Non corrigé, cet Os contient des scènes de sexes et aussi d'abus. 🔞
Je vous ai prévenu, je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que vous lisez.
J'ai décidé de faire un autre OS pour donner du frais à mon recueil
Musique : Lizz Roxas Thème-

Ma vie n'avait aucune signification...

J'étais destiné à vivre seul à abuser de mon corps afin de gagner des récompenses pour payer mon loyer que je peux à peine débourser...

Mon corps est souillé par tant d'homme, j'exécute leur ordre, c'est le contrat et je dois le respecter. J'étais une prostitué pas par choix mais par obligation... Les études m'ont défailli à cause de ma pauvreté, je ne pouvais plus payer les frais de scolarité ni même mes repas. Je me suis résignée d'arrêter... Tout arrêter, cela était bien mieux ainsi, avoir les regards du campus fixés sur vous toute la journée était pire qu'un cauchemar surtout quand des rumeurs se crées.

"Sa mère est morte d'un cancer, le pauvre...", "Tu savais que son père l'avait abandonné ?", "Je le vois avec des hommes diffèrent, t'en penses quoi ?"

Assez ! Assez de cette souffrance, j'ai donc décidé d'arrêter et me consacrer à ce métier afin de gagner de l'argent pour pouvoir vivre dans un logement et non dans la rue. Je me refusais de vivre davantage dans la désespérance.

Je souffle un bon coup avant de frapper à la porte de mon client pour cette soirée, j'étais habillé décontracté ce qu'il m'a ordonné de me vêtir ainsi, un t-shirt noir inscrit un groupe de rock, un slim qui met en valeur mes fesses, une paire de basket plate. La porte s'ouvrit faisant apparaître un homme d'une trentaine d'année qui m'accueille.

-Entre, il m'adressa un sourire chaleureux afin de me mettre à l'aise mais je connais la technique, ils sont tous pareil les uns comme les autres. Je souris par politesse et entre.

-Bonjour, Monsieur Stanley ?

-C'est bien cela, installe-toi, je m'exécute sur le canapé et le regarde. Il me proposa du thé ou autre boisson chaude, j'optais un café parfumé au caramel. Cette homme charmant changera subitement de comportement lorsque je finirais mon café, je reculais l'échéance en le buvant doucement.

-Que fais-tu dans la vie Louis.

-Je ne suis pas là pour parler de ma vie privé, Monsieur.

-C'est vrai... Mais avant que nous commençons j'aimerai te proposer quelques choses.

-Dites toujours ?

-Je veux t'inviter a une soirée.

-Oh... J'étais pris au dépourvu par cette invitation inattendu, eh bien...

-Accepte, je t'en prie, je te paierais un peu plus que les autres de tes clients.

-Je... Je me pince les lèvres, mais après plusieurs réflexion, j'acceptais son offre. C'était une opportunité d'être moins dans la misère.

Après avoir fini ma délicieuse boisson, je guidais mon client dans sa chambre et je menais doucement la danse afin de l'allumer, mes vêtements se retiraient en deux trois mouvements et j'étais à sa merci, faisant ce qu'il voulait de mon corps. Je simulais pour le faire plaisir mais je ne prenais aucun plaisir, même si il faisait tout pour me caresser, je l'attirais vers mes lèvres le réclamant de me prendre. Il le fit et commença à faire ses vas et viens, je tournais la tête vers la fenêtre qui avait une vue sur la vie New Yorkaise. Je voyais Time Square et ses affiches lumineuses, cela me provoqua un petit sourire pendant que cet homme d'une chevelure châtain était doux dans ses gestes, je me retenais de gémir, je ne voulais en aucun cas prendre du plaisir avec un inconnu. Je le fais pour être payé...

Après notre affaire, je m'étais endormi dans ses bras car il le voulait, cet homme était en manque d'affection et moi de même voilà pourquoi je n'ai pas refusé puis ce lit était confortable comparé au mien qui possédait un vulgaire matelas moue qui me faisait mal au dos.

-Merci Louis. Chuchote Monsieur Stanley.

-Je vous en prie. Répondais-je, il serra sa prise contre moi tandis que moi je commençais à m'endormir.

*

Le lendemain, je me réveille à cause des violents rayons de soleils agressant ma rétine, je me redresse doucement, protégeant mon corps a l'aide de la couverture. J'observe la chambre et vois l'argent que me devait le client, je devais ensuite partir avant qu'il ne rentre. J'emprunte sa salle de bain puis m'habille, lorsque je prends ma récompense un bout de papier tomba.

