Partir loins d'ici..[INTHEYÉYÉ]


Il faisait froid, j'étais frigorifié. La fenêtre à barreau de ma cellule permettait au vent glacial de l'hiver russe de pénétrer et de me glacer le sang. Je souffla un bon coup, faisant par la même occasion s'envoler de la buée de ma bouche, dansant et créant dizaine de forme, me rappelant que la seul bonté ici proviens de l'imagination .
J'étais par terre, dans cette espace clos qui, selon moi, perdait de grandeur chaque jours.
Je me recroquevilla sur moi même, me réchauffant t'en biens que mal grâce à ma propre chaleurs.

Je ne vais pas biens, j'ai mal et je souffre de toute les extrémités. Cela fait plus de 5 mois que je subit cette torture, cette humiliation. Je n'en peux plus, je crois que j'aurais préféré mourir plutôt que de vivre tout ça.

Je m'appelle Yéfrem Ivanov, yéyé pour les intimes, 18 ans, tchèchène de sang mais erreur de gène. Selon eux, je n'entre pas dans les contraintes. Maigre, petit, faible, mais surtout, homosexuelle.

Tout a commencer à Grozny dans mon collège, Après un concours de jeune talents qu'avait organiser l'école...

-Je t'ai entendue chanter, je t'avoue que j'étais bouche bée, ta penser à une carrière musicale?

Je m'étouffa d'étonnement à ces mots. Victor, le mec le plus méchant et distant de l'école me faisait un compliment??
Je sentis mes joue tournée au rouge à une vitesse folle. Cela me valu une claque mental de ma part.

-M-merci? Je suppose... Répondis-je, un air suspicieux au visage
Il me sourit tendrement ce qui me value un autre rougissement, plus fort cette fois. J'ignorais qu'elle était cette sensation, tout ce que je s'avais c'est que je l'adorait..

Les jours suivants, Victor me faisait mille et une petite attention, m'arrachant nombreux bégaiement, rougissement et perte de contrôle. Cette homme me faisait tellement d'effet que souvent, je me posais de sérieuse question qui revenais toujours a nié la vérité. Malgré tout, elle fini toujours pas nous rattraper, et ça, je l'ai sue quand j'ai sentit les douces lèvres de Victor sur les miennes.
À ce moment là, ma température corporelle était la plus haute jamais faite, mes jambes tremblait, j'avais l'impression qu'elle allait me lâcher à tout moments. J'étais rouge, et de centaine de petits papillons volaient dans mon ventre. Une sensation de chaleurs et de chatouillement dans mon corps m'arracha un gémissement de surprise. Il ce recula, une expression craintive au visage. Ce sentiment de vide et de stresse revint. J'avais besoin de ces lèvres, tout de suite, je ne voulais pas quitter ce merveilleux monde qu'il m'a fait découvrir en m'embrassant. Je s'avais que c'était mal, je s'avais que c'était illégal, que je salit la réputation de ma famille, notre honneur et tout ce qui l'entoure. Mais mon amour pour cette homme était supérieur à toute crainte, elle me faisait voler, voyager, j'oubliais tout pendant ces fraction de seconde à ces côté. Je plongea donc une nouvelle fois sur ces lèvre humide

Nous avons commencer à nous voire en cachette, le troisième étage d'un appartement vide de Grozny était parfait. Quatre par quatre, nous escaladions les marches comme deux gamins impatient de découvrir enfin l'apparence de nouveau jouet sous le sapin. Le cadeau le plus important à mes yeux c'était lui, sans aucun doute..

-Yéyé?..
-Oui nounours?..
Il passa sa main dans mes cheveux frisés, les glissants derrière mes oreilles
-Promet moi de ne jamais avoir peur de toi même...

Surpris, j'hocha la tête, le rassurant d'un coup

-Et toi, promets moi de toujours être mon gros panda, Ajoutais-je , un grand sourire au visage avant de m'effondrer dans ses bras chaud. Il me sera en me bécotant la tête comme j'aime t'en. Victor était toujours là pour moi, il prenait soin de me protéger, de m'aimer, de me câliner. Quand je pleurais dans ces bras à cause des remarque homophobe des camarades de classe, il me rassurait, me murmurant des choses plus agréables les unes que les autres

-Plus tard..nous déménagerons en France ou au Canada, l'a, nous pourrions nous embrasser dans la rue, adopter, et même nous marier!! Ajouta t'il

Cette enchaînement de mots avait le don de me cloué un sourire au visage. Ici, en terre Tchétchène, l'homosexualité est un t'elle déshonore que, si notre famille venait à l'apprendre, il nous tueraient sur le champ. Mais la menace qui planais sur nous étais comme oublier tellement j'étais heureux, j'étais jeune, naïf, amoureux, j'aurais dû faire attention

