#2. 𝐐𝐔𝐈 𝐄𝐓𝐄𝐒 𝐕𝐎𝐔𝐒?
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☂︎ Cette One Shot est une Happy end.
Je voudrais juste prévenir de bien regarder le résumé ! Jimin ici est accompagné d'un autre membre, je ne sais pas si c'est vraiment un OS sur lui mais faite comme ci. Donc quand vous écrivez un commentaire n'écrivez pas Jimin alors que peut être ce n'est pas lui au début. Je vous préviens cette one Shot est purement fictif, ne dites pas que ce membre est cruel etc. C'est fictive ! ^^
Bonne lecture Kimchi ! ^^
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Qui était-elle pour que personne ne la remarque dans sa vie ? Fin......sauf lui.
-Écoutez moi T/p....... s'il vous plaît.
-J-Jimin, qui êtes vous réellement pour m'aider ?
{T/p, jeune femme se faisant battre par son mari depuis deux ans va pouvoir revoir le jour avec un simple coup à sa porte d'entrée}
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-Ça va chérie? Demanda t-il.
-O-Oui.....oui je vais bien, j-je vais aller au toilette.... Disait-elle en ayant peur de lui.
Elle se précipita mais doucement sans laisser de soupçon à l'homme.
-Reviens vite! Je veux mon repas ! Hurla t-il.
Elle couru pour rentrer dans la salle de bains et la verrouiller à double tour. Elle s'asseyait par terre en prenant appui au mur et en mettant sa tête entre ses genoux pour commencer à pleurer silencieusement.
Elle voulait partir pour de bon, vraiment partir. C'était la seule chose qu'il la préoccupait à ce point.
Cette femme n'était plus comme avant. Avant de l'avoir rencontrée, lui était devenu plus violent avec elle.
Elle lui avait fait confiance tout ce temps mais dès qu'il avait fait cette chose que l'on avait promis de ne pas le faire, elle même avait refusée catégoriquement de lui parler. Cependant son audace face à lui, lui vallait les coups.
Encore plus fort que d'habitude, encore plus violent. Il augmentait à chaque fois. Quand il en avait envie, quand elle faisait une seule bêtise, quand elle ne l'écoutait pas, ou même quand elle ne faisait rien.
C'était une partie de plaisir à ses yeux.
Elle resta alors quelques minutes le temps de se reposer et de ne pas à faire aux yeux de cet homme qu'elle ne considérait plus comme son mari depuis bien longtemps.
Elle inspirait et expirait profondément en ayant les larmes aux yeux quand quelqu'un frappa à sa porte.
-T/p, ouvre putain ! Grogna la personne derrière le grand bout de bois.
Elle ferma ses oreilles. La peur envahissait ses pensées. Il n'avait aucune pitié surtout quand on parlait de sa femme. Il savait pertinemment qu'elle ne pouvait rien faire, et même sortir de la maison était interdit.
Il frappa violemment, la porte bougeait. Il avait plus de force qu'elle et il le savait.
-Tu n'ouvres pas cette fichue porte T/p, je te jure que ça va être pire ! Raga t-il.
Ce n'était pas seulement son caractère qu'il lui faisait peur mais avoir vu des litres de bouteilles d'alcool vides, sur la table lui faisait penser qu'il n'était pas dans son état normal et elle en avait peur. Il était encore plus violent.
Elle pleurait en entendant les coups s'accentua. Il était énervé.
-J-Je.....je n'ai pas envie... Prononça t-elle pour que la porte s'ouvre facilement.
Elle leva rapidement la tête pour le voir avec une clé à la main.
Bordel, depuis quand une clé existait pour la salle de bains.
Il eu ce même sourire au coin de la lèvre et il n'annonçait toujours rien de bon à ses yeux.
Elle secoua négativement la tête mais il s'avança pour la relever avec son haut.
-Qu'est ce que je t'avais dit putain !?
Elle baissa la tête pour qu'il la sorte avec force de la salle de bains.
Elle essayait de s'échapper mais il était beaucoup plus fort.
-S'il te plaît.... S'il te plaît laisse moi! Hurla t-elle mais il ne l'écoutait pas. Il la ramena alors dans leur chambre habituelle pour la jeter sur le lit.
Il posa la clé sur la table de chevet. Elle n'eut le temps de se retourner sur le dos qu'il était déjà à ses côtés. Très près d'elle.
