seconde Partie Regulus Black
Et voilà la seconde et dernière partie de mon OS.
Préparez vos mouchoirs
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Regulus_Black jeta un regard écoeuré au Manoir au luxe ostentatoire qui se dressait élégamment devant lui.
Il n'avait aucune envie d'y entrer. Il détestait Lucius Malefoy, et son ton hautain et condescendant, quand à son épouse Narcissa, il la trouvait superficielle, et snob.
Et puis, il était injuste qu'ils vivent au grand jour, sans être inquièté par le magenmagot, alors que lui même, ainsi que les autres mangrmorts, devaient se cacher, et agir dans l'ombre.
Seulement les Malefoy, avaient pignon sur rue. Ils étaient riches et influents et même si tout ke monde savait qu'il était un sbire de Lord Voldemort, personne n'aurait songé à l'accuser ouvertement.
C'est pourquoi Voldemort avait fait de leur manoir, leur QG
Regulus soupira.
Il enchaînait les petites missions sans importance, depuis quelques temps. Depuis...Il ferma les yeux.
L'image de Aiden s'imposa à lui. Aiden, son grand amour. Ils avaient prévu de quitter Voldemort, d'abandonner kes mangemorts, de partir loin de L'Angleterre.
Mais....
Il ne voulait pas penser à lui, pas maintenant.
Il poussa le portail.
Un paon blanc poussa un cri aigu.
Encore un luxe inutile.
Ses pas crissèrent sur ke gravier de l'allée. Il sonna et Dobby, l'elfe de maison de Malefoy lui ouvrit
- Oh Bonjour Monsieur Regulus
Regulus avait toujours eu un profond respect pour le pouvoir des elfe de maison, aussi les traîtait il avec gentillesse.
- Bonjour Dobby. Qui est la ?
- Monsieur Dolohov, Madame Bellatrix, et messieurs Lestrange. Ainsi que mes maîtres. Monsieur.
Regulus grimaça. Il n'avait aucune envie de voir les Lestrange.
Dire qu'il n'y avait pas si longtemps, il aurait été fou de joie, de revoir Bella et Rodolphus.
Mais c'était avant. Avant que Bellatrix ne les traîne Aiden et lui, devant Voldemort. Avant qu'elle ne les surprennent tendrement enlacés
Les mangrmorts n'apréciaient pas les homosexuels.
Et la sentence avait été à la hauteur du présumé crime
Le visage rieur d'Aiden lui apparut clairement.
Il serra les poings et chassa le regard moqueur d'Aiden. Ce n'était vraiment pas le moment.
Il pensait se faufiler discrètement à l'étage, mais c'était sans compter sur Rodolphus qui l'aperçut et l'interpela
- Regulus, quelle bonne surprise ! Tu tombes à pic. On est en pleine célébration !
Regulus fronça les sourcils et jeta un regard dans le salon.
Le champagne coulait à flot.
- Et qu'est ce que vous fêtez au juste ?
A l'instant où il posa cette question il le regretta. Il n'avait pas envie de connaître l'identité de leur victime.
- On l'a eu ! S'exclama alors Rabastan, en lui donnant une grande claque dans le dos qui manqua le déséquilibrer.
- Qui avez vous eu ? Demanda t'il d'une voix qui se voulait neutre
Mais au fond de lui, il redoutait la réponse. Rodolohus affichait une mine trop réjouie.
Regulus se força à ne rien laisser passer de son ressenti. Car il redoutait plus que tout que leur victime soir une personne proche de lui. Il craignait d'entendre le nom de son frère
- cette garce de Méredith ! Claironna Rodolphus
Regulus sentit une terrible nausée, l'envahir.
Pas elle, non, pas Mèry !
Une haine féroce monta en lui qu'il eut du mal à réprimer.
Son nom bourdonnait dans sa tête.
Une douleur lui tordait l'estomac.
Il revait de s'enfuir loin de ce maudit manoir, loin de ces soit disant amis qui lui avaient pris deux des personnes qui comptaient le plus pour lui
Aiden, son amour, était mort. Et maintenant, c'etait au tour de Mèry, sa petite soeur de coeur, sa confidente. son amie d'enfance
- Est ce qu'elle est...? Il ne parvenait pas à le dire, pas plus qu'à empêcher sa voix de trembler.
