Grandir
Bonjour !
Petite note d'intro. Ceci est un défi de Sacha-Blanc sur un ship que je ne ship pas d'ordinaire, mais faire des expérimentations, c'est fun.
Secondement, y a Marc, donc comme d'habitude avec lui, évocation d'auto-mutilation. Vraiment super léger, mais c'est évoqué donc. Je préviens.
Bonne lecture, la playlist est en comm
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Félix fixait le plafond, allongée sur son lit, essayant de chasser les images qui se répétaient en boucle sur sa rétine, les douleurs qui battaient en permanence sur sa broche.
Les combats, infernaux, longs, épuisants, difficiles et énigmatiques malgré leur supériorité numérique, s'enchaînant sans pause depuis septembre.
L'épuisement, la peur et la culpabilité de Marinette, ses confidences, ses plongeons dans la difficulté, son refus de l'aide, la manière dont elle se renfermait sur elle-même et éloignait même Adrien, les tensions qui s'élevaient entre les deux héros.
Les angoisses partagées sur le nouveau système scolaire qui noyaient le Londonien lorsqu'il marchait dans les couloirs.
Les hésitations, les difficultés, les communications à bâtons rompus entre couples qui ne pouvaient se révéler leurs identités et se retrouvaient à inventer des excuses.
Un soupir, il se releva. Fixer le plafond n'aidait pas. Les pensées étaient bloquées.
Il savait qu'il s'améliorerait, qu'il irait mieux, sans cette anxiété, un jour, mais... Il s'en sentait encore si loin... chaque problème, chaque inquiétude devenait sienne par le biais de la broche brûlante sur sa poitrine.
Et il ne dormait pas.
« Duusu, transforme-moi. »
Une seconde après, Argos était sur le toit, son téléphone à la main. Il voulait appeler Kagami, mais il était une heure du matin, il ne voulait pas la réveiller...
Et puis... Les éclats de la veille résonnaient dans sa tête, il avait vu Marinette fondre en larmes, s'excuser auprès d'Adrien, essayer de tenir debout, il avait entendu son cousin soupirer, il l'avait vu la prendre dans ses bras, lui murmurer qu'il l'aimait mais qu'il ne pouvait pas continuer comme ça, il ne pouvait pas la voir plonger si bas, il voulait la suivre mais il se sentait imploser sous la pression, et il avait peur. Le Londonien se rappelait des larmes, du murmure interrogatif de la bleutée, « amis ? », la manière dont son petit ami avait hoché la tête, « amis. »
Puis les deux s'étaient séparés, et Félix avait senti leurs larmes et leurs doutes toute la journée, jusqu'à ce que Marinette vienne tout lui raconter, fonde en larmes de nouveau, qu'il sourie calmement et lui dise qu'ils allaient survivre, s'en remettre. Ces deux-là ne pouvaient pas ne pas finir ensemble de toute façon, il devait bien y avoir une version de leur carré à deux côtés où ça marcherait.
Il lui avait promis que ça irait. Elle lui avait demandé comment ça allait avec Kagami. Il avait répondu innocemment que ça allait bien. Parce qu'il ne pouvait pas admettre, même à lui-même, à quel point la période était difficile. Il essayait, encore, toujours, pour elle il aurait rebâti le monde, mais elle avait peur, ne se sentait pas en sécurité, les attaques l'inquiétait, la présence de sa mère, ancienne alliée de Monarque, la terrifiait, et, même si elle n'osait le dire... Elle n'avait pas assez confiance en elle pour voir Marinette se confier à Félix sans frémir de peur de le perdre. Et tout cela créait un cocktail explosif qui les menaçait, leur faisait avoir des éclats qui laissaient des marques au plus profond.
Ils n'allaient pas bien.
Alors Argos resta perché sur son toit, le regard dans le vide, il ne pouvait pas réveiller Kagami, il ne pouvait pas appeler Marinette, il ne connaissait pas les autres. Il ne pouvait pas réveiller quiconque, il restait juste là, à sentir sa vie filer entre ses doigts.
Ses doigts composèrent un numéro presque malgré lui, et l'appel reçu une réponse immédiate.
« Félix ? Tu devrais dormir...