-Qu'est ce que c'est ? Je me penche pour le prendre et lit. A dans 3 jours, favorise quelques choses de classe.

Je me pince à nouveau les lèvres, ai-je fais le bon choix d'accepter ? Nous verrons bien.

*

Le jour J est arrivé, je plisse ma chemise noir bien fermé, ma mèche est maintenue par de la laque, j'ai opté un slim bleu foncé et des chaussures de villes. Je n'avais rien d'autre de "classe". Monsieur Stanley m'ouvrit toute suite, après que j'ai frappé à la porte. Il me scruta, puis soupire en souriant.

-Tu appelles ça classe ?

-Nous n'avons pas tous le même budget, Monsieur. Déclarais-je d'un ton neutre, il faut savoir que ces bourgeois ne se soucient aucunement des autres qui ont un petit salaire tout comme moi.

-Viens, j'avais prévu de toute manière. Dit-il en m'emmenant dans sa chambre mais je me stoppa à l'encadrement de la porte de cette dernière.

-Pardon ? Mais...

-Ne t'inquiète pas, je te donnerais toujours un pourboire. J'étais mal à l'aise, c'était bien le premier client qui m'offrait une tenue.

L'homme sort ma tenue de son dressing afin de le poser sur son lit, je l'observait attentivement, c'était une belle tenue de soirée, un vrai smocking.

-Je vais te laisser t'habiller si y a le moindre souci appelle-moi je suis dans le salon. Ne tarde pas trop car on doit y être dans une heure. Me renseigna-t-il, je ne fais qu'hocher la tête car ma voix n'en sortait rien. Je décide de me déshabiller en regardant la fenêtre. Je me vêtit de cette tenue qui doit coûter bonbon, je fis un pas vers la droite sentant quelque chose, j'écarquille les yeux voyant des chaussures pointues noires mais que diable... Je me pince les lèvres en les mettant, j'avais les mains qui tremblent non pas par la peur mais par ce cadeau. Je m'assois en assimilant tout cela, pourquoi m'a-t-il acheté cela. C'est insensé, je souffle en sortant de la chambre en plissant ma tenue.

-Tu es magnifique.

-Je... Merci. Dis-je timidement par ce compliment. Il enroula son bras autour de ma taille. Pourquoi m'avoir acheté cela ?

-Car nous allons à une fête spéciale. Me renseignait-il, m'emmenant hors de l'appart.

-Pourquoi m'avoir invité ?Demandais-je en descendant les escaliers avec lui.

-Tu es special, et j'aimerai que trouves le bonheur.

-Je ne comprends pas. Il me demande de le suivre dans le parking, déverrouillant son véhicule, une Porsche blanche, j'en avais jamais vu de ma vie. Je déglutis en m'aventurant dans un parcours inconnu. Fais-le pour l'argent Louis. Pensais-je, mes tremblements commencèrent à cause de l'avenir. Ai-je fais le bon choix de le suivre ?

Il m'ouvrit la portière tel un gentleman, je le remercie et m'installe confortablement sur le siège en cuir. C'était bien une voiture de luxe, je caressais la matière du fauteuil ne revenant pas où je suis.

Il entra également dans la voiture et insère sa clé pour démarrer son véhicule. Nous sortons du parking révélant un soleil lumineux et couchant qui embellissait la ville de New York. Le ciel était rouge cela était magique, avant je ne me préoccupais pas de ce détail vu que je n'étais focalisé que par mon comportement que je devais adopter. Certains client aimait que je joue le timide, d'autre un obsédé. C'était fatiguant d'être quelqu'un que nous ne sommes pas.

-Tu souris.

Je tourne la tête vers Monsieur Stanley qui me sourit, un sourire chaleureux qui avait réussit de me mettre à l'aise, un sourcil s'arqua sur mon visage.

-Pourquoi dites-vous ça ?

-Tu ne faisais que des sourires faux depuis que nous nous sommes rencontrés, mon père est un psychologue et je connais parfaitement les différents comportements des gens grâce à lui.

-Ah... La majorité de mes clients ne relève pas ce détail. Ne sachant quoi répondre, je me pince les lèvres abîmés à force de faire ce geste met quelques fois une pression avec mes dents. Vous analysez tout le temps les gens ainsi ?