- Morte ? Demanda Bellatrix un rictus heureux sur ke visage. Oh oui, cette fois on y a veillé.
- Ouais Renchérit Rabastan.
Et on z pris tout notre temps. Trois jours ! Ah tu as raté les réjouissances mon ami. Et en parlant de jouir, celui su s'est le plus amusé c'est Dolohov.
- Ouais, poursuivit celui ci. Depuis le temps, que je voulais lui donner une leçon...
- Tu l'as violée ? Demanda Regulus,dont la voix était monté d'un octave, sans s'il puisse s'en empêcher.
- Et comment ! Cette petite pute ma mordue, tu te rends compte ?
- Elle à pas fait que ça ! Pouffa Rabastan.
Dolohov sourit de plus belle, découvrant des dents,jaunes.
- Ouais elle a de la ressources, pardon, avait de la ressource, ine vraie panthère mais,après la raclée que je lui ai mise, elle est devenue beaucoup plus douce, fini de jouer les terreur pu les grandes dames
La douleur coupait le souffle de Régulus. Une envie de meurtre l'envahit. Il se vit bondir sur Dolohov, et lui arracher les testicules.
Il fallait qu'il sorte de là, ou il allait tous les massacrer jusqu'au dernier.
Sa main était crispée sur sa baguette.
Dans un effort de volonté suprême, il se domina
Bella lui racontait par le menu ce qu'ils avaient fait subir, à celle qui avait tant mis à mal leurs projets, grâce à son don de Legillimens, la sentinelle de l'Ordre.
Mais il ne l'entendait pas.
Des images terrible, du corps supplicié de la jeune femme occultaient toute autre pensée.coherente.
Il avait mal, presque autant qu'il avait eu mal, lorsqu'il avait lancé le sortilège impardonnable de mort contre son ami, son amant, son amour .
Lorsqu'elle eut fini elle lui tendit une coupe
- Allez trinque avec nous c'rst une belle victoire que nous fêtons ce soir
Regulus,n'avait d'autre choix que d'obeir. Il porta la coupe à ses lèvres sèches, d'une main tremblante.
Il.but une gorgée, elle avait un goût de cendre.
Bellatrix se tourna alors vers Rabastan et ils se remémorèrent ce qu'ils considéraient être kes meilleurs moments de ces trois jours.
Regulus posa la coupe qu'il avait à peine touché et s'éclipsa
- Bein, tu reste pas avec nous ? Ce n''est pas tous les jours qu'on réussit à tuer un membre éminent de l'Ordre. S'exclama Bella
- Je suis,fatigué, Bella, répondit il d'une voix mal assurée
Elle soupira
- Bon, dans ce cas va te reposer
Il quitta la pièce avec un indicible soulagement.
La nausée me reprit à la pensée de ce que Méredith avait subi. Il se rua dans les toilettes,les plus proches et à genoux, la tête dans la cuvette des toilettes, il vomit, longtemps.
Épuisé, physiquement et mentalement, profondément choqué, il demeura ainsi in long moment, puis, s'appuya contre le mur.
- Tout va bien la dedans ?
Regulus se crispa.
- Oui, Rod, ça va j'ai du manger un truc pas frais.
Il avait conscience de ne pas être crédible. Rodolphus ne serait pas dupe, mais la douleur était trop grande pour qu'il puisse la cacher.
Il se leva, se passa de l'eau sur le visage, et s'efforça de se constituer une apparence neutre, cachant sa peine sous un masque d'indifférence, puis il ouvrit la porte.
Rodolphus se tenait juste derrière.
- Hum, écoute Reg, je sais que la mort de ma soeur est loin de te réjouir.
Je sais combien vous étiez proche.
- C'était il.y à longtemps. Répondit Regulus. Avant qu'elle nous trahisse.
- Hum, tout ce que je veux te dire c'est que c'était un mal nécessaire. Je ne re parle pas de ce qu'ils lui ont fait subir, ça, c'était inutile, mais sa mort est ce qui pouvait nous arriver de mieux. Sans leur précieuse sentinelle, ce sera plus difficile pour eux, de nous mettre en échec.
Le coeur au bord des lèvres, Regulus hocha la tête.
- Excuse moi, Rod, mais...Je suis vraiment crevé, il faut que j'aille dormir un peu.
- Ah ? Dommage, j'avais pensé qu'on pourrait..