— Je vous retourne le conseil, Nathalie.
— Que se passe-t-il, soupira l'adulte dans le combiné.
— Je n'arrive pas à dormir.
— Félix...
— Je crois qu'Adrien et Marinette ont rompu. Et... ça me perturbe.
— C'est leur gestion des problèmes. Marinette veut toujours tout régler seule, et Adrien veut toujours aider. Ça se réglera. Probablement en Ladynoir. Ne t'inquiète pas.
— Merci... J'ai peur, aussi... de...
— Tu t'es disputé avec Kagami ?
— C'est difficile. Je... Je l'aime, vraiment, mais je ne sais pas comment... comment la rassurer. Elle a... Marinette vient souvent se confier à moi, et Kagami a peur, elle... Et maintenant qu'ils ont rompus, ça va être pire pour elle, mais je ne sais pas... Je n'arrive pas à la rassurer, et on va au mur, je le sais, mais je ne veux pas... Je sais qu'on ne tiendra pas, et j'ai peur... Je... Je veux juste essayer de... d'empêcher ça ?
— Félix. Vous vous retrouverez.
— Et si ça n'arrive pas ?
— Vous aurez appris des choses sur vous, sur la manière dont vous gérez une relation, sur ce qu'est l'amour pour vous, et qui vous êtes. Ce que vous pouvez changer ou pas. Et c'est énorme. Oui, il y aura de la douleur, je ne peux pas mentir là-dessus, mais ça ne durera pas éternellement.
— Comment... comment vous savez tout ça ?
— Je suis tombée amoureuse deux fois, Félix, deux fois ça a mal fini. J'ai appris. Tu devrais lui parler.
— Elle dort, je pense.
— Je ne crois pas. Vous fonctionnez pareil. Appelle-la. Si elle dort, ça ne la réveillera pas. Si elle ne dort pas... vous pourrez discuter.
— Merci... »
Nathalie raccrocha, et Félix resta sur le toit, regardant le lointain, les lumières éclairant la rue, les quelques étoiles discernables, la lune si fine, semblant sur le point de disparaître.
Il aurait pu rester là des heures, des jours même. Mais la douleur persistante au creux de son cœur lui demandait de faire quelque chose.
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Trois semaines plus tard, huit novembre.
Assis sous les escaliers, Marc essayait d'oublier. Il avait l'impression d'être retombé en enfer depuis deux semaines, peut-être avant.
Il n'était pas revenu ici depuis que Marinette l'en avait tiré. Mais maintenant il était de retour. Parce que c'était le seul endroit qu'il n'avait pas touché.
Qu'est-ce qui avait dérapé ? Pourquoi...?
Pourquoi est-ce que l'aimer blessait maintenant ? Pourquoi est-ce que l'aimer ne marchait pas, plus ?
L'écrivain ne savait pas, alors il plongeait dans ses univers parallèles, ses histoires, repartant de zéro, ignorant la douleur dans ses poignets déchiquetés, reconstruisant comme avant, comme quand il était seul, il était seul à nouveau.
Nathaniel...
Le brun savait les éléments qui avaient mené à leur explosion, il savait, la pression des combats, l'impossibilité de dire la vérité, les discussions interrompues par Farfalla, la peine de vivre de plus en plus lourde soudainement, une, deux akumatisations, le sang sur ses bras, la culpabilité, l'épuisement de son Rouquinou, qui redescendait le chercher, chaque fois plus profond, s'infligeant une pression plus forte à chaque descente. Il savait les éléments, mais il ne pouvait toujours pas comprendre, répondre à la question.
Comment est-ce que ça avait fini ?
Impossible à dire. Un éclat de trop, et il devait se battre contre les démons qui dévoraient ses pensées, mais il avait perdu son épée... ça faisait si longtemps. Il avait tenu longtemps, mais les akumatisations, la destruction... Il s'était effondré le mercredi avant les vacances, incapable de retenir les pensées qu'il déviait depuis déjà un mois, essayant de ne pas perdre tout le temps. Un an, six mois et dix-neuf jours.
Un combat long et éprouvant.
Sa réaction de disparaître.
La proximité des vacances, de l'isolement.
Sa culpabilité.