Toc toc toc

-Yéyé, va ouvrir!
-Okay papa

Je dégustais ma tranche de pains beurrer en évitais habilement les meubles, me rendant d'un pas endormi vers la porte, j'eus la surprise de tomber née à née avec nos gardiens de l'ordres, la police

-Oui? Demandais-je fébrilement
-Vous êtes Yéfrem Ivanov? Dis t'il d'un air froid, limite dégoûter

Le stresse s'empara de ma gorge, mon cerveau imaginait centaine et centaine de scénario horrible. Et si ils savaient??

-Oui..?
-Des plaintes nombreuse vous accuse d'homosexualité, suivez nous

Mon père c'était entre temps approcher du cadre de la porte, ma mère avait les mains sur le visage et mon père affichait un air dépité

-Non! Yéfrem dit moi que c'est faux!

J'étais muet comme une carpe, quelque chose m'empêchais d'ouvrir la bouche, je tremblais de tout mon corps, suppliant intérieurement pour que tout cela ne soit que cauchemar. Dans un dernière effort, je réussi à articuler..

-папа!! мама!! V-victor!

Je sentit une masse heurter mon corps, l'imposant personnage m'avais plaquer sur le mur et installer inconfortablement des menottes. Les larmes coulais sur mes joues, je voyais ma mère pleurer et mon père chuchotant c'est dernier mots

-Je ne suis plus ton père Yéfrem...

Après cette événements qui resteront à jamais gravé au fond de ma mémoire, tout est aller très vite. On m'a amener dans un anciens bâtiment militaire de la ville d'Argoun. La bas, j'eus l'horreur de remarquer plusieurs homme mal en point, affamé et blesser. Ils m'ont enfermer dans une cellule où des dizaines de garçon était presque empiler dans l'espace restreint. Nous étions coller les un sur les autres Il prenait plaisir à nous affamer avec de la nourriture horrible comme seul repas. Le soir au lieux de jeter leurs restes de nourriture au ordures, ils les jettent dans les cellules..pas pour nous nourrir, juste pour nous voire nous repaître de leurs restes comme des animaux.

Un matin, ils nous ont fait sortir de notre cellule. Les gardes nous criais des insultes, nous frappais, nous giflais. Ils nous ont mis en rang, et nous on forcer à s'inventer des noms de femmes. J'ai été surnommer "Anna" tout le reste de ma détention.

J'étais classer dans les plus faibles, je faisait ce qu'il me disait sans chigner de peur du mal qu'il pourrait me faire. Malgré ça, beaucoup résistait, ils se faisaient alors battre, horriblement, et ce faisait envoyer des décharges électriques. Les policiers obtenais toujours ce qu'ils voulaient.

À ce que j'ai entendue, ce nouveau "traitement " venais d'une loi passer par notre dirigeants Ramzan Kadyrov (Qui a d'ailleurs été couronner de la "médaille du héros" par Poutine. HA HA HA BONNE BLAGUE) qui autorisait la violence et la persécution envers les gens de type homosexuelle...
Ce camps de concentration a donc été approuver par le gouvernement, rappelant les heures les plus sombre de toute l'histoire.

"Le gouvernement Tchèchène prévois
l'extinction de tout les lgbt du territoire d'ici Mai"

Les prisonniers flanchais, beaucoup aurais mieux aimer mourrir que de subir tout cela, car nous ne somme pas des héros pour supporter ces douleurs et ces humiliations..

J'ai peur, j'avais froid, les cellules ne sont pas isolé, j'entend les prisonniers prier et parler des rumeurs qui circule dans la prison. Apparemment, nos chance de survie sont très faible.

-Je sais ce qu'ils vont nous faire, enchaîna un prisonnier maigrichon et cicatriser, ils appellent ça "laver l'honneur par le sang"

Les prisonniers tendent l'oreille

-Ils appellent notre famille, ils leurs disent..."Soit vous le faites, soit on s'en charge.."

Il n'avait pas besoin d'en dire plus pour que nous comprenons l'ampleur de la situation..

Mais tout cela m'importe peu. Ma douleurs, mes craintes, mon mal être, tout étais comme une fine brise de vent futile qui passe et disparaît. Je ne pense qu'à une chose, Victor..

L'ont t'il capturé lui aussi? Est ce que je vais le revoir? Et t'il...mort?
Je me ronge les ongles, tremblant et tapant dû pieds

-MERDE! Criais-je, prenant ma tête dans mes mains. Les autres n'y portait pas attention, c'était notre quotidien les crises et les hurlements était comme le bruit de fond d'une pièce vide.
[...]

