Mark-Who i Am?

Écrit par:BubbleDae Alias LE PADRÉ

Je cours dans les rues que j'aurais préférées désertes. J'ai du mal à respirer, mes poumons me font souffrir et j'ai la très mauvaise impression que mes jambes pourraient me lâcher à tout moment. Je me force à courrir toujours plus vite tandis que je prie le ciel pour que mes deux membres inferieurs tiennent le coups. Si ce n'est pas le cas, je meurs.
Plus que quelques mètres et je suis sauvé. J'accélere un peu et tourne dans une petite ruelle. En apparence, elle ne possède aucune sortie mais ce n'est pas le cas, sinon je ne m'y serais jamais aventuré. A peine me suis-je enfoncé dans la rue sans issue que je saute sur une poubelle pour ensuite escalader un grand muret. Une fois que je suis en sécurité sur la paroi, ils arrivent. Je souris, puis regarde de l'autre côté. Personne. Parfait. Je saute en sûreté alors que j'entends mes assayants grogner. Je souffle de soulagement et me laisse tomber au sol, il faut que je souffle même si ce n'est que quelques instants. Après une bonne dizaine de minutes, je rassemble mes forces pour me lever, il est temps de rentrer, le soleil va se coucher. Je sors de la ruelle, j'en vois quelques uns mais ils sont assez loin pour que je puisse passer. Prenant mon courage à deux mains, je m'aventure dans les rues afin de trouver le chemin de la maison.

La voilà, ma maison, mon chez moi, le seul endroit je peux encore être en sécurité. Je m'approche de la porte et toque quatre fois de façon bien distinctes. J'entends que l'on bouge derrière la porte puis un bruit de serrure qui est déverouilléee se fait entendre. La porte s'ouvre sur ma femme, comme à chaque fois que j'arrive à rentrer depuis trois mois mais alors qu'elle allait m'enlacer nous entendons un grognement et lorsque que je veux me retourner, quelqu'un ou plutôt quelque chose agrippe mon bras. Celi ma femme se met a crier alors que je tente de me débattre tant bien que mal, la tête de mon attaquant est à quelques centimètres de moi, j'ai de plus en plus de mal à le retenir et je me vois déjà dans la tombe. Mais tout à coup mon adversaire tombe, inerte. Je relève le regard pour croiser celui de mon aimée completement paniquée, elle venait de poignarder mon agresseur à l'arriere de la tête. Je me redresse et fait entrer mon épouse, je ferme la porte en m'assurant que personne ne peut rentrer. Celi va s'assoir dans le salon tandis que je vais dans la cuisine afin de lui rapporter de quoi se rafraichir, mais alors que j'ouvre le robinet une douleur me pris dans le bras. J'examine ce dernier et me rends vite compte que ce monstre m'a mordu. Il faut que je réagisse mais une autre douleur me paralyse. Je regarde autour de moi cherchant désespérément une solution. Mes yeux se posent sur le plan de travail où tronent des couteaux de cuisines que j'avais offert à ma femme car elle adorait cuisiner... Enfin... Il me semble.
Mes jambes semblent bien vouloir fonctionner de nouveau, je me mets debout mais lorque j'arrive à me mettre droit, j'ai beau regarder partout, j'ai une impression de déjà vu mais je ne peux dire où je me trouve exactement. Je décide donc de me déplacer vers ce qui me semble être un salon. Malheureusement plus j'avance plus je me sens confus et mal. Ma tête tourne et arrivé à l'encadrement de la porte je tombe, je me rattrape au dernier moment. Je vois alors mes bras ainsi que mes mains. Elles sont grises et mes veines ressortent affreusement. Étaient-elles comme cela avant? Sont-elles normales ? Peut-être, ça non plus je ne peux pas l'affirmer. A ce moment mon mal de tête ce fit encore plus fort mais je sens tout de même une main se poser sur mon épaule.

Tiens? Qui est-ce? Elle me dis vagement quelque chose mais je suis incapable de mettre le doigt dessus. Je crois qu'elle est inquiète , elle à l'air de me parler mais je n'entend pas. Je vois seulement ses lèvres bouger... En parlant de ses lèvres ... elles ont l'air delicieuses. J'aimerai poser les miennes dessus... les goûter juste une fois savoir quel goût elles ont. Et pas seulement ses lèvres , ses petites joues rondes et rougies par le froid, sont petit cou vierge de toute marque que j'aimerai tant marquer, sa peau qui a l'air tellement douce et tendre et... Tellement délicieuse . Juste une caresse... Juste une fois pour savoir ce que ça fait.

Oh...

Un grognement? D'où ça vient? Est-ce que... c'est moi? Sûrement parce que maintenant que j'avance elle recule, elle qui il y a encore quelques instant caressait mon épaule. Mon dieu... Avec ce visage larmoyant et apeuré, elle est sublime. Elle semble si... fragile. Pourquoi me tourne elle le dos? Où va elle en courant? Je la suis dans les escaliers puis à l'étage decouvrant rapidement les pièces au fils de mon passage. Je la rattrape avant qu'elle ne s'enferme dans ce qui semble être sa chambre au vu du lit et de toutes les photos d'elle dans les bras d'un homme. Est-ce son mari? En tout cas pour laisser une femme aussi belle, il est inconscient. Elle est maintenant sur le lit allongée, j'ai l'impression qu'elle m'est offerte. Je grimpe sur elle et la marque sans plus attendre. Cette femme hurle sous moi de toute ses forces tandis que je continue de laisser mes marques sur toutes les parties de son corps que je peux atteindre. Sa voix se fait alors plus faible jusqu'a disparaitre totalement sous mes gémissements . J'avais raison, elle est parfaite. Tellement parfaite que je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça mais maintenant sa peau est froide. Mais je veux sentir de nouveau ce plaisir, je sors du lit puis de la chambre.

C'est l'heure de la chasse

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