Cruella de Vil

Larry : 101 dalmatians au (Harry = Anita, Louis = Roger, Zayn = Cruella, Liam = Nanny et Niall = Herbert). 

Louis : 

Le son de mon réveil me sort du rêve fantastique dans lequel j'étais plongé. Je grogne dans mon oreiller, et tout mon corps tourne de l'autre côté pour profiter encore de quelques minutes de sommeil. Pongo, mon dalmatien âgé de 4 ans maintenant, me pousse de son museau. Je grogne encore une fois et il abandonne, préférant courir dans la cuisine pour allumé la bouilloire, récupéré le journal, et revenir me réveillé. Je me lève enfin, caresse le crâne de Pongo, et me dirige vers la salle de bain. Une fois prêt, je file dans la cuisine où je prends mon petit déjeuner après avoir donner quelques croquettes à mon chien. Il me ramène mes chaussures une fois qu'il a fini, et sa laisse aussi. Je souris tendrement à mon chien - aussi étrange que cella puisse paraître - et attrape mon sac et mon casque avant de fermer la porte de chez moi. 

Je suis un grand défenseur du vélo. Alors je me déplace qu'en vélo. C'est beaucoup plus pratique et en plus, Pongo écoute bien donc je n'ai pas vraiment de problème avec ça. Je roule jusqu'à ma destination, un bureau au nord de Londres où je dois faire tester mon jeu vidéo a un gosse nommé Niall. Ouais, c'est ça mon métier, je crée des jeux vidéos. Et ce garçon - Niall - va décider aujourd'hui si oui ou non, mon jeu mérite d'être produit. Je dois avouer que je stress un peu. J'attache mon vélo à un banc et laisse Pongo en lui ordonnant de ne pas bouger. Mon pauvre pépère, j'aime pas le laisser seul comme ça, mais j'ai pas vraiment le choix. 

J'entre dans le bâtiment et la secrétaire m'indique à quel étage suis-je attendu. Je lui souris en la remerciant et monte les marches deux à deux. J'entre dans le bureau et salut tout le monde poliment. Niall est à peine âgé de 10 ans je pense, il est blond et à les yeux bleus. Je lui souris nerveusement en mettant le CD dans le simulateur. Il se saisie de la manette et c'est parti. J'ai inventé ce jeu en l'honneur de Pongo, d'ailleurs, il en ai le principal personnage. Le jeu s'arrête et mon cœur aussi. 

- Alors? demande ai-je le cœur au bord des yeux 

- Le méchant ne fait pas assez peur, dans les jeux vidéos le méchant on doit avoir envie de le haïr, de le détruire. Là, on veut le battre mais c'est pas assez, déclare-t-il avant de partir.

- Vous l'avez entendu Louis, je suis désolé, dit mon patron avant de quitter le bureau, me laissant seul avec ma déception. 

Je sors du bureau et retourne chercher Pongo en m'excusant de l'avoir laisser aussi longtemps seul. Je me remets en route sur mon vélo, Pongo trottinant à mes côtes. Je pense à mon jeu, ce que je pourrais améliorer dedans, comment rendre le méchant plus détestable encore, et je ne prête pas un grand attention à ce qu'il se passe autour. Mais Pongo commence à accélérer, et je ne comprends pas pourquoi. Il ne m'écoute pas quand je lui demande d'arrêter et accélère toujours plus. Je ne contrôle plus mon vélo, et je lâche la laisse de mon chien avant de me conduire droit dans un banc. Je passe au dessus de mon vélo, au dessus du banc, et j'atterrit dans la marre. Fichu Pongo. 

Harry: 

Je dessine tranquillement à mon bureau quand Zayn entre dans la pièce. Zayn a cette chose qui fait que lorsqu'il rentre dans une pièce, il capte l'attention de tout le monde. Avec ses manteaux de fourrure, ses cheveux noirs souligné d'une mèche de cheveux blonde platine sur le devant et surtout, sa voix. Sa voix si aiguë et cristalline. 

