A travers le temps (Spécial Saint-Val 2023)
Assise dans un terrier, Alix regardait autour d'elle avec tristesse. Elle avait élu la Saint-Valentin pire jour de l'année depuis longtemps, n'ayant jamais compris le besoin des gens de se consacrer un jour pour toutes ces activités de couple. Surtout, tant qu'à être amoureux, ce qui échappait toujours à sa compréhension dans une certaine mesure, il lui semblait absurde de déterminer un jour particulier pour jouer au mouton et sortir en même temps que tous les autres.
Mais cette année, c'était encore pire. Cette année, elle n'avait pas ses amis. Elle était complètement seule dans ses terriers.
Tous les ans, Kim, Ondine et Nathaniel se relayaient pour lui changer les idées de la romance ambiante, le couple de sportifs ayant notamment juré de toujours lui donner au moins trois heures de la matinée, pour faire des activités entre amis, des concours sportifs idiots, des courses, des jeux de société. Parfois, Nathaniel, qui avait initié ce rituel dès la sixième, se joignaient à eux, et la dernière fois, Marc avait même participé et ça avait été merveilleux.
Mais maintenant la rousse était seule et, dans son terrier, elle avait l'impression qu'il n'y avait plus que l'image de couples heureux.
Quatorze février. Toujours la pire date, mais au moins, elle avait eu de quoi s'habituer avant, elle devait recréer des règles dans le terrier.
Alors, pour effacer sa solitude, elle se plongea simplement dans les moments de joie des autres.
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Quatorze février 2018.
Alix sourît en voyant la scène qui se déroulait devant ses yeux.
Assis en haut de la Tour Eiffel, Chat Noir accueillît Ladybug en lui offrant une rose rouge, qu'elle plaça dans ses cheveux avec un sourire.
« Merci Chaton. Comment vas-tu ?
— Aussi bien que possible. Ça va faire un an... C'est toujours un peu chaotique à la maison, mais ça va... On se remet. Enfin, comme chaque jour... Tu sais, quand il a gagné, et que nous avons récupéré nos Miraculous ensuite... C'était tellement bizarre... J'y pense tout le temps...
— Je dois reconnaître que quand j'ai vu sa note sur ma terrasse le vingt février, j'ai eu un peu de mal à enregistrer... Et toi... Ça a dû être si dur...
» Je n'oublierai jamais, murmura-t-elle en détournant le regard, comment c'était horrible... Mon cri... Je ne voulais pas...
— Marinette, chuchota-t-il en lui saisissant le menton doucement, ce n'est pas la peine de t'excuser. Tu étais seule à combattre contre sa folie, à partir du moment où j'ai été mis hors-jeu. Il avait déjà récupéré mon Miraculous. C'était normal que tu n'y arrives plus au bout d'un moment.
» Oui, ça va faire un an. Mais, même si le monde s'est effondré ce jour-là, que nous avons perdu, ça n'a pas été pour rien. Cela nous a permis de voir nos vérités... Et cela m'a forcé à confronter mon père. Ça m'a donné les clés pour rétablir une vraie relation. Et puis nous sommes ensemble, ne l'oublie jamais ma Lady. Ensemble contre le reste du monde. Viens. Nous avons le droit de célébrer cette journée, comme des gens normaux, nous aussi.
— Je n'y arrive pas... Désolée, Chaton, je...
— Ce n'est pas grave, Lady. Je t'aime. Je sais que tu prendras du temps avant d'accepter la normalité, j'attendrai. Notre vie a été un bazar monstrueux pendant deux ans et demi, alors prends le temps pour ranger. Je t'aime, Maribug, et je serai toujours là.
— Merci Chaton, souffla-t-elle en luis saisissant délicatement le visage, moi aussi je t'aime... »
Avec un délicat sourire, la jeune fille joignît leurs lèvres, laissant passer dans ce simple geste tout leur bonheur, leur force et leur espoir, mêlés pour les faire grandir, illuminant l'espace autour d'eux, jusqu'à ramener la chaleur dans le terrier isolé.
Manifestement, il y aurait encore des péripéties, mais Alix était heureuse de voir que ces deux-là sauraient se réunir enfin. Et cet éclat de bonheur qu'elle leur avait perçu la poussait à explorer plus loin, alors que, dans la projection qu'elle avait quittée, les deux héros dégustaient une glace
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Quatorze février 2019.
