Chapitre dédié à ErwinMyHusbando et Lady_Bott, j'espère qu'il vous conviendra ^^
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Il était une fois un royaume répondant au nom de Paradise, gouverné par une reine faite de sagesse et gentillesse aimée de son peuple et sa cours.
Dans tous les pays alentours sa beauté fut reconnu, de sa blanche peau , son doux sourire rosé, ses grandes yeux bleus et sa chevelure faite de fil d'or elle porte à merveille son royal titre et les demandes de plusieurs centaines de prétendants en sont preuve depuis sa plus tendre enfance.
Digne héritière de la noble famille Reiss, la jeune reine âgée de seulement 16 ans est respectée de tous et soutenu par de nombreux clans puissants ne la forçant pas à se marier par obsession du pouvoir ou autre obligations de la royauté .
Parmi ces clans s'en trouve un particulièrement adulé, les Ackerman, faisant régner la paix au sein du royaume et empêchant toutes guerres dans le continent, ils servent la reine avec la plus grande des assiduité et un immense dévouement.
Aux côtés de la royale blonde se trouve également sa chevalière, car oui ici chevalier n'est pas qu'un métier d'homme, Ymir Ackerman qui la sert depuis leurs tendre enfance, passant de dame de compagnie, à écuyer, puis combattante, jurant de la protéger jusqu'à ce que la Sainte Sina rappelle son âme.
Assise face à son vaste bureau la jeune blonde remplis sans répit une tonnes de papiers pour les maisons voisines.
Depuis peu les Ackerman ne cesse de recourir à la force pour repousser des assaillant Mahrs, un pays autrefois allié passé du côté de l'ennemi suite au refus de la reine à un de leur prétendant, et la douce commence peu à peu à s'introduire l'idée du mariage sans amour dans la tête afin de sauver ses plus dévoués alliés.
Tournant la tête vers sa chevalière, droite comme un i a ses côtés, elle s'imagine sa vie sans cette femme pas plus âgée qu'elle, puis une pensée parcourut son esprit faisant trembler de peur la jeune reine, étant une Ackerman Ymir serait envoyée au front si la situation mener à une guerre...
Ce tournant entièrement vers la grande brune de fer elle l'interpelle.

Reine: Ymir pouvez vous allez me ramener votre grandiose père au palais, j'ai à lui parler.

Plaçant sa main droite sur son cœur et sa main gauche dans son dos elle s'abaisse en sortant de la pièce.
Quelques heures plus tard un petit homme aux cheveux d'ébène entre dans la pièce effectuant le même geste que la grande brune quelque instant plus tôt.
La reine l'invite à se relever et à s'asseoir près d'elle afin de discuter.

Reine: Grand chef des Ackerman que vous êtes permettez moi de vous exposez mon humble choix en premier avant de l'annoncer haut et fort devant ma cours et mon cher peuple.
Mais avant toute chose permettez moi de vous questionner sur votre fille ici présente.

Chef: Faites ma reine, faites.

Reine: Comme vous le savez mieux que personne Ymir est une "sang impur" dut à votre liaison avec une femme hors clan...
Pourquoi avoir enfreint les règles de votre propre père ?

Chef: Voyez vous ma reine de votre jeune âge vous ne devez pas encore l'avoir rencontrée, mais quand il arrive à nous le clan, la religion, la couleur, le rang social, le sexe et les règles importe peu.
C'est pourquoi j'ai enfreint ces règles et fais de cette "impure" une Ackerman, parce que l'amour est bien plus fort que les lois et qu'elle est tous ce que mon cœur est dans la capacité d'aimer aujourd'hui.

Reine: Sans vouloir être indiscrète, pourriez vous me conter son histoire et ce qu'il est advenu de votre douce ?

