Wish upon a star

Spock volait sur Terre dans son vaisseau spatiale personnel. Depuis la fin de leur 5 ans de voyage, toutes l'équipe s'étaient un peu séparée, aussi surprenant que cela était. Spock avait gardé contact avec le Dr Mc Coy, chose encore plus surprenante, car il s'entendait beaucoup plus avec Kirk, mais celui-ci, était injoignable. Les rumeurs circulant sur son sujet était qu'il avait piqué une dépression après être revenu de l'espace, car il n'avait jamais été un homme de terre. Le chant d'oiseau ne l'avait jamais particulièrement plu, et il préférait largement les planètes étrangères et désertes que les parc de New York. Uhura, quant à elle gardait un contact régulier avec toute l'équipe, à croire qu'elle poursuivait son métier de communication. Après, elle était occupée, vu son dossier et ses capacités hors du commun, elle était embauché sans cesse dans divers vaisseaux. Mc Coy, lui prenait sa retraire et s'occupait des abeilles à présent. Il s'énervait toujours contre Spock qui continuait de l'appeler docteur. Quant à Scott, il avait aussi été réengagé et Sulu s'était marié avec un homme à Londres. Chapel, elle on l'avait perdu un peu de vu. Bref, tout le monde vivait sa vie séparé, tel que personne ne se le serait imaginé.

Et c'est ainsi que Spock, qui était revenu que vulcain avait réaliser son attachement au capitaine. Il avait tenté de se faire au quotidien vulcain, avec ses parents, ce n'était pas trop mal. Surtout qu'ils étaient en meilleurs ententes que lors de son enfance, mais quelque chose lui manquait.

Kirk ne répondait pas aux appels d'Uhura, alors Spock n'osait pas. Peut-être était-il secrètement fâché ? Il ne voulait plus avoir faire à eux ? Peut-être avaient-ils même fait quelque chose qu'il l'avait inconsciemment blessé ? Enfin bref. Malgré les mois passant, Spock n'arrivait plus à se retenir, voir dormir. Il devait savoir ce qu'était devenu son capitaine. Alors, c'est ainsi, qu'un matin il partit en direction de la Terre. Mc Coy lui avait dit dans une conversation qu'aux dernières nouvelles de lui, donc il y a presque trois ans maintenant, il était partit vivre de nouveau chez ses parents. Une petite maison où le soleil chatouillait l'herbe et où il y avait une des dernières fermes manuelles d'Amérique, où un petit ruisseau coulait et personne ne venait déranger.

Peut-être cela semble bizarre qu'il y ai encore des endroits pure et sans humain, mais c'est qu'après avoir pu voyager dans l'espace librement, les Hommes eurent trouvés une planète habitable et avec la politique d'expansion, la Terre était moins polluée, et il n'y avait plus que 4 milliards d'habitants. La publicité pour la deuxième Terre avait fait tabac et beaucoup avait donc migrés. Puis, il y avait bien plus d'un milliard qui était partit vivre avec des extraterrestres. C'est comme ça que les 10 milliards d'humains devinrent 4 milliards. Il était bien plus agréable de vivre alors en campagne, où la nature repoussait sur les vestiges humains.

Mais là n'est pas le sujet. Après des jours de trajet, Spock se gara dans l'herbe et vit parfaitement la description de Mc Coy : l'herbe verte grasse brillait aux rayons du soleil, et au loin se trouvait une petite maison rouge ainsi qu'une ferme. On entendait des animaux pousser leur cri et des petites poules courant dans la cour. Il y avait même un vestige de voiture, sûrement la voiture dont Kirk lui avait tant parler lors d'une de leur mainte conversation le soir. Petit il jouait dedans et disait que c'était son vaisseau spatiale.

Spock s'approchait, sa robe vulcaine se prenait l'eau de l'herbe et il vit effectivement un ruisseau coulant devant la propriété des parents de Kirk. Il du enlever ses chaussons vulcains pour passer sur les pierres. Et il fit bien de les enlever car il glissa. Spock n'était plus tout jeune, et son agilité semblait être partit un peu avec la jeunesse. Il ne pu par contre s'empêcher de sourire, chose assez rare mais bizarrement toujours étroitement lié à Kirk.

- Bonjour  ? dit une voix. C'était une vieille femme qui venait d'ouvrir la porte d'entrée. Elle avait la peau pendante au joue, le dos courbé et les cheveux bouclés blanc. Malgré sa fatigue de la vie, elle semblait charmante, et son rire avait un air de celui de son capitaine. Spock attrapa le bas de sa toge et s'avança dans le petit ruisseau.

- Excusez-moi, je ne voulais pas déranger. Seriez-vous la mère de Jim T. Kirk ? dit-il une fois assez proche pour ne pas crier.

La dame, il n'avait pas vu cet gadget avant, avait un fusil pointé sur lui, le rabaissa. Elle le regarda longuement, s'attardant beaucoup sur ses oreilles. Quel curieux personnage, pensa-t-elle.

- Heu...Non, désolé je n'ai pas d'enfant. répondit-elle.

