Second texte
Second texte, avec cette fois Vangalle03. Plus bas, vous retrouverez les juges et aussi quelques informations surement.
Média: Ruelle - Monsters
P.S.: C'est encore du copier-coller, donc ne vous étonnez pas des petits problèmes.
***
Un mois.
Cela faisait un mois que XANA avait étévaincu. Un mois que le super-calculateur était éteint. Un mois oùles Lyokos-guerriers avaient retrouvé une vie normale après leuraventure. Ils pouvaient retrouver une vie de collégiens normale etse concentrer sur leur étude. Leur amitié n'était pas brisée,loin de là. Le groupe restait toujours ensemble, mais Jérémyrestait la plupart du temps enfermé dans sa chambre. Il netravaillait pas sur ses projets de robots, il n'améliorait pasKiwi 2. Il restait assis à pianoter sur son ordinateur portable,semblant un peu inquiet. Même si tout cela était terminé, legarçon avait peur que XANA ne refasse surface. Sauf que c'étaittechniquement impossible puisqu'ils l'avaient vaincu. Le jeunehomme ne décrochait pas de son ordinateur portable. L'Einstein dugroupe releva immédiatement la tête quand on toqua à sa porte.Aelita rentra dans la salle et il fronça les sourcils. L'ange deLyoko le dévisagea avant de s'asseoir sur le lit du garçon ensoupirant.
— Qu'est-ce qu'il ne va pas ?s'enquit-elle d'un air inquiet.
— Tout va bien ! Je vais bien,ne t'inquiète pas, il n'y a pas de problème, mentit l'Einstein.
Aelita soutint sous regard puis soupiraencore. La jeune fille se leva et fit quelques pas vers Jérémy.Elle posa la main sur l'épaule du garçon et contempla sonordinateur portable vint de plonger son regard dans celui du blond.
— Arrête, commença-t-elle d'unevoix calme et douce qui se voulait rassurante. Je sais que tu memens. Pourquoi ne nous rejoins-tu pas dans la cour de récréation ?Moi et les autres, on se demande ce que tu as... XANA n'est pluslà ! C'est fini, on l'a vaincu. C'est terminer. Il n'ya plus aucune menace pour la Terre que nous devons contrer. Alorspourquoi restes-tu enfermer dans ta chambre comme cela ? Sansnous parler en plus.
Jérémy ferma les yeux et prit la mainqu'Aelita avait posée sur son épaule puis la serra avant del'enlever de son épaule. Il rouvrit les yeux et lâcha la main dela jeune fille puis s'écarta. Il évita son regard et sourittristement. Elle allait le prendre pour un parfait imbécile, mais iln'arrivait pas à pouvoir cacher quelque chose à cette fille.
—Tu vois, c'est exactement pourcela que je suis ici et pas avec vous ! (Aelita fronça lessourcils, laissant place à une mine interrogative sur son visage).XANA est mort, c'est vrai. Mais je tiens quand même à m'assurerqu'il n'ait aucune trace pour se reformer. Je veux m'assurerqu'il ne revienne jamais et que tout cela soit bel et bien fini.
— Jérémy, écoute-moi... XANA c'estfini. Il n'existe plus. Tu n'as pas à rester collé sur tonordinateur à tenter je ne sais quoi. Tu es en train de t'isolé etce n'est pas bien pour toi.
Le jeune homme soupira. Il lâcha sonportable et regarda longuement Aelita qui cherchait à capter sonregard. Pourquoi avait-il le sentiment qu'elle allait réussir àle convaincre ? Car elle y arrivait toujours, ce n'était pas,n'importe qui. C'était Aelita, son Aelita. Sauf que pour unefois, la décision du garçon balançait. Pas qu'il n'ait plusautant confiance en la jeune fille, bien au contraire, ses sentimentsse renforçaient de jour en jour, mais Jérémy redoutait vraimentque XANA ne puisse survivre et qu'il soit assez fort pourorchestrer une attaque. Le virus avait déjà prouvé qu'il étaittrès tenace. Et, même si les lyokos avaient toujours réussi à lecontrer, il fallait toujours sans méfier, toujours rester aux aguetset faire très attention. Et peut-être que ce n'était que lui quise faisait des idées pour rien. Il devait angoisser pour rien.
La jeune fille s'éloigna doucementvers la porte. Quand elle fut dans l'ouverture, elle se retourna ettendit une main à Jérémy pour qu'il la saisisse.