Un matin, alors que je somnolais, je senti des mains m'attraper et me gifler, il m'écarta violament du mur, ce foutant de mon confort.
Je les regardes d'un air soumis et innocent pour m'éviter des coups supplémentaires

-Quesque vous me voulez encore...dis-je d'un air plaignant et fatigué

-Que tu donne l'exemple à tout les гей qui vont regarder cette petite vidéo...

Il allume effectivement une cameras et la pose sur une petite table basse pour me cadré sans tout autant cadrer le visage des policiers. Je ne préfère pas poser de question, juste attendre.
Je vois l'un des plus imposant enfiler des gants, d'autre ce moque alors que mes camarade de cellules regarde ailleurs. Ils installe une table avec divers objet comme des bâtons et des bouteilles. Je crains le pire, regardant un peu partout autours de moi, longeant chaque planche et chaque parcelles pour trouver un possible échappatoire

-удерживать!

Deux homme me plaqua sur le sol en me tenant fermement les bras, l'un d'eux releva mon bassins et commença à déchirer les tissus de ma combinaison prisonnière. Je me rend compte de la situation et commence à me tortiller et a me dandiner dans tout les sens

-LACHEZ MOI!! Criais-je les larmes au yeux, ce qui renforçait mon côté faible qui renchérissait leurs idéologies des lgbt

-On commence par quoi?
-La bouteille..
-Avec préparation?
-On est pas des bisounours Joe..

L'un d'eux attrape une bouteille au bout gruger

-Tu aime la pénétration pédale? Tu va adorer
-P-Piitieer..

Les gardiens de l'orde ne prenne pas compte de mes supplications, enfonçant le bout dans mon orifice m'arrachant un cri aigu de douleurs. Sans pitier, ils l'enfonça de plus en plus profond en moi, m'écartant et me déchirant de l'intérieur. Du sang coulais sur ma cuisse, je criais en me débattant de toute mes forces, les gardiens riait au éclat alors que les prisonniers essayait de ne pas regarder, et toute cette scènes horrible filmer et enregistrer.

Au bout de quelque minute de douleurs intenses, ils me poussa , me laissant choir dans ma cellule. Às ce moment, j'aurais donner extrêmement chère pour avoir Victor tout près de moi, je l'imaginais caresser ma tête, me murmurant des mots doux

-"On déménagera ensemble, en France..." Répétais-je dans un dernier soupire

[...]

[PDV Victor (Alias inthepanda) ]

Je n'en peut plus, ça fait des mois que je n'ai pas vue Yéyé, je craint le pire, je ne dort plus, je parcours les rue pour tenter de le trouver. Des bruits circule comme quoi un camp de concentration homosexuelle aurait ouvert ces portes. Je pleure souvent, mais en cachette, un vrai homme ne pleure pas..

Il me manque, il est mon trésor, mon diamant, mon amours..sans lui je ne suis riens, je n'ai jamais aimer une personne au point de ce détruite pour le reconstruire. Je vais chaque jours dans notre cachette,  espérant revoir son petit visage moqueur ou sa voix angélique. Ou simplement une preuve que mon yéyé est en vie..
Je suis aller chez lui évidemment, mais ses parents tenait l'argument qu'il n'ont jamais eux de fils.

Un jours, à l'école, le professeur expliqua qu'une video qui ce veut éducative et préventive allais être diffusé au tableau interactif dans quelque classe d'école renfermer, et qu'il était de notre devoir de faire circuler le mouvement pour rendre l'avenir meilleure en Tchechenie.
Curieux, nous acquiesçons du regard. Prenant ça comme une affirmation, l'instituteur commença la video, et la, c'est le choque, une capsule expliquant en détail que la race homosexuelle ce repent, et que si nous n'agissons pas, tout le monde le seras.
Je fronce les sourcils, vexé et en colère du message qui persiste à nous enfoncer dans le crâne. Pendant une dizaine de seconde, nous voyons un garçon, long cheveux bouclé criant des supplice de douleurs

-C'est Yéfrem?? Cria un élève

Tous, pris un air dépité, presque triste, les élèves était au courant de la disparition subite de yéyé, mais personne n'aurait cru un jour le revoir comme ça, en détresse, implorant de l'aide. Les autre n'avais pas l'air dégoûté, au contraire, plutôt en colère, C'était le petit Ivanov, gentil et tendre, tout le monde l'aime dans cette école. Le professeur ferma brutalement la video d'un clique, la peau verdâtre et les mots pendant.

