Plan's (Spécial Saint-Val 2022)
Alya et Nino discutaient tranquillement dans la chambre de l'apprentie journaliste quand le garçon se retrouva d'un bond sur ses pieds.
« J'ai une idée pour demain !
— Pardon ?
— Demain c'est le quatorze.
— Je sais, merci, s'exclama sa petite amie en roulant les yeux, mais comment ça, tu as une idée ?
— Bon, nous, on va sortir tranquille. Mais pour les autres...
— Qu'est-ce que tu nous mijotes, murmura-t-elle en croisant son regard surexcité.
— Date à l'aveugle !
— Mais t'es... Ils seront jamais d'accord !
— Si on embarque Ivan et Mylène...
— Pas faux... Quand tu veux, t'es vraiment un génie !
— Merci, mais c'est pas du génie, juste de la curiosité... »
Alya répondit d'un immense sourire à la remarque de son petit ami, lui vola un baiser léger puis sortît son téléphone, son sourire de comploteuse au visage, et écrivit un message sur le groupe qui réunissait tous les troisièmes du collège, décrétant que Nino avait eu une idée de génie, et qu'ensemble ils allaient organiser des rendez-vous secrets, sur base d'énigmes, par curiosité et envie de tester leur camarade.
Les réactions furent variées, mais globalement enthousiastes. Au départ, Lila refusait de participer, mais Chloé lui avait demandé avec des petits smileys suppliants, et la Franco-Italienne avait cédé.
Adrien, en message privé, avait demandé à ce que Luka, Kagami et Félix, le cousin qui passait le week-end à Paris, soient inclus, et Alya et Nino le lui avait accordé. Vu ce qu'ils lui préparaient pour le lendemain, ils avaient estimé pouvoir lui laisser faire ça.
La planification de la journée occupa le DJ et la journaliste tout le reste de l'après-midi. Il fallait trouver les lieux où ils enverraient leurs camarades trouver leur partenaire surprise, écrire les énigmes qui permettraient de deviner où se rendre, et former les couples.
Ce dernier point leur avait posé question. Si certains duos étaient évidents, comme Adrien et Marinette, Rose et Juleka, Marc et Nathaniel, Kim et Alix, d'autres étaient ouverts aux conjectures.
Chloé, en message privé, leur avait demandé de mettre Max avec Sabrina, et comme ils n'avaient pas d'autres idées, ils s'y étaient rangés.
Et surtout, ils ne voulaient pas faire de bêtises... Sauf que, ne connaissant pas toutes les orientations, ils avaient hésité longuement. Heureusement, Zoé avait deviné l'écueil et avait encouragé tous les participants à préciser aux organisateurs leur préférence.
Munis des informations ainsi recueillies, Nino et Alya avaient créé des duos et des énigmes menant à des lieux symboliques. En se séparant, ils savaient que l'impatience chasserait le sommeil, et on lisait l'excitation devant leur plan sur leurs visages.
************
Le lendemain, treize heures.
Marinette, la gorge nouée, attendait le message-énigme que devait lui envoyer Alya. Si elle se doutait qu'elle serait mise en duo avec Adrien, elle s'inquiétait du reste de l'après-midi. Passer la Saint-Valentin avec lui serait prodigieusement déstabilisant. Et elle était presque sûre qu'elle n'arriverait pas à... Faire ce qu'elle devait faire.
Soudain, son téléphone vibra.
Sous l'eau dedans et dehors, l'histoire des débuts réécrite devant moi.
Les yeux de la jeune fille s'écarquillèrent. Ils n'auraient pas pu faire moins clair, vraiment. Cette énigme n'avait pas beaucoup de sens.
Enfin, elle devait trouver un endroit où il y avait de l'eau, ça c'était sûr. Et... Avec des murs. Puisqu'il y avait une distinction d'intérieur et d'extérieur...
Une piscine, peut-être ? Mais il y en avait tellement dans la ville ! Autant chercher une aiguille dans une botte de foin !
Réfléchissant à la deuxième partie de l'énigme, Marinette sursauta lorsque l'idée lui traversa l'esprit. La piscine où elle avait essayé de recréer un moment entre Kagami et Adrien ! Alya avait un étrange sens de l'humour, mais pourquoi pas, après tout.
