Goûter au plaisir de la vie -BDSM Partie 2
Je rappelle que cet OS contient de l'abus et des scènes de sexes, je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez.
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Ps: celles qui ne sont pas encore au courant ma Fiction Breathless contient sa propre bande-annonce ;)
Bonne lecture.
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J'ai froid, un homme parlait grâce à un micro car nous l'entendons grâce aux hauts-parleurs. Je ne voyais rien, il faisait noir, j'essaie de bouger mais mes mains sont coincés derrière mon dos. Elles étaient attachés, j'essaie de me défaire mais rien. Je tournais la tête dans tous les sens, essayant de me réorienter.
-Tiens-toi tranquille. Me sermonne quelqu'un d'une voix grave et menaçante.
-Où suis-je, j'ignorais sa remarque, mais il grogna comme réponse et me tira les cheveux afin que je gémis de douleurs.
-Ferme-là, m'ordonne-t-il en lâchant brusquement ma tignasse.
J'étouffe un sanglot, je sentis un léger courant d'air sur mon échine, remarquant que j'étais nu. Des pas s'éloignent, je reste du coup silencieux attendant ce que l'avenir me réserve.
Certains sont dans la même situation que moi, bâillonné et aveuglé par un tissu similaire au miens je présume l'exception de moi car je peux parler mais je ne tenterai rien. J'entendais au loin des applaudissements , des chiffres, tout était encore confus. Que fais-je ici...
Des secondes, des minutes peut-être bien une heure ou deux que je suis dans la même position. C'est-à-dire, genoux posé à terre, mes fesses sur les tibias. Cela crée une atroce douleur, sans doute une crampe, je n'en sais trop rien...
Je somnolais mais quelqu'un me relève sans que je m'y attende, je fis un grommellement plaintif qu'on me dérange alors que j'allais m'endormir. Je me laisse guider par un inconnu qui est derrière moi me faisant avancer dans je ne sais quelle direction.
-Aie ! Me plaignis-je quand quelque chose se planta dans ma nuque, je sentis un liquide se verser dans les veines, il retira l'aiguille et nous réavançons.
Les bruits de foules se font de plus en plus proche, la personne qui me guidait s'en alla et mes points de repères disparurent, non je n'en avais aucun à vrai dire. Mes jambes tremblaient que je me laissait tomber, ma bouche s'entrouvrit dû au manque d'air, j'ai subitement chaud.
-Nous avons là, une personne d'une vingtaine d'année ! S'exclama l'animateur, Hmm... Voyons voir, des bruits de feuilles de fit entendre. Ah, voilà, alors Louis Tomlinson, anciennement étudiant en art mais a interrompt ses études afin de travailler pour être dans les temps dans ses revenues, couleurs de yeux bleu, cheveux châtains de nature lisse,il a été escorté avec son consentement auprès de Monsieur Stanley ici présent. Ces gosses de riches applaudissaient la cruauté que ce Monsieur m'a fait subir, ceci est inhumain.
Nous allons commencer les enchères à 220$.
Comment ont-il réussit à avoir des informations personnelles surtout que j'en ai pas parlé à Stanley.
-300$
-500$ !
Les chiffres se défilèrent, je n'étais qu'une marchandise, pire qu'une pute je dirais... Je sanglote me sentant humilié, je me recroquevillais mais cette chose qui a été imprégné en moi me faisait un effet étrange. Mon intimité était au garde-à-vous, elle a peine frôlé ma jambe que je gémissais. Des gens se sont plus précipités dans leur prix. L'homme qui animait les enchères s'approcha de moi me faisant écarté les jambes, je penchais ma tête en arrière réclamant plus de toucher. J'avais une envi soudaine de sexe, non... Non je ne suis pas comme ça ! Je geignis sentant une main faire quelques vas et vient, sans doute me tester devant des gens pour m'acheter.
-550 000$ Qui dit mieux !?
-1 050 000$, interrompt soudainement un autre homme d'une voix suave et rauque, elle m'en donnait des frissons. Par contre il y avait un blanc sans compté ma respiration haletante.
