Chanson d'un fukugawa

Sur son bureau, il pose ses dossiers, ses mains tire un tiroir, une vieille photo de sa mère, il se rappelle de la chanson qu'elle lui chantait pour qu'il s'endorme, rêveur il la chantonne.

Dehors les voie se son apaiser.

   Doucement elle écoute ce doux chant, calmement elle colle leur oreille à la porte.

  Les oiseaux semble chanter cette douce mélodie.

  Pourtant ce quel est triste cette mélodie ... pourtant ce quel dénonce ...

Mais l'homme au cheveux gris continue de la chanter et toute les voix se taisent et l'écoute comme un sage devant ses disciple.

  Ils s'assirent en tailleur devant la porte écoutant cette douce voix de ténor :

« Dirigeants de main ferme toi qui nous a enfermé.

Toi qui nous montre la vois tu nous a trompé

Toi qui m'a créé à ton image

Tremble devant eux

Des milliers de cerisiers       

La révolution occidentale était audacieuse et héroïque

Nous sommes maintenant une nation pacifiste, ouverte d'esprit, où il fait bon vivre

Pédalant sur une bicyclette marquée d'un soleil

Mes bandages au vent

Je chassais les mauvais esprits avec un ICBM

Courant le long de l'autoroute en boucle, je me contrefichais d'être toujours en mouvement

Mon chapeau fermement plaqué à ma tête
Mes mèches rousse dans les yeux

Garçons et filles sont incomparables dans les pays en guerre, à la merci d'un monde éphémère

Des milliers de cerisiers reposent sous le manteau de la nuit, ta voix ne pouvait même pas m'atteindre

Voici le banquet : une cellule d'acier, alors regarde vers le bas depuis ta guillotine

Dans les ténèbres éternelles de ce monde sauvage, je ne pouvais entendre le chant des lamentations

Alors transperce ce ciel azur avec ton pistolet laser

Endurci par plusieurs batailles, tu ressemblais à un officier

La procession des courtisanes allait et venait

Vous tous, rassemblez-vous

Ce sera la marche des Saints, un, deux, trois, quatre

Passant à travers la barrière grâce à la méditation

Dhyana, j'exorcisais la Terre pure

Il y aura sûrement un grand final

A la fermeture des rideaux entre [...] »
Des applaudissements retentirent après plusieurs minute de silence. L'homme au cheveux de lune les regardent. Son auditoire se disperse semblant vouloir s'excuser d'avoir briser ce moment les oiseaux et le soleil on depuis longtemps prit la fuite ...

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