Partie 2/2: Pour le plaisir de Mr.Park


- Euh... Je suis certain qu'on peut trouver un arrangement autre que... voulus-je tenter de le persuader.

Mais il m'empêcha une nouvelle fois d'exprimer le fond de ma pensée en attrapant l'une de mes épaules, avant de brutalement me plaquer contre le mur.

J'en eu le souffle coupé.

- Tais-toi, souffla t-il près de mon oreille, déclenchant un léger chatouillis contre celle-ci, qui se révéla curieusement moins désagréable que je ne l'aurais imaginé.

Son nez près de mon cou, il sembla respirer mon odeur comme le font les bêtes sauvages lorsqu'elles cherchent à apprendre à se connaître.

Allais-je vraiment me laisser faire ?

Allais-je me soumettre à lui en le laissant assouvir sur moi les fantasmes, tout droit sortis de son imagination débridée de criminel, que je le devinais nourrir à mon égard ?

Peut être bien oui.

De toute façon je n'avais pas le choix.

Je savais mieux que personne que la vie est une pute.

Et pour le dire clairement, il faut juste la baiser avant de se faire baiser soi même.

Sauf qu'il était trop tard pour moi, ayant comme qui dirait échoué à appliquer ce poétique adage.

Il passa sa main dans mes cheveux, tout en mordillant légèrement le lobe de mon oreille.

Je fermais les yeux un instant.

- Tu sens bon, murmura t-il de manière suave, avant de tirer violemment ma tête en arrière pour exposer d'avantage ma peau et la lui rendre plus facile d'accès.

Puis ses lèvres se promenèrent lentement sur celle-ci, me procurant une sensation d'une indicible étrangeté puisqu'elle était combinée à la lancinante douleur provenant des racines de mes cheveux actuellement torturés.

Il m'embrassa sous la mâchoire, avant de coller étroitement son corps contre le mien, qui avait, lui, déjà eu l'occasion de faire les présentations avec le mur depuis un petit moment et un gémissement m'échappa, le faisant sourire contre ma peau, lorsque je pus sentir nos entre-jambes entrer en contact l'un avec l'autre.

Il releva alors la tête, et tenant toujours la mienne sous l'emprise de ses doigts dans mes cheveux, il me força à soutenir son regard avide, qui rendait ses prunelles encore d'avantage obscures qu'elles ne l'étaient lorsque les sentiments que je lui inspirais se bornaient encore à des envies de meurtre.

Puis, il s'empara de ma bouche d'un mouvement brusque, collant ses lèvres sur les miennes, d'une manière qui semblait vouloir dire « n'essaie même pas de protester, Jungkook ».

Mais pour être honnête avec moi même, je ne pensais pas réellement à protester... étant actuellement concentré à le suivre dans ce baiser langoureux qu'il me donnait, avec une sorte d'enthousiasme qui paraissait tout sauf normal.

Tout en faisant glisser sa main de mon épaule jusqu'à ma hanche, il commença à passer sa langue sur mes lèvres, les titillant également de ses dents par moment, avant d'enfin poursuivre son mouvement vers ma fesse en l'attrapant d'un geste vif, me faisant ouvrir quelque peu la bouche sous l'effet de la surprise. Et il en profita pour entrer sa langue dans ma bouche la mouvant au sein de celle-ci comme si il cherchait à en percer les secrets caché.

Ce contact humide résultant de l'inévitable fusion de nos cavité buccales suscitèrent chez moi l'échauffement de mon corps, que j'aurais aimé qualifier d'innocent mais qui ne l'était déjà plus avant de voir cet homme entrer dans ma vie – avec autant de délicatesse dont ferait preuve un éléphant dans un magasin de porcelaine – et qui le serait encore moins une fois les prochaines heures passées.

Mes vêtement semblant représenter un agaçant obstacle entre lui et mon corps, il me relâcha pour attraper le bas de mon t-shirt, après avoir lui même retiré sa veste, qu'il avait laissé tomber sur le sol.

D'un mouvement inconscient, témoignant sans doute d'un accès de pudeur temporaire, je posais mes mains sur les siennes.