Le sourire attendris par l'histoire de l'homme ornant les lèvres de la belle n'était point présent sur celles des deux Ackerman connaissant le fin mot de cet amour interdit.
Alors que le plus petit des deux s'apprête à répondre avec douleur la chevalière de la reine s'avance demandant la permission de parler, qui lui fut accordée.

Ymir: Ma reine permettez moi de prononcez ces douloureux mots à la place de mon cher père .
Sa douce n'est malheureusement plus de ce monde.
Ma resplendissante mère faisait parti du brillant clan Zoé et était la fille du chef en place à cette époque,elle a rencontrée père lors d'une réunion de guerre et ils se sont immédiatement aimés.
Alors que je n'étais qu'une petite fille mon défunt grand père est venu m'enlever ma mère sous mes yeux, mon père étant promis a succéder à lui fut épargné.
J'eus la vie sauve contre les mains de père tachés du sang de son propre paternel .

Reine: Oh...
Je suis sincèrement navrée, ma curiosité me fait défaut...
Pardonnez ma maladresse...

Chef: Ne vous en faites guère ma reine, voilà bien longtemps que mon cœur est insensible à tous sentiments.
Mais dites moi, vous royal jeune femme régnant sur Paradise à quoi pouvez vous bien rêver pour me poser tel questionnement?

La jeune altesse se lève, se plaçant dos à celui qui pendant mainte années à supportée les conséquences de ses refus permanent pour le mariage.
Fermant la porte de la "petite" pièce elle dirige doucement ses mains vers son crâne avant de se débarrasser de sa royale coiffe et par le même geste de toute ses responsabilités, le temps d'une discussion.

Reine: Oh vous mon sauveur qui pendant de longues années avait hébergés la jeune fille que j'étais sans même savoir qu'elle sang coulait en elle, vous chevalier qui m'avais élevée comme votre fille, vous qui lorsque mon paternel m'a enlevée à vous avez remué ciel et terre pour me retrouver et également vous qui en me laissant dans ce sinistre palais m'avait gratifiée de la présence de votre dernier bout de bonheur je vous confis mon douloureux choix.
Oh père, si je puis oser vous nommer comme ça, pour vous remercier de tant de choses, arrêter vos dures pertes et épargner l'illustre vie de votre douce fille moi reine Historia Reiss du royaume de Paradise je prête serment sur le cœur d'empêcher la guerre par le lourd poids du mariage.

Déposant sa main droite sur son cœur et son bras gauche dans son dos la belle baisse la tête dans une révérence et une douloureuse promesse.
Pourtant le petit homme s'avance vers elle portant sa main à son visage dans une légère frappe, sous le regard choqué de sa fille.

Chef: Vous êtes une parfaite reine mais si vous désirez m'appeler père sachez que se marier sans amour n'est pas dans l'éducation que je vous ai inculqué et que par conséquent je suis très peu fier de cette décision.

Reine: Mais père comprenez bien que mon devoir m'appelle et que cette fois le destin des Ackerman repose entièrement sur mes frêles épaules, mon devoir en tant que reine m'empêche la liberté d'aimer et je l'accepte si cela est le prix pour que la vie d'Ymir ne soit point en péril !

Ymir: Ma reine en ce jour ne pensait point à mon sort mais au votre, je refuse d'être la cause d'un si lourd fardeau pour vous, ma vie n'est rien comparée à votre liberté.

La douce main de la jeune blonde vient heurter violemment le visage plein d'inquiétude de la femme de fer à la suite de ses mots.
Sous le poid de son armure elle tombe au sol dans un énorme bruit de chute.
Le père de cette dernière se lève immédiatement mais est arrêté par le signe de main de son altesse l'obligeant à ne plus bouger.
Attrapant avec détermination sa couronne elle la replace rapidement sur sa tête avant de se tourner vers les deux Ackerman.

Reine: Sachez que je ne vous demandez en rien votre avis, je suis reine et par conséquent toute puissante par rapport à vous.
Je vous ordonne de partir à la recherche de prétendants au titre de roi dans le pays Mahrs.
Quitter mes appartements sur le champs.