Alix fronça les sourcils en apercevant un décor qu'elle ne connaissait pas, dont elle devinait qu'il pouvait servir de salle de bal ou pour de grandes réceptions. Mais à la lumière qui illuminait la pièce, la sportive devinait où elle se situait. Et, en voyant entrer Nathalie et Gabriel, elle sourît, certaine que la situation serait intéressante. Après tout, il s'était à présent écoulé deux ans depuis le combat final, il avait dû se passer des choses interessantes du côté du Papillon et de Mayura.
La rousse s'attarda de longues minutes sur leurs tenues assorties, fascinée par la précision des créations.
La brune portait un collant blanc-gris, semblant à la fois chaud et léger, surmonté d'une longue jupe couleur neige, qui s'arrêtait juste au-dessous des genoux. Sur le fond immaculé, des roses éclatantes naissaient et répandaient leurs pétales rouges en pluie magique. Au-dessus, elle portait un chemisier légèrement grisé, dont les côtés étaient ornés d'images de glycine violette, rose et rouge, dont les branches entouraient ses bras de fleurs délicates. L'ensemble donnait une étrange impression de vie et de lutte, magnifiquement envoûtante.
Gabriel, quant à lui, portait un costume noir qui semblait fissuré de lumière, des éclats clairs illuminant la tenue, amenant un calme qu'Alix n'avait jamais vu sur le visage du styliste, de toutes les scènes passées qu'elle avait explorées.
« Merci encore pour la robe, Gabriel, elle est magnifique...
— De rien, mon amour... Tu le mérites, sourît-il en déposant un baiser sur son front, tu ramènes ma lumière... Chaque jour.
— Tu es adorable... Et merci pour les clés de la pièce... Tu sais que j'aime beaucoup...
— Vas-y, répondît-il en la guidant vers une commode surmontée d'un gramophone, tu peux mettre ce que tu veux...
— Vrai ?!
— Vu le nombre de disques que l'on a, je pense qu'il y a tout ce que tu veux, oui... »
Nathalie se baissa en ouvrant les portes, un sourire sur les lèvres, farfouilla dans les piles de disques pendant quelques minutes, avant d'en ressortir un avec un air de triomphe, qu'elle déposa sur le gramophone.
Aussitôt, une mélodie familière s'éleva dans la pièce, tandis que la brune entraînait son amour dans une valse improvisée, sur les notes qui disaient à quel point elle l'aimait, tel qu'il était.
Le regard qu'il lui rendait murmurait à quel point il ne s'en sentait pas digne, mais elle ne s'en souciait pas.
Sur les paroles de « All of Me », leurs épreuves brillaient de bonheur. Ils tourbillonnaient ensemble, laissant leurs cœurs les guider, enfin confiants l'un en l'autre, enfin heureux.
Car Nathalie l'avait aimé même au pire de la folie, prête à mourir pour le ramener, prête à défier les lois des Miraculous, et pendant deux ans de paix, elle l'avait guidé sur le chemin du retour, jusqu'à le retrouver pleinement, jusqu'à ce qu'il retrouve une étincelle.
Et pendant deux ans, Gabriel avait transmis toute la force, tout le courage qui émanait d'elle, lui avait rendu l'amour, avait compensé ses erreurs, l'avait ramenée dans la vie.
Ensemble, ils avaient grandi, appris à accepter l'erreur et l'imperfection, appris à s'aimer eux-mêmes au travers du regard de l'autre.
Et, dans leur valse magique, dans le moindre de leur regard, on devinait cela.
Quand la chanson se tût, l'émerveillement de se trouver semblait croiser leurs regards pour la première fois.
« Merci, Gabriel, pour tout... Je t'aime, est-ce que tu le sais ?
— Oui, je m'en rends compte. Parfois je ne comprends pas comment parce que je n'oublierai jamais ce que je t'ai fait, sourît-il était lui effleurant la joue, mais je le sais.
» Moi aussi, je t'aime, souffla-t-il en s'éloignant d'un pas, plus que tout...