— Aller, suis-moi. Viens nousrejoindre, si XANA est mort et si par je ne sais quel miracle il estvivant et qu'il décide de se manifester, on le dégommera encoreet toujours. Tu n'as pas as être tous le temps scotcher à tonordinateur portable, c'est injuste.
— Mais XANA pourrait aussi attendrele mot au je n'y suis plus pour attaquer, contra le génie.
— S'il voulait que tu ne te rendespas compte de son attaque, il l'aurait fait pendant la nuit,pendant que l'on dort. Quoique tu essayes de faire, cela nechangera rien à l'attaque de XANA, encore moins si elle esténorme. Et de toute façon, je ne vois même pas pourquoi on parled'une attaque de XANA, il est mort. Maintenant, s'il te plaît,viens.
Le jeune homme hésita un moment avantde soupirer et de serrer la main que lui tendait la jeune fille. Ilssortirent de la chambre du blond, puis de la bâtisse. Quand ilsfurent dehors, Aelita lâcha la main de Jérémy et fit un signe dela main aux autres. Les deux intellos de la bande rejoignirent lestrois autres qui étaient debout près du distributeur à boisson.
— Bah alors Einstein... Il fautsortir de sa chambre de temps en temps, ce n'est pas bon de resterenfermé vingt-quatre heures sur vingt-quatre, déclara Odd.
— Odd a raison, tu vas finir par tepourrir la santé, affirma Yumi. Qu'est-ce que tu faisais ?
Jérémy réprima un autre soupirad'exaspération mais il ne répondit pas immédiatement. Il laissatomber une pièce dans la machine et sélectionna une boisson chaude.
— Fais attention, tu pourrais teretrouver avec du jus de tomate, marmonna Ulrich.
L'Einstein ne prit pas compte de laremarque d'Ulrich et prit sa boisson avant de boire une gorgé. Ilfit une grimace de dégoût puis tenue le gobelet à l'écart de sabouche. Le liquide était juste infect. Il n'était pas questiond'en boire une gorgée de plus. Jérémy releva les yeux vers Odd,Yumi et Ulrich qui le scrutaient. Il détourna le regard et le posasur Aelita.
— Je tiens à vérifier que XANAn'existe vraiment plus. Imaginer que si ? Je préfèreanticiper au cas où, déclara-t-il.
— Eh bien, tu sais quoi ?N'essaye pas. XANA est mort, totalement mort. On est en vacancesjusqu'à la fin de notre vie ! Tu te rends compte ?Alors, profite au lieu de te pourrir la vie ! Donc,reposons-nous, repose-toi.
Jérémy soupira et s'avoua vaincu.Le garçon n'avait pas envie de se prendre plus la tête avec sesamis. Pas pendant qu'il était en train d'angoisser par unerésurrection improbable et irréaliste de XANA. C'était fini,totalement, XANA n'existait plus. Il n'avait pas à êtreangoissé. Les autres ne l'étaient, pas donc il ne devait pasl'être.
Leur cour allait bientôt commencer.Yumi se sépara des autres pour rejoindre sa classe. Sur le cheminpour aller vers le gymnase, la jeune fille croisa Sissi qui ne manquapas de la prendre en aparté. Au début, la jeune japonaise traçaitson chemin, elle n'avait vraiment pas besoin d'avoir Sissi quitraînait dans ses pattes en dehors des cours. La fille du directeurempoigna le bras de la lyoko-guerrière qui fronça les sourcils. Cen'était pas le genre de Sissi de faire cela. Yumi regarda autourd'elle, il n'y avait personne. Sans prévenir, et sans que Yumisans doute, Sissi la plaqua contre un mur. Puis, elle eut juste letemps d'essayer de se débattre, de voir les yeux de Sissi avantque sa vue se résume au noir et que son corps descende au sol. Lafille du directeur repartit comme si de rien était.
Les autres Lyokos-guerriers s'étaientinstallés en cours d'histoire géographie. Le professeur n'étaitpas encore arrivé dans la salle de cours et les élèves bavardaiententre eux, groupe par groupe.
— C'est bizarre que Sissi ne soitpas encore arrivée, remarqua subitement Aelita.
Ulrich haussa les épaules.
— Peut-être qu'elle s'est brûléeen essayant d'utiliser un fer à boucler.
— Cela serait cool, s'enthousiasmaOdd, ah mince, j'ai oublié de rendre la trousse à Yumi quand jelui ai emprunté son stylo et son blanc. Je vais aller lui rendre.Vous me trouvez une excuse auprès du prof !
— Odd ! Tu es sérieux !
