Friends/ lovers (pas de loi)

TP = Cheveux long roux, yeux bleus gris, empathe, Timide, maladroite, conservatrice d'archive

PDV TP

Le bal est magnifique, mais je ne suis pas très fêtes . . . Peut-être trop timide. Je retire un pli à ma jupe et remet une mèche de cheveux en place.

Je remarque Bronte avec ses collègues. C'est lui qui m'a proposé de venir. Je ne sais pas si j'aurais dû accepter. Je décide de marcher.

- Tp ! Je sursaute.

Je vois un elfe arriver vers moi.

- Othar. . . Il s'approche un peu trop de moi.

- Comme tu es jolie ce soir TP. . .

- Laisse-moi tranquille. Je me dégage de lui et continue mon chemin. Je décide de sortir sur le balcon, prendre l'air et m'éloigner du bruit .

- Tu cherches à te débarrasser de moi Tp ? Tu sais c'est vexant. Il attrape mon poignet. Il est complètement alcoolisé.

- Lâche -moi !

Je le repousse. Mais ce dernier, m'attrape le poignet et me bloque contre le mur.

- Tu me fais mal ! Arrête, je t'ai demandé de me laisser tranquille !

- On se fait désirer ma chère.

- Arrête ! criais-je.

- Elle vous a demandé de la lâcher ! Survient la voix d'un homme je tourne la tête.

Bronte. . . Il attrape Othar par le col et se place entre moi et lui.

- Quand une femme vous dit non, c'est non ! Vous allez me faire le plaisir de disparaître, avant que je vous en colle une.

Othar ne dit rien et s'en va immédiatement.

Je passe une main sur mon poignet endolori. Bronte le regarde partir.

- Tp . . . Tout va bien ?

J'acquiesce.

- Je dois retourner auprès de mes collègues.

- D'accord. . .

Il se détourne de moi. Je lui attrape furtivement la main. Il tourne son visage vers moi. Nos yeux se rencontrent.

- Merci Bronte. . .

Il émet un sourire puis s'en va.

Je le regarde s'éloigner en restant sur place.

Je décide de rentrer chez moi, j'attrape mon manteau. Et quitte le palais d'Eternalia pour rejoindre mon petit appartement. Je repense aux yeux de Bronte. Ils sont si beaux. Et son geste héroïque pour me défendre. Bronte est mon ami depuis très longtemps. De dois avouer que j'en pince beaucoup pour lui.

Son côté glacial n'est qu'une façade. Il est doux, attentionné, charmant.

La neige commence à tomber, c'est si joli.

- Tp ! Attends s'il te plaît.

Il me rattrape alors. Je me tourne vers lui.

- Bronte. . .

- Tp . . . Tu es sûr que ça va ?

- Oui . . . Je vais bien ne t'inquiète pas pour moi.

Nous sommes si proches.

- J'ai eu peur qu'il te fasse du mal TP . . . Quand je t'ai entendu crier.

Il prend ma main blessée, et regarde mon poignet marqué.

- Il t'a fait mal . . .

- C'est trois fois rien, Bronte.

- Quand même . . .

Il embrasse ma main.

Il est si mignon bon sang ! Je ne peux m'empêcher de rougir. Nos yeux se rencontrent à nouveau. Je peux voir une mer d'étoiles dans les siens. Il vient déposer ma main sur son torse. 

- TP . . . Il y a quelque chose que j'aimerai te dire. ..

- Je t'écoute Bronte.

- Vois-tu, TP, depuis le premier jour où tu es arrivée dans ma vie. . . comme une fleur au printemps. Depuis cette journée où tu as défait mon cœur de pierre. . . Plus rien ne compte pour moi, plus que toi. Et plusieurs fois, j'ai essayé de t'en parler. Mais à chaque fois le courage et les mots m'ont manqué.

Nous sommes soudainement devenus étrangement proche.

- Je vais essayer de te le dire aujourd'hui. . . Peut-être de façon maladroite mais sincère. Trois mots qui changeront peut-être tout entre nous, Tp. Et que quand bien même tu refuserais nous demeurons amis. . .

- Bronte. . . Murmurais-je, comprenant ce qu'il se passait.

- Je t'aime TP. Ces trois mots sont peut-être peu originaux. Néanmoins ils font battre mon cœur pour toi. Ils me font penser à toi chaque minute. . . Tu comptes tellement pour TP .. . Et je ne peux plus le cacher.

- Oh Bronte. . . Je . . .

Pourquoi répondre par des mots quand on peut agir par des gestes.

Je m'approche de lui et dépose mes lèvres sur les siennes. Un baiser de quelques secondes seulement, que je romps alors.

- Moi aussi . . .

Il répond à mon baiser passant son autre main sur ma joue.

- Laisse-moi te raccompagner chez toi . . . me dit-il alors.