» Nathalie, mon ange gardien, ma flamme, accepterais-tu de m'épouser, demanda-t-il en s'agenouillant, sortant une simple bague doré de sa poche. »
Les yeux de la brune se mirent à briller d'émotion, tandis qu'elle relevait son amour dans une étreinte, incapable de parler, hochant la tête avec émerveillement, laissant le styliste lui enfiler la bague.
Parce que dans ce geste, il était définitivement revenu, la page du passé était pour toujours tournée.
Dans son terrier, Alix souriait. Si les scènes de simple histoire et les romances pures qu'elle croisait souvent l'agaçaient, cette scène la rendait heureuse. Ces deux-là avaient enfin retrouvé la paix et l'équilibre qu'ils méritaient.
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Quatorze février 2022.
Alix fronça les sourcils en voyant une nouvelle scène. Elle avait du mal à se rendre compte du temps qui passait dans les images, et voir déjà ses amis parfaitement adultes l'avait surprise.
Marc et Nathaniel, assis dans un grand salon, blottis l'un contre l'autre. Rien que l'image, et la vue de deux bagues scintillant sur leurs annulaires la réchauffaient. Ils étaient adorables. Et les entendre discuter encore d'un nouveau projet de BD était rassérénant. Rien n'avait changé, apparemment...
« Il faudrait qu'on raconte tout, un jour, commenta le brun en passant la main dans les cheveux de son mari.
— Toute l'histoire des héros ?! Mais tu te rends compte du nombre de dessins ?!
— Alleeez, tu adorerais... T'aimes dessiner des héros...
— Pas faux, sourît Nathaniel en déposant un baiser sur le nez de l'écrivain, mais il ne faut pas raconter n'importe quoi...
— On a qu'à demander à la Miracle Team, tu sais bien qu'ils sont super enthousiastes à chaque projet.
— Moui. Je te laisse demander son point de vue à Chloé, parce que bon...
— Arrête, elle n'est plus pareil ! Elle sera ravie de nous aider !
— Certainement...
— Roh, Nath... Tu sais bien que même si on ne la voit pas souvent, elle est gentille maintenant. Et elle a honte.
— Je sais... Mais outre que je ne l'aime pas, ça va la renvoyer dans cette période. Et je ne gère pas le craquage émotionnel. Même si c'était il y a cinq ans, la révélation de Chat Noir l'a vraiment marquée, et elle n'arrête de rejouer toutes ces erreurs que si Zoé l'y force.
— Zoé sera là. Ça ira.
— D'accord, se rendît le dessinateur, c'est techniquement faisable. Mais... On en est capables ?
— Sûrement, avec un peu d'efforts. Puis... »
Le brun guida son interlocuteur vers une autre pièce, dans laquelle un petit berceau trônait. Dans le lit d'enfant, une toute petite fille dormait à poing fermés, serrant contre son cœur deux doudous, un représentant une petite chèvre et l'autre un coq.
« Ça lui ferait de la lecture, termina l'auteur avec un sourire.
— Effectivement ! Mais on ne peut pas dire... Enfin, si on écrit ça, il faudra cacher les identités. Ou ne pas publier, simplement créer des exemplaires pour nos amis...
— Il n'y a plus de danger ! Et puis, Cassiopéia saura. Puis Mylène et Ivan ont dit qu'ils le diraient à leur fils, Kagami et Luka aussi. Et Ladybug a dit oui ! On peut lui dire... Si elle ne comprend pas toute seule en grandissant, sourît le brun en pointant les peluches, vu que la Miracle Team a l'air d'être devenue une espèce de mythes, même après tout ce temps on en parle encore.
— C'est vrai que les enfants en entendront forcément parler, sourît le dessinateur, et que Ladybug a donné son accord...
» Chut, Cass, murmura-t-il en voyant l'enfant s'agiter dans son berceau et en lui caressant le visage du bout des doigts, tu es en sécurité avec nous. Tu le seras toujours, quoi qu'il arrive.
— Nous veillerons sur elle... Même si les dangers devaient réapparaître, il ne lui arrivera jamais rien. Merci d'être là avec moi, Nathaniel, merci de m'accompagner dans cette nouvelle aventure. Je t'aime tellement...
