Chat Noir applique la méthode Foster (et j'enchaîne sur du Papyura, jpp)

 Alors je vais juste expliquer ce qu'est la "méthode Foster". L'héroïne de GDCP (aleeerte SPOIL !!!), Sophie Foster, s'est un jour retrouvée face à la déclaration d'un garçon qu'elle n'aimait pas.

Elle l'estimait cependant beaucoup, et ne voulait pas lui briser le cœur. alors, elle a décidé de lui prouver qu'il ne l'aimait pas vraiment. Non, elle n'est pas folle.

Elle l'a donc embrassé. Oui, oui. Et comme il n'avait rien ressenti de particulier, elle lui a dit qu'il n'était pas vraiment amoureux d'elle.

Bonne lecture !

***************

Un soir, après un combat.

Chat Noir interpella Ladybug, qui s'apprêtait à partir. Il n'avait pas utilisé son cataclysme, et il restait encore quatre minutes à la jeune fille. Il lui proposa de rester un peu avec lui.

Ladybug avala sa salive. Pour une fois, elle avait fini tous ses devoirs rapidement, et n'avait aucun rendez-vous avec ses amies. Elle n'était pas non plus chargée d'un quelconque design pour Jagged Stone ou les Kitty Section. En bref, elle pouvait accorder bien plus de cinq minutes à son partenaire.

« Attends moi deux minutes, Chaton. Je vais nourrir mon kwami, et je veux bien passer un moment avec toi.

— Vrai ? Tu veux bien passer du temps avec moi ?

— Vrai. Je n'ai rien à faire ce soir, et mes parents ne paniqueront pas, normalement. Ils ne montent quasiment pas dans ma chambre, s'il n'y a pas de vraie raison.

— En bref, tu as jusqu'à l'heure du dîner, ma Lady.

— Tout à fait. »

L'héroïne fila derrière une cheminée, puis revînt après avoir nourri Tikki.

Chat Noir lui tendît une rose. Son sourire charmeur accéléra le cœur de sa partenaire.

Non, je suis amoureuse d'Adrien. Déjà que Luka me perturbe, je vais pas hésiter sur Chat Noir ! C'est mon meilleur ami, rien de plus.

Le jeune homme inspira profondément. Il annonça qu'il avait quelque chose de très important à lui dire, et qu'il voulait qu'elle l'écoute avec toute son attention. Qu'il avait besoin qu'elle lui fasse confiance, juste une fois. Après, il ne l'embêterait plus. Il ne tenterait plus de connaître son identité, ou celle de son concurrent. Mais il fallait qu'elle lui fasse confiance aujourd'hui.

« Je te fais confiance, Chaton. Plus qu'à moi-même sur certains points.

— J'espère que ta confiance suffira, soupira-t-il.

» Tu sais que, depuis que nous combattons ensemble contre le Papillon, je crois être amoureux de toi.

» Mais parfois, je me demande si ce n'est pas juste une admiration délirante que je prends pour de l'amour. Nous sommes devenus de très bons amis, et même si j'ai toujours le cœur qui accélère un peu en ta présence, que tes compliments me remplissent toujours de joie...c'est moins fort qu'avant.

» Et puis il y a cette fille de ma classe. Une très bonne amie. Mais je sais, ça se voit à des kilomètres, qu'elle est amoureuse de moi. Elle n'a jamais osé me le dire, évidemment. Mais je n'en ai pas besoin. C'est vraiment une fille en or, toujours prête à rendre service, toujours là pour écouter les autres, toujours le sourire aux lèvres si quelqu'un a besoin qu'on lui remonte le moral.

» Et tu ne peux même pas imaginer à quel point je m'en veux de lui briser le cœur, même sans lui dire. Ça me fait mal pour elle, tu comprends ?

— Ça, oui. Mais je t'avoue que je ne vois pas du tout où tu veux en venir.

— J'ai besoin de me prouver mon amour pour toi. J'ai besoin d'être sûr.

— Tu as un moyen ?