Je détour les yeux de mon patron, et reprends mes croquis. Zayn adore les imprimés, et j'ai décidé d'essayer avec un motif dalmatiens. En hommage à ma chienne, Perdita, mon dalmatiens de 4 ans déjà. Elle est ma plus grand inspiration je crois. Zayn passe à côté de moi, soufflant au passage la fumée de sa cigarette. Il s'arrête net en voyant mes croquis. 

- Harry, dans mon bureau, avec tout ça, m'ordonne-t-il en pointant mes croquis du doigt

Je ne cherche pas à répliquer et le suis dans son bureau. Il m'indique de m'asseoir alors j'obéis. 

- Vos croquis je vous pris, me demande-t-il. Je lui donne alors. Il les examine de plus près. Un motif dalmatien, j'adore Harry. C'est original et frais, du jamais vu jusqu'ici. Est-ce que vous permettez que je le modifie un peu? 

- Hm oui, bien sûr, dis-je peu sûr de moi. 

- Voilà, là ça sera parfait, avoue-t-il après avoir ajouté une cape par dessus mon modèle. Une cape en fourrure de dalmatien, dit-il en riant sombrement. Dites-moi Harry, qu'est ce qui vous a inspiré? 

- Oh eh bien, j'ai un chien, Perdita, elle est une grande source d'inspiration et c'est un dalmatien, dis-je en souriant un peu gêné. 

- Et comment est son poil? Doux? Dur? 

- Plutôt soyeux mais assez dur je dois dire. 

- C'est dommage, dit-il en soupirant. Je paris que les poils des bébés sont doux et soyeux. Vous vous rendez compte Harry? On dirait que je vais porter votre chien sur les épaules, dit il accompagné d'un rire glauque. 

Je souris poliment mais je ne sais pas du tout où me mettre. J'attends qu'il m'ordonne de quitter son bureau, avant de remballer toute mes affaires et de rentrer chez moi. Il est complètement taré ce type. ça fait que quelques mois que je travaille pour lui, mais là, il m'a vraiment fait peur. Quel type est assez tordu pour vouloir de la fourrure faite à partir de bébés dalmatiens? Je crois que je vais démissionner de ce job. 

Je rentre chez moi pour retrouver Perdita, et Liam - mon merveilleux meilleur ami qui s'occupe de mon chien la journée et de la maison en général puisqu'il travaille depuis chez nous. Je sors du jus d'ananas du frigo pour m'en servir un vers quand il arrive dans la cuisine. 

- Dur journée? 

- Tu n'as pas idée, dis-je en soufflant. Je vais sortir Perdi, dis-je en m'emparant de la laisse de mon chien. 

Je prends mon vélo, je suis un servant défenseur du vélo, et me dirige vers le parc qui n'est pas très loin de chez moi. Je joue un peu avec Perdi avant qu'un autre dalmatien s'approche de nous en courant avant de ralentir pour s'arrêter devant moi. Il regarde Perdita, et tourne la tête sur le côté et elle fait de même. J'y crois pas. Même mon chien à une vie amoureuse plus palpitant que la mienne. Je m'approche du chien pour voir s'il a un collier ou quelque chose. Mais lui veut jouer alors je lui envoie le frisbee de Perdi, elle nous regardant un peu plus loin. Le chien revient une énième fois vers moi, frisbee en gueule, lorsque je vois un homme s'approcher de Perdita. Il lui parle mais je suis trop loin pour l'entendre. Il lui passe une laisse autour du cou mais... Pour qui il se prends, celui là? Je m'approche de lui rapidement en lui criant de lâcher le chien. 

- C'est le mien c'est bon, cri-t-il sans même se retourner vers moi. Comment ça c'est le sien? C'est ma Perdita. 

- Si vous ne lâchez pas ce chien, je vais vous frappez avec ce sac, le menace ai-je 

- Faite dont ça, dit-il en continuant de marcher. 

- J'en suis capable vous savez, dis-je en marchant derrière lui, le deuxième dalmatien derrière moi. 

- Ecoutez, j'ai eu une longue... dit-il en se retournant mais sans finir parce que je lui ai balancé mon sac à la figure. Mais vous êtes malade, râle-t-il. 

- Lâchez ce chien, c'est mon chien, pour qui vous vous prenez? 

