Wow désolé pour ne rien avoir publié sur ce recueil depuis presque trois mois OwO. Je n'ai rien à dire pour ma défense alors, voici un nouveau chapitre enfin !!! 

Corruptdream VasTeFaireConnard Ezylrib   désolé encore une fois pour l'inactivité ^^'

Kirk était assit en haut d'un toit. Il faisait chaud, mais, grâce à la hauteur il avait l'impression de sentir la pesanteur de la chaleur sous ses pieds, et lui profitait de la brise rafraîchissante.

Le jeune homme soupira d'aise et pensa à lui un peu : il rit. C'était bizarre, après 5 ans de porter un habit normal, une chemise à carreaux rouges et un jean. Basique. Il avait l'impression que ces dernières années à parcourir l'espace n'était qu'une période idéalisée. Etait-ce honteux de dire que la routine de se trouver captif sur des planètes inconnus lui manquaient ? Ce n'était pas les embrouilles en sois, mais le fait d'utiliser son cerveau pour trouver une combinaison qui avantageait tout le monde, la satisfaction de pouvoir dire "Scotty, faites tourner les machines".

Il se souvenait il y a deux jours encore, il était arriver le matin dans le plus grand silence de la salle. Tout le monde se regardait tristement. C'est dans une longue respiration qu'il dit "On retourne à la maison" et que tout le monde tourna ses sièges vers le postes de commandes. Mais tous savaient que leur maison était devenu ce vaisseau, cet équipage. Et bien qu'il y eu des moments de désaccords, de haine, on retenait encore mieux ceux de joie, d'entraides.

Oh non, il n'était pas près de laisser ces 5 ans derrière lui : ça avait été le meilleur moment de sa vie et il s'était présenté devant ses gens comme le meilleur de lui-même. Un homme doux, tolérant mais autoritaire, qui n'était pas près de faire force d'esprit pour gérer des situations qui semblaient impossible. Et travailler avec cet équipage avait été un honneur, la charmante Uhura qui surprenait tout le monde avec ses connaissances infinies en langues spatiales d'ici et d'ailleurs, Sulu à qui on avait découvert une passion pour les armes de guerres d'il y a 200 ans et plus, Chekov qui avait tant grandis et qui avait fêté sa majorité inter-galactique entre deux planètes, poursuivit par des aliens en colère car il avait prélevé une plante de leur sol pour l'étudié, ignorant qu'elle était sacré. Ah oui, qu'il se souvenait de ce coup là. Il en riait bien maintenant, mais sur le moment, ils craignaient tous pour leur vie. Ils étaient farouches ces extraterrestres-là.

Et puis Scotty et son histoire improbable avec USS, sur un planète il avait trouver un moyen légal de le marier avec le vaisseau. Il se souvient être arrivé chez un peuple animiste qui écouta ému la romance entre leur chef d'ingénieurie et le vaisseau. L'équipage n'avait pas su comment réagir lorsque Scotty leur avait demandé tous d'être témoins. Même le capitaine, pour une fois il n'était pas le "marieur". Il avait fait appel aux prêtres de cette planète. Ca avait été, étonnamment une belle cérémonie.

- Capitaine ! Capitaine ! dit une voix le tirant de ses rêves.

Kirk se pencha prudemment et reconnut Spock. N'était-il pas déjà partit pour Vulcain II ? Qu'il s'en fichait au final. L'entendre l'appeler "capitaine" bien qu'il n'était plus dans USS le fit rire et sourire.

Spock. Mon cher, cher Spock, pensa Kirk.

Oh, qu'il aurait aimé avoir pris son courage à deux mains lors de ces maintes soirées dans la salle de jeux, autour d'une partie d'échec galactique. Le voir, à la lumière tamisé pour ne pas faire mal aux yeux fatigués d'une journée de travail, les reflets sur ses cheveux noir comme de la lumière dans l'espace. Et ces sourcils pointant vers le haut, qui lui avait paru si menaçant auparavant (il avait eu l'impression qu'il était tout le temps en colère avant de comprendre que c'était sa morphologie), lui plaisait à présent. Et ces petites oreilles pointues, qui devenaient vertes lorsqu'il avait trop froid. Toutes les occasions qu'ils avaient eu, et il n'en avait saisies aucune.