- Quoi ici ? Alors que Bella est juste à côté ? T'es pas sérieux ! Tu imagines si elle nous trouve ensemble ? Rappelle toi cession est arrivé à Aiden, tu veux qu'il t'arrive la même chose ?
Rodolphus soupira.
- Tu as raison. Tant pis. Mais avant tu n'aurais pas eu peur..
- Ça c'était avant qu'elle ne me force à tuer Aiden. Dit il d'un ton amer.
Rodolphus n'insista pas, et Regulus put enfin gagner sa chambre.
Il se jeta sur son lit, et fondit en larmes.
Lorsque ses larmes se tarirent, il Se redressa, et fut pris d'une envie soudaine, absurde, qu'il allait sans aucun doute regretter. Mais c'était un besoin irrépressible.
Il.sortit de la chambre, et quitta discrètement le manoir.
Il transplana chez ses parents, au 12 Square Grimmaurd.
- Oh maître Regulus ! Le salua Kreattur, la maîtresse sera si content de vous voir.
- Oui mais...Je ne reste pas, j'ai juste besoin que tu me rendes un service.
- Bien sûr maître, tout ce que le maître voudra que Kreattur fasse Kreattur le fera, maître.
- Je veux que tu trouves mon frère et que tu lui dises que je serais au parc Grimmaurd jusqu à vingt heure, ce soir.
- Mais...maître, Regulus, Monsieur Sirius est avec les traîtres à leur sang et les sang de bourbe.
- Je sais. Trouve le
Kreattur baissa les oreilles.
- Oui maître.
Et la mort dans l'âme, il transplana.
- Qui est la ? Kreattur ? Qui est entré ?
La voix de Walburga Black raisonna dans le hall de la grande et noble maison des Black.
- C'est moi mère. C'est Regulus.
- Ah Reg, enfin. Je suis très heureuse de te voir mon garçon.
Regulus ne put s'empêcher de sourire.
Le bonheur de sa mère, ne se voyait nullement, sur son visage ridé, et ses traits durs.
- moi aussi, Mère, mais je ne reste pas .
- Oh, j'avais espère...que tu passerais in peu de temps avec ta mère
- Malheureusement, je ne fais que passer
Il embrassa la tempe de Walburga
- Je reviendrais vite. Mentit il.
- Je l'espère bien.
Il quitta la maison et se rendit dans ke parc, derrière les maisons toutes identiques, collées les unes au autres, de chaque cote de la route alignées en rang d'oignons.
Il s'assit sur un banc, et se prit la tête dans les mains
Un rire d'enfant s'egrenna semblable aux pepiements d'un oiseaux
- Tu ne m'attrapera pas
L'image d'une fillette courant dans les hautes herbes près de l'étang, ses longs cheveux noirs flottant autour d'elle, revint harceler sa mémoire
- Je vais t'avoir Mèry criait le petit garçon brun qui courrait derrière elle.
Elle avait six ans, ils n'étaient que tous les deux, Sirius était puni, comme souvent. Comme elle était belle, déjà malgré son visage marbré par les coups que ses frères ne manquaient pas de lui donner.
Les souvenirs s'enchaînaient, des jeux d'enfants datant de l'époque où ils étaient tous trois insouciants, ou Sirius et lui, n'étaient pas ennemis.
De leurs rires leur chahuts, il ne restaient que de lointaines réminiscences, qui parfois affleuraient à da mémoire.
Et puis,il y avait eu Poudlard.
Et il l'avait trouve en larmes, près de ce même étang, Rouée de coups, pour avoir trahi les siens en entrant à Serdaigle, elke avait surtout le sentiment d'avoir été trahie par Sirius
Il l'avait consolé, du mieux qu'il pouvait. Et cela n'avait pas cessé. Peu à peu, quelque chose était né, en lui. Un sentiment, qu'il ne pensait pas pouvoir éprouver pour une fille. Mais elle n'était pzs n'importe quelle fille.
Malheureusement, il restait pour elle, l'ami,le confident, le complice, le petit frère de coeur. Elle n'avait d'yeux que pour ce monstre égoïste, et cruel, qui se perdait dans les bras d'autres filles, son crétin de frère, qui passait son temps à l'ignorer.
- Pourquoi tu traînes avec eux ?
La voix accusatrice de Méredith raisonnait encore à ses oreilles.