— C'est pas vraiment un moyen, ça s'approche plus d'une idée. Et je suis à peu près certain que tu vas la trouver très mauvaise. Que tu vas dire que c'est une des pires idées que j'ai eues de ma vie. Et tu n'auras peut-être pas tout à fait tort.

— Dis toujours, murmura-t-elle avec impatience.

— Dans les livres et les films, quand les amoureux s'embrassent, ils sont très heureux. Donc j'imagine qui si on ne ressent rien, c'est qu'on n'est pas vraiment amoureux...

— Tu voudrais que je t'embrasse ?!

— Oui...C'est pour ça que j'avais besoin que tu me fasses confiance. Tu n'es pas obligée d'accepter, mais...

— Vas-y. »

Chat Noir fût un peu surpris du ton catégorique de sa Lady, mais hocha la tête. Il se rapprocha d'elle, et lui prît les mains avec tendresse.

Il se baissa vers elle, et déposa ses lèvres sur celles de sa partenaire. Et il eût l'impression que quelqu'un court-circuitait son cerveau. De multiples sensations se disputaient son esprit et son cœur. Bonheur, soulagement, certitude, impatience, attente, soif de plus. Il en eût presque le vertige, et s'éloigna de Ladybug.

Celle-ci en fût soulagée. Ce qu'elle avait ressenti...c'était indescriptible. De la surprise, d'abord, puis l'impression d'être enfin à sa place. Une impatience extrême, une volonté de plus. Et, quand il s'était retiré, une intense sensation de manque. Et en même temps, le soulagement s'était emparé d'elle. Peut-être qu'elle avait juste imaginé ces réactions, peut-être que son esprit avait tout simplement projeté ses lectures...elle avait besoin d'une confirmation.

Alors, sur la pointe des pieds, elle embrassa son partenaire.

Chat Noir étouffa la surprise qu'il éprouvait face à cette initiative pour profiter du bonheur de l'instant. Sa Lady l'embrassait, lui. Le cœur gonflé de joie, il lui rendît son baiser.

La pression des lèvres de son Chaton sur les siennes fît prendre conscience à la jeune fille de ce qu'elle éprouvait vraiment pour lui. Son véritable sentiment était bien plus fort que la bête amitié qu'elle avait cru lui donner. Elle était amoureuse de lui, elle le savait maintenant.

***************

Le lendemain, Alya n'en crût pas ses yeux. Marinette avait discuté pendant près d'un quart d'heure avec Adrien sans bafouiller une seule fois.

La même Marinette n'avait pas jeté un seul coup d'œil à son voisin de devant de la journée.

Toujours la même Marinette avait filé sans dire un mot à la fin des cours...et ce n'était pas vers chez elle.

L'apprentie journaliste dût tout de même attendre le soir pour venir au bout de ses surprises.

Il y eût une attaque, assez surréaliste. Il y avait un akumatisé, et un senti-monstre. Mais ils étaient désordonnés, le senti-monstre n'obéissait pas à l'akumatisé. Il venait d'une autre émotion.

Et quand les héros arrivèrent, les deux commencèrent à s'écharper pour récupérer les Miraculous.

Ladybug et Chat Noir se mirent à l'abri, attendant que les vilains se mettent hors jeu l'un l'autre. Quand ce fût fait, Ladybug purifia l'amok et l'akuma. Elle était perplexe.

« Mon Chat ? Pourquoi est-ce qu'ils ont fait ça ?

— Comment pourrais-je savoir, ma Lady chérie ? Je suppose que le Papillon et Mayura se sont disputés, et qu'ils ont oublié de coordonner leurs actions.

— Ça doit être ça...mais...

— Je sais, c'est pas logique. Mayura a toujours agi pour aider le Papillon, même le jour de la création du senti-monstre à ton effigie.

— Euh, j'ai peut-être une idée...

— Alya ? Mais qu'est-ce que tu fais là, s'étonna Ladybug.

— Je suis venue assister au combat. Alors, vous voulez entendre mon idée ?

— Oui, vas-y. Après, cha ne peut être que des suppositions.