-Tu m'as désobéi T/p. Disait-il en ayant un sourire moqueur.
Il lui prit alors les cheveux pour les tirer en arrière.
-N-Non.....non s'il te plaît....
Il se rapprocha d'elle pour regarder son cou et puis ses yeux.
Elle savait ce qu'il allait faire mais elle ne voulait pas, elle ne voulait plus que c'est lui qui le fasse.
Il prenait un plaisir fou et elle ne voulait pas qu'il a ceci. Par force.
-Pourquoi tu veux absolument une putain de punition. Je t'ai formellement interdit de rester aussi longtemps au toilette. Qu'est ce que tu faisais ? Hein!?
-J'ai.... j'ai mal.... arrête.
Il lâcha ses cheveux pour descendre sa main doucement en effleurant sa joue et le mettre sur le cou de celle ci.
Il pressa alors l'endroit, doucement mais avec puissance.
Elle ramena ses mains mais il les prit pour les mettre en haut de sa tête et qu'elle soit complètement à sa merci.
-J-Jungkook....... t-tu me fais mal..... Prononça t-elle en sanglots.
-Pourquoi vouloir prononcer mon prénom ? Demanda t-il pour appuyer encore plus en rapprochant sa tête.
Il posa ses lèvres délicatement sur son cou et sorti sa langue tout en effleurant le cou de celle ci.
Il lécha alors une petite partie du cou pour s'arrêter spontanément.
-T'en veux encore ? Demanda t-il.
Il posa son autre main sur la bouche de la jeune femme et se mettre en califourchon sur elle.
Elle n'arrivait plus à prononcer un mot, elle pouvait juste secouer la tête difficilement en pleurant.
-Je suis encore au plus bas T/p, si tu veux le point le plus fort ça sera ce soir. Disait-il en entendant la sonnerie de la maison sonner. -Fait chier putain.
Il pressa la bouche de celle ci pour la laisser et se relever.
Il la laissa alors dans la chambre, toute seule en pleure.
Même si elle savait que c'était une mauvaise idée, elle couru en dehors de la chambre pour descendre les escaliers et se diriger vers la porte d'entrée.
C'était le seul moyen de communication qu'elle avait avec quelqu'un à part lui.
La porte était déjà ouverte quand elle se mit à côté de celui qu'elle détestait.
Elle fit face à un policier. Son uniforme bleu avec son badge sur la poitrine. Il avait l'air jeune.
-Je vous ai dit que non, il n'y a pas eu d'agression ces derniers jours.
Il mentait.
Le policier regarda à travers l'espace qu'il restait. Il vit une femme, ayant un bleu au coin de l'oeil et à côté de sa bouche.
Le mari regarda alors où ses yeux se dirigeaient pour la voir.
-Q-Qu'est ce que tu fais ici? Demanda t-il sans énerver pour pas que le policier crame ses mensonges.
-Qui est-ce? Demanda le policier.
-Ma femme. Pourquoi ?
-Elle est en pleure, qu'est ce qu'il s'est passé ? Questionna t-il.
-Notre chien est mort récemment, elle n'arrive pas à faire le deuil de la bête. Bien si vous n'avez rien du tout à me dire, je préfère fermer la porte. Disait-il s'apprêtant à la fermer.
-Vous allez bien? Demanda t-il à la jeune femme en ayant arrêté la porte.
Elle regarda alors son mari pour se rapprocher en tremblant.
-Vous....êtes qui? Demanda t-elle.
Il sorti alors de la petite poche de son uniforme un badge avec un emblème.
-Park Jimin, policier recherchant les nombreux violences qui ne sont pas prises en compte dans les dossiers.
Elle laissa échapper un soupir pour se rapprocher de lui mais Jungkook lui tenait le bras.
Il la regarda. Elle savait que ce regard signifiait le pire si elle le disait.
-D'accord... O-Oui il n'y a rien ici, c'est mon chien qui est décédé... Mentait-elle en commençant à pleurer pour s'éloigner du policier.
-Bien je pense qu'il n'y a rien de spécial ici, je reviendrai si besoin pour vous dire si j'ai pu trouver une trace de ces affaires.
Il regarda alors la jeune femme pour que la porte se referme complètement.
Elle regarda alors l'homme qui se tenait devant lui. Il se rapprocha avec les sourcils froncés pour lever la main sur elle.
-Je...je n'ai rien dit...
