Baka ! But I love you

OS - un chapitre

Traduction :
Baka (idiot) ! Mais je t'aime

Allez voir la description parce que flemme de résumer ;-;

Bonne lecture
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Pdv Shikamaru :
Ho Temari, je me souviens de tout. Depuis que j'ai vu l'éventail qu'a mon adversaire, je me souviens de tout. De notre rencontre, la meilleure chose qui me soit arrivée, jusqu'à maintenant. Je m'en veux, comment ai-je pu nous oublier ? T'oublier toi ? L'oublier lui ? Je suis tellement désolé... Mais sache que je n'arrêterai jamais de vous aimer, toi et Shikadai.

Notre rencontre n'avait rien de très charmant, nous n'avions que fait nous battre et nous sous-estimer. On ne pouvait pas se supporter ! Et dire qu'à présent nous avons un fils... Comme quoi, tu es bien la femme la plus imprévisible que j'ai jamais vu... Tu étais tellement belle, sauvage et indépendante, n'acceptant l'aide de personne ! Alors que moi, j'étais un flemmard qui méprisait les filles. Je ne te prenais pas au sérieux... Et tu te moquais pas mal de moi, jusqu'à ce que je sois à deux doigts de gagner notre duel. Là, tu as arrêté de me sous-estimer, de même pour moi qui ai arrêté de te mépriser. Je me suis dis que je devais te laisser une chance de prouver que « les filles ne sont pas faibles ! ».

Nous nous sommes ensuite revus lors de la mission de récupération de Sasuke. C'était un désastre, et pourtant c'était la première mission que je dirigeais... C'est même toi qui m'avais sauvé face à Tayuya. En invoquant l'esprit du vent, Kamatari. Et tu m'as emmené à l'hôpital, serrant ma main durant tout le trajet. Tu voulais que les ninjas aillent plus vite, stressée et inquiète comme je ne t'avais jamais vu. Je te remercie, sans toi, je serais mort ce jour-là. Je te dois la vie. Et puis tu avais attendu avec moi dans la salle d'attente, me réconfortant comme peut le faire une fille avec un fort caractère. Quand j'y repense, c'est adorable : tu prenais soin de moi et tu t'inquiétais pour moi. Et plus important encore, tu ne m'as pas abandonné.

Et puis encore après les rôles se sont inversés ! Cette fois, lors du sauvetage de Matsuki, l'élève de ton frère Gaara, c'est moi qui t'ai sauvé la vie. Tu étais en difficulté face à cette ninja de Takumi qui possédait des capacités similaires aux tiennes. Avec Ino nous t'avions aidée et sauvée. Tu avais eu du mal à nous remercier !

Et puis tu étais venue pour m'aider à organiser le nouvel examen chunin. C'était drôle de voir les participants galérer et j'avoue qu'inventer les étapes avec toi était un bon moment. On ne s'entendait pas mais c'est ce qui faisait qu'on avait les meilleures idées ! Un coup venant de toi, un coup venant de moi. Des idées qui les avait surpris. C'est un très bon souvenir que j'en garde.

Puis nous nous sommes revus, lors de certaines missions...Naruto a sauvé ton frère, Sakura a sauvé ton autre frère. Tu ne te sentais pas très utiles, tu me l'as dis. Mais j'étais encore moins utile que toi, chose que je ne t'ai pas dites. Et puis Jiraya-sama est mort, et grâce à Naruto j'ai dû résoudre son code. Il n'était pas facile, ce qui prouve que c'était bien un sanin légendaire... Et cette fille de la classe de déchiffrage, qui me faisait les yeux doux et qui t'énervait au plus haut point... Ça me faisait rire, intérieurement ! Te voir jalouse était drôle, surtout que tu niais m'aimer. Et puis une fois, tu es restée fidèle à toi-même et tu es allée lui parler. Et elle ne m'a plus jamais adressé un regard. Tu as du la traumatisée.

Et la quatrième grande guerre ninja. Quel désastre. Mais je suis content que tu t'en sois sortie indemne. On s'était bien battus, s'entraînant lorsqu'il y en avait besoin, se protégeant mutuellement le reste du temps. On n'avait pas besoin de parler pour se comprendre. C'était « le bon temps », comme dirait un vieux. Je me demande d'ailleurs quel rêve tu as fais, lorsque les arcanes lunaires infinies nous ont pris au piège. Je me souviens vaguement d'avoir rêvé, mais je ne sais plus de quoi...

Et ensuite, tu es devenue la diplomate de Suna. Tu ne faisais que des allers-retours entre Konoha et Suna, ce qui était, d'après tes dires, fatiguant et lassant. Je te plains, j'aurais eu la flemme. Mais tu le faisais pour ton frère. Et moi, je t'invitais au resto, et tu venais dormir à la maison. Ma mère t'apprécies beaucoup, elle qui a toujours voulu avoir une fille. Tu étais tout le temps gênée d'être avec nous que tu ne parlais pas beaucoup. C'était marrant. Tu restais polie, ne parlais pas plus que nécessaire et à chaque fois tu m'en voulais. Et puis tu essayais de m'éviter pour ne pas refuser une invitation venant d'un habitant de Konoha.

Et puis il y a eu cette histoire, avec le genjustu de Gengo. Je ne t'avais rien dis parce que je ne voulais pas te mêler à nos problèmes. Mais tête de mule que tu es, après m'avoir frappé et être partie en pleurant, tu as forcé pour savoir ce que je tramais. Tu m'as suivi et observé sans que je m'en rende compte, j'étais trop absorbé par mes propres problèmes pour y penser. Et au final tu m'as sauvé ! Moi, Ino et les autres. Enfin, Ino a sauvé Sai et toi, tu te battais comme une lionne. Encore une fois, nous nous complétions.