Spock se stoppa soudainement à mi chemin. Il était sûr que son cœur s'arrêta de battre. Tout cela était une illusion alors ? Cet air de famille, ce paysage jumeau à la description du docteur Mc Coy ? La femme vit sûrement son air perdu.

- Désolée...dit-elle.

Mais, de derrière jaillit un homme, une tête plus haute. Il avait reconnu la voix spécifiquement monotone de son ex officier des sciences.

- C'est bon maman. C'est...un ami. dit-il en regardant Spock dans les yeux.

- James- dit-elle. Mais son fils sortait déjà de la maison.

Alors il n'avait jamais parlé de lui à sa mère ? Peut-être n'avait-il pas parlé de ses cinq ans dans l'espace du tout et que les rumeurs étaient vraies ? Et étaient-ils amis ? Spock lui-même était sport. Il se souvenait que les dernières années ils passaient toutes les matinées et la journée et la soirée ensemble. Il avait faillit s'embrasser une fois mais après les circonstances ne s'étaient plus jamais présenté et Spock emportait le souvenir de son souffle sur son visage comme un précieux bijoux. Il ne savait pas pour Kirk, mais cette sensation n'était jamais partit, même à présent, bien qu'il avait vieillit, et prit un peu de poids. Il était toujours celui qu'il aimait.

- Pourquoi es-tu venu Spock ?

- Je voulais m'assurer que vous alliez bien. répondit le vulcain.

Les deux marchaient côte à côte, comme ils l'avaient tant fait des années auparavant, Spock les mains dans le dos. Bien que Kirk ne souriait plus autant, et que sincèrement, Spock ne pouvait pas savoir s'il était ravi de le voir, c'était sympas de ressentir cette sensation si singulière, si familière.

Devant eux, le soleil se couchait. Les cheveux de Kirk brillait d'un éclat cuivré, et on voyait qu'il admirait la vue de ses yeux plissés.

- Comment va tout le monde ? demanda au bout Jim au bout d'un moment.

Spock lui raconta tel un rapport où est-ce que tout le monde était rendu.

- J'ai vraiment tout loupé, je voulais m'excuser mais plus le temps passait, plus il était difficile de vous faire face.

Spock le regarda mais son capitaine baissa la tête. Il voulu lui prendre la main mais il ne savait pas où ils avaient laissés les choses, alors il n'osa pas.

- Capitaine-

- Je ne suis plus capitaine Spock !! cria-t-il. Des oiseaux à côtés s'envolèrent et Spock cacha sa peur sous un masque. Il était vraiment alors en dépression, il manquait l'espace et l'adrénaline. Le vulcain était désolé qu'il en soit ainsi, qu'il ne trouve point son équilibre sur Terre. Il aurait dû lui en parler.  Désolé... dit-il au bout d'un moment.

Ils continuèrent à marchés sans vraiment but. Le soleil était disparu à présent et le vent froid commençait à à les prendre au dépourvu. Mais la vue était magnifique : les étoiles apparaissaient au dessus de la tête, tout était parfait c'était une belle soirée d'été. Pendant un instant, Spock revit dans les yeux de Kirk une lueur se rallumée, le soir était son royaume, où il suffisait de lever la tête pour se croire dans l'espace encore.

- Pourquoi avez-vous demandez à votre mère de dire que vous n'étiez pas là ?

- Je n'avais pas envie qu'on me retrouve. Mais n'en parlons plus, hein ? Asseyons-nous juste ici, un instant, et profitons de la vue.

Kirk s'assit et Spock ne fit attention à son habit que là : il avait une chemise à carreaux rouge déboutonné jusqu'au commencement de ses poils du torse. Un pantalon tâché de terre séchée. Ses cheveux étaient un peu plus longs et avait pousser devant ses yeux ce qui le forçait à les chasser parfois. Si Jim regardait ses étoiles, Spock le regardait, lui.

- Une étoile filante Spock ! dit Kirk en montrant du doigts la poussière qui avait filée pendant un instant.

Spock sourit dans le noir. Drôle d'appeler des étoiles filantes des météores qui pénétraient dans la couche terrestre. Les terriens avaient et sont toujours aussi créatifs et poétique. Mais le vulcain ne dit rien. Il ne voulait pas couper cette joie à son capitaine.

- Faites un vœu Spock...

Spock réfléchit et ferma les yeux. Il n'avait jamais souhaiter quoi que ce soit. Après tout, maintenant il avait tout ce dont son cœur avait besoin : Kirk. Alors il rouvrit ses yeux, et Kirk s'était rapproché, son souffle rencontrait le sien. Il était si près, comme dans la salle de machinerie 4 ans plus tôt. Et ils finirent ce qu'ils avaient commencés.

Spock réalisa à quel point il avait manquer ce regard, cette flamme, ce sourire, cette odeur, lui  tout simplement. Kirk porta une main douce sur son visage et le regardait intensément. C'était presque comme une attraction astrologique quand ils s'embrassèrent sous les étoiles. Longuement, amoureusement, au nom d'un amour délaissé. Jamais ils ne s'étaient oubliés. Jamais ils ne le pourraient.

Et c'est sous ces étoiles filantes que Spock fit un vœu : que ce moment jamais ne se termine.

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