Le blond aux mèches violettes nerépondit pas et bondit de sa chaise pour sortir de la classe. Ilcroisa Sissi qui ne lui adressa pas un mot et marcha en direction dugymnase. Il regarda vers le mur et vit un corps contre, allongé parterre et ne bougeant pas. Yumi. Odd en fit tomber la trousse et seprécipita vers son amie. Yumi respirait, et elle recommençait àbouger un peu.
— Sissi. XANA...
Odd se laissa tomber contre le mur, cen'était pas possible, XANA était mort. C'était sans doute àcause du choque que Yumi disait cela... Mais il ne voyait pas quoid'autre l'aurait mis dans cet état. Laissant place au doute, Oddsortit son portable et envoya un message à Jérémy puis aida laJaponaise à se relever et il la soutint.
— D'accord, on va à l'usine, lesautres vont nous rejoindre bientôt, on prend de l'avance sur eux.
Jérémy sentit vibrer son portabledans sa poche, il le sortit rapidement. Odd lui avait envoyé unmessage.
XANA a attaqué, Sissiest xanatifiée et a attaqué Yumi.
Ramenez-vous à l'usineen vitesse.
Leblondinet serra les dents. Ce qu'il redoutait c'était passé.Soit XANA avait profité de ses quelques minutes d'absences pourcontinuer, soit il avait réussi à contourner son système dedétection et il allait devoir les améliorer. Comment XANA avait-ilsurvie ? Le garçon range son portable.
—Changement de programme, murmura-t-il, XANA a fait des siennes (illança un regard furtif à Sissi). Il faut aller à l'usinedésactiver une tour.
—Sissi est xanatifiée ? En es-tu sûr ? On ne dirait pas,déclara Ulrich. Puis, comment XANA peut-il être encore vivant ?Et attaquer en plus.
— Ellea attaqué Yumi, Odd l'a trouvée. Il faut sortir d'ici. Rallumerle supercalculateur et désactiver la tour.
—Assieds-vous jeunes gens !
Lestrois amis sursautèrent de surprise puis s'échangèrent desregards. Ils étaient devenus des spécialistes en matièred'inventer des excuses, bidons ou non. Ils s'assirent à leurplace, Aelita garda un œil sur Sissi et les deux garçonss'apprêtèrent à prendre le meilleur moment pour inventer uneexcuse. Sauf qu'en plissant les yeux, Ulrich remarqua que les yeuxdu professeur étaient loin d'être banal. Non, c'était le signede XANA. Le garçon le chuchota aux deux autres, et ils se mirentd'accord à voix basse. Aelita se leva, suivit de Jérémy.
—Monsieur ! Jérémy ne se sent pas bien, je vais l'accompagnerà l'infirmerie.
Leprofesseur se retourna, et les élèves tournèrent leur tête versla jeune fille.
— Vousne partirez pas d'ici.
Ulrichse leva d'un bond pendant que Jérémy et Aelita se mirent àcourir hors de la salle. Toute la classe était xanatifiée, ilsn'avaient plus qu'à espérer que tous les membres del'établissement ne le soient pas. Ulrich mit à terre trois de sescamarades qui tentaient de suivre ses deux amis. C'était à lui dejouer maintenant, il devait les retenir du mieux qu'il le pouvait,tout en évitant de se faire tuer au passage, car le retour vers lepassé ne ferait rien.
Yumi etOdd posèrent pied à terre et lâchèrent les cordes qui leurpermettaient d'accéder au monte-charge. La Japonaise se laissa tomber à terre, elle ramena ses jambes près d'elle avantd'enfouir sa tête entre ses jambes. Odd s'agenouilla à sescôtés et posa une main sur l'épaule de son amie.
— Celava aller ?
—Ouais, ouais, je vais m'en remettre dans pas longtemps,répondit-elle. Elle m'a surprise d'un coup, j'espère que celase passe bien pour les autres.
Jérémyet Aelita avaient réussi à semer les autres élèves de Kadicxanatifiés. Il y en avait très peu qui ne l'était pas. Envérité, ils ne savaient pas dire combien exactement. La plupart desnon xanatifié était sois caché en boule dans un endroit improbablede l'établissement ou alors il était parti loin. Les deuxcerveaux du groupe faisaient avancer leur trottinette le plus vitepossible.
— Ilfaut que l'on désactive la tour le plus tôt possible. Ulrichn'arrivera pas à tenir très longtemps. Pas que je doute de sescompétences en art martiaux, loin de là, mais même avec samaîtrise il ne pourra pas vaincre une armée d'enfants etd'adultes tous seuls, dit Aelita.