-S-Sortez votre livre de mathématiques...

Toute la classe sortit leurs leçon, dans un mots
Quand à moi, je quitta la salle d'un pas rapide, c'est donc vrai, Yéfrem est dans un camps, les larmes perlaient sur mes joues et ma respiration anarchique m'empêchait de respirer correctement. Mon amoureux souffrait, et je ne pouvais riens faire à part attendre. Ce sentiment d'impuissance était horrible. Il me tordait l'esprit comme une vulgaire serviette.
Je suis Victor Katasov
Tchèchène
Et faible...

[..]

Impossible de m'asseoir, mon orifice établit dilater et extrêmement douloureux, là douleurs était atténuée par les petit coup que je m'infligeait à l'aide d'une petite roche, cela déplaçait là douleurs, la rendant moins fulgurante.
Je voudrait mourir, je n'en peut plus de ce traitement
Qui est inhumain??La douleurs que je ressent ou mon orientation sexuelle? Pourquoi être amoureux est un problème?  Pourquoi seulement moi, et pas le couple hétéro des voisins? Pourquoi je suis considérer comme différent? J'ai deux bras, deux jambes, une tête, je pleure, je rit, je sourit, je boude, j'aime, je vis..
Comme tout le monde
Alors pourquoi?

Je leva la tête, apercevant mon père me regarder, une mine dégoûter au visage.

-Yéfrem, lève toi
-papa...
-LÈVE TOI YÉFREM! Me cria t'ils

Je me leva, j'étais pénible à regarder, mon père n'osait peine à baisser le regard sur moi.
Il me fit signe de le suivre, ajoutant 5 dernier mots

-Laver l'honneur par le sang...

Je ferma les yeux, me laissant guider par les soupires et la respiration de mon aïeul.
Après quelque minute de marche, nous étions dans la forêt, je s'avait ce qui m'attendais
Il pointa le fusil contre ma tempe

-baisse les yeux
-Papa...

Je voyait l'eau monter à ces yeux

-Baisse les yeux, Yéfrem!
-...

Une larme coula sur ces joues, pourtant, les hommes ne pleures pas

-Te rappelle tu quand je t'ai appris à faire du vélos...
-...
Il tremblais
Biens sure que je me souviens

-Ce jours là.., tu t'était fait mal, et les autres ce moquais de toi..te traitant de pleurnichard...

Je gardait la tête haute, tentant de rester inexpressif

-Je t'ai sourie..je t'ai expliqué que l'avis des autres n'avais pas d'importance...murmurant t'il, à peine capable de prononcer les dernier mots de la phrase

-Tu est mon fils, mon seul...Tu est yéyé, le bijou qu'à donné l'amour de ta mère et moi...
Il pleurait à présent, à cause de moi, excuse moi d'être née papa...

-Je dois te tuer Yéfrem...mais je ne peut pas..réprima t'il, lâchant son fusil, en regardant au loin. Pas après t'avoir enseigner la musique, Apres t'avoir montrer à tirer, à être fort, à aimer et à combattre, pas après t'avoir gâter de cadeaux et de dessert..pas après que tu soit née et que tu...soit mon fils

-Et v-votre honneur papa

-Personne ne sauras...part Yéfrem...ne reviens plus jamais...

Il détacha mes liens, me poussant en vitesse, je courus plus vite que possible, malgré mon corps maigre et mon endurance faible, je courus jusqu'à atteindre la maison de Victor
Timidement, je cogne à ça porte, croisant les doigts pour que ce ne soit pas son père ou sa mère, un petit visage un peu grassait et mal rasé m'ouvrit, il me regarda quelque seconde avant de ce jeter dans mes bras

-YÉFREM!
-Shhh pas si fort...rigolais-je, le serrant de toute mes forces dans mes bras.

On va partir loin d'ici...




Hey! Je veut mettre quelque petit truc au claire ^^ je ne généralise absolument pas le peuple Tchèchène ou russe, sachez que toute information tenue dans cette os est vrai, pour plus d'info. Regarder la video du roi des rats sur le sujet, plusieurs phrase a été tirer de la video. J'ai essayer d'être le plus fiable possible, j'ai regarder plusieurs documentaires, j'ai lit plusieurs archive sur les villes et le gouvernement et sur tous ce qui entoure la mentalité. La persécution des homosexuelle en tchechenie est biens réel, je vous invite donc s signer des pétitions et à parler du sujet à vos proches, plus on en parle, mieux c'est!

[Un GIF ou vidéo devrait être inséré ici. Veuillez mettre à jour l'application pour le voir.]

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