Plus que de l'amitié (Alyanette)

Hey hey, avant de commencer, je voulais juste signaler si vous n'aviez pas déjà remarqué...

Trois de mes OS ont été supprimés (La voir en vie, La voir passer, et Mon ange Gardien)

Alors ils sont pas vraiment supprimés, ils ont juste été déplacés dans l'histoire intitulée "La voir" sur mon compte, parce que j'ai fait d'autres points de vue et que ça commençait à faire beaucoup.

Voilà, vous pouvez lire !


– Marinette ! Tu prends tout le plaid !

Je resserrais ma prise sur les bords de la couverture pour y rester accrochée alors qu'elle tirait dessus pour essayer de me la voler.

– Première arrivée, première servie !

Elle fit la moue à ma réponse, m'arrachant un léger rire, elle était vraiment adorable...

– J'étais en train de préparer le film, je te rappelle.

– Hm... Tu as raison... Mais pourquoi devrais-je te laisser la couverture ?

À ce moment, elle s'installa juste à côté de moi, écrasant le plaid au passage.

– Parce que tu m'aimes ?

Je sentis mes joues chauffer légèrement à sa phrase, et fis mine de réfléchir avant de lancer.

– Ok, ok ! Par contre vire de là, je vais pas pouvoir te le passer sinon.

Elle sourit d'un air victorieux avant de se lever pour que je puisse lui passer le plaid. Une fois qu'elle l'eut en main, elle le plaça sur elle avant d'en soulever un bord.

– Tu viens ? Je ne réitérerais pas mon offre.

Sans plus attendre, je pris place à ses côtés, sous le plaid et contre elle. Son bras était placé autour de ma taille et ma tête contre sa poitrine. Ce n'était pas inhabituel, mais... Depuis quelque temps, je ne pouvais m'empêcher d'être consciente de ce genre de proximité, des légers mouvements de ses doigts sur ma hanche, et des battements réguliers de son cœur.

J'avais très bien compris ce qu'il se passait. Ou ce qu'il s'était passé. Peu importe le temps utilisé, les faits étaient que j'étais tombée irrémédiablement amoureuse d'elle. Après avoir finalement réussi à oublier Adrien, il fallait que je me retrouve à nouveau dans un amour impossible...

Au moins, je pouvais parler convenablement à Alya, ce qui était un sacré avantage pour lui cacher ce que je ressentais. Et en soi, la relation que j'avais déjà avec elle me convenait... être la meilleure amie d'une fille aussi incroyable était déjà suffisant.

– Marinette ?

Sa voix me sortit de mes pensées.

– Oui ?

– Je te demandais si je pouvais lancer le film.

Je jetais un rapide regard vers la télé, pour me reconcentrer sur l'activité prévue : Regarder le film Violet Evergarden, éternité et la poupée de souvenirs automatique. En espérant ne pas pleurer autant qu'avec la série.

Alya appuya donc sur play et le film commença.

Évidemment, il ne fallut attendre que les deux tiers du film pour que je me mette à pleurer. Alya l'avait sûrement remarqué, puisqu'elle laissait courir ses doigts dans mes cheveux, comme pour me réconforter.

Je me laissais aller dans le contact, peinant un peu à garder les yeux ouverts, la fatigue prenant peu à peu le pas sur mon envie de suivre le film, mais je restais éveillée au moins jusqu'au générique de fin.

Alya ne bougea pas, alors que la musique tournait en fond. Je ne le fis pas non-plus, me contentant de rester installée contre elle.

– Mari ?

– Hm ?

Ma voix n'était pas sortie très fort, simplement là pour lui faire comprendre que j'écoutais.

– Tu veux qu'on aille se coucher ?

Je glissais mes bras autour de sa taille pour m'accrocher à elle en grognant.

– Je suis bien, là...

Je l'entendis rigoler face à mon comportement, sa main s'arrêtant de jouer dans mes cheveux pendant quelques instants.

– C'est vrai, mais qu'on ait pas installé les matelas pour rien, allez.

Je sentis ses bras passer juste derrière mes genoux, puis elle me souleva en se levant également, me forçant à la lâcher pour m'accrocher à son cou en lâchant un petit cri de surprise.

– C'est parti !

J'étais donc accrochée à elle, mon visage enflammé caché dans le creux de son cou, alors qu'elle avait décidé qu'elle me transporterait jusqu'aux sacs de couchages.

– Nous arrivons bientôt à destination, veuillez attacher vos ceintures.

Je rigolais en entendant sa bêtise, et elle me posa sur mon matelas, s'installant dans son sac de couchage, juste à côté de moi.

Je rentrais dans le mien aussi, avant de me tourner vers elle. Elle me regardait en souriant légèrement, comme elle le faisait si souvent, et l'obscurité ambiante, cachant le probable rouge de mes joues face à l'intensité de son regard, me rassurait.

Puis je sentis sa main glisser doucement sur ma joue, faisant passer une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille.

– A-Alya ?

Elle ne dit rien pendant un moment, se contentant de garder sa main là où elle l'avait posée, sentant sûrement la chaleur grandissante de ma peau.

– Mari... Est-ce que... Est-ce que c'est juste moi, ou... ?

Elle ne termina pas sa phrase, et je déglutis légèrement, mon regard accroché à ses lèvres, déjà si proches des miennes. Je me forçais à le remonter vers ses yeux en répondant d'une petite voix.

– O-Ou ?

Elle pinça les lèvres, l'air d'hésiter, puis souffla.

– Ou il y a plus que de l'amitié entre nous ?

Ses doigts posés sur ma joue descendirent peu à peu, passant dans le creux de mon cou pour finalement se déposer sur mon épaule. Je fermais les yeux au contact, ne sachant trop que répondre à ses paroles. Je ne savais pas comment formuler mes paroles, alors que j'avais la réponse au bout des lèvres.

Alors j'ai fait la première chose qui m'est passée par la tête, et je les ai posées sur les siennes, étouffant son léger soupir de surprise dans le même temps.

Je sentis une de ses mains agripper légèrement mon T-shirt au niveau de mon épaule, tandis que la deuxième passait dans mes cheveux.

Je me reculais bien assez vite, pour pouvoir voir son expression, même dans la pénombre. J'entendais sa respiration légèrement plus forte s'échapper de ses lèvres entrouvertes, alors que son regard était planté dans le mien.

Elle sourit alors, et, sans un mot de plus, elle se pencha légèrement pour que nos lèvres se rejoignent à nouveau dans une réponse silencieuse.

Oui, il y a plus que de l'amitié.


Awwww

C'était mignon, pas vrai ?


Oui, je sais, il est deux heures du matin (d'ailleurs si vous voyez des fautes de frappe, c'est sûrement pour ça), mais j'ai été pris d'une soudaine envie d'écrire du Alyanette mignon (sans mort ni quoi que ce soit d'autre, vous avez vu) à une heure du matin.

Donc voilà.

Alyanette mignon !


Qu'est-ce que vous en avez pensé ?


Oh ! D'ailleurs, rien à voir. J'ai eu une discussion avec quelqu'un qui m'a fait me poser une question...

Comment est-ce que vous m'imaginez ?

De ce que vous voyez de moi en tant qu'auteur, quand je réponds aux commentaires et tout...

Vous m'imaginez comment (au niveau du caractère, du taux de sociabilité, et tout et tout)

Ca m'intéresse de savoir.


J'avais prévenu que ça n'avait rien à voir !


*part se mettre en veille (les immortels ne dorment jamais)*


- 1 mai 2021 (Ou 2 mai selon le pdv)

(youhou on est en mai !)

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