Aussitôt, elle saisît sa sacoche et descendit en courant, saluant ses parents en coup de vent, filant vers le lieu de rendez-vous, des ailes aux talons, poussée par l'excitation. Elle entendit Tikki se moquer discrètement de son empressement, mais ne répondit pas à la pique.
Arrivant devant la piscine, Marinette aperçut Adrien, qui semblait attendre. En le voyant, elle freina brutalement, s'emmêla les pieds, et s'écroula pitoyablement par terre.
Le garçon plaqua la main devant sa bouche, étouffant à la fois un rire nerveux et un cri d'inquiétude, puis se précipita pour l'aider. La bleutée avait vraiment un don pour les chutes spectaculaires.
Alors qu'elle se redressait, s'appuyant sur sa main tendue, il lui sourît doucement.
« Bonjour Marinette. Ça va ? Tu ne t'es pas fait mal ?
— Non, ça va. J'ai l'habitude à force...
— C'est vrai que tu tombes souvent... Tu sais pourquoi ?
— Non. Je suis la reine des maladroites, c'est tout. Et toi, ça va ?
— Oui, merci. Je me demandais qui allait être ma partenaire et j'avoue que... Je suis content que ce toi, vraiment !
— Ah, ah oui, demanda Marinette en rougissant, pourquoi ?
— Je voulais être ton partenaire... Cette nuit, j'ai beaucoup pensé à ce qu'ils allaient faire, et l'idée que tu puisses être avec quelqu'un d'autre aujourd'hui... Ça m'empêchait de dormir. J'aurais été jaloux, je crois, répondit-il avec un sourire en coin.
— Tu... Jaloux ? Pais mourquoi, euh, pourquoi ?
— Parce que tu es une fille merveilleuse, Marinette, parce que tu es bien plus qu'une amie pour moi, mais je n'aurais jamais osé l'admettre sans l'idée d'Alya et Nino, je... J'ai peur que tu ne veuilles plus être mon amie si je dis... Et ton amitié, c'est ce qui est le plus précieux pour moi, j'ai tellement peur de la perdre... »
Adrien regardait sa camarade droit dans les yeux, son regard exprimait tout le bonheur d'être avec elle, toute la peur de la perdre, toute l'importance qu'il lui donnait. Les émotions qui se succédaient dans son regard reflétaient une sincérité que Marinette n'avait jamais vue, et elle savait que son propre regard offrait toute une palette d'inquiétude, de bonheur, d'impatience, de questionnement et d'attention.
« Mais aujourd'hui, déclara le garçon en prenant tendrement les mains de son amie, aujourd'hui, c'est le jour des amoureux, et reconnaître ses vrais sentiments fait partie du jeu. Alors, je te le dis, Marinette, j'ose. Je t'aime. Je suis amoureux de toi. Et j'ai peur, peur que tu me rejettes, peur que tu m'en veuilles, que...
— Oh, idiot, murmura Marinette en prenant Adrien contre elle, le serrant dans ses bras et s'accrochant à lui, les larmes de bonheur coulant sur son visage, idiot, comment pourrais-je t'en vouloir ? T'en vouloir de m'aimer, alors que ça va faire deux ans que je n'attends que ça ? Je t'aime, Adrien, à la folie, et je suis tellement, tellement, tellement heureuse... »
Le garçon sentit son cœur s'enflammer et presque imploser de soulagement et de bonheur, rendant son étreinte à la jeune fille avec une tendresse extraordinaire. Enfin ensemble, enfin réunis, ils laissaient le bonheur les entourer et les noyer doucement comme une magnifique pluie.
Au bout d'un temps infini, ils se séparèrent, mais leurs cœurs se retrouvèrent aussitôt, leurs lèvres s'unissant dans un merveilleux serment d'éternité.
************
Alix fronça les sourcils. Elle venait de recevoir le message d'énigme, et elle n'était pas sûre de comprendre.
Histoire du temps, chef aujourd'hui, je conserve ses traces.
Le « chef » désignait probablement l'humanité... Et elle devait trouver un musée, au vu de l'indication de conservation.