-Bonne fille. Disait-il en lui caressant les cheveux. -Tu l'aurais dit, je t'aurai déjà démembré tes membres. Maintenant prépare moi à manger. Cracha t-il à sa figure pour s'éloigner.
Elle continua de pleurer silencieusement pour marcher vers la cuisine.
-Q-Qu'est...ce que je fais ici encore ?...... Se posait-elle la question pour se rapprocher du frigo et l'ouvrir.
Elle en sorti un steak haché pour le poser sur le comptoir.
Elle finit par essuyer ses larmes voyant que ça ne changera pas.
Il ne changera jamais, juste quand il le faut. C'est à dire quand quelqu'un frappe à la porte.
Ce n'est qu'un objet à ses yeux. Il peut l'utiliser pour se faire plaisir, la frapper quand il le veut.
Elle mit alors le steak à cuir sur une poêle pour sortir les pâtes d'hier et les réchauffer.
-J-Je veux partir.....je vais partir..
Elle mit le tout dans une assiette. La jeune femme prit une fourchette pour la poser sur l'assiette et sortir de la cuisine.
Elle se mit ensuite face à lui pour poser l'assiette.
Il la regarda sur son canapé en tissu et dirigea sa tête une fois de plus sur l'assiette en porcelaine. Il s'adosse sur le dos du canapé pour regarder la télé.
-Je n'ai plus faim, jette à la poubelle.
-J-Je...je pourrais en manger ? Demanda t-elle pour qu'il la dévisage.
-Non tu ne peux pas en manger, je n'ai pas envie que tu manges ! Hurla t-il.
-J-Je.....je n'ai pas manger depuis hier matin..... s'il te plaît....
-Je t'ai dit non bordel! Jette ce repas, j'en commanderai.
Elle prit l'assiette en fessant attention pour se diriger dans la cuisine.
Elle recommença à pleurer voyant qu'il ne prêtait aucune attention de sa part.
Même si il ne voulait pas, elle prit la fourchette en métal tout en regardant si il ne survenait pas. Elle la planta dans les pâtes sans faire de bruit pour le mettre dans sa bouche.
La nourriture était sacrée à ses yeux. Très sacrée. Il ne voulait même pas qu'elle mange. Le poids de cette femme n'était pas correcte, c'était très bas.
Elle prit alors le steak avec la fourchette pour en prendre un croc mais elle se fit interrompre une fois de plus par une voix.
Elle recracha sa bouché pour essuyer rapidement sa bouche avec sa main.
-J'ai.... j-je....
-Qu'est ce que je t'ai dit putain ! Cria t-il pour se rapprocher et lui prendre le bras.
Elle commença à trembler en sanglots devant ses yeux sans pitié. Elle inspirait et expirait profondément.
-J-Jungkook...... j'avais faim...... Pleura t-elle.
-Mais moi je t'ai dit de ne pas manger ! Hurla t-il pour prendre l'assiette et la jeter au mur.
L'assiette se brisa après être tombée par terre. Il y avait une trace de plat sur le mur.
-J-Jungkook.... s'il te plaît....laisse moi..... Hurla t-elle en sentant la force de l'homme sur son bras.
-Va dans cette putain de chambre ! Maintenant ! Cria t-il pour qu'elle essaye de s'accroupir mais il la prit pour la faire sortir de la cuisine.
Elle se fit trainer en tapant des pieds.
-Arrête de te débattre putain ! Grogna t-il pour que la sonnerie de la porte d'entrée sonne encore une fois. -Qu'est ce qu'ils ont ce soir bordel ! Raga t-il en avançant vers l'entrée tout en la ramenant avec lui.
-Laisse moi! Hurla t-elle en voyant les yeux de celui ci devenir sombre. Ça n'annonçait rien de bon.
-Ferme ta bouche avant que tu saches ce que je vais te faire bouffonne ! Cesse tes putain de pleure. Prévenait-il en ouvrant la porte d'entrée tout en la mettant derrière celle ci.
Devant le seuil de la porte se trouva le même policier, celui d'il y a trente minutes à peine.
-Qu'est ce que vous voulez encore ? Vous étiez ici, il y a peine trente minutes punaise.
-Je veux voir votre femme, Monsieur Jeon.
Son expression changea pour commencer à hésiter.
-P-Pourquoi donc?
