OS Numéro 36 : Hugo Lloris ♡

Mayssa Rocher.

29 Août 2016.

Je travaille en tant que attachée de presse pour l'équipe de foot de Tottenham et cela depuis quelques années peu de temps après que j'ai quitté Paris, ma ville natale pour venir m'installer en Angleterre suite à des problèmes familiaux.

Je m'épanouie dans le travail que je fait. Je m'entends bien avec la plupart des joueurs, avec certains c'est beaucoup plus compliqué notamment avec l'un des français de l'équipe, Hugo Lloris. Tout le monde le décrit comme quelqu'un de très gentil mais moi soit je n'arrive pas trouvé ce côté là chez lui soit c'est tout le monde qui raconte n'importe quoi. Mais bon je fais avec, même si il peut se montrer très désagréable comme gars.

Je viens d'arriver au stade, en cette journée de match la journée s'annonce chargé avec les nombreux médias présents comme à chaque fois. Peu après mon arrivée je croise les joueurs la plupart me dise bonjour, sauf un bien sûr qui me bouscule carrément, en faisant tombé les papiers que j'avais entres les mains.

« - Tu ne peut pas faire attention merde ! » Dis-je énervé.

Hugo ne se retourne même pas et continue sa route comme si de rien n'était, qu'est-ce qu'il peut bien énervé. Je ramasse mes affaires toujours en colère de plus que Hugo à marcher sur certains de mes papiers, il peut vraiment pas faire attention. J'essaye de calmer ma colère avant d'aller à l'encontre des journalistes présents aujourd'hui. Je fais le point avec eux comme j'ai l'habitude de le faire sur les questions qu'ils seront autorisés à poser, car des fois certains sujet doivent être évités.

Le match vient de se finir sur le score de deux buts à zéro. Je préviens les deux buteurs du jour qu'ils devront aller en conférence de presse, les journalistes veulent voir aussi le capitaine, Hugo, qui a fait un bon match et puis il revient de l'Euro où lui et l'équipe de France sont allées en finale. Je prend vraiment sur moi pour aller lui parler mais bon c'est pour le travail alors je fais un effort. Sauf que a peine je me suis approchée de lui qu'il passe à côté de moi, comme si je n'étais pas là. Je souffle un bon coup pour ne pas m'énerver tout de suite. Je le rattrape par le bras mais j'aurais peut-être pas dû puisque il me pousse assez brusquement, sur le coup je suis un peu choquée par son geste. J'essaye de me ressaisir cette fois-ci en l'appelant.

« - Qu'est-ce que tu me veux ? » Me demande-t-il sur ton énervé.

Je crois que ce fut trop et a ce moment là je m'emporte.

« - Déjà tu vas me parler autrement que ça te plaise ou pas je suis bien obligée d'un minimum t'adresser la parole pour le travail et je te rassure cela ne m'enchante pas plus que toi ! Alors dès que je te dois te dire un mot écoute moi au moins pas pour moi mais au moins pour le travail que je fais ! A moins que ce soit beaucoup trop compliqué pour toi. Mais bon pour l'instant les journalistes t'attendent en conférence de presse ! »

Après avoir débité ces paroles, je m'en vais en le laissant en plein milieu du couloir avec ses coéquipiers qui ont assisté à cette scène. Je retourne me concentrer sur mon travail, qui après enfin quelques heures je fait un dernier point avec quelques journalistes.

Je récupère mes affaires avant de partir, mais Harry Kane l'un des joueurs de l'équipe m'appelle, je me retourne afin de savoir ce qu'il me veut.

« - Nous allons fêter la victoire et le début de saison, ça te dit de venir avec nous ?

- Oh non je ne veux pas vous déranger.

- Allez viens ça nous ferait plaisir que tu sois là. Tout le club sera présent et tu en fait partie.

- Je ne sais pas.

- Allez ! Rendez vous à 21h au bar du coin de la rue. Je compte sur toi. » Me dit-il en me faisant un clin d'œil.

Il vient de repartir tandis que moi je quitte le stade afin de rentrer chez moi, j'ai que quelques minutes de route puisque j'habite pas très loin du stade à vrai dire. A peine rentré je retire mes chaussures et range mes affaires, la journée de travail est fini pour moi.