C'était pas du tout comme s'il y en avait des dizaines dans la capitale...
Fixant le message, Alix commença à énumérer les différents musées qu'elle connaissait, cherchant lequel pourrait correspondre.
Soudain, elle bondit sur ses pieds. Une idée venait de lui traverser l'esprit.
« Le musée de l'Homme ! Mais bien sûr ! C'est forcément ça ! »
Elle fila dans l'entrée de l'appartement, enfila ses rollers, son casque, puis fila vers le Trocadéro comme une flèche.
En arrivant, elle s'arrêta dans un dérapage qui envoya valser des graviers dans tous les sens.
La jeune fille regarda autour d'elle, cherchant le camarade qu'Alya et Nino lui avait attribué. Elle se doutait d'avec qui elle allait être mise, et elle redoutait et espérait avoir raison.
Quand elle aperçut Kim, elle sourît. Elle avait eu raison.
Elle se dirigea vers le jeune homme, d'un pas distrait, et lui tapota l'épaule, ou plutôt le haut du bras vu leur différence de taille, signalant sa présence.
« Hey, Alix ! Ça va, s'exclama-t-il en se tournant vers elle.
— Yep, et toi ?
— Ça va. J'étais presque sûr d'être mis avec toi, j'entends presque Nino et Alya parier sur le déroulement de la journée !
— Ouais, j'les vois bien faire ça ! Et à ton avis, comment ça va se passer ?
— Faut voir, répondit-il en penchant la tête sur le côté, tu es de quelle humeur ?
— Compétitive et taquine !
— Action ou vérité ?
— Action, bien sûr !
— Deux tours du parcours, et tu reviens en moins de sept minutes. »
Alix sourît, tapa le poing dans la main tendue de Kim et s'élança.
Six minutes plus tard, elle avait terminé son défi, et était légèrement essoufflée. L'esplanade du Trocadéro était longue, et leur parcours en faisait tout le tour, passant presque sur chaque allée, et le temps que son camarade lui avait donné l'avait obligée à se dépasser, il avait visé exprès son record.
Après une minute à reprendre son souffle, elle lâcha :
« À toi. Action ou vérité ?
— Vérité.
— Pourquoi étais-tu tellement content de me voir ?
— Parce que j'étais content d'être avec toi pour aujourd'hui. Parce que tu sais bien que tu es bien plus qu'une amie pour moi. Et je n'aurais pas voulu te savoir avec un autre...
— Qui ne me comprenne pas autant. C'est vrai que tu es la personne la plus proche de moi... Bon, c'est mon tour ?
— Effectivement. Action ou vérité ?
— Vérité, j'ai encore besoin de reconstituer, tu m'as vraiment obligée à me défoncer.
— Désolé. Est-ce que ce dont tu ne veux pas parler... Est-ce que c'est désespéré ?
— Non, souffla-t-elle à mi-voix, et c'est pour ça que je ne veux pas en parler.
— Vraiment ?!
— Oui. J'ai peur que... J'ai peur de ne pas savoir gérer. J'ai peur de ne plus savoir être normale, continuer de jouer avec toi comme des enfants, peur de perdre notre amitié, peur de ne pas savoir le reconnaître...
» C'est beaucoup trop loin d'être désespéré, et j'ai peur.
— On ne cessera jamais d'être les deux amis qui se disputent pour s'amuser, et se réconcilient d'un regard secret. Ne t'inquiètes pas pour ça, Alix, ça ne changera jamais, on a toujours été comme ça, avant même de connaître nos noms. Même si les autres ne le savent pas et ne le croiront jamais, nous sommes les meilleurs amis du monde, et quoi qu'il nous arrive, ça ne changera jamais.
— Est-ce que tu pourrais être... Plus, que le tout que tu représentes déjà ?
— À toi de choisir, Alix. Mais tu sais que j'y suis prêt.
— Alors... Kim... Je crois que je t'aime... Est-ce que tu acceptes de... Devenir mon amour ?
— Bien sûr, Alix, je t'aime, et je serai ravi de tenter cette aventure avec toi. Je... Je peux t'embrasser ? »
Alix hocha la tête, l'inquiétude et l'impatience se mêlant dans son regard.
