05
Harry attendait devant les portes battantes du bahut après la fille qu'il avait vu hier. Il aimerait bien savoir s'il saurait la reconnaître. Mais il fut vite prit par ses amis qui l'emmenèrent de force, malgré les protestations qu'il pouvait bien faire, vers l'intérieur de bâtiment. Le souci, c'est que même s'il avait attendu là toute la journée, il n'aurait su la voir qu'à la fin de la journée des cours, parce que jamais elle ne passe par là qu'à ce moment-là. Il ne savait pas les cours qu'elle avait, alors il ne pouvait pas savoir qu'elle passait par l'autre entrée qui était beaucoup plus pratique pour elle et qu'elle n'avait limite aucun cours dans le bâtiment où Harry avait presque tout ces cours.
Harry ne participait pas beaucoup à la discussion de ses amis, il était totalement ailleurs. Il était moins présent et donnait beaucoup moins son avis, mais de ça, ces amis n'en avaient que faire, puisqu'ils étaient trop occupés à parler de filles que pour voir qu'Harry ne participait pas énormément à la discussion. Il tentait de voir s'il pouvait l'apercevoir dans les couloirs, mais ce fut peine perdu pour Harry d'avance. La sonnerie retentit et il se dit qu'elle commençait peut-être plus tard que lui, ou qu'elle avait cours autre part. En tout cas, Harry savait où il pourrait bien la retrouvée sans problème. Dans la petite cours où personne ne va jamais. Du moins pas les populaires et elle n'avait pas l'air d'en faire partie puisqu'il ne se souvient pas de l'avoir déjà vue. Il aurait bien aimé faire plus rapidement attention à elle, mais la vie en avait décidée autrement.
Harry était encore une fois en retard en cours, pour le fait qu'il ne se pressait jamais. Le professeur qui en avait assez de tous ces retards exprès, le renvoya aussitôt à l'étude avec un joli billet qu'Harry pouvait ajouter à sa collection. Ce n'est pas un mauvais élève mais ce n'est pas non plus un très bon exemple. Il se fait souvent renvoyé des cours, à cause de retard ou de bavardage, ou encore parce qu'il n'a pas ses affaires qui la deuxième cause la plus courante de son renvoi des cours après les retards. Il pourrait être un très bon élève, très discipliné et tout ce qui s'en suit, c'es juste qu'il n'a pas envie d'être l'élève parfait alors il se contente d'être ce qu'il est, un bon et un mauvais élève à la fois. De toute façon, comme il est au dessus de la moyenne, il n'a pas vraiment besoin de suivre tous les cours, surtout si c'est pour réentendre quelque chose qu'il a déjà entendu des milliers de fois et dont il avait compris tout bien avant.
Harry était un bon petit voyou, il faisait des conneries mais savait se rattrapé quand il sentait sa mère perdre les pédales avec lui. Il était si parfait que sa mère n'arrivait jamais à trouver l'occasion de le punir réellement, puisqu'à chaque fois où elle pouvait, il se rattrapait et l'occasion en venait donc jamais. Cela ne ferait pourtant pas tant de mal que ça à Harry. Il pourrait se rattrapé réellement et se reprendre correctement en main pour ne plus déraillé après, mais la vie avait mit quelqu'un d'autre que sa mère pour faire ce travail. Heureusement pour elle, elle n'aurait pas à s'énervée sur son fils qu'elle aime de tout son cœur et vice versa, sans oubliée qu'elle apporte autant d'amour aussi à sa fille. C'est une famille soudée, qui survit à beaucoup de choses.
Contrairement à celle de la jeune fille qui se brise au fils des jours, tout comme la jeune demoiselle qui est presque la maître de la maison à la place de sa maman qui n'a plus le temps rien. Elle est tellement une fois à gauche et une autre fois à droite qu'elle ne sait même plus se gérée elle-même, alors ces enfants il ne vaudrait mieux pas. C'est pour ça que la jeune fille remplit ce rôle à merveille, mais qu'est-ce qu'elle aurait aimée pouvoir faire comme son paternel, partir en criant au monde d'aller se faire voir parce que c'était de trop pour lui tout ça. Mais c'est son rôle et elle n'a pas le droit de criée autant qu'elle aimerait alors elle se tait et crie intérieurement au monde d'aller se faire voir le plus loin possible qu'il le peut. Elle se contient, telle une mère quand son enfant grandit et prend ces responsabilités en main.
Harry pensait beaucoup à elle et c'était réciproque. Ils se posaient des questions sur l'autre, se demandaient à quoi tournaient ces journées. Évidement ils ne doutaient pas du tout ce que c'était en réalité. Harry ne savait pas qu'elle faisait tout à la maison, qu'elle remplissait le rôle de maman mieux que sa mère elle-même. Et la jeune fille ne se doutait pas qu'Harry n'avait pas une si grande vie de roi que ça, qu'il avait comme même des tâches à faire et qu'il n'était pas non traité en roi, qu'il devait se battre pour avoir certaines et choses et pour gagner la paix venant de sa maman qui était souvent derrière lui comme toutes mamans poules. Mais elle n'était pas non plus, tout le temps derrière lui et il devait donc savoir se débrouillé tout seul couramment, de plus en plus couramment même. Ce qui met d'ailleurs de la distance entre leur relation mère/fils. Elle se détériore et file entre les doigts des deux individus concernés par la situation, ce qui ne plait pas forcément à aucun d'eux, mais ils n'osent pas de l'avoués.
Harry se retrouve à l'étude, l'air ronchon. Il n'aime pas quand il doit affronter la vérité en face parce que c'est trop lourd et trop dur à supporté, mais pourtant, il n'a pas vraiment le choix sur le fait de voir la vérité ou non. Il aimerait fuir, mais il ne peut pas et puis il y a cette mystérieuse fille qui l'intrigue autant qu'elle le fait chaviré. Elle avait l'air si belle, mais si intouchable à la fois que cela le perturbe autant que cela l'inquiète. Parce qu'il est inquiet, inquiet de ne peut-être jamais pouvoir son visage alors que cela en est presque devenu un rêve éveillé. La jeune fille avait un nom mais ça Harry n'est pas encore prêt de le connaître, malheureusement pour lui.
Effy.
Il suffisait de quatre lettres pour faire chavirés Harry et de plus ces quatre lettres définissaient si bien la jeune fille qu'Harry n'arrivait pas à mettre un nom sur elle, tellement que son nom devait lui convenir, et bien c'est le cas. Harry savourerait bien un coca avec elle, mais il a peur qu'elle soit plus thé ou cappuccino. Mais si seulement Harry savait qu'Effy n'était pas aussi chiante et aussi hypocrite que ça. Au contraire, elle s'en fout de tout. Harry est différent des autres garons dont Effy avait croisée le regard. Et Effy était différente de toutes les autres filles dont Harry avait croisé le regard.
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