Relevant avec difficultés sa fille, le chef Ackerman sort de la pièce en regardant sa reine une lueur de déception dans les yeux tandis que la valeureuse chevalière elle se place derrière la reine comme à son habitude, essuyant le sang coulant de son nez.

Reine: Je t'ai donnée une mission chevalière, qu'attend tu ?
Oses tu contester les ordres de ta reine ?
Dois- je te punir pour trahison ?

Ymir: Quoi ?
Bien sûr que non ma reine !
Je pars sur le champs !

Effectuant maladroitement sa référence la brune sort également de la pièce pleine d'incompréhension et le cœur en miette par la nouvelle de la reine, un mariage, qui de plus est forcé...
Quel sombre idée...
N'attendant que quelques instants après le départs de ceux qu'elle aime la jeune blonde se fait tomber au sol laissant sa tristesse et sa rage dévaler ses blanches joues.

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[pdv chevalière]

Voilà bien deux jours que je me trouve sur le territoire Mahrs à la recherche d'un prétendant digne de ma chère reine mais, n'ayant trouvée que de piètre noble matamore ou ayant pour seule conversation des homélies, je me retrouve dans le devoir de m'impatienter sur ces terres qui ne sont pas miennes dans l'espoir de trouver une "perle rare" .
À mes côtés mon paternel galope sur son destrier, n'ayant presque pas parlé depuis l'annonce du mariage il hoche simplement la tête en signe de négation à la vue de ces déchets d'hommes quand je les lui présente.
Pour la nuit nous nous stoppons dans une auberge à l'allure délabrée, au grand malheur de mon père, arrivé dans la petite chambre nous ayant était attribuée je m'avance vers lui, détachant sa lourde armure de son corps musclés.

Chevalière: Père ?!
Allons nous vraiment laisser cette douce femme se marier avec l'un de ces goujats...?
De plus apporté par nos soins...

Chef: J'en ai bien peur ma fille, notre douce reine ne renoncera pas à votre sécurité.

Chevalière: J'ai bien l'angoisse qu'elle ne revienne pas sur son choix, la reine mérite bien plus qu'un Mahrs...

Chef: Voyons ma fille ne me prenais pas pour l'un de ces nobles sans une onse d'intelligence, je suis votre père après tout et je sais qui n'importe pour vous que l'homme qui lui passe l'alliance au doigt soit Mahrs ou Paradisien, vous ne supportez juste point que la femme pour qui votre cœur bat puisse se promettre à un autre être que vous-mêmes.

À quoi bon galéjer à mon humble père, après tout celui qui m'a inculqué les valeurs de se sentiment n'est autre personne que lui.
Soupirant ma lassitude et ma fatigue j'ôte également mon armure en la laissant lourdement retomber au sol dans un vacarme métallique avant de me jeter dans les chaleureux bras de morphée.
Les jours sont passés et nous avons parcourut Mahrs de château en château à la recherche d'un homme convenable, perdant espoir nous nous arrêtons néanmoins devant une grande bâtisse aux colonnes de marbres.
Mon père pénètre les lieux à la recherche de son hôte, croisant quelques gardes nous indiquant le chemin à suivre.
Quelques vingtième de minutes suffirent pour nous convaincre que cet homme était sûrement le plus apte à épouser ma douce et ainsi nous lui proposons de nous suivre jusqu'à Paradise, ce qu'il accepta suite à toute les rumeurs sur la légendaire beauté de son altesse royale.

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[pdv reine]

Voilà maintenant une longue et interminable semaine qu'Ymir et père sont parti ne donnant aucune nouvelle d'eux depuis, me laissant me tourmenter de leurs sorts.
Priant Sina, Rose et Maria de me rendre mes êtres chers chaque jour de cette longues attentes, aujourd'hui encore je me trouve à leurs autels quand la porte s'ouvre brutalement sur Sasha, l'une de mes dames de compagnies à l'appétit plus qu'inhumain, me fixant avec insistance en affichant un rayonnant sourire.
Je comprend alors qu'ils sont de retour et accourt avec la plus grande élégance possible vers l'entrée du château me jetant au cou de la femme en amure.