— Chaton ! Tu n'avais pas ton quota de jeux de mots pourris ?

— Jamais, Lady du cœur, jamais. Mais avoues que tu aimes ça !

— Evidemment !

— Eh, oh. Les tourtereaux, j'ai une info pour vous. Même si je suis contente de voir que vous avez arrêté de vous tourner autour.

— Excuse-nous Alya, lancèrent-ils d'une seule voix. Raconte.

— C'est une idée un peu étrange, mais...et si c'était fait exprès ?

— Fait exprès ? Tu veux dire que le Papillon et Mayura aurait volontairement sabordé leur attaque ?

— Oui, Ladybug. Tu m'as expliqué dans une interview que la personne qui posséderait vos deux Miraculous pourrait modifier la réalité. Peut-être qu'il voulait juste signifier...qu'il a renoncé à son vœu ?

— Mais pourquoi ne pas nous apporter directement les Miraculous, alors, demanda Chat Noir.

— Peut-être qu'il ne voulait pas qu'on connaisse son identité. Alors il a juste exprimé que c'était la dernière attaque.

— S'il ne le voulait pas, c'est qu'il est assez célèbre et...Non ! Non, ce n'est pas ça, chuchota le héros.

— Pourquoi ? Qu'y a-t-il, Chat ?

— Je...si je te disais à quoi j'ai pensé, je devrais te dire qui je suis. Et je sais que tu ne veux pas. »

Ladybug hocha la tête. Elle aimait Chat Noir comme il était, elle ne voulait pas savoir ce qui n'était pas vraiment lui. Ce qui n'était pas le héros de Paris, son ami qui faisait tout pour l'aider, la détendait pendant les combats, lui faisait des avances qui l'avaient toujours faite intérieurement sourire. Elle aimait Chat Noir, personne d'autre.

Alors ils discutèrent de différentes hypothèses, inventant des théories toutes plus farfelues les unes que les autres. Mais ils finirent par renoncer à comprendre, saluèrent Alya, et se dirigèrent vers leur domaine. Les toits de Paris, le chez-eux des héros.

***************

J'y crois pas, j'y crois pas, j'y crois pas. C'est n'importe quoi aujourd'hui !!

Alya tentait de récapituler.

Premièrement, Marinette avait brutalement cessé de s'intéresser à Adrien.

Deuxièmement, Mayura et le Papillon avaient brusquement cessé de coopérer.

Troisièmement, Ladybug et Chat Noir s'était clairement mis en couple. Entre les nouveaux surnoms, l'attitude délicate qu'ils avaient eu l'un envers l'autre, et la manière dont ils l'avaient oubliée durant la discussion, il n'y avait pas de doute. Surtout le dernier : elle devait bien reconnaître que c'était exactement le genre d'attitude qu'elle pouvait avoir avec Nino.

J'ai dû louper un épisode, c'est pas possible ! Ladybug a passé six mois à rembarrer Chat Noir, et là, d'un coup, ils sont en couple ? C'est particulièrement illogique !

Elle soupira. Il lui suffirait de demander des infos à la prochaine interview, c'était tout. Ladybug accepterait bien de répondre à ses questions. A condition que je sois plus délicate que Nadja Chamack.

L'autre problème qui la préoccupait, c'était la bataille des deux vilains. Parce que c'était bien Mayura et le Papillon qui s'étaient affrontés ce soir, à travers leurs victimes. Et Mayura s'était laissée battre.

Le senti-monstre était doté d'une grande puissance, Alya l'avait bien vu. Chaque coup qu'il portait aurait pu tuer l'akumatisé. Mais elle s'était retenue, elle avait dosé. Et quand le Papillon l'attaquait, elle ne répliquait pas. Elle n'avait même pas essayé d'esquiver !

« Mais bon sang, comment elle a fait, pesta Alya à mi-voix. »

La seule fois où le senti-monstre s'était montré indépendant de l'akumatisé, c'était celui à l'effigie de l'héroïne. Et Mayura l'avait créé avec ses propres sentiments.