- Ce sont mes amis, Mery.
- Ce sont des brutes sans cervelle, ils pratiquent la magie noire à l'école
- Moi aussi.
- Alors tu es aussi stupides qu'eux !
Cela avait été le début de la fracture.
Fini les jeux d'enfants, les confidences, et les rires.
Ils ne s'étaient plus adressé la parole, après ça.
Sauf la veille de leur départ de Poudlard.
Meredith l'avait pris à part.
- Quitte les Reg. Ne deviens pas comme eux. Tu veux tellement mieux que ça.
- Trop tard ! Avait il répondu, fièrement et il lui avait montré la marque indélébile, que lui avait faire le seigneur des ténèbres en personne, sur le poignet.
Elle l'avait giffle.
- Crétin !
Il.lui avait rendu sa giffle, e l'avait aussitôt regrette.
Mais il était trop tard,trop tard pour tout.
Et puis, il l'avait revu, quelques mois auparavant.
Elle avait tué trois de ses amis, maus son combat l'avait fatigué.
Il l'avait affronté, la rage au coeur,
Et l'avait grièvement blessée.
Allongée par terre désarmée, vulnérable, à sa merci, il s'était dressé, debout près d'elle, et avait tendu sa baguette, prêt à l'achever.
Son regard avait alors accroché les grands yeux bruns, frangés de longs cils noirs, qui lui donnait l'apparence d'une biche aux abois.
- Tue moi, Reg. Puisqu'in en est arrivé là, tue moi.
Il avait déglutit, se sachant incapable de lettre fin à sa vie.
Il avait fait venir la baguette de Méredith, et la lui avait tendu.
- Assomme moi. Avait il dit, ou tue moi, Comme tu veux.
Elle l'avaut assomme, et disparut.
Bellatrix était restée persuadé qu'il l'avait aide à s'enfuir. C'était sans doute pour ça, qu'il s'était vu vitrier des missions minables, qui le tenait éloigné du QG. Ils devaient redouter qu'il l'aide à leur échapper. Et c'est ce qu'il aurait fait au risque d'être démasqué et tué, ou pire, oui, il l'aurait aidé
- Tu l'aurais aide comme tu m'as aidé ? Demanda la voix chaude, envoûtante de Aiden.
Il gémit, tandis que le visage de l'homme qu'il aimait lui apparaissait nettement.
Il venait de rentrer de mission, et avait hâte de le retrouver.
Ils avaient décidé de partir de tout laisser derrière eux. Ils étaient jeunes, et pensaient qu'ils etaient trop prudent, trop malin pour se faire prendre.
Mais dans son impatience, il avait oublié de verrouiller la porte, et elle était entrée. Elle les avaient trouve nous et enlacés, dans le grand lit à baldaquin.
- Je le savais ! S'était elle écrié. Une Pédale !
- Bella...
- Habillez vous ! Vous me dégoutez !
- Qu'est ce que tu vas faire ? Avait il demande d'une voix blanche
- Ce n'est pas aloi de juger de votre sentence le maître, décidera.
Elle les avait conduit devant lui malgré les supliques de Régulus
Et Voldemort les avait regardé avec un mépris profond, Comme s'ils avaient la peste.
- Ça ne rémet pas en cause notre loyauté envers vous. Avait dit Reg.
- Vraiment ? Avait répliqué Voldemort. Voyons voir ça. Tue le
Regulus avait blemit
- Vous. Voulez que je le tue ?
- Je t'ai donné un ordre, il me semble. Si tu es aussi loyal que tu le prétends, tu obéiras, dans le cas contraire j'en conclurai que tu mens, et je vous tuerais tous les deux
Bellatrix s'était approche de lui
- Et votre mort ne sera pas douce et rapide, crois moi.
La mort dans l'âme, tremblant de douleur de peur de honte, Regulus avait tendu sa baguette ses yeux avait croisés ceux suppliant de Aiden.
- Reg..Je t'en supplie
- Je n'ai pas le choix. Avait il répondu d'une voix larmoyante
Par la suite il s'était persuadé d'avoir agi en état de choc sans vraiment réaliser ce qu'il venait de faire.
Mais la nuit son fantôme accusateur venait le hanter, à coups de pourquoi.
