Elle marchait.

Elle marchait vite, dans les rues de Londres.

Il lui avait donnée deux heures.

Deux heures pour aller faire un tour, deux heures de liberté.

deux heures avant de retourner chez elle.

Elle arriva dans un petit café et attendait.

Elle attendait son amie, elles avaient prévues de se voir dans ce café à quatorze heures pile.

Mais elle était encore en retard. Elle détester attendre, surtout si son temps était compté.

Surtout si sa lui faisait perdre son temps de liberté.

Son amie arriva, toute souriante auprès de sa sœur de cœur, puis commanda.

Elle souriait elle aussi, elle souriait pour de faux.

Elles parlèrent pendant au moins une heure.

Une heure de tranquillité.

Une heure, à se changer les idées.

Elle partie du café et se dirigea à la librairie.

À chaque fois qu'il la laissait partir. Malgré le peu de temps qu'elle avait, elle faisait toujours un tour dans cet endroit merveilleux.

Cet endroit où elle a passée son enfance.

Cet endroit où, avant, elle passée des heures à lire les titres de chaque ouvrages en espérant trouver son bonheur.

Cet endroit où elle entra.

Elle parcourue les allées, pour trouver un livre qui serai la faire s'évader le temps d'une journée.

-Je me demandais quand tu allais passée, ça fait longtemps qu'on sait pas vus. Dis une voix qui l'a fis sursauter.

Elle se retourna pour voir la personne qui lui avait adressée la parole.

C'était un homme,

Un homme fort avec une belle carrure.

Un homme a l'aspect froid.

Mais avec elle, il changeait.

Avec elle, il était gentil.

Avec elle, il était attentionné.

Avec elle, il enlevait son masque.

Pour elle, il était son confiant.

Pour elle, il était son repère.

Pour elle, il était plus qu'un ami.

Mais pour lui, il l'a considérait comme sa petite sœur.

-Moi aussi je me demandais quand je trouverai le temps de passer, répondit-elle en souriant.

Cette fois, elle souriait, mais pour de vrai.

Il l'enlaça.

-Comment ça va depuis ? Demanda-t-il.

-Ça va.

-Viens avec moi.

Sans un mot, elle le suivit.

Sans un mot, il l'emmena à l'étage.

Sans un mot, il lui donna un livre.

-C'est un livre que j'ai lu il y a pas longtemps.

-Je ne savais pas que tu t'intéressais à ce genre de roman.

-Il me faisait m'évader.

-Alors je le prends. Confirma-elle. Combien ?

-Gratuit pour toi, allez viens.

Sans aucune parole échanger, elle le suivit.

Sans aucune parole échanger, ils redescendirent.

Sans aucune parole échanger, elle garda le livre contre son cœur.

Sans aucune parole échanger, il arrivèrent.

Sans aucune parole échanger, il se stoppa.

Sans aucune parole échanger, il s'approcha d'elle.

Sans aucune parole échanger, elle s'approcha.

Ils fermeront les yeux ils s'embrassèrent.

C'était un baiser chaste.

C'était un baiser sans plus.

Mais pour elle, il signifiait beaucoup de choses.

Pour elle, il apparaissait comme un espoir.

Elle se recula à contrecœur et les regarda dans ses yeux.

Mais son bonheur fus vite couper quand elle se souvenue de quelques choses.

Le temps !

Elle regarda sa montre avec précipitation.

Il était seize heures.

Son cœur commença battre avec fureur, la chaleur montée en elle.

La peur s'empara d'elle, sa respiration s'augmenta.

-Je dois y aller, à bientôt !

Puis elle sortie et rentra chez elle.

Tout en ayant cette pression au cœur.

Elle déposa son sac et son manteau.

Puis se dirigea vers le salon où il l'attendait avec un journal qui cachait tous son visage.

-Tu as 10 minutes de retard. Dit-il Calmement.

-Je sais, excusez-moi. Dit-elle en baissant la tête.

-Je n'en veux pas de tes excuses. Je veux savoir pourquoi tu n'es pas rentré à l'heure.

-Je suis partie à la librairie et je me suis perdue dans les livres. Je n'ai pas vu le temps passer.

-Et ?

-Et quoi ?

-Quoi d'autre ? Tu as fais quoi d'autre ? Demanda-t-il en abaissant son journal.