-Eh bien, personne d'autres ? Une fois ? Deux fois ? Trois fois vendu ! S'exclama ce connard qui m'a touché sans aucune gêne. J'aurai tellement lui donné un coup mais à cause de mon état secondaire j'étais comme ailleurs sans l'être. Des pas lourds sur la balustrade se fit entendre dans ce silence pesant, des mains douces se glissent en dessous de moi afin de me porter. Ces dernières contenaient quelques bagues, je sentis une odeur mentholée et un collier s'amusait à me titiller le nez. Je tremblais d'excitation incontrôlée, il le remarqua et me chuchote:
-Calme-toi, sinon je ne me gênerais pas de te baiser une fois rentré.
J'hoquetais par sa réplique mais aussi par sa voix délicieusement sexy. J'essaie de me contrôler mais rien y faire, je décide donc de fermer les yeux et coller ma tête contre son torse.
*
Les rayons de soleils m'agressèrent la rétine, je cligne plusieurs fois les yeux, la première chose que je vois c'est un plafond blanc, des murs blancs avec quelques tableaux, je ne pourrais les décrire à cause de ma vue floue. Je tâte avec difficulté le lit était d'une douceur puis le matelas était parfait, ni trop dur ni trop mou. Lorsque je fermais les yeux, j'avais envi de sombrer encore une fois dans un sommeil profond mais des bruits de pas s'approchèrent.
-Tu es enfin réveillé.
Je tournais la tête dans la direction de cette voix majestueuses.
-Où-suis je ?
-Chez moi en sécurité.
Je pouffais d'ironie et lui sors d'un murmure que je ne serais jamais en sécurité. Le matelas s'affaisse et je devine qu'il a posé un genoux sur ce premier.
-C'est vrai... même sous une dose aphrodisiac tu réclameras que je te prennes, ton corps le voudras, ton esprit pourra rien faire. Son souffle à la menthe se posa sur mes lippes, me provoqua un frisson. Je voyais brièvement des cheveux brun de nature bouclé, des yeux verts je crois bien... je plisse les yeux afin de le voir nettement mais rien à faire.
-Pourquoi je ne vois rien, murmurais-je sensuellement sans m'en rendre compte.
-Ils t'ont donné une trop forte dose de cette drogue. Siffla-t-il, non contre moi mais contre les hommes qui m'ont rendu dans cet état. Ses mains se placèrent de chaque côté de ma tête, je me pince les lèvres sous la nervosité de chaque mouvements qu'il fait. Ses doigts caressaient tendrement ma joue d'une tendresse incertaine, je soupire d'aise en fermant les yeux. Cependant il appuie ses lèvres contre les miennes, je répondis à son baiser en fronçant les sourcils, je ne peux toujours pas contrôler mes gestes que cela en devient frustrant. Cela était un baiser doux jusqu'à qu'il change le rythme afin que cela devient plus endiablé. Je geignis et manquait d'air, réussis à presser ma main sur son épaule cela était un effort monstre. Il se recula pour m'admirer et je repose inlassablement mon bras sur le matelas. Nous reprenons notre souffle, aucun de nous parle faisant place au silence des plus gênant pour ma part.
-Repose-toi. M'ordonne-t-il en retirant ses jambes du lit pour se relever. Il tira sur la couverture afin de mieux me couvrir puis partit sans un autre mot de plus.
*
Le lendemain a été assez étrange, j'ai pu correctement me redresser mais il m'a conseillé de rester au lit encore un peu.
-Ce soir tu pourras te lever, me renseignait-il simplement après m'avoir donné un plateau repas, avec j'étais au petit soin mais savoir que je vis dans la demeure d'un inconnu me met dans un sentiment d'angoisse. Il me regardait manger, il se pinçait les lèvres et serra ses mains sur ses cuisses.
-Vous allez bien ?
-Si tu savais, il riait jaune puis devenait peu à peu sérieux, sais-tu pourquoi tu était dans une vente aux enchère, Louis. Il prononçais parfaitement mon prénom, émettant les bonnes syllabes.
-Non, je l'ignore, marmonnais-je en baissant la tête puis prend un bout du pain brioché.
-Nous appelons dans notre monde les personnes vendus devraient être consentant à être acheter par un dominant.
-Ou va l'argent après avoir acheté le soumis ?
-Dans le compte en banque du soumis, une fois que le dominant n'ait plus rien à faire avec, car le soumis doit impérativement déménager dans le logement du dominant.
Je déglutis difficilement face à de tels informations, je serais coupé du monde.
-Mais je ne t'oblige en rien de partir, Louis. Tu as été ramené de force et cela m'a répugné de voir Stanley t'utiliser.