Kim se pencha vers elle avec douceur, et unît leurs lèvres tendrement. Déclenchant dans leurs cœurs un torrent de sensations, de souvenirs, de bonheur, d'espoir, d'envie, d'impatience, d'émerveillement.
Quand ils se séparèrent, au bout d'infinies secondes, leurs regards pétillaient de bonheur et d'excitation.
« Kim... Cette fois, j'en suis sûre, je t'aime. Et je n'ai plus peur. Je sais qu'on va y arriver. »
Il sourît simplement et la serra dans ses bras doucement, partageant sa certitude.
************
Rose souriait d'impatience. Elle savait avec qui Alya et Nino allait la mettre, et elle avait hâte d'y être.
Lorsque son téléphone vibra, elle déchiffra l'énigme et sourît, remerciant Alya.
Au cœur de Paris, sous les arbres, à l'ombre du roi tu retrouveras ton cœur.
La désignation de la place des Vosges, au centre de laquelle trônait une statue équestre de Louis XIII lui paraissait évidente. Elle quitta aussitôt son immeuble, et courût jusqu'au point de rendez-vous.
En apercevant Juleka, adossée au socle de la statue, la blonde sourît et accéléra le pas, ne pas faire attendre sa partenaire.
En l'entendant arriver, la brune se tourna vers elle et l'accueillît en la réceptionnant directement dans ses bras, la serrant tendrement dans ses bras.
« Salut, Ju', ça va ?
— Très bien, maintenant que tu es là ! J'avoue que j'ai un peu angoissé...
— Pourquoi ? Tu sais bien que même si nous ne leur avons pas dit... Ils sont presque tous sûrs que nous sommes amoureuses l'une de l'autre !
— C'est vrai, mais je ne sais pas, je me suis inquiétée. Pour rien, bien sûr. C'est juste... Je t'aime tellement, Rose, je ne peux pas imaginer passer cette journée sans toi, mais on avait accepté de jouer le jeu, et j'ai eu peur, répondît-elle en serrant la plus petite dans ses bras.
— Je comprends, sourît Rose en rendent l'étreinte, moi aussi je t'aime Ju', tu sais bien à quel point.
» Dis, ajouta-t-elle après un instant à se perdre dans le regard de son interlocutrice, tu accepterais que je t'embrasse ? Tu n'as jamais voulu... Mais la date s'y prête, non ?
— Tu... Tu as raison... C'est vrai que je n'ai jamais voulu, parce que le premier baiser, ça sonne comme quelque chose de conte de fée, mais après tout... On a le droit d'avoir notre conte de fée aussi... »
Rose laissa un sourire éclatant illuminer son visage. Tandis que Juleka se baissait vers elle, elle se dressa sur la pointe des pieds.
Lorsque leurs lèvres se touchèrent, un feu d'artifice éclata dans leurs cœurs, le bonheur éteignît toute réflexion, la joie de l'unité brillait simplement autour d'elles, elles vivaient et s'harmonisaient naturellement.
************
Marc sourît en recevant le message d'énigme qu'Alya lui envoyait. Toute la nuit, il avait réfléchi à la journée, à l'après-midi surprise, même s'il savait avec une quasi-certitude avec qui il allait être mis... C'était trop évident, pour tout le monde. Et il avait peur et hâte de croiser le regard de Nathaniel en ce jour particulier.
Au pied des grands Hommes, au coin des livres, grimpe vers le ciel pour trouver l'amour...
L'écrivain savait que l'apprentie journaliste lui désignait la place du Panthéon, et probablement l'angle avec la rue Valette, marqué par la bibliothèque Sainte-Geneviève. Et au sommet de la « montagne » du même nom.
Aussitôt, il saisît son manteau, vérifia qu'il avait son Navigo et fila prendre les deux bus qui devaient le mener au point de rendez-vous.
Une demi-heure plus tard, il arrivait devant l'imposant bâtiment, et se faufilait vers la ruelle. Il sourît en apercevant la chevelure rousse de son camarade, et fila vers lui.
« Hey, salut Marc ! Ça va ?
— Oui, et toi ?