-J'ai était au café pour aller voir une amie, dit-elle en marchant vers la cuisine. On a discuté pendant une heure.

-Et qui as-tu rencontrer ? Questionna-t-il en se levant pour la suivre dans la cuisine.

-Mon amie et le propriétaire de la boutique. Comme à chaque fois.

-Je te crois, pour cette fois, je ne vais pas sévir à ton retard. Mais fais attention. D'accord ?

Pour seule réponse elle hocha la tête.

-Je veux que tu me parle quand je te poses une question ! S'écria-t-il en lui prenant la mâchoire. D'accord ?

-Oui !

-Très bien, il l'a relacha brusquement. Je vais fais un tour à mon retour je veux que le dîner soit prêt.

Et il partit, la laissant, là, se tenant la mâchoire, avec, presque les larmes aux yeux.

🕐🕑🕒🕐🕑🕝

Dix-neuf heures.

Elle rangeait ses affaires dans sa chambre.

Quand soudain sa voix se fis entendre dans le salon.

-Comment c'est passée ton tour ?

-Bien.

-Assis-toi, je vais te ramener ton repas, j'ai fais ton préfèrer. Poulet à la sauce tomate et frites et au dessert, tes fameux beignets à la confiture.

Elle se dirigea dans la cuisine pour ensuite revenir le lui apporter.

Tout se passer bien, les aliment étaient chauds, il avait ses chaussons préférés aux pieds, il avait pris l'air.

Tout se passer bien.

Enfin c'est ce qu'elle croyait.

Jusqu'à ce qu'il lui poses une question.

Une question qui va faire tout chavirer.

-Chérie ?

-Oui.

-Dis-moi, ce fameux propriétaire là, tu sais celui de la librairie ?

-Oui, je vois, dit-elle en mangeant.

-Regarde-moi quand je te parles.

Alors elle l'obéit.

-Je vais te poser une question, une seule question, OK ?

-Oui. Dit-elle.

La tension commençait à monter en elle, le stress faisait son apparition et peur à rugir.

-Et je veux la vérité, c'est clair ? Demanda-t-il avec un ton froid et dur.

-Oui.

-Est-ce-que tu m'aimes ?

-C'est quoi cette question stu...

-Réponds à ma question, dit-il en détachant chaque syllabes.

-Bien sur mon amour, c'est évidant, tu es tout pour moi.

-Tu n'oserais pas me mentir quand même ?

-Jamais. Répondit-elle morte de peur.

-Alors pourquoi tu le fais ? Commença-t-il a s'énerver.

-Mais je ne te mens...

-Ah oui ! Et c'est quoi ça ! Cria-il.

Il jeta un journal sur la table.

Elle le pris.

Elle regarda.

Sur le journal, une photo.

Une photo d'elle à la librairie.

Une photo d'elle en train d'embrasser un autre homme.

Une photo qui signerait son arrêt de mort.

-Chéri, je peux tout t'expliquer, je...

-Je ne veux pas que tu m'explique ! Il n'y a rien à expliquer ! Tu m'as trompé et tu vas le payer !

Il se leva d'un coup et la pris par les cheveux.

-Ahhhh, ça fait mal ! Pleura-t-elle.

Sans aucune pitié pour ces paroles, il la fit traînée toute le maison pour se rendre dans leurs chambre.

Toujours en la tenant par les cheveux.

Une fois arrivait il l'a jeta par terre avec force.

-Alors tu ne te plait pas avec moi ? C'est ça ?

-Si... Ah !

Il lui avait mis une claque.

-Arrêtes de me mentir ! Une autre claque.

Sans prévenir il lui mis un gros coup qu'il la fis tomber par terre.

Elle était en pleure, comme a chaque fois qu'il recommençait.

Comme à chaque fois qu'il la frapper.

Comme à chaque qu'elle devait être punie.

Il recommença même s'il voyait qu'elle était en sang.

-Tu...

Un coup...

-N'es...

Un autre coup...

-Pas...

Son but...

-Bien...

La briser...

-Avec...

Les côtes...

-Moi...

Le visage...

-Hein !?

Sans rien dire, elle encaissait.

Sans rien dire, elle souffrait.

Sans rien dire, elle subissait.