-Il y a eu plusieurs échanges entre vos voisins et je peux vous dire que ce n'est pas pour parler de fleurs. Ils entendent des hurlements et je veux donc savoir si votre femme va bien.
-Vous l'avez vu toute à l'heure, elle va très bien. Comme je vous ai..
-Oui elle est peut être en deuil mais j'ai demandé à vos voisins si vous aviez un chien et ils m'ont avoués.....que vous n'en aviez jamais eu. Vous avez jamais sorti un chien de chez vous, il y avait aucun aboiements. C'est bien essayé Monsieur Jeon mais je ne tombe pas dans le piège de quelqu'un. Montrez moi votre femme.
Elle voulait intervenir. Sauf qu'elle ne pouvait pas, elle avait trop peur qu'il fasse quelque chose après que ce policier soit parti.
Elle décida de ne rien faire. Mais juste de laisser un signe, qu'elle est bel et bien en danger. Elle s'abaissa pour mettre sa main entre les deux jambes de son mari et faire un signe de la main.
Il ne remarqua pas tout de suite mais dès qu'il abaissa les yeux, il vit une petite main lui faire coucou pour former un coup de poing. Le pouce rentrait dans celle ci. Puis elle dégagea sa main.
Il s'apprêta à refermer mais le policier mit son pied avant qu'il la ferme.
-Monsieur Jeon ouvrez cette fichu porte! Il força la porte pour ne pas qu'il ne la ferme mais l'homme derrière était beaucoup plus fort. Il la referma d'un coup.
-J'ai besoin de renfort ! Equipe numéro six! Maintenant ! Rejoignez moi à l'adresse du premier suspect. Une femme se fait battre par son mari ! Hurla t-il dans son talkie walkie tout en tapant la porte en espérant qu'elle s'ouvre.
De l'autre côté le mari regarda sa femme en colère.
-Tu as fait quelque chose. C'est ça ?!
-N-Non.....non je n'ai rien fait..... Disait-elle mais ça ne servait à rien.
Il l'a prit par les cheveux pour la trainer au premier étage de la maison et la foutre dans la chambre principale.
Il lui mit une première claque. Puis une deuxième.
Elle pleurait une fois de plus. Ce moment elle l'avait déjà passé avant. Depuis maintenant deux ans il faisait la même chose. Il prenait un malin plaisir à la frapper.
-Si je dégage de cette putain de baraque je te jure que je te retrouverai bouffonne! Qu'est ce que t'as fait pour qu'il le découvre!? Hein!? Hurla t-il pour la jeter sur le lit.
Elle mit ses bras sur son visage tout en se mettant en boule tout en pleurant.
Elle ne voulait plus être ici. Elle voulait mourir pour ce qu'il lui faisait enduré mais elle voulait qu'il meurt aussi. Il fallait que tout les deux meurt.
Il la frappa violemment pour se mettre sur le lit tout en remontant ses manches.
Elle le regarda s'approcher vers elle.
-Putain, si je pars en tôle à cause de ta gueule, je te jure qu'à mon arrivée je te bute !
Il lui prit la mâchoire inférieure pour la diriger vers son visage.
-J-Jungkook.....laisse moi.... Supplia t-elle.
-Tu me dégoûte tellement, que j'ai envie de te péter la gueule !
Il lui prit alors le cou pour le serrer une fois de plus. Elle mit ses mains sur son bras musclés en essayant de l'enlever par peur de mourir par ses coups.
-J'ai tellement envie de te baiser aussi mais je n'ai plus le temps putain de merde! À cause d'un policier à problème ! Et si je te bute, je serais accusé de meurtre! Disait-il pour la lâcher en lui mettant une dernière claque et sortir rapidement de la salle.
Elle prit ses jambes à son cou pour le suivre et voir ce qu'il allait se passer.
Elle remarqua un liquide tiède coulant de son nez. La jeune femme le toucha et vit du sang. Elle s'en foutait, tout ce qui lui apportait c'était que ce connard se fasse arrêter. Elle avait mal, très mal aux bras, aux jambes. En fait, elle avait mal partout.
Il ouvrit la porte s'en attendre pour faire face à plusieurs policiers.
-Jeon Jungkook vous êtes en état d'arrestation pour violence conjugale, Tout mots est et sera retenue contre vous. Vous avez le droit à un avocat.
-J'ai capté putain. Je me rends. Disait-il les mains en l'air. Des policiers rentrèrent pour sortir des menottes. Ils dirigent alors les mains du suspect derrière son dos pour les mettre. Il se laissait faire. C'était même effrayant.