Par exemple la fois où il avait eu une panne de chauffage. Ça faisait 2,5 années qu'il sillonnait l'espace, et ils se trouvaient à des kilomètres et kilomètres de la planète la plus proche. Déjà que Spock gelait en temps réel. Il lui avait prêté sa veste comme bon capitaine et ils s'étaient retrouvés tout deux, dans son lit, tentant de se réchauffer avec 3000 couches. Ça faisait déjà un an au moins que le capitaine se posaient des questions sur la nature de sa relation avec Spock. Mais lors de ces heures, où ils n'avaient pas bougés, ils avaient parlés beaucoup comme ils ne devaient pas s'endormir. Kirk osa lui toucher la main, suant de stresse bien qu'il crevait de froid. Il avala sa salive si difficilement qu'il sentait encore cette sensation, il avait eu l'impression de mourir de l'intérieur.

Toucher la main n'était peut-être pas si significatif chez les terriens, mais pour les vulcains, si. Spock, par surprise, lui avait laissé faire et lui avait confier que personne ne lui avait tenu la main "comme ça". Kirk voulait savoir ce qu'il voulait dire par là, sachant d'avance ce que Spock décrivait n'était pas la sensation de sa paume sur la sienne, mais celle de ses sentiments. A ce moment là, Kirk aurait jurer avoir vu une once d'un sentiment courir sur ses yeux brillant. Mais il ne su jamais la réponse. Et quelques jours plus tard, lorsque tout fus en marche, aucun des deux ne repris la conversation, bien qu'il la portait dans leur coeur.

- Capitaine ! dit-il encore. Sa voix raisonnait dans les ruelles vides.

- Montez ! lui répondit l'ex capitaine. Il secoua sa tête lorsque Spock reprit son sac de course à ses mains et partit dans la ruelle de l'immeuble américain, histoire de prendre l'ascenseur de secours pour accéder au toit où se situait Kirk.

Une bonne minute plus tard, Spock arriva. Bizarrement, il portait une chemise à carreaux, mais bleu, ainsi qu'un pantalon de velours sombre. Il avait adopté la mode terrienne et ils se trouvaient vraisemblablement coordonnés en tenues.

- Bonsoir Spock. lui dit le capitaine en se levant et dépoussiérant sa tenue par politesse.

- Bonsoir, Jim. répondit Spock. Kirk prit un moment pour calmer son cœur à la sonorité de son prénom, et sourit avant de lui proposer de venir s'asseoir à ses côtés.

Si lui portait sa chemise ouverte sur son torse et les manches remontées par la chaleur tombante, Spock la portait bien fermée, bien boutonnée, comme si c'était un uniforme comme un autre. Et puis c'est vrai que 40°C à l'ombre au sol était rien comparé aux étés vulcain.

- Que faites-vous ici ? demanda Spock en déposant son sac de course à ses côtés. On voyait un poireau dépasser. Kirk trouva cette vu attendrissante.

- Je profites des courants d'air pour me rafraîchir et j'admire la ville de la hauteur. Bien que nos cinq années furent intéressantes en tout point, je ne savais pas que la ville m'aurait manqué. Le semi vulcain le regarda avec beaucoup d'attention et hocha la tête en silence. Et vous ?

- Je rentrai chez moi quand je vous ai vu.

Kirk inclina sa tête. Ce n'était pas typique de Spock d'appeler les gens dans la rue. Normalement il aurait sois passé son chemin, soi serait monté directement.

- Spock, pourquoi êtes-vous réellement monté ? le charriait Jim d'un sourire narquois.

- Je ne comprend pas votre question.

- Non, je m'étais juste dis que peut-être il y avait une raison pour que vous m'appeliez au lieu de monter directement ou juste passer.

Spock humecta ses lèvres sèches et le silence retomba.

Enfin pas totalement. La ville n'était jamais silencieuses. On entendait les discussions à travers les fenêtres ouvertes, les oiseaux ou encore le bruit des machines aériennes et la chanson de leur doux moteurs, ronronnant gaiement. Le ciel se dégradait maintenant, en un orange de mille feu. Les passants au sol ne devait déjà plus le voir, le Soleil. Mais eux avait le privilège d'en être aveuglé.

Puis, au dessus de cette bande orange, une jaune plus légère qui virait vers le vert virant lui-même en un bleu pâle, presque blanc et virant, au dans le ciel en un bleu violacé, foncé, annonçant la nuit tombante. En haut de l'immeuble, il n'y avait plus grand chose de plus haut, et il avait l'impression que s'ils levaient la main, il la mettrait dans cette couche foncée et attraperont les étoiles.