Je réfléchis à la proposition d'Harry et me décide finalement à aller à cette soirée. Je prend une douche et je me change. Je prend mon temps de me préparer et une fois que je suis complètement prête je me rend sur le lieu de rendez-vous.

Arrivé sur place il y a déjà quelques joueurs et aussi membres du personnel. J'avance timidement au sein du bar jusqu'à ce que Harry me voit, accompagné de d'autres joueurs.

« - Je suis content que tu soit venu. » Me dit Harry en souriant.

Je lui répond par un simple sourire et le remercie pour le verre qu'il vient de m'offrir. L'alcool est présente dans les verres de la plupart des personnes qui sont ici et bien évidemment je n'y échappe pas, je me laisse tenté sans trop en abusé espérons le.

Alors que je discute tranquillement avec des compagnes de joueurs dont je connais assez bien, je me fait bousculer par quelqu'un. Quand je vois qui c'est, je me dis que Hugo a vraiment un problème avec moi aujourd'hui encore plus que d'habitude mais je préfère rien dire et profité de ma soirée. Enfin ça c'était sans compter sur Harry accompagné de Dele Alli qui ont vu ce qui vient de se passer.

« - Qu'est-ce qui se passe avec Hugo entre ça et tout à l'heure dans le couloir des vestiaires ? » Me demande Dele.

« - Ce n'est pas nouveau que lui et moi on se déteste.

- L'amour commence par la haine ! » S'exclame Harry.

Je crois qu'il a vraiment trop bu pour dire ce genre de chose.

« - Il a pas tord, c'est vrai. » Rajoute le milieu de Tottenham.

« - Vous avez trop bu tout les deux.

- N'importe quoi Harry et moi on a bu qu'un verre.

- Alors vous raconter vraiment n'importe quoi. » Dis-je en rigolant.

« - Non c'est pas vrai je suis persuadé qu'il n'y a pas que de la haine entre vous mais autre chose, mais aucun de vous deux veut se l'avouer. Puis je ne suis pas le seul à pensé ça même Dele est d'accord avec moi.

- N'importe quoi, le ciel vous est vraiment tombé sur la tête. »

Les deux rigolent, ils pensent vraiment avoir raison. Mais je ne sais pas pourquoi ils peuvent pensé une seconde que le gardien de but et moi on peut avoir autre chose que ce sentiment de haine. Je ne l'aime pas et ce n'est pas aujourd'hui que les choses vont changé.

La soirée continue au rythme de la musique, je ne sais même pas quel heure il est mais ça fait un moment que je suis ici et je m'éclate bien, finalement je ne regrette pas d'être venue. Certains sont dans de sacrés états, cela me fait un peu rire tandis que j'ai les idées bien claires je n'ai pas beaucoup forcé sur l'alcool et heureusement. Mais bon là j'ai vraiment besoin d'aller aux toilettes j'essaye de me faufiler à travers la foule. Quand j'en sort je croise Hugo son regard s'arrête sur le mien, mais ce n'est pas comme d'habitude je suis bloquée et je n'arrive pas à bouger.

Quelqu'un passe derrière le gardien de but et sûrement sans le faire exprès pousse Hugo qui de retrouve contre moi, ses mains posées de chaque côté de ma tête contre le mur, son corps très proche du mien. Son regard est toujours encré dans le mien, une certaine tension électrique monte entre nous deux. Je suis incapable d'expliquer ce qu'il est en train de se passer mais c'est assez bizarre. Et c'est comme ça pendant quelques secondes jusqu'à ce que quelqu'un appel Hugo qui va rejoindre la personne. Je suis un peu déboussolée par ce qui vient de se produire. Mais je rejoins la salle en essayant de chasser ça de mon esprit pour continuer de profiter de la soirée.

Il est tôt le matin ou tard dans la nuit, enfin je décide de rentrer chez moi. Je salue quelques personnes avant de passer de pas de la porte de l'établissement où j'ai passé la soirée. Je me dirige vers ma voiture, quand soudain quelqu'un m'appelle, je me retourne et découvre que c'est Hugo qui s'approche de moi.