Reine: Ymir !
Enfin vous êtes de retour !
Je me suis tourmentée pour votre vie !

Chevalière: (*troublée*) Veuillez m'en excusez ma reine...

Alors que je relâche mon emprise de sur elle, je pense bien apercevoir un sourire sur les lèvres de père et des rougeur sur les joues de ma loyale chevalière.

Chef: Ma chère reine après des jours et des jours nous voilà enfin revenu en vos terres accompagnés d'un prétendant.

Portant enfin mon attention sur les personnes à leurs côtés je découvre un grand blond à la corpulence imposante qui me regarde un sourire niais sur le visage et un grand brun fin de taille vêtu d'une armure.
Ymir se place derrière moi en signe de protection, j'aime quand elle fait ça je me sens tellement en sécurité à ses côtés, comme si je n'avais plus peur de rien, l'impression d'être capable de tous.
Elle penche doucement sa tête par dessus mon épaule me laissant champs libre pour admirer chaque parcelle de son doux visage, de beau yeux dorés qui intimide quiconque les regarde, de petit points éparpillés sur chacune de ses joues tels des étoiles dans le ciels, des cheveux marrons trahissant son clan et enfin, ce que je préfère, ses belles lèvres formant un parfait sourire narquois imposant le respect.
M'étant perdu dans ma contemplation d'une telle œuvre d'art je n'ai pas écoutée ce que la belle me disait.

Reine: Veillez m'excuser mais je n'ai point écoutée, pouvez vous répétez ?

Chevalière: (*sourire*) Bien évidemment ma reine.
Je vous présente le comte Braun et son chevalier venu de la famille Hoover.

Le comte s'avance vers moi et s'agenouillant attrape avec douceur ma main afin de la porter à sa bouche dans un baise main.

Comte: Les rumeurs à votre humble sujet ne sont pas balivernes, votre beauté est équivalente aux plus grandes merveilles de ce vaste monde.

Reine: Quelles belles paroles, vous me flatter mon cher comte.

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Et ainsi les jours passèrent pendant lesquels j'appris à connaître ce noble personnage, il me fis comprendre qu'il aimait l'art en tous genre passant du dessin au théâtre, il m'emmena également visiter son palais, j'appris son passé: comment avait-il rencontré son chevalier, avec qui il entretenait une solide relation de confiance, ou comment avait il battu à lui seul un de ces ignobles titan présent dans la forêt interdite, séparant Mahrs et Paradise.
Rapidement je finis par m'attacher à lui comme à un ami de longue date.
On décida finalement de se marier comme prévu, dans une cérémonie luxueuse où tous mes sujet furent conviés.
Quant à Ymir elle me sert toujours mais je ne la vois plus que très rarement, n'ayant pas acceptée que je souhaite me marier pour protéger sa vie d'après elle cela était son rôle et point le mien, elle déambule maintenant aux côtés de ses frères d'armes s'exposant pleinement aux danger...
Le chevalier Hoover quant à lui a demander à mon mari de le laisser partir, à sa plus grande incompréhension, ce qu'il a finalement accepté en analysant le triste regard de son ami.
De temps à autre père vient m'amener des nouvelles de ma douce chevalière, parfois même cette dernière l'accompagne, mais plus le temps passe et moins elle ne se présente à moi.
Mais aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres pour moi et j'ai l'ultime conviction que ma dame viendra à moi.
Aujourd'hui il s'agit de mon dix-septième anniversaires et Ymir n'en a jamais loupée un seul depuis mes huit ans, date à laquelle le chef Ackerman m'a recueillit, alors oui je suis sûre qu'elle viendra.
Mais alors que les heures et mes royales tâches défilent elle ne daigne montrer le bout de son nez.
Où est-elle ?
Que fait-elle ?
Pourquoi être partit ?
Pourquoi avoir rejoint les Ackerman au lieu de rester à mes côtés ?
Des dizaines de questions se bousculent dans mon crâne me provoquant un insoutenable mal de tête mais je ne me décourage pas, elle viendra.
Puis lorsque le soleil décline peu à peu, emportant avec lui tout mon espoir et ma joie, seul mon époux entre dans l'immense pièce ne contenant qu'un bureau de travail et un canapé un regard triste braqué sur ma personne.