- Quoi? Mais non c'est... il s'interromps quelques secondes et regarde derrière moi. Oh mon dieu, je suis désolé, me dit-il sincèrement. Pongo, viens ici, dit-il en s'approchant du deuxième dalmatien et lui mettant sa laisse. J'ai eu une longue journée, j'ai pas fait attention je suis désolé... 

- Harry, dis-je pour l'aider. 

- Je suis désolé Harry. Et y'a quoi dans votre sac, des pierres? 

- Oui j'aime bien en ramasser par ci par là, dis-je en me moquant de lui. Des livres. 

- Très drôle, dit-il en commençant à s'éloigner de moi. 

- Hé, je sais même pas votre prénom.  

- C'est Louis, dit-il en partant réellement. Il remonte sur son vélo, et je souris parce qu'il est complètement hs son vélo,mais il persiste. 

Louis. C'est super ça, mais ça va pas me servir si je le revois jamais. J'attache Perdita, et je prends la route sur mon vélo. Je pense à ce type, à Louis. Il était beau. Un caractère de cochon, mais beau, et ça se voit qu'au fond, c'est un gentil. Rien que la façon qu'il a de regarder son chien et... J'ai pas le temps de penser à autre chose que je suis entraîné par la force de Perdita. Elle cours à toute vitesse et je ne contrôle plus rien. Elle ne m'écoute pas malgré mes cris et mes protestations. Je m'aperçois alors quelle cours vers Louis et son chien - Pongo si j'ai bien compris. Je perds le peu de contrôle que j'avais encore et malgré la force avec laquelle je sers les freins eh bien, je finis dans la marre. J'entends un rire au loin, et je comprends que c'est Louis. Il me tends sa main et m'aide à sortir de l'eau. 

- Vous voulez venir à la maison? J'habite pas loin, je peux vous faire un thé, vous prêtez des vêtement secs? 

- Oui, merci, dis-je en claquant un peu des dents. 

Oui, j'habite à côté, et alors? 

Louis: 

Je laisse Harry entré en premier dans ma modeste maison. Je l'entends poussé un soupire de soulagement, sûrement parce que son corps gelé est entré en contact avec la chaleur de mon chez moi. Pongo amène déjà du bois dans la cheminé, et je m'empresse de l'allumer. Harry me regarde faire et je lui souris en m'approchant de lui. 

- Viens, la salle de bain est par là, prends une douche si tu veux, et attends, dis-je avant de sortir de la salle de bain pour aller lui chercher des affaires, j'ai rien à ta taille mais heureusement mon meilleur ami à laisser quelques trucs la dernière fois qu'il est venu ici, dis-je en lui tendant un jogging et un pull. 

- Merci mais tu peux aller à la douche avant moi, je peux... 

- Non, j'ai une autre petite salle de bain dans ma chambre, vas y, va te réchauffer. 

Il me souris et je sors de la salle de bain. Je file sous la douche moi aussi, rapide mais efficace. J'enfile un pull et un jogging avant de rejoindre ma cuisine pour nous faire du thé. Il fait presque nuit, et j'ai un garçon chez moi. Wow. Je m'autorise à penser à Harry quelques minutes. Il est beau. Et gentil, doux. Vraiment. Est-ce que je m'attendais à trouver un homme parfait dans ce parc? Non. Est-ce que j'ai rencontré un homme parfait? Oui. Harry débarque dans la cuisine et je lui dis d'aller au salon. Je place de tasse sur un plateau, des biscuits et l'eau bouillante avant de le rejoindre. Je pose le tout sur la table basse, avant de m'emparer d'une couverture et de lui mettre sur les épaules. Il rougit et je compte ça comme un signe de victoire. 

- Je ne savais pas quel thé tu aime donc j'ai simplement fait du thé à la menthe, dis-je en lui servant une tasse. 

- Merci beaucoup, Louis. Je crois qu'on a un problème, dit-il en me montrant les deux chiens sur le tapis, collé l'un à l'autre, Pongo le museau sur la tête de Perdita. 

- Ils sont amoureux, dis-je sans réfléchir. Tu ne crois pas au coup de foudre? 