« - Mayssa tu ne vas pas rentré toute seule à cette heure-ci quand même ? »

Je suis étonnée de ses paroles et je me demande si il est vraiment sérieux sachant de comment les choses se passe entre nous.

« - Oh ne t'inquiète pas pour moi !

- Commence pas à te braquer ! Je veux juste m'assurer qu'il ne t'arrive rien en rentrant chez toi.

- Je rentre en voiture donc il n'y a pas de soucis.

- Ce n'est pas une raison une femme seule en voiture c'est dangereux.

- C'est gentil de t'inquiéter mais je n'habite pas très loin. »

Il s'approche encore un peu plus de moi et me prend mes clés de voiture des mains. Je reste immobile presque choquée de son comportement dont je ne suis pas habituée.

« - Allez vient ! » Me dit-il.

Voilà que je me retrouve dans ma voiture conduit par Hugo. Seul le bruit de la musique se fait entendre et les indications que je donne afin que Hugo me ramène me chez moi.

Nous voilà arrivé, Hugo gare ma voiture avant qu'on en sorte. Il me m'accompagne jusqu'en bas de l'immeuble où je vis. Bizarrement je ne sais pas si je dois lui proposé de venir boire un verre chez moi ou lui dire au revoir là, alors que son regard est plongé dans le mien. La tension qui avait tout à l'heure alors qu'on était dans le bar revient se mettre entre nous. Hugo s'approche de plus en plus de moi et je ne cherche pas du tout à fuir ou quoi que ce soit.

D'un coup il dépose ses lèvres contre les miennes en demandant rapidement l'accès à ma bouche pour que nos langues fassent une danse endiablée. Je me retrouve collé contre le mur qui se trouve derrière moi, toujours à l'entrée de l'immeuble, sans détacher mes lèvres à celle de Hugo, qu'il me soulève et j'accroche mes jambes autour de ses hanches.

Au bout de quelques minutes nous nous séparons à bout de souffle, j'en profite pour vite cherché mes clés dans mon sac, nous rentrons vite à l'intérieur jusqu'à rejoindre mon appartement, où à peine rentré une nouvelle fois les lèvres du gardien de but se retrouve contre les miennes pour un baiser langoureux. Une tension et une chaleur augmente intensément et je ne peux vraiment pas me séparer des lèvres de l'homme qui est avec moi.

Je l'invite à rejoindre ma chambre où sur le chemin nos vêtements vols un peu partout. Je me retrouve allongée sur le dos, sur mon lit, juste vêtu de mes sous vêtements tout comme Hugo qui vient de retirer son jean avant de se placer au dessus de moi. Il vient m'embrasser au creux de mon cou, en profitant de me laisser une trace violâtre tout en faisant descendre l'une de mes bretelles de mon soutien-gorge qui quelques minutes plus tard n'est plus sûr mon corps puisque Hugo me l'a enlevé.

Il descend le long de mon corps en déposant de part et autres quelques baisers. Il s'arrête pour chercher dans ses poches de quoi être protégé lors de ce qu'on s'apprête à faire lui et moi. Nos derniers bouts de tissus qui se trouvent encore sûr nous se retrouve vite au pied du lit. Hugo m'embrasse en même temps que nos deux corps ne font plus qu'un. Les coups de rein qui fut doucement et presque tendre au début sont tout différents maintenant ils sont bien plus rapides et intenses. Je ne me retiens pas de crier le plaisir que me donne Hugo qui est d'une telle intensité au point que j'enfonce mes ongles dans son dos.

Je ressens la respiration d'Hugo au creux de mon oreille devenir de plus en plus saccadé alors que je suis sur le point de laisser exploser mon plaisir une dernière fois. Chose qui arrive, Hugo et moi nous atteignons le septième ciel en même temps sous un râle de plaisir pour lui et un crie de satisfaction pour moi.

Après ce moment d'intense plaisir, nous nous retrouvons allongé l'un à côté de l'autre à reprendre doucement notre respiration. C'était presque magique dit donc, je ne pensais pas vivre quelque chose comme ça avec Hugo mais je ne regrette en aucun cas, j'en ai même le sourire aux lèvres de ce moment. Je ne sais pas vraiment ce que cela signifie mais je profite juste, avec Hugo nous recommençons plusieurs fois jusqu'au petit matin.



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