— Jesais, et j'espère qu'il tiendra le temps qu'il faudra. Enplus, je ne pense pas que la partie sur Lyoko va être du gâteau.Loin de là.
Les deuxadolescents ne perdirent pas de temps. Ils rejoignirent vite les deuxautres à l'usine. Yumi se releva quand elle vit ses deux amis.
—Pourquoi Ulrich n'est pas avec vous ? questionna Odd.
—Pratiquement l'établissement tous entiers est xanatifié. Sans luion n'aurait pas réussi à partir. Mais il faut faire vite, lepauvre, je ne sais pas combien de temps il tiendra.
— Jevais à Kadic ! s'exclama Yumi en fermant les poings. Je suisla plus apte d'entre nous à me défendre. J'ai été prise parsurprise car je ne m'y attendais pas, mais maintenant, je sais cequ'il m'attend. Je ne laisserai pas Ulrich tous seul.
— Tului seras plus utile ici ! À trois on a plus de chancesd'atteindre la tour plus rapidement, contra Aelita.
— Et àun seul, Ulrich ne va pas faire long feu. Je ne laisserais pas Ulrichtous seul, répéta Yumi.
Il eutun moment de silence avant que les choses s'activent un peu plus.Ils avaient trop blablaté, ils avaient perdu du temps précieux etrisquaient Ulrich.
— Bon,Yumi, tu vas à Kadic, et je transfère Odd et Aelita. Go !
Jérémy,Odd et Aelita allèrent au monte-charge. Ils s'arrêtèrent àl'endroit du super-calculateur et Jérémy l'actionna à nouveau.Le monte-charge déposa Aelita et Odd à la salle des scanners etJérémy s'assit sur son fauteuil, prêt à pianoter. La Japonaiserepartit en courant pendant que les deux autres rentrèrent dans lesscanners, puis, Jérémy les transféra sur Lyoko.
Odd etAelita furent virtualisés dans le territoire du désert. Einsteinavait déjà virtualisé le véhicule d'Odd. Aelita passa sa mainsur son bracelet en forme d'étoile pour que ses ailes apparaissentet elle s'envola dans les airs. Les deux lyokos-guerriers restèrentvigilants et s'approchaient vite de la tour. Bien évidemment,celle-ci était bien gardée, plusieurs bloks et une armée dekankrelats les attendaient de pied ferme.
— Jeme demandais... Vu que l'on est que deux, on fait « coucouc'est nous » ou alors on fait « coucou c'est nous 2 »ou versus explosion ? déclara Odd.
— Odd...Ce n'est pas le moment de blaguer, contente-toi pour dégommertoutes les bêtes de XANA, le coupa Jérémy.
— Pff...Pourtant, je trouvais cela drôle moi, c'est ma spécialité detuée des monstres.
Oddplissa les yeux, il approchait de la tour, et une vingtaine dekenkrelats les attendaient ainsi qu'une dizaine de bloks. Ilsavaient du boulot.
—Aelita, je m'occupe des kenkrelats, essaye d'entrer directementdans la tour ou de tuer les bloks ! cria Odd.
—Compris !
Lesbêtes de XANA se mirent à lancer des lasers et les deuxlyokos-guerriers se mirent à contre-attaquer. Aelita en lançant deschamps de force et Odd ses flèches lasers. La jeune fille évitaitles lasers grâce à ses ailes et Odd essayait d'esquiver avec saplanche.
PourAelita, Yumi n'aurait pas été de trop, mais elle pouvaitcomprendre que la jeune fille préférait aider Ulrich dans le monderéel. Elle ne pouvait pas lui en vouloir.
Les deuxlyokos guerriers avaient déjà diminué de presque la moitiél'effectif de XANA.
Jérémysuivait tout cela avait beaucoup d'attentions. La vie de Yumi etd'Ulrich étaient en jeux et ils ne pouvaient pas se permettre delaisser gagner XANA. Pas contre la vie de quelqu'un. L'Einsteincherchait à comprendre, comment XANA avait pu survivre. Il necomprenait pas. Alors qu'il s'apprêtait à pianoter sur leclavier, le monte-charge s'ouvrit. Jérémy souffla de soulagementmais tarda à se retourner.
—Content de vous voir, je ne sais pas comment vous avez fait pour nousrejoindre. Mais on va avoir besoin de vous sur Lyoko, affirma Jérémy.
Cen'était pas Ulrich et Yumi qui arrivaient. Jérémy sauta de sonsiège quand il vit Nicolas et Hervé dans la pièce. Leurs yeux endisaient long sur leur état : ils étaient xanatifié.