Il regardait alors T/p qui était sa femme, la seule femme qu'il avait pu avoir de sa vie.
-Je te retrouverai pétasse. Ne t'attends pas à vivre une vie de dingue ! Hurla t-il en ayant un sourire sur le visage.
Un des policiers lui baissa la tête pour le faire sortir de la maison.
Quelque chose de léger survenait en elle. Le voir entre les mains de personnes importantes. Elle était enfin sauvée.
Quelqu'un rentra alors dans la maison pour se rapprocher d'elle toujours sous le choc.
-Madame, vous allez bien ? Demanda t-il en ayant son arme à la main.
Il posa ses mains sur les épaules de celle ci pour la secouer.
-Il est enfin parti ?...... J-Jungkook....est enfin parti ?
-C-C'est grâce à vous. Vous avez été stratégique en montrant votre poing. Vous êtes entre de bonnes mains, ne vous inquiétez pas.
Deux autres policiers rentrèrent dans la maison pour se diriger vers celui ci.
-Il faut lui demander, si il avait une quelconque arme ou autre.
-Madame ? Madame vous allez bien?!
Il était vraiment partie pour de bon.
-J-Je, je peux aller au toilette s'il vous plaît.....
-O-Oui, revenez vite, on a quelques questions à vous posez.
Elle se retourna et commença à marcher vers les escaliers.
Mais elle attendait juste que ces policiers se retournent. Elle avait remarquée que le premier policier, du nom de Park Jimin avait laissé son arme sur une commande après lui avoir demandé si elle allait bien.
Elle marchait, sur la pointe des pieds pour prendre l'arme en les voyant retournés. Elle remonta en vitesse pour s'enfermer dans la salle de bains, une fois pour toute.
Elle regarda l'arme. Elle était beaucoup trop lourde pour elle. La jeune femme regarda alors son visage dans le reflet du miroir.
Puis elle regarda l'arme entre ses mains.
-Il est parti..... j-je ne sers plus à personne maintenant....
Elle le prit dans sa main habituelle et fit comme elle avait vue dans une série il y a fort longtemps. Elle remonte le chargeur pour que l'arme soit effectivement chargée.
Mais un bruit de porte ce fit entendre.
-Madame Jeon! Ouvrez ! Putain qu'est ce que que vous faite !? Hurla cette voix. La voix qui l'avait aidé.
-J'ai besoin de partir....
Il l'entendait. Il savait qu'elle avait prit son arme.
-Madame Jeon ne faite pas de conneries. Ce n'est pas le moment. Il a été arrêté. Vous n'avez plus rien à craindre. Lâchez cette arme!
-J-Je..... n'ai plus personne avec qui rester....il est parti.....je dois partir aussi.
-Non....ne faite pas cette putain de connerie.....je n'accepterai pas qu'une personne meurt alors que j'ai réussi à trouver ce suspect.
Elle mit l'arme sur sa tempe pour poser son doigt sur la gâchette.
-Madame Jeon.....arrêtez ceci. Arrêtez de penser à celà. Je ne veux pas que vous vous tuez...cessez ceci maintenant.
-J-Je ne sers plus à rien.... j'ai plus personne....
-Écoutez moi, j-j'ai aussi perdu quelqu'un dans ma vie, m-ma femme est décédée à cause d'une de ses maladies...mais je ne me suis pas tué. C'est compliqué....mais vous devez arrêtez ceci. Vous êtes importante aux yeux de tout le monde maintenant. Ça sera une erreur redoutable.
-J-jimin qui êtes vous réellement pour m'aider ?
-Je suis un citoyen comme tout le monde et je ne voudrais pas que quelqu'un soit mort dans une salle de bains alors que je suis juste derrière pour y assister. S'il vous plaît. Je vais vous aider, vous ne serez pas oubliée maintenant. Personne ne vous fera du mal.
-N-Non....vous allez juste me ramener dans un hôpital après vous êtes informé de qui il est vraiment.
-Madame Jeon, s'il vous plaît....je vais vous aider, j'en parlerai à personne vous serez accueilli chez moi, jusqu'à que vous allez bien. Ne faite pas cette bêtise...
Il entendu alors un coup de feu parvenir de cette salle de bains. Une vitre se brisa et l'arme tomba au sol.