Aiden, son grand amour, celui qui lui avait fait oublier, qu'il avait aime une fille, qui n'etait pas faite pour lui, qui le faisait rire même quand le coeur n'y était pas, de leurs batailles de polochons, de leurs discutions enflammées jusqu'aux premières lueurs de l'aube, en passant par leurs étreintes passionnées, Aiden, pour toujours,et à jamais.
Il avait perdu les deux personnes qui comptaient le plus dans sa vie. Aujourd'hui, il n'avait plus rien. L'écho de sa solitude lui transperça le coeur.
Une larme glissa sur sa joue, puis une autre, et il fondit en larmes
Sirius était au sous-sol
Il n'avait pas quitter le chevet de,Méredith, depuis qu'on l'avait ramène et déposé sur la table de pierre.
Derrière la porte, en haut des marchés, les Maraudeurs attendaient, sans trop savoir que faire. Ils étaient tous affectés par ce nouveau drame qui venait de les frapper.
Le manoir, d'habitude si bruyant, était d'un calme angoissant. Nul n'osait parler,, et c'est à peine s'ils respiraient.
Un vrai sonore les firent bondir et ils,sortirent leurs baguettes.
Kreattur apparut alors tremblant comme une feuille.
- Mon l'autre m'envoie, couina t'il de sa voix chevrotante j'ai un message pour Sirius Black.
- Qui est ton maître ? Demanda James.Potter, dont la colère avait besoin d'un coupable
- Maître Regulus Black monsieur.
- Tu vas dire à ton maître, que s'il a né serait ce qu'une once de courage, qu'il vienne transmettre son message lui même.
- Mon maître à dit
- ON S'EN FICHE DE CECQUECTIN MAITRE A DIT OU FAUT ! Gronda Benji fenwick.
- Mais Kreattur ne repartira pas sans avoir délivré son message.
- Et quel est ce message ? Demanda la voix caverneuse de Sirius.
- Monsieur Regulus vous informe qu'il sera dans le parc Grimmaurd, jusqu'à vingt heures ce soir.
Sirius déglutit. Il s'y attendait
- C'est bon, dégage, maintenant gronda James
Sirius,monta lourdement les marches
- Que personne ne la touche, dit il je n'en ai pas pour longtemps. James, je compte sur toi.
- Tu ne compte pas y aller seul ! Protesta ce dernier.
- C'est peut être un piège intervint Remus Lupin.
- On vient avec toi ! Renchérit Peter Pettigrew.
- Non ! J'y vais seul. Veillez sur Mery pour moi.
Il quitta le manoir et transplana dans le parc.
Il n'eut aucun mal à trouver son frère et sa fureur, sa haine, ne firent qu'un tour, exacerbé par sa douleur.
Il se rua dur lui, l'attrapa par le col de son trench-coat et le jeta brurakelentvv'contre le tronc d'un arbre
- Je devrais te tuer ! Gronda t'il.
- Fais-le. Si ça peut te soulager, vas y. Ça n'a plus d'importance. Maus juste, dis moi...j'ai besoin de savoir...Mery'
Sirius lui adressa un regard ou la douleur, se mêlait à la haine.
- ELLE EST MORTE ! TES AMIS L'ONT TUE !
Une douleur sans nom, s'empara de Régulus. Malgré tout il avait espèré qu'elle avait survecu. Elle était si forte, si volontaire et si puissante, qye cela paraissait invraisemblable, qu'elle soit morte.
Il poussa un gémissement,
Sirius l'attrapa par l'épaule, et transplana.
Ils entrent au QG, et il.tira son frère derrière lui, devant les membres de l'Ordre, sidérés.
Il le poussa sans ménagement dans les escaliers de pierre et il atterrit brutalement contre la table ou reposait le corps,de Méredith.
Il.poussa un nouveau gémissement de douleur, devant le beau visage de son amie d'enfance.
Les médicomages avait fait du bon travail. Elle avait repris une apparence humaine, mais ils n'avaient pu cacher les marques sombres, qui ombraient ses joues, les traces des mauvais sorts qu'elle avait enduré.
Sa main tremblante cartes la joue glacée.
- Mèry murmura t'il
- OUI, gronda Sirius Mèry, ta Mèry ! Celkecquctunas essayé de tuer il quelques moi Celkecquctunas tu as laissé aux mains de ses bourreaux.
Ivre de rage, Sirius lui appuya ka tête contre le corps de sa compagne.