Sauf que là, elle n'avait pas été visible sur le champ de bataille. A aucun moment.

Et que, certes, les senti-monstres pouvaient se commander avec un objet séparé, mais il devait y avoir une distance maximale. Probablement pas plus de cinquante mètres.

Alya n'avait pas quitté le champ de bataille. Elle regarda autour d'elle. Ses yeux tombèrent sur la porte du manoir Agreste, et les mots de Chat Noir résonnèrent dans sa tête. S'il ne le voulait pas, c'est qu'il est assez célèbre. Le héros avait même pensé à une hypothèse, et refusé de la partager.

Soudain, les pièces du puzzle s'enclenchèrent dans l'esprit d'Alya. Le Papillon était Gabriel Agreste. Chat Noir, paniqué à cette idée, ne pouvait être que son fils. Et Ladybug...l'apprentie journaliste s'était déjà fait la remarque qu'elle ressemblait à Marinette. Ce qui expliquerait le désintérêt soudain de sa meilleure amie pour le mannequin.

Je crois que j'ai trouvé ! Mais je ne le dirai à personne, elle tient à son secret.

***************

L'analyse d'Alya était exacte sur au moins un point : Mayura s'était laissée battre. Et quand Gabriel lui demanda pourquoi, elle refusa de répondre.

Elle ne pouvait pas lui expliquer. Elle ne pouvait même pas dire à son patron pourquoi elle avait brutalement décidé de faire obstacle à l'akumatisation. Pourquoi elle l'avait attaqué, mais s'était laissée battre. Pourquoi elle avait pris le Miraculous du paon. Pourquoi elle mourrait pour l'aider. Il ne doit pas savoir !

Gabriel ne comprenait pas. Les actions de Nathalie avaient été incohérentes.

D'abord, elle avait créé un senti-monstre à partir de ses propres sentiments. Attitude qu'elle avait déjà eue, mais jamais comme ça. Jamais elle n'avait réagi comme ça à l'arrivée d'un akumatisé.

Ensuite, elle avait attaqué l'akumatisé, comme si elle comptait le détruire. Avant de se laisser mettre à terre. De se laisser battre. Il avait bien vu ses mains qui s'agitaient pour mouvoir le senti-monstre. Il avait bien vu qu'au fil du combat, sa volonté avait diminué.

« Pourquoi avez-vous fait ça ? Nathalie, votre comportement a été incohérent. Et il y a forcément une raison. Vous avez commencé par m'attaquer, puis vous vous êtes rendue. Où vouliez-vous en venir ?

— Je ne peux pas vous le dire. Moi-même je ne comprends pas vraiment ce qui s'est passé. Je ne saurais pas vous l'expliquer clairement. Je sais pourquoi j'ai lancé mon senti-monstre contre vous. Pour me tester. Mais ensuite...c'est comme s'il s'était battu tout seul. Toutes les émotions que je ne maîtrise pas se sont réunies dans ce senti-monstre. Alors forcément il a fini par m'échapper.

— Est-ce que vous sauriez expliquer son attitude ?

— Il ne pouvait pas frapper au maximum de sa puissance, parce que je ne pourrais pas utiliser toutes mes ressources contre vous. Même si vous deveniez fou et que vous m'attaquiez, je ne me défendrais pas. Je crois que je n'aurais même pas envie d'invoquer un senti-monstre pour me défendre.

— Nathalie, vous êtes en train de me dire que vous êtes folle ?

— C'est à peu près ça...Et ma folie est liée à vous. Je crois qu'il faudrait que je parte pour guérir.

— Pouvez-vous même en guérir, chuchota Gabriel, une idée en tête.

— Je ne sais pas si c'est le genre de folie dont on guérit. De ce que j'en ai vu, il y a des guérisons, mais rares.

— Nathalie, vous vous moquez de moi, là ? S'il vous plaît, dites-moi que je me trompe.

— Je ne crois pas, répondît-elle en fixant le carrelage.

— Vous êtes vraiment amoureuse de moi ?