-Ceux qui m'intéresse, je rougis instantanément, si cela se trouve c'est un psychopathe ? Je n'ai même pas eu le temps de répliquer qu'il s'arrêta devant un immense bâtiment.

-Je peux savoir ce qu'est comme fête ? Demandais-je avec agacement de me trouver dans l'inconnu.

-Une fête pas comme les autres, déclare-y-il en sortant de la voiture, il donna les clés à quelqu'un, ce dernier me demanda de sortir du véhicule afin qu'il la mette dans un parking privé. Eux et leur vie de luxe... Je grogne en sortant de la Porsche, le châtain se rapprocha de moi et me guida dans le bâtiment mettant sa main sur ma taille.

-Je suis une sorte d'escorte boy ?

-Tu ne seras pas le miens en tout cas. Me rassura-t-il avec un sourire pleine de malice. Je me crispe et deviens de plus en plus tendu à chaque pas posé sur le tapis.

-Où m'emmenez-vous ? J'avais de plus en plus peur, cela se ressentait dans ma voix qui craquait. Moi qui voulait m'échapper de son étreinte c'était peine perdu car sa prise se fit plus forte.

-Cesse de gesticuler, M'ordonne Monsieur Stanley.

Deux hommes sont présents devant une grande porte, un bruit de fond se fit entendre par derrière. Mon client présente 2 cartes et les gardes nous ouvrent cette fameuse porte puis nous y entrons. Il y avait beaucoup de personnes, des tables rondes disposés un peu partout, une piste de danse, un DJ mais il y avait une balustrade à côté. Je me laisse entraîné par cet homme de plus en plus mystérieux, je n'aurais pas dû accepter, à cette heure-vu je serais en train de finir une gâterie d'un homme d'une quarantaine d'année au lieu d'être ici.

Je regarde d'un mauvais œil Monsieur Stanley qui lui est fixé droit devant lui, évitant les personnes. Les tables étaient plus ou moins rempli, je me sentais très pauvre à côté d'eux, des bijoux étincelant que possèdent certaines femme tandis que moi je ne possède qu'une montre à bas prix.

Nous nous arrêtons soudainement, je tourne la tête et remarque des hommes assis autour d'une table.

-Bonsoir Styles, Horan, Malik et Payne. C'est une belle soirée qui s'annonce.

Il y avait un brun d'une chevelure ondulé, un blond de nature brune, un basané et un chatain, ils étaient tous différent des uns et des autres. Ma situation paraît tellement insensé... Les 4 personnes me regardaient de la tête au pied.

-Qui est en ta compagnie ? Demanda le métisse.

-Je vous présente Tomlinson. Ils se surnomment que par leur nom ? C'est étrange. Il va participer à cette vente aux enchère. J'essaie de me reculer afin de mieux visualiser Monsieur Stanley.

-Qu-Quoi ?! J'ai rien...

Il me prit d'une force la mâchoire et me réprimande de me taire, il toussote puis gratifie un faux-sourire.

-Je vous prie de m'excuser.

Je regardais désespérément les hommes.

-Aidez-moi... murmurais-je, les larmes aux yeux. Stanley me poussa un peu plus violemment afin que j'avance, il était doux avant et le voilà tectonique. Celui qui a les pointes ondulés m'observa mettant sa main bagué devant ses lèvres charnues, son majeur en dessous de son nez prenant une position réfléchit. Nous nous éloignons de plus en plus de ces hommes qui étaient ma seule chance de pouvoir m'échapper de ce début de cauchemar.

-Stanley, je... Si j'ai fais quelques choses de mal...

-Non au contraire tu vas me rapporter gros. M'informait-il amusé, il me coince dans un coin à l'écart. J'étais coincé entre deux murs, ma respiration fut haletante.

-S'il vous plaît...

-Tu feras un bon soumis. Susurre mon client a mon oreille, il recula sa tête, un sourire en coin apparaît.

Tout à coup, il me mit un tissu couvrant mon nez et ma bouche, j'essayais de me débattre mettant mes mains sur son poignet mais rien à faire. De une il fait une tête de plus que moi, de deux il a une masse musculaire beaucoup plus importante que moi, mes chances de m'en sortir sont pratiquement en vain. Mes yeux se révulsent dû à mon manque d'oxygène, j'essaie de résister mais mes forces m'abandonnèrent peu à peu. Je perdis connaissance sentant mon corps chuter inlassablement mais je fus rattraper.

*