Kirk contemplait le paysage avec admiration. Il avait oublier la sensation des couchers de soleil. Il revint sur le toit et se sentit cette tension entre eux. D'un doux sourire, il profitait des derniers instants avant la conversation qui allait sortir. Il sentait que Spock voulait dire quelque chose. Premièrement parce qu'il le regardait, lui, au lieu de devant. Et aussi parce qu'après l'avoir côtoyé pendant cinq ans, il connaissait à comprendre ses comportements.

- Qu'allez-vous faire maintenant ? lui demanda-t-il.

Bingo, pensa Kirk.

- Je ne sais pas trop... Je vais parler aux membres de l'équipage pour savoir s'ils sont partant pour une autre mission sous ma garde. S'ils sont d'accords, je demanderai au supérieur s'ils peuvent nous redonner une mission. Mais déjà, le temps qu'ils se décident et remplissent la paperasse on en a pour un moment. Surtout que je prévoyais de vous laisser un moment pour faire ce que vous voulez, je ne sais pas, revoir vos familles par exemple. Je sais que nous avons eu des moments de répit, mais ce n'était souvent pas plus long d'un semaine, et nous partions souvent avant car nous finissions toujours attaqué.

Kirk rit pour deux, bien qu'il cru deviner un petit rehaussement aux coins de ses lèvres.

- Et vous ?

- Je repars pour Vulcain.

- Oh ! Quand est-ce ?

- Demain.

- Oh.

Kirk eu l'impression qu'on le poignarda dans le dos et qu'il tombait du haut de l'immeuble, en chute libre. Le soleil avait totalement disparu, et les partis couleurs froides prenaient le dessus. Voilà pourquoi Spock l'avait appelé. Il voulait lui parler une dernière fois avant longtemps probablement. C'était compliqué les relations à distance, d'autant plus qu'à travers la même planète peux survivait, alors au delà du système solaire, ce serait encore plus compliqué.

Mais qu'avait-il espéré après, qu'il reste avec lui ?

- J'imagine que vos parents vous trouverons une nouvelle...t'hy'la, c'est bien comme cela que vous appelez ces relations ?

- Mmmh... Pas exactement, capitaine. Ces relations sont réservés envers quelqu'un que l'on aime profondément, d'un amour fraternel, amical, amoureux. Il ne décrit pas la relation mais le "volume" d'affection qu'un individu porte envers un autre.

- Comme des âmes sœurs en terriens ?

- On pourrait dire que c'est le mot le plus ressemblant.

Les deux revinrent à la vue. Ils parlaient, mais à la longue le temps pressait et aucun ne disait ce qu'il voulait réellement dire.

- Capitaine, commença Spock, je-

Mais le blond le tira par son col bien boutonné et pressa sa bouche contre la sienne. C'était peut-être un peu trop brusque, inattendu, mais Kirk était dans une impasse. Et puis, il s'exprimait toujours bien mieux par geste que par paroles. 

Il eu une seconde où il ne profita pas du contact, sentant la rigidité du baiser, et les traits étonnés du visage du vulcain. Alors qu'il allait se détaché et s'enterrer à jamais au plus profond de la terre, il sentit la main fraîche mais tremblante de Spock attraper la sienne et s'y entrelacé. Ils s'écartèrent un court instant, pour respirer. Spock posa son front contre celui de Kirk et soupira silencieusement, fermant ses yeux relevant ses longs cils noirs. Kirk, sérieux le regardait amoureusement, se le permettant pour une fois. Ce qu'il l'aimait. Depuis si longtemps ! Et dire que c'était réciproque était incroyable.

Il voyait les paupières tremblantes du vulcain. Le contact main-main devait être un surplus d'émotions et il n'arrivait plus à contrôler les différentes émotions l'attaquant.

- Jim. dit-il au bout d'un moment. Leur yeux se rencontrèrent.

 Partez avec moi.

heyyyyyy, j'aime beaucoup ce chapitre, je sais pas pourquoi :D

Enfin, merci d'être patients avec moi, j'espère qu'il vous plaira. Je risque de ne pas être active régulièrement car je dois préparer mon examen de piano et m'entraîner beaucoup ainsi que continuer de faire mes devoirs. Comment dire que ça prend beaucoup de temps (rip). Ça se trouve je trouverai le temps, je l'espère parce que j'aime beaucoup écrire.

Live long and prosper <3