-Madame Jeon !?! T/p?! Ne me dite pas ceci putain de merde! Hurla t-il derrière la porte en essayant d'enfoncer celle ci.
Il força, il n'arrivait pas tout seul. Comment pouvait-elle se tuer?
Il fit par l'ouvrir avec un de ses coéquipiers qui était venu avec une pince à décoffrer.
Il vit alors le miroir brisé puis son arme en question et la jeune femme bloqué entre les toilettes et la douche. Elle cachait ses oreilles. Cette femme était vivante.
Il se précipita pour se mettre à genoux et lui relever la tête.
-Madame Jeon..... regardez moi, v-vous allez bien ? S'inquiéta t-il.
Elle n'avait heureusement pas tirée sur elle mais sur le miroir.
-I-Il..... il m'a battu.... i-il me crachait dessus.....il m'a fait mal..... Paniqua t-elle les mains sur les oreilles.
Il releva sa tête pour apercevoir ses yeux en pleurs ainsi que les nombreux bleus et le sang coulait le long de son nez jusqu'à sa bouche.
-Ne vous inquiétez pas T/p, ce n'est rien.. c'est passé maintenant. Vous êtes entre de bonnes mains, relevez vous. Demanda t-il d'une délicatesse.
Elle n'avait jamais eu à faire à quelqu'un d'aussi gentil.
-Il ne va jamais revenir vers moi? Il va ressortir....et i-il va venir me tuer...
-Je serai là, il ne peut plus rien faire à présent. C'est mon métier.
Elle le prit dans ses bras pour lui faire un câlin. Il ne comprenait pas mais fit au retour pour ne pas la laisser sans doute.
-Personne...... personne n'a prêtait d'attention pour venir m'aider..........vous avez réussi......en même pas une heure...... Bégaie t-elle tout en pleurant.
-C'est mon métier Madame Jeon. Je suis content que vous n'avez pas pris la pire des décisions. Je suis bête d'avoir laissé mon arme à porté de main. Expliqua t-il pour se détacher et la regarder dans les yeux.
-I-Il....il ne va plus jamais revenir ? Demanda t-elle une fois de plus pour en être sûr.
-Je suis là maintenant. Ne prêtez plus d'attention pour lui. Je vous aidera. Disait-il pour se relever en tendant son bras.
-Vous voulez....vraiment ?
Il hocha la tête pour qu'elle pose sa main sur celle ci et qu'il la relève.
-Vous aurez juste besoin d'aller au commissariat pour dire ce qu'il vous a fait puis vous ferez votre vie.
-J-Je ne veux pas rester ici.....pas maintenant.... j'ai l'impression qu'il habite encore là...
-Vous viendrez séjourner chez moi quelques jours jusqu'à que vous vous sentez mieux. Souriait-il pour prendre sa main entre la sienne tout en s'abaissant pour attraper son arme. -Je ferais mieux de la ranger la prochaine fois.
Elle sourit face à cette remarque.
-Merci de m'avoir aidé....... J-Jimin....
-C'est mon trav......
-Merci de m'avoir aidé en voyant qu'une femme était en danger. Je n'ai jamais vue de personnes comme vous depuis longtemps....
C'était la première fois qu'elle parlait ouvertement à quelqu'un. Jamais elle avait eu envie de parler à une personne.
-Madame Jeon, ne vous inquiétez plus, c'est terminé tout ça. Il n'est plus ici, vous m'avez moi à sa place. Je suis beaucoup plus aimable.
Elle le regarda pour se faire traîner en dehors de la salle de bains.
C'était pour la première fois depuis deux ans que quelqu'un lui souriait, la première fois que quelqu'un l'avait aidé depuis plus de deux ans.
Elle espérait juste ne plus recroiser le regard de Jungkook. Celui qui l'avait battu pour son simple plaisir. Lui, le policier qui l'avait aidé en une heure était une personne de confiance, et qui faisait attention à son métier mais également aux victimes.
C'était son travail après tout.
Où juste parce qu'il ne voulait pas revoir le corps d'une personne décédé devant ses propres yeux.
꧁Fin꧂
C'est encore moi! Alors qu'est ce que vous en avez pensés ?
J'ai l'impression que cette histoire montre à quel point, certains policiers sont prêts à tout pour aider certains victimes et qu'il faut faire attention à la personne qui partagera votre futur vie.
J'espère que cette histoire vous aura plus!
4187 mots!
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