Il avait disparu, rejeté, encore et encore, et Nathaniel, assis sur son lit, lui avait murmuré qu'il l'aimerait toujours, mais qu'il était incapable de tenir ainsi. Qu'il n'arrivait plus à l'aider. La manière dont les nerfs de l'écrivain avait explosé, dont Nathaniel avait fui.
Ils parlaient à peine, maintenant, et Marc s'efforçait de tenir seul. Zoé l'aidait, et Juleka aussi, ses deux amies, Juleka qui avaient été là au tout début de la douleur, qui pendant les heures d'étude après les cours lui avaient appris à s'accepter, à se trouver, à marcher droit dans la vie, et Zoé qui portait sa fierté si lumineusement qu'elle aurait pu éclairer la ville entière, qui savait rire, dé-dramatiser, qui avait traversé tellement, et qui maintenant savait choisir le bonheur.
Mais elles avaient beau être fortes, adorables et optimistes, elles ne pouvaient pas soulager la peine de son cœur. Pas alors qu'il avait ignoré être brisé jusqu'au moment où Nathaniel avait essayé de le réparer, et maintenant il se sentait vide, il était détruit, mais ne pouvait rien faire.
« Hey, ça va ici ?
— Laisse-moi.
— Désolé, pas envie de me faire tuer par une créature millénaire, répondit la voix en se glissant à côté de l'écrivain.
— Félix ?
— Oui. Tu ne vas pas bien, toi, non ?
— Laisse-moi. J'ai jamais été bien.
— Faux.
— Ça suffit. Je n'ai pas besoin de gens.
— Encore faux.
— T'es pire que ton cousin.
— Sûrement. Mais aussi, je ne peux décemment pas laisser une telle dépression sans essayer de comprendre.
— On a rompu avec Nathaniel. J'ai été akumatisé deux fois et j'ai perdu ma seule raison d'aller bien. Maintenant, laisse-moi. T'as vraiment pas besoin d'essayer d'y changer quoi que ce soit, ni de m'aider. J'm'en sortirai.
— Faux. Je... Je sais comme ça peut faire mal, perdre la personne avec qui on bâtissait déjà le futur lointain. J'y ai droit aussi. Et même si je savais pas de première main... Avec Duusu, c'est pas juste de la détection. C'est de l'empathie de la pire manière.
— Félix...
— On a toujours été seuls, tous les deux, et ça marchait plutôt pas mal, alors on veut y retourner, pas vrai ?
— Si, absolument. Mais si c'est ça ton instinct, pourquoi tu restes là ?
— Parce que j'ai un sentiment que ça marchera pas cette fois, l'isolement. C'est... juste un instinct. Et je suis assez mauvais pour tout ce qui est socialisation, alors... je cherche les douleurs semblables. Oui, c'est ridicule...
— Nan. Je comprends la démarche. Je veux bien essayer d'être amis, alors...
— Merci. »
************
Treize décembre.
Marc releva la tête de son cahier de brouillon. En face de lui, sous l'escalier, Félix lisait un livre de psychologie. C'était le septième livre en cinq semaines et malgré la quantité de mots complexes qu'il devinait au froncement de sourcils de son ami, le brun savait que l'ouvrage serait terminé le soir même.
Félix lisait vite, et de tout. Plus un texte était complexe et spécifique, plus il le dévorait. Cela fascinait Marc. Et l'étendue du vocabulaire du blond était telle que l'auteur avait pris l'habitude de demander à son camarade quand il ne trouvait pas le mot pour désigner quelque chose, plutôt que de chercher sur Internet. Le Londonien était bien plus efficace, et le regarder pester sur le fait que le mot exact existait en Anglais, en Allemand, en Arabe ou en Chinois mais pas en Français avait quelque chose d'hilarant, de touchant.
« Marc ? Tout va bien ?
— Oui. Je me disais juste que tu es vraiment quelqu'un de fantastique.
— Au point de t'arrêter d'écrire ?
— Je me suis perdu dans mes pensées. Et mon regard pèse suffisamment pour te distraire de ta lecture ?
— Peut-être, répondit le blond en se mordant la lèvre et en détournant le regard.
— Tu lisais pour de vrai ou tu m'espionnais ?