Surpris de sa révélation, cet homme était contre la méthode de Monsieur Stanley, il m'a même informé que je pouvais me libérer de ses chaînes transparentes et revivre dans ma désastreuse routine. C'est vrai que je préfère vivre ici au côté d'un seul homme que de faire la pute.
-Qu'est ce un dominant ?
-Connais-tu la pratique BDSM, Louis ?
-Je... j'en ai déjà entendu parler.
-Je te passerai le formulaire afin que tu saches à quoi t'attendre si tu accepte.
Je hoche la tête puis finis ma tartine beurré.
*
1 mois est passé, je tente dévoiler ma réponse à Harry, oui, j'ai su son prénom grâce au formulaire où ses noms étaient inscrit en haut à gauche de la page de garde. On voyait que c'était écrit par ses soins. Je souffle avant de frapper à la porte de son bureau à l'appartement.
-Entrez.
J'appuie sur la poignet avec une sorte de tension en moi, mais j'ouvre tout de même la porte puis entre dans la pièce bien éclairé par le soleil dû à ses murs blancs. Harry regarde attentivement ses feuilles éparpillés avec les sourcils froncés. Je mords ma lèvre inférieur l'admirant, pendant un mois j'étais chez moi ou bien faire du plaisir a des inconnus mais lors des fellations ou bien lorsque je me faisais enculer comme une vulgaire poupée de chiffons, je me demandais comment Harry réussirait-il à réchauffer mon échine, à me faire bander comme pas possible, réussir à me faire sortir dès gémissements de plaisir ? Je veux le savoir.
Je pose la feuille de contrat sans prononcer le moindre bruit.
Le bouclé leva le regard vers moi puis le contrat.
-Alors, tu as réfléchis depuis... tout ce temps ?
-Je ne connais rien de ce monde, mais je veux le découvrir... avec toi.
Il hausse les épaules, surprit de mes paroles puis toussote en se levant. Il contourne son bureau afin de me rejoindre puis glisse sa main sur mes reins.
-Maintenant tu es mon soumis, murmure-t-il, son autre main alla jusqu'à ma joue. J'espérais tant que tu acceptes mais plus les jours passent et plus je pensais que tu n'allais pas revenir.
-Je suis là Harry. Je lui souris et il me répond dévoilant ses fossettes. Le bouclé m'embrassa soudainement me coinçant entre lui et son bureau en verre.
-Dorénavant appelle-moi, Monsieur Styles.
-Oui... soufflais-je contre ses lèvres.
-Oui qui ? Dit-il plus durement.
-Oui Monsieur Styles. Répondis-je clairement en l'admirant dans les yeux.
*
Harry prend soin de moi comme je n'ai jamais été chéri, nous avons été a des clubs BDSM, beaucoup de personnes avait un collier d'animaux avec le nom de leur dominant inscrit, je demandais au bouclé pourquoi je n'en ai pas un. Il m'a seulement murmuré que je n'étais pas prêt. Au contraire j'étais prêt à me soumettre à lui même si mon alter ego était touché, avec lui, je n'avais aucune fierté à tenir. Cette dernière s'est brisé quand je me suis mis à vendre mon corps.
Harry me baisait m'ordonnant certaines choses que j'exécute avec plaisir. Il prenait soin de moi, il savait ce que j'avais besoin à chaque fois. Avant de passer à l'action je devais l'attendre nu au pied du lit avec une excitation entre mes jambes.
J'admire la fenêtre ayant les larmes aux yeux, pressant mes bras de mes mains.
Sans que je m'y attende des bras s'enroulent autour de moi, je frémissais à son contact mais des sanglots sortirent.
-Qu'est ce qu'y a Lou' ?
-Je me demande quand vas-tu me faire tiens. Avouais-je en me retournant.
Il regarda chacune de mes perles puis soupire passant sa main sur ma joue.
-Es-tu sur de ton choix ?
-Oui, je le veux depuis bien longtemps.
-Très bien, il passe d'un regard tendre à celui autoritaire. Ouvre cette porte après t'être déshabillé place toi ensuite assis nu prêt à m'accueillir.
-Oui, Monsieur Styles.
Il me passa une de ses clés me montrant laquelle dois-je utiliser, il glissa discrètement sa main sur mon bras me regardant, incertains. Je lui souris pour le rassurer puis il partit me laissant seul.