Puis il y a eu ce jour, celui où on a faillit tout casser. Toute notre relation a connue un tournant. D'un autre côté, sans ce mal-entendu, on ne se serait pas mis en couple. Je voulais que tu m'aide à trouver le cadeau de mariage d'Hinata et de Naruto, aux sources thermales, mais tu pensais que c'était pour nous... J'ai été bête, j'aurais du te dire l'entièreté de ma mission dès le début. Mais tu t'es énervée, fidèle à toi-même, tu m'as frappé. Mais tu es partie en courant. Et je m'en suis voulu. C'était la première fois que je regrettais vraiment quelque chose... Je t'avais cherché partout dans le village et trouvé, assisse sur un banc à l'entrée de Konoha, pleurant à chaude larmes. Je t'avais consolée et nous nous étions mis en couple, ce jour là. Je n'oublierai jamais la façon dont tu me l'as dit. Ces quatre petits mots qui ont changés nos vies. « Je t'aime baka ».

Longtemps après notre mariage qui fut le second plus bel événement de ma vie, tu as donné naissance à Shikadai. Notre fils. Lorsque tu m'avais dis que tu étais enceinte, je n'en voulais pas : j'avais peur de ne pas être à la hauteur. Mais ça, tu l'as vite compris et tu m'avais rassuré. Et tu avais emménagé avec nous, dans une maisonnette de la résidence des Nara. Et je t'avais rejoint. Et pendant que je m'occupais de notre enfant, tu apprenais à Mirai, la fille d'Asuma-sensei, le maîtrise du futon. Parce que je l'avais prise sous mon aile, tu m'as aidé, encore une fois. Et tu t'es occupée presque seule de l'éducation de notre fils, je m'occupais de développer son intelligence.

Ho Temari, merci. Merci pour tout. Merci d'avoir toujours été la. Pour moi. Pour nous. Merci.

Mais en acceptant cette mission, je savais qu'il y avait peu de chance pour que j'en reviennes... Sache juste que je vous aime, toi et Shikadai, de tout mon cœur...

Fin n•1 :

Pdv externe :
Une explosion retenti et il ne resta, parmi les décombres, que des morceaux de murs et de roche de montagne, l'abris de situant sur une petite montagne.

Au village, personne ne l'avais vu venir. Sauf l'hokage. Lui seul savais ce que cette explosion signifiait. Et il avait peur de comment annoncer la nouvelle à la femme nouvellement veuve. Lui apprendre que son mari était mort, apprendre à Shikadai qu'il vivrait sans son père, c'était dur. Mais il devait le faire. Et il le fit...

« NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON PAPA ! C'est pas possible ! Mon père ne peut pas être mort !
-Je suis désolé
-Non...Pas lui...Pas mon mari ! Tu mens ! Sale menteur ! Quitte cette demeure et n'y reviens jamais ! Assassin ! »

Leur deuil fut dur. Long. Pénible. Horrible. Dépression fut le mot par lequel on les qualifia. L'un ne souriait plus et n'allait presque plus en cours, l'autre ne dormait plus, ne mangeait plus, n'avait tout simplement plus goût à la vie. Mais quand le plus jeune décida de rejoindre son père, sa mère en fut plus que touchée et elle les rejoignit également, dans les secondes suivant son horrible découverte. Celle qu'une mère veuve et en deuil ne devrait jamais découvrir. Le cadavre de son fils...

Mais dans l'au-delà, ils se retrouvèrent, tous les trois. Et ils vécurent heureux, malgré les tristes peines qu'ils laissaient à leur familles.

Fin •2 :

Pdv Shikamaru :
« PAPA !
-SHIKAMARU ! BOUGE-TOI ! »

Par réflexe, je me baissais, juste à temps pour éviter le coup de vent de l'éventail de ma femme. Non mais quelle folle ! Elle aurait pu me tuer ! Mais elle savait que j'allais l'écouter. C'est ça, de se compléter et de savoir se battre côte à côte. On n'a plus besoin d'attendre de voir si l'autre nous écoute, on le sait déjà. On se fait confiance mutuellement. Je lui confirais ma vie sans hésitation. Sans peur. Sans crainte. Car je sais qu'elle est la personne la plus apte à en prendre soin. Et elle a déjà mon cœur.

« Papa, on est venu te prêter main forte ! Maman est aller harceler l'Hokage et il nous a tout dit de ta mission. Le plan est simple : on utilise notre manipulation des ombres pour piéger l'ennemi pendant que maman nous couvre avec le futon. Et si besoin je l'aide.
-Ok j'ai compris. Ninpô, manipulation des ombres !
-Futon, grande lame de vent !
-Ninpô, manipulation des ombres ! »

Après quelques minutes à galérer, on finit par piéger notre adversaire qu'on attache solidement avec de la corde. On rentre à Konoha, on livre la prisonnière aux forces de l'ordre et on rentre chez nous. Enfin du repos bien mérité ! C'était galère cette mission...

————
Fin de l'os !
C'est sur qu'il n'y aura pas de suite mais si vous aimez le principe, je peux faire un truc similaire avec un autre ship !
En espérant que ça vous ai plus !
Bye :)✨

1735 mots

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