Il arracha le drap, qui protégeait sa nudité et son corps suplicie.
- Regarde, ce qu'ils lui ont fait ! Pourquoi tu l'as pas aidé ? Pourquoi tu les as laisse faire ?
Regulus se dégagea brutalement.
- J'ETAIS PAS LA ! D'accord ? Je viens de rentrer, je...Je savais pas sinon jamais j'aurais laisse faire ça. Je l'aurais,sauvé quitte à y rester moi même. Les larmes lui brûlaient les yeux.
- Je l'aimais Sirius
- Menteur !
Il se rua de nouveau sur lui le plaque au sol, et le roua de coups.
Regulus se laissa faire. Il était normal qu'il païe. Pour Aiden, pour Mèry, pour les,mauvais choix qu'il avait fait, et qui l'avaient conduit la, aujourd'hui.
James et Remus se tuèrent sur Sirius et l'ecartèrent de son frère.
- Arrête ! Gronda James tu vas le tuer.
- Et alors ? c'est tout ce qu'il mérite.
- Mais tu t'en voudras, après. Lui assura James
Sirius, haletant, en nage, les cheveux trempes de sueur, contempla le visage tumefie et ensanglante de son frère
- Lâchez moi ! Ordonna t'il
Ils obéissent
Sirius donna un coup de pied dans ou à botte de son frère..
- Debout !
Comme il ne bougeait pas, il l'attrapa par les épaules et le releva sans menagement.
- Écoute moi bien, tu n'es plus mon frère, tu n'es plus rien ! Tu vas aller dire à tes amis, que je vais les traquer comme les bêtes qu'ils sont, qu'ils ne seront en sécurité nulle part. Que je me fiche qu'ils soient chez des,gens riches et influents. J'aurais leurs peaux ! L'un après l'autre Va Dégage !
Et il.le poussa brutalement dans les escaliers.
Hébété, le cerveaux embrumé par la douleur et la violence qu'il venait de subir, Regulus monta les marches comme un automate.
Une fois en haut, des baguettes se tendirent, l'empêchant de sortir
- Laissez le partir! Gronda la voix de Sirius.
- Mais...Il connaît notre QG, protesta Franc Londubat
- Il ne dira rien, il va juste transmettre un message
- laissez le partir. Renchérit James.
Les baguettes s'abaissèrent et Regulus quitta ke manoir, chancelant
Une fois dehors, il regagna le parc, et soigna ses blessures.
- Tu n'es plus mon frère !
La voix de Sirius raisonnait en lui.
Cette fois, il n'avait plus rien ! La mort de Mèry aurait peut être p kes rapprocher, ils étaient unis dans la même souffrance, le même manque, mais elle les avaient séparés, inexorablement.
Regulus prit alors la décision qui s'imposait. Il savait ce qui lui restait à faire.
Il allait enfin exécuter ce plan, qu'il repoussait depuis des semaines.
Il poussa un profond soupir. Plus rien, maintenant ne pourrait l'en dissuader
Il n'était plus temps de pleurer, mais d'agir. Un Black ne pleure pas, il se venge. Et c'est ce qu'il allait faire.
Il donna quelques coups de baguette, soignant ses blessures, son aspect et regagna le Square Grimmaurd.
- Regulus ? Deux fois dans la même journée ? S'exclama Walburga. Quelle chance.
Regulus soupira.
- Désolé, mère, mais je ne reste pas, j'ai juste quelque chose à prendre dans ma chambre. Pourriez vous m'envoyer Kreattur ? J'ai besoin de lui
Il monta nerveusement les marches conscient que c'était sûrement la dernière fois. Et entra dans sa chambre. Il venait à peine d'y entrer, que Kreattur apparut devant lui.
- Le maître à appeler Kreattur ?
- Oui, j'ai besoin que tu me trouve un médaillon, cherche parmi les bijoux de ma mère, il faut qu'il s'ouvre, pour y mètre un papier à l'intérieur.
Regulus,rédigea alors une courte note.
- Au Seigneur des,Ténèbres
Je sais que je ne serai plus de ce monde bien avant que vous ne lisiez ceci mais je veux que vous sachiez que c’est moi qui ai découvert votre secret.
J’ai volé le véritable Horcruxe
et j’ai l’intention de le détruire dès que je le pourrai.