—Dépêchez-vous ! Je me...
Jérémyn'eut pas le temps d'en dire plus à Aelita et Odd, les laissantsans savoir ce qui se passait sur Terre au même moment qu'ils sebattaient sur lyoko. Jérémy recula, il le savait très bien, il nepouvait pas faire grand-chose. Il chercha un quelconque câble pourélectrocuter ses agresseurs mais n'eut pas le temps de le prendre.Il fut envoyé contre le mur et quelqu'un d'autre prit sa placesur son siège.
Ulrich respira très vite et s'adossa au mur. Combien de personne savaient-ils assommées et bloqué dans des salles ? Une trentaine en tous peut-être... Ulrich commençait vraiment à fatiguer. Heureusement pour lui, certain xanatifié étaient partis à la recherche des autres, donc moins de travail à faire. Il avait songé à aller jusqu'à l'usine, mais il en avait conclu une mauvaise idée car on pouvait le suivre. Le garçon tenait un ballait en bois en main pour se défendre. Il se planta au milieu du couloir prêt à brandir son ballais pour en mettre à terre plus d'un. Il ne vit pas Sissi arriver derrière lui, ce n'est lorsqu'il entendit un bruit derrière lui qu'il se retourna dans un sursaut.Les yeux vers le sol, il fit le corps de Sissi avachie et immobile.Il leva les yeux, Yumi se tenait devant lui avec une barre de fer à la main.
— Tu as réussi à survivre avec un ballais... C'est aussi performant que cela ?
—Qu'est-ce que tu fais là ? Pourquoi n'es-tu pas avec les autres ?
— Je viens t'aider, tu ne croyais quand même pas que j'allais te laisser.
—C'est dangereux, tu n'aurais pas dû.
— Tu as réussi à rester en vie avec un ballais en bois qui semble fragile. Je pense que je le peux largement avec une barre de fer.
Ils entendirent du bruit, ils se mirent dos à dos et des troupeaux d'élève accompagnés d'autres adultes arrivèrent des deux côtés des couloirs. Yumi serra les dents et Ulrich renforça l'étreinte de sa main sur le ballais. Est-ce qu'à eux deux,accompagnés d'une barre de fer et d'un ballet en bois, ils avaient une chances de vaincre plus d'une vingtaine de personnes ?
—Jérémy ! Jérémy ! cria Aelita.
—Laisse tomber, il faut que tu rentres dans la tour et fissa !l'arrêta Odd.
Les kankrelats avaient été disséminés, ils restaient trois blocks. Aelita en tua un autre et s'apprêta à se poser au sol.Soudainement, alors qu'il survolait la mer numérique pour revenir à l'attaque, la planche d'Odd disparut. Le garçon chutait vers la mer numérique. Vers une fin certaine.
—Odd ! s'écria Aelita.
La jeune fille se précipita et réussit à rattraper Odd de justesse. Elle le reposa au sol et s'éloigna pour tuer les deux bloks restants. Un de ces derniers dévirtualisa Odd avant que le garçon n'ait pu réaliser qu'Aelita l'avait sauvé. Les deux autres kankrelats ne firent pas long feu et Aelita allait pouvoir désactiver la tour.Mais Hervé qui était xanativié pianotait le clavier du supercalculateur pour la dévirtualisé.
Au même moment, Odd arriva et tira Hervé hors du siège avant d'être envoyé contre le mur, et contrairement à Jérémy, il ne s'évanouitpas. Jérémy ouvrit les yeux.
Yumi et Ulrich commençaient à faiblir, les personnes arrivaient de plus en plus et le ballais commençait à se casser en deux. Ils allaient finir par se faire ensevelir par les xanatifiés.
Aelita entra dans la tour, avança au milieu, montant jusqu'au second palier, et plaça sa main sur l'interface.
Aelita
Code Lyoko
Les xanatifiés s'écroulèrent au pied d'Ulrich et Yumi. Hervé arrêta de pianoter, et Nicolas tomba à genoux avant de tomber à plat ventre. Jérémy remit ses lunettes et se releva. Odd fit de même et Jérémy pianota sur son ordinateur.
Retour vers le passé.
Tout recommençait désormais.
La menace était revenue.
Le combat continu.
***
Juges:
Bon, vous connaissez votre travail. Pendant ce temps, je vais travailler sur les critiques et comment je les organiserai. Jusqu'à Samedi. Allez, à bientôt!
P.S.: J'ai fait au mieux pour décoller mais j'ai pas pu tout faire, mais vers la fin, j'ai arrangé. Encore désolé.
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