Je me dévêtit puis enclenché la clé dans le verrou, la porte dévoile une pièce en bois marbre avec toutes sortes d'instruments de... plaisir ? Je m'avance doucement regardant les différentes cravaches, les fouets accrochés sur le mur. Je tourne la tête et un lit est présent droit devant moi, un miroir est ancré dans le plafond axé au lit. Je déglutis puis ma tête tourne à gauche et je vois une commode ignorant totalement ce qu'il y a là-dedans. Je ferme un instant mes paupières pendant que je m'installe au sol. Ma respiration fut tremblante.
J'entends les pas résonner dans la pièce. Des doigts frôlèrent mon épaule nu et glissèrent sous mon menton baisser.
-Regarde-moi.
Je lève ma tête en levant les paupière, rencontre ses paires d'émeraudes. Il était lui aussi nu mais sûr de lui contrairement à moi qui suis gêné envers lui de présenter ce corps sale.
-Es-tu prêt ?
-O-oui, Ha... Monsieur.
Il m'observa puis m'ordonne d'aller vers les deux poteaux. Je m'exécute avec hésitation, je retiens ma respiration quand il empoigne mon poignet pour l'attacher d'une matière métallique et fait la même chose avec l'autre. Harry lève doucement la manivelle afin de m'élever, je ne touchais plus le sol. J'étais maintenant suspendu ce qui m'excitait le plus au point alors qu'il y a quelques secondes j'étais tellement stressé.
-Tu connais le code.
Je hochais la tête et il disparaît de mon champ de vision. Il ne m'a pas forcé à lui rappeler et je l'en remercie intérieurement.
Après une minute, il revient avec un fouet. Je déglutis en l'observant. Il tourna autour de moi, mettant le tissu du fouet sur ma peau. Soudain il commence un coup de fouet, je gémis en levant la tête. Puis d'autres coups arrivent. La douleur fait place au plaisir les plus exotiques que je n'ai jamais goûté.
-Ouvre les yeux, m'ordonne-t-il.
J'ai carrément oublié que j'avais fermé les yeux au moment que le fouet agressait ma peau devenu rouge, marqué par cet instrument. Je les réouvre et vois Harry en face de moi. Il pressa ses lèvres et les bougèrent, je réponds à son baiser ouvrant ma bouche lui permettant d'introduire sa langue. Il empoigne ma virilité et fait des vas et vient ce qui me provoqua des gémissements étouffé. Je serrais les chaînes essayant de ne pas jouir tant qu'il ne m'a pas ordonné.
-Tu es magnifique.
Il arrêta enfin le mouvement de sa main puis glissa ses doigts dans mon antre en mordant mes tétons l'un après l'autre. Je devais garder les yeux ouverts mais mes paupières voulaient être closes, je devais lutter pour cela. Un sentiment de bien être, être désiré, mais au fond de moi, je sais que je l'aime, et une confiance aveugle s'est installé en moi envers lui.
-Jouis pour moi, bébé.
-Harry ! Ma jouissance atterrit précipitamment sur ses cuisses et coule vers le sol propre.
Ensuite Harry m'a porté dans ce lit confortable, me mit sur le ventre et m'attache les poignets mais aussi mes chevilles, je n'avais aucune mobilité et cela me remettait à bloc. Mon intimité était à présent au garde à vous voyant Harry nu et pris un autre instrument. Cette fois-ci c'était une cravache.
Il ne me prévient pas et gifle ma fesse gauche avec son instrument. Une autre sur mon tibia, encore et encore. J'en réclamais en gémissant des "continue".
Il fit une pause en caressant ma peau brûlée par ces coups, le bouclé prend subitement mon menton afin de m'embrasser sauvagement. Je répondais tant bien que mal à son baiser bestial, il savait ce qu'il faisait, il connaît ce que je redoute, mes peurs voilà pourquoi il a insisté avec ses questions. Il ne sait pas mes sentiments envers lui et j'ai peur de sa réaction si j'avoue mon amour.
Tellement dans mes pensés, je sentis quelques choses me pénétrer.
-Owh !
Je tourne la tête et je vois son bras, m'a-t-il pénétré sans que je me rende compte.
Il resta un moment puis fit des vas et viens en douceur puis avec brutalité.
Je gémissais à m'en peter les cordes vocales, c'est bon, si bon de le sentir en moi, nous faisons qu'un, mon intimité se frotta contre le drap à cause des mouvements faits par Harry. Je sentais ma jouissance monter.