J’affronte la mort dans l’espoir
que lorsque vous rencontrerez un adversaire de votre taille,
vous serez redevenu mortel.
R.A.B.
Il venait de terminer, lorsque Kreattur apparut.
Regulus glissa le morceaux de papier dans le médaillon et jeta une protection, afin que rien ne vienne corrompre son message
- Kreattur, j'ai besoin que tu m'emmenes dans la caverne. Dit il d'une voix ferme
Kreattur roula des yeux, terrifié.
- Maigre Regulus ne veut pas vraiment aller dans cet endroit effrayant.
- Si ! Et tu vzsm'y emmener et pzs un mot à quiconque .
La mort dans l'âme Kreattur transplana entraînant son jeune maître avec lui.
La caverne était aussi sombre, qu'il le lui avait dit.
Regulus prononça l'incantation, et s'ouvrit l'avant bras le sang gicla sur le mur, et l'arche apparut il la franchirent et Regulus soigna son bras. Il avait besoin de toutes ses forces pour ce qu'il devait accomplir.
Il avait peur, mais il ne réculerait pas.
Olsongea à Méredith, à son rire cristallin, à Aiden et son sourire éblouissant À Sirius et leur ancienne complicité, à ses parents, sa mère surtout, en dépit de sa froideur.
Non, il ne réculerait pas.
Kreattur le transporta sur l'îlot.
- Tu vas me faire boire le contenu de la vasque. Dit il, jusqu'à la dernière goutte.
Kreattur s'agira
- Nin maitre, ne demandez pas ça au pauvre Kreattur
- C'est un ordre ! Tu entends! Quand elle sera vide, tu prendras le médaillon, et tu le détruiras à sa place, tu mettras le médaillon de ma mère. Tu ne devras Parker de ça à personne.
Tu diras à ma mère et à mon frère, que je suis mort, parce que j'ai quitté le service de Voldemort.
Des larmes coulaient dans les grands yeux ronds de Kreattur, mais sa condition d'esclave ne lui permettait pas de refuser d'obéir à in ordre aussi stupide et cruel qu'il pouvait l'être.
Regulus songea à Aiden. Il n'avait pas eu le choix, il l'avait tué, parce que c'était la,seule solution possible.
Il avait tendu sa baguette, et prononcer la formule mortelle le sortilège impardonnable.
- Avada Kedavra
Il avait eu l'impression que ce n'était pas vraiment lui, qui prononçait cette phrase. Comme s'il s'était dédoublé.
La terreur dans les yeux suppliants remplis de larmes d'Aiden,
Il ferma les yeux. Il n'avait pas eu le choix. Se répéta t'il.
Vraiment ? Murmura une voix en lui.
On a toujours le choix. Tu aurais pu mourir avec lui.
Tu as choisi de vivre. Tu as été lâche !
Oui, il avait eu peur de mourir. Il se devait d'être honnête. Il avait hésite mais la peur l'avait emporté.
Et à présent, que sa décision était prise, il avait peur encore mais cette fois, il ne réculerait pas, il irait jusqu'au bout.
La potion était ignoble, mais ce n'était pas tant son goût, qui était insupportable, que ses effets.
Les images terrifiantes de son passé, venaient le hanter. Les visages de ses victimes, les hurlements des gens, moldus, sang de bourbe, prisonniers des flammes dans leurs maisons.
Les visages terrifiés des enfants prisonniers du feu, dans le bus scolaire renversé, lors d'une attaque massive.
Aiden, le suppliant de ne pas le tuer, Méredith, l'exortant à la tuer.
Il était en larmes, et suppliait Kreattur d'arrêter de lui faire boire le poison.
Enfin se fut finit. Il mourrait de soif.
Kreattur avait transplané, le laissant seul sur cet îlot seul face à son destin.
Il rampa vers le bord du lac, et plongea la tête dans l'eau sombre.
Deux mains blanches le saisirent aux épaules, et l'entraînèrent dans le lac.
Il se débattit autant qu'il le pouvait.
Mais d'autres survinrent, et malgré son instinct de survie qui le poussait à se débattre, il ne plus en mesure de se défendre plus longtemps.
Lorsqu'il disparut sous l'eau pour la dernière fois, il se sentit étrangement soulagé. Il s'abandonna alors à la mort. Il avait fini de souffrir.
Il avait tout juste dix neuf ans
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