OS Numéro 66 : Antoine Griezmann ♡
Alexane Giroud.
15 Juillet 2018.
Je suis en famille aujourd'hui, nous sommes arrivé à Moscou après avoir passé une nuit à Istra si nous nous trouvons en Russie c'est pour une occasion spéciale puisque l'équipe de France est en finale de la coupe du monde enfin plus particulièrement mon grand frère Olivier, l'attaquant des Bleus. Je suis si fière de voir mon frère avoir la chance de jouer cette finale, de le voir réalisé son rêve.
Nous voilà à nos places dans les tribunes, je suis à côté de ma belle sœur Jennifer et de ma nièce Jade et aussi ma mère. Mon autre grand frère et mon père sont également présents, nous sommes tous prêt pour soutenir Olivier. Les joueurs font leur apparition sur le terrain pour l'échauffement d'avant match, mon regard se pose sur l'un des joueurs, Antoine. A chaque fois que je le vois ça fait me fait quelque chose, une sensation bizarre parce que j'ai un passifs avec Antoine vu que c'est mon ex conjoint.
Lui et moi nous avons vécu une histoire d'amour de plusieurs années, tout allait bien on c'est même fiancé tout les deux. Mais la vie à deux n'est pas toujours facile, les disputes entre Antoine et moi rythmé notre vie quotidienne plus que tout le reste. On ne pouvait pas rester comme ça, il y a quelques mois nous avons mis un terme à notre relation chose qui n'est pas facile parce que depuis je ne fait que pensé à lui, je l'aime encore ça c'est certain mais c'est trop tard maintenant.
Ce n'est pas le moment de penser à ça, puisque le match va commencé. Pendant la Marseillaise, des frissons me parcours le corps ce n'est quand même pas rien d'avoir la chance d'assister à une finale de coupe du monde. C'est impressionnant d'être ici. Après les hymnes nationales, le match commence et j'espère au plus profond de moi que cette équipe de France va remporté cette finale face à la Croatie. Les choses commencent bien puisque au bout de quelques minutes il y a un joueur croate qui marque un but contre son camp ce qui est un avantage au score pour les Bleus. A peine dix minutes plus tard, la Croatie égalise mais pas longtemps après un penalty est sifflé en faveur des français, c'est Antoine qui s'en charge. Je sais très bien que depuis la finale de Ligue des Champions en deux mille seize, Antoine appréhende les penaltys, je retiens mon souffle et ferme les yeux. Mais quand j'entends l'euphorie qui a dans toute la tribune , je sais que Antoine a réussi son penalty.
A la fin de cette première période le score est à l'avantage des Bleus et comme beaucoup j'espère que ça sera encore comme ça pendant la deuxième mi temps. Et les choses se passent bien puisqu'il y a deux autres buts pour les français, le score est toujours à leur avantage malgré un but pour la Croatie. Ce sont les dernières secondes du match et ça parait tellement long. Enfin l'arbitre siffle le coup de sifflet finale, l'euphorie s'empare des tribunes mais surtout sur le terrain. C'est tellement beau de voir cette équipe de France championne du monde, je suis si fière de mon frère c'est un truc de dingue. Olivier court de partout, heureux de cette victoire. Au bout de quelques secondes, mon regard se pose sur Antoine qui pleure de joie, je ne peux pas m'empêcher d'être très fière de lui, je suis tellement heureuse pour lui.
Nous avons bien évidemment regardé les champions du monde soulevé la coupe qu'ils ont bien mérité. Nous restons dans les tribunes jusqu'à ce que les joueurs soient encore sur le terrain. C'est si beau à voir, la joie des joueurs, de les voir heureux mais surtout champion du monde. La fête va durée toute la nuit à mon avis. Justement les familles nous sommes déjà à Istra, nous nous sommes changés et maintenant nous attendons les joueurs qui devraient pas tarder d'arriver. Nous nous préparons à les accueillir comme il se doit, ils sont dorénavant sur le toit du monde et ils viennent de rentrer dans l'histoire du foot français.
Les voilà enfin, ils arrivent à l'hôtel d'Istra sous un tonnerre d'applaudissements et dans l'euphorie la plus totale. Que c'est beau à voir cette ambiance et de voir les joueurs si heureux. Bien sur j'immortalise ça a l'aide de mon téléphone, pour garder des souvenirs de ce moment que je ne sais pas prête d'oublier, comme chaque personne qui est ici. Mon frère nous rejoins, chaque personne de la famille nous le serrons dans nos bras, nous sommes si fière de lui.