— Arrête ça, marmonna Félix, sa lèvre mordue au sang et ses joues rougissant violemment.
— Arrêtez quoi ? De te taquiner ? Pourquoi ?
— C'est... je sais pas...
— T'es mignon quand t'es confus.
— Non.
— Oh, naaan me dis pas...?
— Je sais pas à quoi tu penses mais sûrement pas.
— Je veux bien te laisser moisir dans le déni, j'aurais adoré en avoir la possibilité, mais je te préviens, ça ne va pas aller mieux avec le temps.
— Tu racontes n'importe quoi !!!
— Alors pourquoi es-tu plus rouge que mon sweat ?
— Arrête, s'il te plaît.
— Tu joues toujours au psy avec moi. Laisse-moi essayer, d'accord ?
— Tu peux pas... Tu peux pas m'aider.
— Tss. Félix, t'inquiète que tout le bazar j'ai eu à gérer. Homophobie intériorisée, et les parents. Oh, et les camarades étaient pas au top avec non plus. Mais tu sais tout ça. »
Félix ferma les yeux. Marc avait raison avec les mots qu'il employait. Mais ça lui faisait tellement peur.
Il se rappelait du weekend précédent, quand Marc l'avait emmené dans une vieille arcade et ils avaient passé l'après-midi à rire, à échanger des conseils, des tactiques et juste oublier la vie. Il essayait d'oublier le frisson qui le traversait chaque fois que leurs mains s'effleuraient, l'électricité qu'il sentait dans l'air entre eux. Et la culpabilité immédiate, la vision du visage désapprobateur de son père, l'air déçu de ses grands-parents si conservateurs, peut-être que leur avis ne comptait pas, mais ils laissaient leurs marques.
L'écrivain était rapidement devenu son meilleur ami, ils échangeaient extrêmement facilement, deux enfants de la solitude forcée, de la peur de soi, de la fuite. Le Londonien avait expliqué à quel point finir son éducation, avoir ses diplômes en avance, être toujours scolarisé à la maison et ne jamais avoir de camarades jusqu'à juin avait été étrange et le laissait angoissé. Le Parisien avait partagé les critiques, les hésitations, les taquineries des enfants et les moqueries au début du collège, l'enfermement dans l'isolement pour ne pas prendre de risques.
Ils avaient tous les deux été sortis de leur solitude par l'amour, et ils avaient perdu cet amour. Alors ils apprenaient l'amitié maintenant. Mais...
« Marc... Qu'est-ce que... Why do I always feel electric with you ?
— Tu as toujours peur d'être toi-même en Français, hein ? Et pour ta question... Je te l'ai dit. Je ne forcerai pas la réponse.
— Marc. Tu sais la réponse.
— Je n'ai pas besoin d'un Miraculous pour reconnaître des sentiments que j'ai éprouvés il y a des années.
— Je dois le dire ?
— Est-ce que tu veux le dire ? Tout à l'heure, tu étais très clairement dans le refus. Mais après tu es parti dans tes pensées pendant une minute, et... Je ne veux pas te forcer. C'est terriblement dur d'accepter qui on est, qu'on ne rentre pas dans la case. Je le sais. Et c'est encore plus dur de l'admettre. Je ne forcerai pas le coming-in, Félix, et je n'attend pas non plus de coming-out. Je le vois dans tes yeux depuis des jours, mais tu peux le refuser.
— Marc... est-ce que ça veut dire que c'était faux...?
— Pas forcément. »
Marc esquissa un sourire, croisant un instant le regard de son ami avant de rabaisser les yeux vers son carnet. Il ne pouvait pas contrôler les expressions dans ses prunelles, et il ne voulait pas imposer de pression. Félix avait besoin d'entendre tout ça, bien sûr, comme lui en aurait eu besoin il y a si longtemps, mais le brun savait qu'un regard était une pression. Alors il regardait leurs mains, les pianotements nerveux sur le sol.
« J'suis pas le mieux placé pour parler du multi-spec, tu devrais demander à Zoé, c'est la meilleure personne pour ça, mais ne pas être hétéro ne signifie pas être gay au sens restreint. Tu peux être bi, pan... y a d'autres mots encore, que je connais moins. Et aussi... tu n'as pas besoin de prendre un terme si tu n'en veux pas. Les mots sont juste des outils pour aider.
