| Une demande de tsukishima_karasuno_ ! J'espère que ça te plaira :) |

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« Je n'ai rien à dire, tu mérites ta place de pilier, Emiko. »

Elle avait sourit, Sanemi l'avait toute suite défier pour connaître ses capacités de combat, elle était devenue la nouvelle pilier du son.

« Tengen n'a pas mal choisi. »

« Venant de toi, c'est un véritable compliment. »

Alors qu'il allait répliquer, un autre pilier venait de les rejoindre.

« Oh, Obanai, qu'est-ce que tu fous là ? »

Elle n'avait pas attendu de réponse qu'elle leur signala qu'elle devait s'en allait. Cela faisait quelques temps qu'elle fuyait le pilier du serpent. Pourquoi ? Elle avait des sentiments pour lui mais ce dernier avait l'air fortement intéressé par Mitsuri. Elle voulait tourné la page.

« Oï Emiko, retrouve moi ce soir. »

Cette dernière avait acquiescé tout en lâchant un sourire, oui, pour oublier Obanai elle couchait avec Sanemi. D'ailleurs, comprenant le sous entendu, le pilier du sepent avait lancé un regard noir au blanc.

« Pourquoi ce regard ? »

« Tu couches avec elle ? »

Il avait haussé les épaules avec un sourire arrogant.

« Qu'est-ce que ça peut te faire ? Tu es sur Mitsuri non ? »

En réalité le noiraud ne savait plus vraiment où il en était. Il appréciait celle qui venait de succéder à Tengen, ils s'entendaient assez bien et ils s'étaient beaucoup rapprochés. Il n'avait pas apprécié le fait qu'elle s'éloigne et il venait de comprendre pourquoi, elle couchait avec Sanemi.

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À présent c'était Obanai qui fuyait la jeune femme, vexé d'apprendre qu'elle couchait avec un autre, pourtant ils n'étaient pas ensemble, il n'avait pas à réagir de la sorte.

« Obanai, nous devons nous rendre dans ce village ensemble.. »

Il ne l'écoutait pas, elle soupire et décide de partir de son côté. Son comportement l'agaçait au plus haut point. Elle ne l'avait pas attendu et était partie la première, y avait beaucoup de routes. Leur chef soupçonnait qu'une lune se trouvait dans ce village, ils devaient faire des repérages et surtout faire attention.

« Eh bien, quelle jolie créature. »

Elle eut tout juste le temps de se défendre de l'attaque de ce démon, si elle n'était pas vigilante, elle serait déjà morte.. son chef ne se trompait pas, voyant les yeux de ce démon.

« Je vais devoir me débarrasser de toi. »

« Tu peux toujours essayer, c'est moi qui vais finir par te bouffer ! »

C'était la deuxième lune, elle savait pertinemment que seule, elle ne le vaincrai pas mais elle devait tenir jusqu'au lever du soleil ou jusqu'à l'arrivé d'Obanai...

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« Je dois l'avouer, tu es quelqu'un de redoutable mais malheureusement, tu as croisé mon chemin. »

Elle avait réussi à ricaner, elle était mal en point, elle savait qu'elle allait mourir, soit il allait la dévorée soit elle allait mourir de ses blessures.

« Je regrette de ne pas pouvoir te manger, tu dois être délicieuse. »

Il était parti, il avait fuit sachant que le soleil allait se lever d'une minute à l'autre.

« Emiko ?! »

Obanai... il n'arrive que maintenant ? Si seulement il l'avait suivi, peut être qu'elle ne serait pas en train d'agoniser.. il s'était précipité vers elle, s'agenouillant pour pouvoir poser sa tête sur ses jambes.

« Bordel je regrette de ne pas t'avoir suivie.. »

« Ce n'est rien... »

« J'étais jaloux. Que tu couches avec Sanemi. »

« Pourquoi ? Tu aimes Mitsuri pourtant. »

« C'est ce que je croyais. »

Pourquoi il fallait qu'il se rende compte des choses au moment où elle allait mourir ? C'était vraiment injuste.

« Obanai.. »

« Je t'aime. Bordel Emiko, tu ne peux pas mourir ! »

Elle sentait qu'elle n'en avait plus pour longtemps. Elle avait posé sa main contre son torse, elle gardait difficilement ses yeux ouvert pour planter son regard dans ses magnifiques yeux vairons.

« Embrasse moi.. »

Il avait retiré ses bandages pour s'exécuter, il ne voulais pas passer à côté de cette unique chance d'embrasser celle qu'il aimait. C'était un baiser tendre et triste à la fois.

« Je t'aime Obanai... »

Ses yeux étaient à présent fermés, son cœur avait cesser de battre et tout ça, dans les bras d'un jeune homme, plus que malheureux.