— Je vais bien. Je t'attendais. Je me disais... Je me disais qu'Alya et Nino devaient avoir deviné à quel point je tiens à toi...
— Et à quel point, moi, je suis lié à toi, souffla Marc en croisant les prunelles bleus de celui qu'il aimait.
— Est-ce que tu sais ce que je veux dire, murmura Nath, fixant les yeux verts de son interlocuteur à s'y perdre, comme si ils étaient la seule source de lumière de la rue étroite, est-ce que tu sais comme je te considère ?
— Je crois... Je crois que je sais... »
Noyés dans les yeux l'un de l'autre, leurs cœurs battant bien plus vite que la normale, le monde autour d'eux avait disparu, ne laissant que leur doute et leur certitude réciproque, doute de l'autre mais certitude de leurs sentiments, qui se croisaient dans cette petite rue isolée.
Dans un seul souffle, les deux garçons se murmurèrent de fermer les yeux, d'un même mouvement ils se rapprochèrent l'un de l'autre, leurs lèvres se trouvèrent silencieusement, et la pression de bonheur qu'ils partageaient vînt détruire toutes les craintes, tous les doutes, laissant seulement une certitude briller comme une étoile dans la douceur de l'après-midi.
Ils s'aimaient et c'était magnifique.
Ils s'aimaient et rien ne pourrait les en empêcher.
Ils s'aimaient, et tout était parfait et simplifié.
************
Le soir.
Accoudés l'un contre l'autre sur le balcon de l'apprentie journaliste, le regard perdu dans la nuit vers la beauté des étoiles, profitant d'une solitude offerte par le départ des parents et le sommeil des petites, Alya et Nino profitaient des derniers instants entre eux.
Ils avaient passé une merveilleuse après-midi, entre confidences, baisers volés, jeux, douceurs, partage simple. Le tout rythmé par les messages de remerciements de leurs amis, Adrien et Marinette qui les remerciaient de les avoir sortis de l'impasse, Lila et Félix qui les louaient presque de leur avoir offert un après-midi entier ensemble, Luka et Kagami heureux d'avoir enfin réussi à retrouver une stabilité de sentiments dans des cœurs bouleversés et troublés depuis trop longtemps, Rose et Juleka qui leur attribuaient leur premier baiser, Marc et Nathaniel qui, d'un commun aveu, n'auraient jamais osé se déclarer sans le jeu, Kim et Alix qui remerciaient de les avoir confrontés à une vérité refusée...
En bref, l'après-midi s'était déroulée comme prévu pour chaque duo, et tout le monde était heureux.
« Merci d'avoir accepté d'être avec moi dans cette aventure, Miss Renarde.
— Merci à toi de veiller sur mes idées, Mr. Tortue. Je t'aime...
— Moi aussi je t'aime... »
Sous le regard tendre de la lune et des étoiles, les deux enfants Cupidons de la ville des amoureux se retrouvèrent et laissèrent leurs lèvres s'unir à nouveau, une dernière fois, leur promettant la joie pleine toujours.
************
2934 Mots.
Et j'ai réussi à faire de l'Alyno, vous avez vu ça ???!!!!
*fierté*
Nan, ça fait pas un an et demi (presque) que je veux en faire, du tout... En fait, si.
Je suis ULTRA contente d'avoir réussi.
Et d'avoir réussi à écrire un joli truc tout fluffy Saint-Val alos que c'est pas mon mood des derniers OS (cf le recueil sur les enfances...)
Je suis contente d'avoir réussi mon deuxième ship préféré (il est confirmé à l'écran les gars !!!! J'en reviens pas depuis hier !!!), tout en ayant marqué qu'elles sont en couple avant !
J'adore la partie Marcaniel, et en bonne Parisienne, ça m'a pris deux minutes de vérification Google Earth (mmm... Je randonne un peu trop dans ce coin-là, même mon quartier j'ai besoin de plus...)
Bref, j'adore, j'ai adoré l'écrire...
Et vous ? Ca vous a plus ? Vous avez aimé ? Dites-moi tout !
Bises
Jeanne.
(14/02/2022, 20h11, oui il est un peu tard..)
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top