— Oui. »

Gabriel soupira. Il avait l'impression d'être dans un nid de serpent. Il était convaincu d'aimer encore Emilie. Mais depuis une semaine, sa conscience hurlait que le Papillon devait disparaître. Et la déclaration de Nathalie venait mettre le bazar dans ses certitudes. Et il n'avait pas envie de la blesser. Mais...Pourquoi, pourquoi, pourquoi fallait-il que la déclaration de sa secrétaire le bouleverse autant ? Pourquoi avait-il l'impression qu'un vide était comblé en lui ?

Pourquoi avait-il peur de la suite ? Pourquoi le regard désolé de Nathalie l'attristait-il autant ? Il l'appréciait beaucoup, certes. Mais il n'avait jamais été très doué pour l'empathie, même avec les personnes proches.

Seule Emilie avait réussi à lui faire partager vraiment ses douleurs, ses tristesses, ses joies. Il n'avait jamais ressenti les émotions d'autrui avec quelqu'un d'autre. Et qu'il perçoive et ressente la douleur de Nathalie l'inquiétait. Non, ce n'était pas le bon terme...il était surpris, perplexe, vaguement préoccupé. Heureux, aussi.

« Qu'est-ce qu'elle en penserait, murmura-t-il. Oh, c'était tellement plus simple quand je lui posais les questions. Elle me conseillait toujours...mais là, c'est pas possible.
Nathalie, que pensez-vous qu'elle en penserait ?

— Emilie ? Elle n'aurait pas voulu que vous deveniez le Papillon. Elle n'aurait pas voulu que vous vous enfonciez dans cette espèce de dépression d'où je n'ai pas su vous tirer.
Et elle voudrait, je crois, que vous arriviez à tourner la page. Que...je ne suis pas sûre, évidemment, mais elle ne s'y opposerait pas.

— Vous croyez ? Vous croyez qu'Emilie nous donnerait sa bénédiction ? Qu'elle voudrait que j'arrive à être heureux avec vous ?

— Je suis sûre qu'elle voudrait votre bonheur. Et comme elle me considérait comme sa meilleure amie...Elle a toujours fait le maximum pour que je sois heureuse, tant que ça restait raisonnable.
Alors oui, je crois qu'elle nous donnerait sa bénédiction.

— Alors je peux renoncer à mes projets, et vivre.
Je peux vous dire que je crois être amoureux de vous.

— Comment le pensez-vous ? Enfin...il y a un quart d'heure vous croyiez encore ne pouvoir jamais aimer personne d'autre, et là...

— Je sais. Mais, je me suis aperçu que je ressentais parfois avec vous des émotions semblables à celles que j'éprouvais avec elle. Et que j'avais parfois de l'empathie réelle pour vous. Or vous savez que je n'en ai jamais eu pour personne d'autre qu'elle.

— Je vois. Est-ce que je peux vous embrasser ?

— Euh oui, allez-y...»

Nathalie s'approcha de son patron, lui prît les mains, et l'embrassa avec ferveur. Ses lèvres appuyées contre celle de Gabriel, elle eut un sentiment de complétude inédit. Le bonheur l'inondait, ses doutes et ses peurs étaient enfin résolus. Maintenant, elle savait qu'elle ne serait plus aussi facile à akumatiser.

Gabriel, lui, ressentait un bonheur teinté de surprise, une joie immense, et une sorte de soulagement très particulier. Qu'il reconnût pourtant aussitôt : c'était celui des baisers d'Emilie.

Alors, quand Nathalie s'éloigna, il murmura doucement :

«Je vous aime. »

***************

2803 Mots ! + Note de début

 Cet OS n'était pas censé finir en Papyura, au départ. Mais ce ship est tellement ancré dans ma tête que c'est compliqué. 

 Au fait, le Ladynoir est mon préféré du quatuor Adrien-Marinette-Chat Noir-Ladybug, et je n'avais vraiment pas envie  de le faire échouer.

(On est d'accord, c'est celui qui a le plus de chances, non ? C'est le seul où ils se sont embrassés !)

 Qu'en avez-vous pensé ?

 Jeanne.

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