- Depuis ce soir seulement, avoue-t-il en rougissant encore. On va devoir continuer a se voir pour ces deux là

- ça me dérange pas plus que ça 

- Moi non plus, je t'assure que moi non plus 

- Est-ce que tu veux m'épouser? 

- Pardon, 

- Du thé, me repris-je, est ce que tu désires encore du thé. 

- Pendant une seconde j'ai cru que tu m'avais fait ta demandes 

- ça aurait été si terrible que ça? 

- Non, pas vraiment, dit-il en se rapprochant de moi pour m'embrasser sous le regarde de nos deux chiens, enlacés par terre. 

Il a finis par rester la nuit. Il est resté la nuit suivante, puis celle d'après. Puis un mois, deux, puis un an. On est tombés amoureux grâce à nos chiens qui sont tombé amoureux. Et j'ai refais ma demande, et Harry m'a dis oui. Et on est heureux, on vit chez Harry - et Liam. Et ouais, j'ai jamais été aussi heureux de ma vie qu'avec Harry. 

Harry : 

Je suis à table avec Liam, on parle du mariage, et de tout et de rien. J'en reviens pas. On va se marier, moi et Louis. Louis travaille dur en ce moment, il vends quelques petits jeux par ci, par là. Et moi j'ai retrouvé un travail chez Jimmy Choo, et vraiment, je m'amuse plus que jamais dans mon travail. 

Perdita souffle une énième fois aujourd'hui, et je ne comprends pas ce qu'elle a. Cela dit, Liam a l'air tout excité. 

- Je connais ce sentiment Perdi 

- De quoi tu parles, Li? 

- Perdita! Tu ne l'as pas remarqué? 

- Remarqué quoi? 

- Ses soupirs, son regard dans le vide, sa faim grandissante, Pongo qui devient de plus en plus protecteurs! Elle attends sa première portée! 

Oh mon dieu. On va être parents! Enfin non mais quand même un peu. Des bébés dalmatiens. 

J'ai pas attendu une seconde quand Louis est rentré pour foncer vers lui et lui dire. 

- On va être parent ! dis-je en criant et en lui sautant dans les bras 

- Quoi? H je sais que tu... 

- Non, chut, dis-je en le coupant On va être parents dans une soixantaine de jours! Enfin pas nous, eux, dis-je en pointant Pongo et Perdita 

- Oh mon dieu, dit-il en m'embrassant fougueusement 

J'ai passé la soirée a essayer de convaincre Louis de tous les garder mais, peine perdu. Je sais qu'on ne roule pas sur l'or mais je peux pas enlever les petits de ma chienne à ma chienne. C'est impossible. Louis a dis qu'on verrait en temps et en heure. Mais je crois que peu importe ce que Louis dis, ils resteront là. 

Harry: 

Soixante jour plus tard, et me voilà a assister ma chienne dans son accouchement, accompagné de Liam. Louis et Pongo attendent dans l'autre pièce. Tout se passe bien, et 15 bébés dalmatiens font leur apparition. Je dis à Liam d'allez dire à Louis que tout s'est bien passé. 

Il sorts et j'entends Louis exploser de joie. Je souris encore plus quand il dis à Pongo 'félicitation mon grand, tu es papa!'. Liam revient à mes côtés mais mes yeux ne quittent pas Perdita. Elle lèche un de ses bébés en me regardant tristement. Je le prends dans mes mains et je me rends compte qu'il ne respire plus. Les yeux de Perdita sont triste et sa m'arrache des larmes. Liam le prends pour le ramener à Louis. 

Je l'entends dire désolé à Pongo, et je sais que lui aussi doit être au bord des larmes. Mais soudain il s'écrit que non, y'en a bien quinze: il a réanimer le petit dernier. Liam le repose avec Perdita et je vois de la reconnaissance dans ses yeux. J'ouvre à Louis pour lui dire de rentrer dans la pièce, ainsi que Pongo qui n'a qu'une seule envie c'est d'aller voir ses petits et sa femme. Je souris en voyant les deux se toucher du museau. Pongo se couche à côté d'elle et moi je prends la main de Louis. 15 bébés chiens. Wow, ça en fait du monde. Heureusement qu'on a Liam. 