Comte: Ma reine je dois vous parler, le mensonge n'est plus envisageable.
Je suis éperdument amoureux voyez vous ?
Mais point de vous, non mon amour est porté sur un être du même genre que moi.
Mille pardon ne suffiraient pas à laver mon pêcher, mais pour l'amour de Sina, Rose et Maria infligez moi toutes les souffrances que vous désirez mais ne punissez pas mon cher amant.

Se jetant à genoux à mes pieds il implora ma grâce les larmes dévalant tristement ses joues.
À vrai dire je ne pus lui en vouloir, je fus même heureuse et soulagée.
Je ne l'aimais pas et lui non plus, un mariage sans amour avait eu lieu entre nous, et maintenant lui connaissait ce doux sentiment, je ne pus être qu'heureuse pour mon ami au cœur tendre.
M'agenouillant face à lui je lui offre une étreinte dans un signe de réconfort, ce qu'il le surprit au plus haut point.

Comte: Que faite vous ma reine ? Vous n'êtes pas furieuse contre votre roi ?
Vous devriez me haïr....

Reine: Voyez vous mon roi cela fait bien longtemps l'homme que je concidère comme mon père me conte les biens faits de l'amour et j'ose un jour être en capacité de ressentir un tel sentiment.
Je ne peux vous haïr pour être tomber amoureux, je ne peux qu'être follement heureuse pour vous et votre amant.

Comte: Oh votre altesse vous êtes une déesse rivalisant avec les plus grandes (* essuie ses pleures *) mais si je puis vous donner mon noble avis le sentiment d'amour coule dans vos veines depuis bien longtemps vous l'ignorez seulement...
Voyez vous ce que vous ressentez n'est autre que l'amour quand vous êtes près de dame-

Un gigantesque bruit de canon m'empêche de savoir la suite de sa parole, puis dame Sasha enfonce la porte hurlant que Paradise est attaquée.

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Quelques jours plus tard des durs perte furent à déplorer dans chaque clan malgré la victoire, notamment dans celui des pieux Ackerman...
Père était tombé, Sasha également et pire que tous Ymir aussi, ne laissant derrière elle qu'une lettre...

Tous est de ma faute...
Je me déteste tellement...
Pourquoi ne pas l'avoir écoutée...?
Pourquoi ai-je causée ta mort...?
Pourquoi y ai-je assistée...?
Et dis moi pourquoi ne me suis-je pas rendu compte que l'amour pendant tous ce temps se trouvait au près de toi ?

Lisant une dernière fois ta lettre je relit encore et encore la dernière phrase puis souriante je m'offre la mort.
Père, Ymir je vous rejoins attendez moi, j'arrive .

«...à jamais vous resterez la reine de mon cœur. »

[END]
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Voili voilou le onzième os qui est plutôt grand (+3000 mots !!! )
J'espère sincèrement qu'il vous a plut, personnellement j'ai adorée l'écrire ^^
J'aimerais savoir si une histoire entière en rapport avec celui ci vous intéresseraient ?
Elle serait présentée par thème (ex: la lettre d'Ymir,..).^^

Laissez moi vos avis, votez, commentez (j'adore parler avec vous ^^)
Bisouuuu 💕