-Mon-Monsieur je vais j-jouir !
-Non, pas maintenant.
Je couinais, cela me faisait mal, mais le bouclé me stimulait un de mes tétons, comment pas jouir. Je serrais mes poings jusqu'à que mes phalanges soient blanches lorsqu'il toucha ma prostate. Je geignis n'en pouvant plus, je pleurais même, il a oublié de me mettre un anneau autour de ma bite prêt à se délivrer.
-Je vais te faire jouir à t'en faire mal au cul.
-J'ai envi de...
-J'ai dis non. Murmure-t-il.
Mon dominant caressa mon intimité rougit et s'amusa a toucher ma prostate. Je n'arrivais plus à gérer ma salive trop de sensations en même temps, ma salive coula hors de la bouche, ma respiration saccadé. Mon corps aime être à la merci de son corps, il est essentiellement mon remède, il m'a aidé à aimer la vie sous un angle différent, dans le monde D/S. Harry m'a fais connaître, Zayn Malik qui est un chef d'entreprise de boxer, Niall Horan finit ses études de médecines, soumis au basané. Liam Payne styliste d'une marque américaine et sa collection s'exportera bientôt en France et dans le monde entier. Harry est un politicien mais lorsqu'il est chez lui, il est quelqu'un d'adorable, il cuisine très bien, il est également un fêtard alors que dans la rue ou dans son lieu de travail, il est froid, possessif envers moi, hautain. À chaque fois que mon regard se pose sur lui, mon cœur chavire, mes yeux s'attendrit face à sa beauté.
-Jouis maintenant. Chuchote-il mordant ma jugulaire.
-Harry/Louis ! Nous jouissons en même temps, il combla mon trou de son liquide blanc, son corps se laissa aller sur mon corps. Nous reprenons notre souffle après tant de retenu. J'ai envi de dormir mais mon dominant a décidé autre chose. Le bouclé me détacha et me porta comme une princesse, mes membres tremblent encore dû à l'excitation. Je soupire d'aisance appuyant ma tête contre son torse tatoué.
Il m'allongea dans le lit de sa chambre et s'y installa à mes côtés.
-Harry.
-Oui ? Oh attends, il se redressa et chercha quelques choses dans sa table de nuit puis me présenta un collier en cuir noir et un petit médaillon inscrit "Propriété Styles". Il me le mit et une fois attaché, il dépose un chaste baiser sur mon front. Je touchais tendrement ce collier d'appartenance. Je l'appartiens enfin...
-Il est magnifique. Lui avouais-je. Harry, je dois te dire quelque chose.
-Dis-moi. Il m'adresse un sourire où ses dents sont dévoilées.
-Je... mon regard était baissé puis le relève afin de l'observer. Je t'aime !
Le visage d'Harry montre la surprise, ses sourcils étaient haussés, ses membres sont tendus. Je n'aurais peut-être pas dû, je me mords fortement la lèvre inférieure, les larmes aux yeux. Aucune réponse, je me redresse afin de quitter le lit et quitter cet endroit. Mais le bouclé me retiens par le poignet.
-Je t'aime également Louis.
-Alors pourquoi tant de temps à assimiler ma phrase ? Je m'emportais.
-Je ne m'y attendais pas du tout. M'avoue-t-il. Je ne pensais pas que mes sentiments étaient réciproques. Il tire mon bras afin que j'atterris dans son étreinte.
-Redis-le moi, je t'en supplie. Murmurais-je d'un ton désespéré.
-Je t'aime Louis. Il recula sa tête et glissa ses mains sur mes joues.
Nos regards se croisent puis Harry m'embrasse tendrement, je lâche mes larmes en répondant à son baiser, déplaçant mes mains dans son dos.
Un mois de milles reflections, et trois mois de découverte de ce monde qui n'est pas effrayant une fois qu'on le connaît et qu'on s'y renseigne. Même si nous nous aimons, je n'empêche aucunement Harry de pratiquer ses envies sadomasochistes envers moi. J'ai repris goût de la vie et repris mes études d'art grâce à mon bouclé.
Merci Harry de m'avoir sauvé au bord du suicide... De la dépression, je me sens revivre grave à toi...
Je t'aime.
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Joyeux Noël à vous tous, j'espère qu'il vous a plu, j'ai mis une semaine à faire la partie 2 ^^"
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