J'ai toujours mal. J'en peux plus de cette situation. Il faux vraiment que trouve une solution pour me sortir de là...

Je ne sais pas vers qui me tourner je n'ai personne. Les larmes se mettent à couler. je suis à bout là je me lève et décide d'aller prendre de l'air il était 18h et le repas était déjà prêt.

Je sors, me dirige vers le parc et m'installe dans un coin isolé à l'abri des regards.

3H sont passés, j'ai fais que pleurer et penser à ma misérable vie, pas de famille pas d'amis je n'avais rien. Je finis pas me rendre compte qu'il se fait tard et que si je rentre à cette heure impossible pour moi de m'en tirer.

Je reste une heure de plus à penser à une histoire que je pourrai inventer malheureusement pour moi je ne sais pas mentir et je ne l'ai jamais fais d'ailleurs. Pff je finis pas me lever et marcher LENTEMENT vers la maison, je n'avais vraiment pas envie d'y aller.

Je marchais tête baissée tout lentement vers la cité mais je sentais que j'étais suivie, je regarde autour de moi et ne vois personne. Je continue de marcher et tout d'un coup on attrape violemment par le bras.

C'était un homme assez grand vêtu tout en noir. Il est bizarre je crois qu'il n'est pas dans son état normal. Il met sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier et m'emmène dans un endroit très peu éclairé et me jette au sol.

Je me suis mise à crier de toute mes forces, j'avais peur qu'il me fasse du mal. Il me met une balayette.

Lui: FERME TA GUEULE.

Moi: je.. je... vous en prie.. me ...me faite pas de mal

Il me met un gros coup au visage. Le sang coulait j'avais très mal.

Lui: je t'ai dis de fermer ta gueule.

Il se met sur moi et tente de me retirer mon voile, je luttais comme je pouvais pour pas qu'il le fasse. Il me donnait des coups de plus en plus violent. Mon voile finit par se déchiré. Je ne faisais que pleurer j'arrivais plus à crier. Je ne me debattais plus je priais pour qu'il ne me vole pas ma fierté.

Tout d'un coup, il tombe à mes côtés. Une personne se tenait derrière lui avec un bois en main.

J'étais tellement apeurée et avais le visage trempé de larmes que je n'ai pas pu voir son visage. Mais intérieurement, je ne cessais de remercier Dieu. La personne en question s'approcha de moi

Lui: Ne t'inquiètes pas je ne te ferai aucun mal. Qu'est ce qui t'appris de traîner dehors à cette heure?

Bien que je sois sûre qu'il ne me fera rien de mal, je tremblais toujours et mes larmes continuaient de couler. J'étais encore sous le choc.

Il me détailla un peu et remarqua mon voile à moitié déchiré. J'avais honte personne n'avait jamais vu mes cheveux sauf khelti et Sarah. Il fronce les sourcils et retira sa veste pour me la mettre sur la tête. Il m'aide à me lever.

Lui: je t'accompagne chez toi, tes parents doivent sûrement s'inquiéter

Je ne réponds pas et me mis de nouveau à trembler, j'avais de plus en plus du mal à respirer. Je ne savais pas ce qui m'arrivait puis trou noir.

Quand j'ouvris les yeux, jetais dans les bras de quelqu'un. Il a remarqué que j'étais réveillée vu que je m'agitais dans ses bras et me posais au sol. Nous étions devant un appartement,
Il sort des clés de sa poche et ouvre la porte. On rentre et on part jusqu'au salon. Il n'y avait personne.

.....: Viens je te montre ma chambre tu vas te reposer. Demain je te raccompagnerai chez toi

Je ne réponds pas.

Lui: ou tu voudrais manger quelque chose d'abord?

Moi: non ....merci

Lui: t'es sûr

Moi: sah( sérieux) t'inquiète

Lui : vas y.

Il me conduit à sa chambre. Elle était légèrement plus grande que celle que je partageais avec Sarah, bien rangé et tout.

Lui: Mets toi à l'aise. Je serai dans le salon si t'as besoin de quelque chose.

Il se dirige vers la porte et s'apprête à sortir.

Moi : Euh....

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Voilà pour la suite
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