— Merci. Vraiment.
— C'est rien. C'est juste... rendre ce que le monde a refusé de me donner, l'ouverture et l'aide.
— C'est énorme... Je crois que c'est une partie de pourquoi je t'aime... »
Marc releva la tête immédiatement. Oui, il savait au fond mais bon sang. Il ne s'attendait pas à ce que Félix traverse tout d'un coup, au point de le lui avouer. Et surtout, il ne s'était pas attendu à la course de son cœur, à la rougeur qu'il sentait s'emparer de son visage. Toutes les alarmes hurlaient dans sa tête, il ne savait pas comment réagir, mais il sentit la main du blond se refermer sur la sienne, un doigt effleurer ses cheveux et les écarter de son visage, un sourire simple en face.
« Tu n'as pas besoin de répondre. Je ne m'attendais pas à le dire, mais c'est vrai. Et je sais que c'est beaucoup pour toi, Marc. Tu n'as pas à répondre, mais au moins... c'est dit... »
Le brun secoua la tête, releva la tête pour croiser le regard vert qui lui faisait face, comme un miroir terni. Non, il avait besoin de répondre, maintenant, mais pas avec les mots qu'il n'avait jamais su prononcer.
Il releva la main que son camarade tenait, et déposa un baiser sur les doigts du blond, délicatement.
« Non, je n'ai pas besoin de temps. J'ai besoin de toi. Tu es entré dans ma vie sans prévenir, et en si peu de temps, tu as percé tous mes murs. Tu sais plus sur moi que personne, je crois, même les secrets que j'ai caché des années, et tu as tout accepté, tu t'es ouvert de la même manière. Tu as accepté de me faire confiance pour être ton ami, ton confident, et ton guide. Je sais pas du tout où on arrivera, mais... Je veux bien essayer. Je t'aime aussi, Félix.
— Pour de vrai ?
— C'est fou comme tu n'arrives pas à réparer ton estime de toi, s'exclama l'auteur avec un sourire, oui, pour de vrai. »
Il se releva et tendit la main à Félix pour l'aider à se relever également.
Oui, il faisait sombre sous l'escalier où ils s'asseyaient en silence pour vivre.
Mais ici, ils avaient trouvé assez de lumière pour écrire une histoire qu'ils voudraient lire.
Le futur était indéfini et brumeux, mais les deux garçons avaient trouvé la force d'essayer, de choisir l'incertitude plutôt que de rester terrifiés et hésitants dans leurs solitudes.
Et une pluie irisée de joie les entourait alors qu'ils unissaient leurs lèvres pour signer leur pacte.
On va essayer. Ensemble.
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3008 Mots + Note de début.
Bilan de l'OS:
1) Bon bah vu comme c'est facile, je corrige la case "tensions Féligami" sur mon bingo S6 par "rupture Féligami"
2) D'où c'est aussi facile de briser le Marcaniel ???? Depuis quand ??? Ouais alors, j'aimerai bien des interactions canon pour comprendre pourquoi c'était si simple.
3) J'ai écrit quasi toute la dernière partie aujourd'hui passée 22h et je pense que ça se sent.
4) Je suis désolée, Marc, désolée, je sais pas pourquoi je t'ai tellement sabordé avec mes HC, tu le mérites pas, tu es fantastique.
5) J'ai écrit ça en dix jours. Enfin j'ai bossé dessus trois jours, quatre max je pense. Entre le déni d'écriture, l'envie de lire, et le fait que j'ai passé toute la journée de dimanche littéralement bloquée dans un rêve éveillé dont j'arrivais pas à sortir (expérience très peu cool, je recommande pas), on peut dire que j'ai été efficace.
6) Eh bien pour la personne qui m'avait demandé si je pouvais faire du Félinette, on y travaillera, parce qu'apparemment, il n'y a pas un seul ship qui soit impossible.
Enfin bref. J'espère que ça vous a plu, que ce truc était pas complètement décousu, que j'ai pas trop viré out of character et merci encore Sacha-Blanc pour le défi,
Bises,
Jeanne
(13/11/2024, 01h39)
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