— De rien, Marc, moi aussi je t'aime. Et vivre, apprendre à vivre à un enfant, à deux, c'est la plus belle aventure à partager...
— Oui... »
Ils se souriaient joyeusement et Alix voyait dans leurs regards qu'ils avaient enfin trouvé leur fierté, leur paix. Leur existence était enfin plus simple.
« Je suis tellement contente pour vous, souffla-t-elle en posant la main sur l'image, j'espère que je pourrai vous le dire en personne quand ça arrivera... »
Puis elle se sépara de l'image des garçons. Voir son entourage heureux lui faisait doucement oublier sa solitude, mais le futur avait un goût d'incertain qui la poussa à regarder, pour sa dernière scène, dans le passé.
Trois ans auparavant, un jour de grand sourire. Parce que même si elle n'y comprenait pas grand-chose, la rousse était toujours heureuse pour les histoires de ses proches.
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Quatorze février 2014, sortie des cours, devant le collège.
« Rose ? Je peux te parler s'il te plaît ?
— Qu'y a-t-il, Ju ? Tout va bien ?
— Ou... Oui. Je voulais juste...
» ...
— Ju ?! Oh, eh... Juleka ! Ici la terre, allô la Lune ! Tout va bien ? Je sais que mes yeux sont beaux, mais peut-être pas au point de partir à des kilomètres juste parce que tu as croisé mon regard, si ? Ça fait deux minutes que tu n'as pas cligné des yeux !
— Si, ils sont assez beaux pour me faire partir... C'est ça que je devais te dire, je... Tu es absolument magnifique, et pas juste physiquement... Tu es la meilleure personne que je pourrais rencontrer, tu es absolument géniale, et toujours si enthousiaste, tu te bats toujours pour être toi-même et pour exister, malgré ta maladie, malgré le regard des autres, on ne peut pas t'arracher ton sourire à moins de blesser ceux que tu aimes, tu as une flamme de vie absolument magique et même quand je ne parles plus qu'en marmonnant, voire que je refuse de communiquer verbalement, tu es toujours là pour m'aider, pour chercher à me comprendre, pour m'entendre, pour servir d'interprète... Tu me donnes aussi le courage d'être moi, le confort pour prendre l'espace. Et j'ai eu besoin de tout ce qu'il y a en moi pour reconnaître à quel point tu me touches, à quel point je suis accrochée à toi... Je ne sais pas du tout comment tu vas réagir, et j'ai peur, mais je dois te le dire, j'en ai besoin donc...
» Je penses qu'aujourd'hui c'est le meilleur jour pour ça, termina-t-elle en récupérant une rose rouge dans son sac de cours, en fait... Je suis amoureuse de toi, Rose, je suis tombée amoureuse de ta lumière et j'avais besoin que tu le saches, même si...
— Juleka... Je..., murmura la blonde en saisissant la fleur et en la déposant dans ses cheveux, je... Je crois que je ne sais pas comment réagir, parce que je suis profondément heureuse, parce que je n'aurais jamais osé en rêver... Parce que ton mystère, ta gentillesse, ton courage, ta force, ton décalage, ta manière de voir le monde sont des merveilles que je voudrais pouvoir découvrir... Parce que moi aussi, je t'aime, Juleka... »
Les deux jeunes filles rayonnaient de leur bonheur partagé, inattendu, alors qu'elles partageaient leur première étreinte amoureuse, blottie l'une contre l'autre, meilleures amies et amantes, prêtes à tout affronter car elles étaient ensemble, quoi qu'il se passe de terrible dans l'avenir.
De son terrier, la jeune Bunnix sourît. Ce jour-là, elle avait vu la scène, cachée par un buisson. Elle avait remarqué l'état de stress intense où Juleka avait été plongée toute la journée et elle avait voulu voir ce qui se passerait.
Dans l'espace inexistant entre les moments, la perspective était différente, plus complète, et elle avait pu entendre les mots échangés. Mais c'était tout autant une victoire que la première fois.
Comme le souvenir, Alix se sentait à présent plus complète. Et, inspirée par tous les bonheurs piochés dans les trous de lapin, la rousse savait qu'elle pourrait continuer à avancer, même seule, car elle voyait toujours ses amis, d'une certaine façon.