- Laisse-toi faire, ordonna t-il.

Je laissais retomber mes mains contre mes cuisses.

Mais il sembla changer de priorité, et me tira à lui pour me faire avancer vers le lit.

Puis il me poussa dessus. J'atterris sur le matelas et il me rejoignis en me chevauchant. Et enfin il me retira ce fichu t-shirt. Je relevais les bras au dessus de la tête pendant qu'il le faisait passer au dessus de celle-ci, révélant mon torse à sa vue. Un petit sourire étira le coin de sa bouche, pendant qu'il passait ses paumes le long de celui-ci, s'attardant sur mes abdos, dont il suivit un instant les contours avec ses doigts.

Puis il se pencha et saisit l'un de mes tétons entre ses dents.

Normalement, une sensation pareille m'aurait donné l'envie d'inverser les positions pour lui faire comprendre que ce n'étais pas dans mes habitudes que l'ont m'inflige pareille choses, mais mon petit doigt me disait qu'il ne serait pas si facile de prendre l'avantage sur lui.

Il passa ensuite sa langue dessus, et fit voyager sa paume jusqu'à mon bas ventre, endroit où mon pantalon peinait à dissimuler l'effet que cet expérimenté Mr.Park déclenchait en moi, contre mon gré.

Il défit le bouton, et se redressa. Sous mon regard confus, je le vis défaire le nœud de sa cravate, avant de se pencher d'avantage vers mon visage. Il attrapa alors mes deux mains et les attacha avec à la barre de la tête du lit, en effectuant un nœud assez serré.

Attaché au lit hein ?

Ses fantasmes partaient peut être bien encore plus loin que je n'avais pu le penser.

Puis il recula et se dévêtit entièrement sous mon regard attentif, dans un lent strip-tease qu'il prenait plaisir à effectuer devant moi, me sachant incapable de tout mouvements. Il ne conserva que son boxer. Mais je voyais déjà presque tout de son physique dont la magnificence dépassait de loin celle du mien. Un tatouage aux motifs agressifs recouvrait son bras droit, qu'il leva pour passer une main dans ses cheveux, déjà un peu ébouriffés.

Il me déshabilla ensuite, à mon tour, enlevant mes chaussures l'une après l'autre et se saisissant des bords de mon pantalon pour le faire glisser sur mes jambes, embarquant mon boxer au passage.

J'étais désormais nu, et je n'était pas certain de détester ça.

Je commençais à doucement revoir ma façon de voir les choses.

Quand il revint à moi, il empoigna mes hanches et me retourna face au matelas.

Le moment que j'attendais autant que je redoutais se rapprochait si vite que j'avais l'impression que le temps essayait de me battre dans un genre de course contre la montre dont il ne pouvait qu'être le seul vainqueur.

Je tournais la tête sur le côté, mais ne parvins pas à le voir, me laissant obligé de me contenter des quelques bruits qui parvenaient à mes oreilles pour tenter de deviner ce qu'il fabriquait.

Je sentis à nouveau ses mains sur moi, au niveau de mes bras, les caressant de tout leur longs – déclenchant des frissons qui parcoururent tout mon corps et semblant se diriger vers le point où se concentrait actuellement mon plaisir en attente – puis descendant sur mes épaules.

Ma respiration saccadée faisait acte de réponse à ces scandaleuses sensations qui m'assaillaient.

Il s'arrêta soudain, puis déposa un baiser électrisant entre mes omoplates, douloureusement contractées. Et il repris son avancée vers le bas de mon corps, aussi lentement que s'il souhaitait faire exploser la tension que j'étais en train d'accumuler et qui me faisait presque mal.

Ses paumes brûlantes s'immobilisèrent finalement sur mon postérieur.

- Tout à fait charmant, l'entendis-je dire, mais ne parvenant toutefois pas à déterminer si son ton était plutôt sérieux où moqueur.

Il poursuivis ensuite vers mes cuisses et écarta mes jambes d'un geste sec pour se positionner entre elles.