Les joueurs sont en forme, ils sont debout sur une sorte de bar en train de chanter différentes chansons sur le nom de quelques joueurs. Mon regard se pose sur l'un d'entre eux et je ne peux pas m'empêcher de sourire en le voyant heureux d'être champion du monde. Comme tous ils méritent ce sacre, il a fait de nombreux sacrifices pour en arriver là et je ne peux pas m'empêcher d'être très fière de lui.
« - Arrête de le fixer comme ça dis donc. » Me dit Théo, le petit frère du numéro sept, en rigolant.
Je me tourne vers lui en souriant, il est accompagné de Maud. J'ai eu l'occasion de les salué eux et leur parents un peu plus tôt lorsque nous étions au stade, je suis contente de les revoir ça faisait longtemps.
« - Je ne faisait rien. » Dis-je pour me défendre au insinuation de Théo.
« - Ouais c'est ça on t'a bien vu. » Me dit Maud.
« - J'ai rien fait, je vous assure. » Dis-je pour essayer de les convaincre.
Mais rien à faire ils ont bien compris que j'étais en train de regarder mon ex compagnon.
« - Tu sais il t'aime encore. » Me dit Théo.
« - N'importe quoi.
- Je t'assure que c'est vrai. »
Je ne dis rien, je ne sais pas trop quoi penser après ce qu'il vient de me dire.
Au bout d'un moment je suis en train de discuter avec mon frère, bien évidemment nous parlons du fait que maintenant il est champion du monde avant qu'il change de sujet.
« - Tu devrais aller parler avec Antoine. » Me suggère mon grand frère.
« - Pour quoi faire ?
- Vous avez besoin de discuter tout les deux, j'en suis sûr que vous avez pleins de choses à vous dire.
- Je n'ai rien à lui dire, c'est fini entre nous.
- C'est fou comme tu es têtu. Je pense vraiment que ça te ferais vraiment du bien d'avoir une conversation avec lui. Reste là il va arrivé. »
Je n'ai pas le temps de répondre quoi que ce soit que mon frère et déjà partie. Mais au bout de quelques minutes je suis rejoins par Antoine.
« - Ça va ? » Me demande-t-il, en s'approchant de moi.
« - Très bien et toi ?
- Super, tout va pour le mieux.
- Je suis contente pour toi, c'est formidable ce qui vous arrivent. Je suis vraiment heureuse pour toi et je suis fière de te voir avec la Coupe du Monde entre les mains.
- Je suis heureux que tu sois là, même si t'es venue pour ton frère te savoir là fait du bien. »
Suite à ce que vient de me dire Antoine, un grand sourire prends place sur mon visage encore plus quand il me serre dans ses bras. Ça fait si longtemps que je n'avais pas eu un geste tendre de sa part et ça fait tellement de bien.
« - T'es magnifique. » Me dit Antoine en me regardant droit dans les yeux.
« - Arrête. » Dis-je en baissant la tête.
« - Non je te jure. T'es jolie quand tu ris et quand tu me souris. T'es jolie quand tu t'énerves et que tu pètes un peu les plombs aussi. T'es jolie quand tu me regardes comme si j'étais fou, et après tout ce qui se passe entre nous rien ne change. Je te trouve jolie quand tu fais la tête, quand tu fais la folle. Et tu l'es même quand tu me dis que je suis mignon alors que je fais une tête de con. T'es jolie tout le temps même si je te l'ai jamais assez dit. »
Ce qu'il vient de me déclarer me chamboule complètement, ça fait si longtemps que Antoine ne m'avait pas dit de choses aussi gentil et ça me fait tellement de bien à entendre venant de sa part.
« - Malgré ce qui a pu se passer entre nous, notre histoire, nous, ça me manque je te le promets. »
Je fonds suite à ce qu'il vient de dire, depuis que nous nous sommes séparés il y a quelques mois je n'ai jamais cessé de penser à lui loin de là, il obnubile mes pensées en permanence.
Avec Antoine nous nous regardons droit dans les yeux, nos têtes s'approche l'une de l'autre jusqu'à ce que Antoine dépose ses lèvres contre les miennes. À ce moment là des millions de papillons renaissent au fond de moi, heureuse de regoûter aux douces lèvres de l'homme que j'aime. Parce que malgré tout je n'ai jamais cessé d'aimer cette homme dont je suis tombée amoureuse il y a quelques années.
« - Je t'aime et ça n'en doute jamais. Malgré tout c'est toi et uniquement que je veux dans ma vie. » Me dit Antoine.
« - Je t'aime et je ne cesserai jamais de t'aimer. »
Nous nous embrassons à nouveau, heureux de se retrouver. C'est une soirée plus que parfaite.
Imagine pour arogeon6 ♡
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