Et elle pouvait explorer.
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2601 Mots.
Pas mal. Et je suis à l'heure ! Yes, j'ai failli pas y arriver. Non, mais parce que ce matin, la chanson de Nathalie et Gabriel n'était pas choisie, donc c'était un peu critique, mais j'ai fini avant minuit donc je vais pouvoir publier pile !
Alors, j'ai pas mal à dire. Donc je vais commenter par partie, et regarder les nombres de mots au passage parce que je sais pas laquelle est la plus longue...
L'intro (236 mots). Mon état quand je me suis rappelée que faudrait peut-être trouver une idée et que je ne savais pas quoi faire. Et que y avait des coeurs partout sur les affiches publicitaires. Vu l'état de ce que j'écris autour de février (Doivent-elles toutes mourir, les passés et même Fuite n'était pas le plus joyeux...), vous devez vous être rendus compte que je suis pas fana de la période. Et quand tu traînes sur des comptes aro/aces sur Insta une bonne partie du temps, ça n'améliore pas. Et ne pas avoir d'idée m'énerve très vite.
J'ai fini par trouver. Et être trop contente. Parce que j'aime bien Alix. Et que c'est toujours fun les jackpots. Par contre la chronologie...😬😱😬
Et est-ce qu'on peut parler des meilleurs amis de l'univers ? Je suis pratiquement certaine que Nathaniel le ferait et étant persuadée que Kim et Alix s'entendent bien, il pourrait aussi. Et bien sûr on embarque Ondine et Marc. En vrai, on met pas assez l'amitié à l'honneur, je trouve...
Ladynoir (430): Bon. C'était un peu passage obligé mais ça n'a pas été compliqué. Ca c'est fait vite en fait, je réfléchissais déjà plus à la suite, et comme c'est Héritiers canon, je sais depuis longtemps ce qui s'est passé...
Papyura (708): miaaaaah. Bon. J'ai tenu 3 OS avant de recréer des tenues. Et je voulais absolument thématiser celle de Nathalie sur folklore, je vous ai dit comme j'aime cet album. Et the lakes en particulier. J'ai galéré. Comme une folle. J'ai ressorti les vers. J'ai ressorti les crayons de couleur. J'ai trouvé une feuille de papier. Et j'ai griffoné 3/4 trucs avant de me fixer. J'aime bien. Vous en pensez quoi, vous? *entend déjà les cris d'admiration de Renars de toute façon toi t'aimes toujours*
Et la tenue de Gabriel. On est tous d'accord que le costume noir lui va à la perfection. Mais je pouvais pas faire juste du noir. Du coup impro. Et je crois que ça va.
La chanson a été dure à choisir, mais je l'ai fait. J'ai hésité trente secondes à faire musical, mais trop compliqué, pas assez d'idées...
Marcaniel (682):ça c'était vraiment fun. J'ai adoré. Et à la seconde où j'ai écrit le mot "mari" dans la première incise, je me suis dit que j'avais perdu Sacha. Je t'ai perdue?
(Non mais je me retenais de piailler donc la fan de Marcaniel numéro 1..)
Ils sont adorables. J'aime ces deux gars, vraiment... Pas grand-chose d'autre à dire hormis que c'était plutôt fluide...
Roseka (546): la raison pour laquelle j'ai grincé sur la chronologie. Je voulais faire Kim x Ondine à l'origine sauf que... Bah la chrono passait pas. Je me débrouillerai un jour pour en faire... Mais mia qu'elles sont choupis, je les aime, et c'est tellement facile d'écrire sur elle, même si y a pas de baiser parce que... Mélange de flemme + pas d'inspi + le collège n'est pas forcément le lieu + il était déjà tard.
Dans le global, j'aime bien. Ca a été compliqué (chaque spécial est compliqué mdrr...) mais je suis soulagée de l'avoir fait.
Je vous souhaite une bonne journée à tous, achetez-vous des chocolats, offrez-vous des fleurs, écrivez votre nom dans le sable (est-ce que j'écoute Flowers de Miley Cyrus depuis 15 jours? Oui.), et rappelez-vous bien que la relation la plus importante c'est celle avec vous-mêmes,
Bises,
Jeanne
(14/02/2023)
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