J'étais devenu chaud bouillant. Il me faisait trop d'effet... J'allais manger le matelas... (xDDD)

Il s'allongea sur moi, nos deux corps se trouvant emboîtés l'un contre l'autre, et son érection appuyant contre mes fesses.

Cela acheva de me faire prendre conscience de ma position de soumission, à laquelle j'avais simplement refusé de penser jusqu'ici.

Il entra brutalement en moi d'un énergique coup de rein qui m'arracha un cri, moitié de douleur, moitié de plaisir, tandis que je ne pouvais que tirer sur le lien qui m'entravait solidement à la barre de métal devant moi. Et il entreprit sa longue série de vas-et-viens à l'intérieur des profondeurs de mon être, qu'il semblait vouloir me faire comprendre comme lui appartenant, me faisant échapper quelques gémissement ténus contre le lit, étant totalement incapable de les retenir.

Mais je constatais qu'il en était de même pour lui, les sons de nos deux voix se mélangeant alors dans une harmonie que l'on aurait pu qualifier de parfaite, et qui s'éleva autour de nous, dans la pièce.

Chacun de ses mouvements, qui entraînaient un contact rapproché avec cette petite partie de moi appelée « prostate », déclenchaient une vague de plaisir - aussi divin que l'était cet homme qui me faisait présentement l'amour - au sein de moi-même, et me faisant prendre conscience que je ne voulais pas que cela s'arrête, même une fois qu'il en aurait terminé avec moi.

Et comme fait exprès après que cette pensée m'eut traversé, je fus pris en même temps que lui d'un spasme de pur extase, marquant définitivement la fin du fonctionnement de mon cerveau.

Il se laissa tomber lourdement contre mon dos, m'écrasant de tout son poids, tandis qu'il tentait de reprendre son souffle, comme je peinais actuellement à le faire.

Il fini par se laisser glisser sur le coté, et leva un bras pour défaire le nœud qui me maintenait prisonnier. Je me retournais alors sur le dos, imitant la position de cet homme qui venait de me prendre comme jamais je ne l'avais été, et de qui je ne savais pas trop quoi penser.

- J'ai réfléchis à la manière dont tu pourrais payer ta dette, déclara t-il.

- Parce que ce que nous venons de faire ne suffit pas ? demandai-je, surpris.

Un rire étrange franchit ses lèvres.

- Bien sûr que non, dit-il alors comme si cela allait de sois.

Il tourna son visage vers moi, et me regarda de ses yeux encore affamés.


- Mais je crois que je pourrais me contenter de ton obéissance éternelle.


Peut être étais-je dans la merde, ou peut être avais-je de la chance...

Quoi qu'il en fut... il ne me restait qu'a trouver assez d'énergie en moi pour me montrer capable...


...de satisfaire les désirs de Mr.Park.


...

*Commence à faire des vagues avec ses sourcils en vous regardant*

Bon bah moi je l'ai trouvée pas mal cette histoire! ee xDDD

Vous vous en pensez quoi? Je suis parée pour faire du Yaoi? ee xDDD

En tout cas j'aime bien ce pairing ^-^ (on se demande à cause de qui... si cette personne lit elle se reconnaîtra) xD

JE PARLE BIEN ÉVIDEMENT DE MA HAJAR CHÉRIE SANS QUI CET OS N'AURAIT JAMAIS EXISTÉ, PUISQU'IL EST BIEN ÉVIDEMENT NÉ DE MON ESPRIT APRÈS QU'IL EUT ÉTÉ PERVERTIS PAR SES SOINS XD

J'ai réalisé le fantasme de se faire attacher avec la cravate *--------* //Mon esprit est contaminé par 50 shades of grey// <--- euh... les livres hein, pas le film u.u D'ailleurs je pense le réutiliser encore quelques fois (on s'en lasse difficilement~) xDDDDD

Cette expérience m'ayant bien plus, peut être que j'écrirais d'autres OS par la suite ^-^ Mais pour le moment je vais me concentrer sur ma fic ^w^

N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé dans les commentaires ;)

Voilou, voilou, gros kiss à tous~ :*

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