ,c'est dingues se que l'on ressent, j'ai juste envie de sortir de cette salle de bain, de courir me réfugiés dans ses bras c'est a rien y comprendre .

__ je suis la bébé, tu le sent toi aussi dit Aïdan d'une voix ou suinte la tristesse.

Il est derrière la porte,Je ne peu rien faire que d'acquiecer

__ répond ma douce dit-il d'espérer

Une tristesse immense me submerge j'ai envie de pleurer.

__ oh mon bébé soit pas triste ouvre je sais que tu es collé a cette porte.