Le lendemain, je ne sais pas comment il a su, mais Zayn a atterrit dans notre salon. 

-Harry chéri, tu nous manques au bureau, dit-il en allumant une cigarette. J'ai entendu dire que tu allais de marier, demande-t-il 

- Oui, avec Louis, qui est juste là, dis-je en pointant Louis du doigt 

- Enchanté Loïc 

- Louis, le corrige-t-il, vous pourriez ne pas fumer ici, s'il vous plait. 

- Luc, je voudrais parler à Harry si ça vous dérange pas

- C'est Louis, grogne Harry avant de s'installer à mes côtés 

- Peu importe, j'ai entendu dire que vous aviez eu une porté de dalmatiens, est-ce exacte ? 

- Oui, ils sont nées hier, dis-je excité 

- Très bien, je vous les prends tous! 

- Pardon? demande ai-je 

- Vous les vendez peut-être? Combien en voulez vous? 2 millions? 

- Ils ne sont pas a vendre, répond Louis furieusement 

- Pardon, Lucas? 

- J'ai dis qu'ils n'étaient pas à vendre, et c'est Louis. 

- Pensez aux 2 millions Léo, vraiment. Vous en avez besoin pour prendre soin d'Harry. Il vaut plus que ce que vous lui offrez. 

- Je m'appelle Louis, et je peux prendre soin de ma famille sans votre argent. Nos chiots ne sont pas à vendre, maintenant, sortez de chez moi. 

Je dois dire que j'ai jamais été aussi impressionné par Louis. Tenir tête à quelqu'un comme Zayn eh bien, faut en avoir le courage. Une fois Zayn parti, j'embrasse Louis tendrement en lui murmurant des tas de merci. Je suis presque sur que Pongo et Perdita aussi lui disent merci de loin. 

Louis: 

Décider des prénoms, ça n'a pas été facile. Mais avec l'aide de Liam et d'Harry, on y est arrivés. Liam a commandé des colliers, 15 de 15 couleurs différentes: Lucky - parce que c'est lui qu'on a sauvé, Pinceau - parce que le bout de sa queue est noir, Biscotte, Penny, Pepper, Patch, Rolly... 

On a été tranquille pendant deux mois. Et puis on est rentrés un soir, d'un rendez vous amoureux, moi et Harry, Perdita et Pongo. Liam n'était pas en vus et j'ai compris tout de suite quand j'ai vu Perdita se précipite vers son panier. Je m'approche doucement et ce que je craignais c'est produit, les chiots ne sont plus là.  

- C'est Zayn, murmure ai-je doucement en serrant Harry contre moi. 

On a prévenu la police, après qu'on est retrouvez Liam dans un placard. Mais on peut rien faire d'autre. Pongo et Perdita sont tellement triste. Perdi refuse de quitter son panier. ça me brise le cœur de pas pouvoir faire quelque chose d'autre. Harry m'empêche d'aller chez Zayn mais vraiment, j'ai envie d'y aller et de tous casser. Je sais que ça n'arrangera rien, mais quand même. J'entends Pongo aboyé la nuit et ça me brise encore plus le cœur. Ils nous donnent tout, les chiens, et nous, on ne leur rends rien. 


ça a duré une petite semaine avant qu'on retrouve nos chiots. Eux et 86 autres. On a réussi à reconnaître les notre grâce au collier mais un policier nous a dis que personne n'avait réclamer les autres chiots alors... Alors on les a gardés. On a 101 dalmatiens. Dans une énorme maison qu'on s'est acheté. 

Parce que j'ai enfin réussi à faire un méchant détestable et que mon jeu se vends super bien: Zayn. 

..............................................................................................

Bonsoir. Je me remets à écrire quelques os, j'en ai quelques uns prévu, que des Larry parce que j'ai besoin de Larry en ce moment, d'accord? :P 

Bon, c'est inspiré des 101 dalmatiens, j'espère que vous avez aimés! n'hésitez pas a commenter et voter !! 

Love, - Camille xx 

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top