Sans rien dire, elle se faisait battre.

🕝🕑🕐🕝🕑🕐

Une heure plus tard, il sortit de la chambre, les mains en sang.

Elle.

Elle était allongée par terre.

Son visage défiguré.

Se tenant les côtes.

Les larmes coulant sur ses joues.

Son corps rempli de bleu.

Après 30 minutes et rester dans cette position, elle se leva avec difficulté.

Elle alla dans la salle de bain.

Enlevant ses vêtements avec délicatesse de peur d'avoir encore mal.

Faisant couler l'eau chaude sous ces os endoloris.

Se lavant avec précaution.

Sortant, se regardant dans la glace.

Se maquiller pour cacher.

Des vêtements chauds pour préserver.

Pleurant sur son sort.

Pleurant, sur ce mal.

Pleurant, sur cette vie.

Elle était dans son lit, couverture sur elle.

Mais dans une autre chambre.

Lui, devait propablement dormir.

Elle pris le livre qu'elle avait achetée aujourd'hui et lus.

Il était minuit, elle tourna une énième page, quand un papier tomba de la page qu'elle avait ouvert.

Un papier froissé.

Un papier griffonner.

Un papier, qu'elle pris.

Un papier qu'elle ouvra.

"Quand tu liras ce mot, il t'auras déjà sûrement frappée pour la énième fois.

À l'époque tu était courageuse, forte et surtout libre.

Aujourd'hui je te vois fragile et prisonnière d'un homme qui t'as briser en deux.

Cela fait 1 an que l'on s'est revue. Je n'avais pas tout de suite remarqué.

Mais quelque mois plus tard tu es rentrée dans la boutique, ton écharpe c'était défaite.

Pour la première fois de ma vie je te voyait avec un bleu au niveau de la joue.

Je n'ai rien dis parce que tu as dus avoir eu un accident.

Mais quand tu arrivais avec toujours un bleu ou une plaie nouvelles. J'ai commencé à me poser des questions.

Je savais que tu sortais toujours avec lui.

Avec son côté agressif, il ne m'a pas fallut longtemps pour comprendre que tu te faisait battre.

Aujourd'hui je t'écrit, car je veux retrouver la personne d'antan.

Je veux retrouver la personne que j'aime.

Oui, que j'aime.

Durant tous ce temps j'ai appris à te connaître, à t'observer.

Les sentiments ont évolué et je veux t'avoir auprès de moi.

Pas auprès de lui.

Alors viens, laisse-le tomber, il ne te mérites pas. Tu n'es pas heureuse.

Plus jamais il ne te feras du mal.

Les hommes qui battent leur femmes, ne sont pas des hommes justes des gros connard. Un vrai homme utilise sa force our protéger sa femme et non pour lui faire du mal.

Plus jamais tu n'auras besoin de te réconforter dans les livres.

Parce que tu m'auras, moi.

Ton confidant, ton repère.

Drago Malfoy."

Elle pleurait.

Elle pleurait de joie.

Enfin quelqu'un pour l'aider.

Enfin quelqu'un lui donne de l'espoir.

Elle sortit du lit.

Elle sortit de la maison.

Traversa le chemin menant à la librairie.

Frappa à la boutique.

Elle s'ouvrit sur le propriétaire.

Il la pris dans ses bras.

Elle pleura.

Il l'embrassa.

Et lui dis quelque chose qu'elle attendait depuis longtemps.

-Je t'aime. Et jamais je ne lèverai la main sur toi. Je te le promets.

Un homme à dit un jour.

Celui qui a vécu le pire, vivra le meilleur.

Après la douleur il y a le véritable bonheur.

Et c'est exactement ce qu'elle avait vécue.

Mais maintenant elle va beaucoup mieux.

Loin de lui, qui s'est réveiller et ne l'a plus jamais revue.

Elle était bien et protéger de tous danger.

Elle était après de celui qu'elle aimait.

Elle était auprès de lui.

Elle, Hermione Granger, était auprès de lui, Drago Malfoy.

🕐🕑🕝🕐🕑🕝

Et voilà un message à toutes celles qui ont vécues ça, car ce sujet me tiens vraiment à cœur.

Dites-moi ce que vous en pensez !

Kiss mes amours 💋💋💋