PDV SAM

Ce matin, je suis réveillée par un grand enfant que j'ai nommé Dylan, etd eviné avec quoi il m'a réveillée?

Si, vous savez, cette chose indispensable à notre corps, qui mouille et qui peux être soit chaud, soit tiède, soit froid comme la glace.

Vous n'avez toujours pas trouvé?

C'est simple, ce...cet idiot, viens de me lancer un verre d'eau sur la gueule!

Ce qui fait que je suis actuellement assise sur mon lit, les yeux fermés et la bouche grande ouverte, et trempée. Lorsque je dégage mes cheveux de devant mes yeux pour voir cette idiot en face, je découvre Tyler Posey, Thomas Sangster et Dylan Sprayberry dans toute leur excellence, Thomas et Dylan (S) filment pendant que Tyler se tords littéralement de rire, une bouteille d'eau fermée à la main, quant à Dylan il rit autant que son meilleur pote. Lequel je tue en premier?

Je regarde Dylan, et malgré moi son rire est contagieux, je ferme les yeux et un sourire s'étire sur mes lèvres, je me sens trahie par mon propre frère qui avait promis de ne rien me faire subir pendant le séjour mais la situation me fait rire.

Je regarde Dylan (S) et Thomas et fais un magnifique majeur à leurs caméras.

Quant à Dylan, je le pousse de toute mes forces et il tombe sur son lit, je sort des couvertures et balance mes jambes hors du lit.

-Tyler t'a vraiment de la chance de savoir que je ne te connais pas, mais je te jure que la prochaine fois tu vas souffrir! jurais-je.

Il rit encore plus, bandes de méchants.

-De toute façon, mon perso' préféré dans TW c'est Liam Dunbar, rie-je.

Les rires s'arrêtent subitement et je lis clairement dans le regard de Dylan (O'B) et de Tyler qu'ils sont déçus, quant à Dylan (S), il rit à gorge déployée et il est fière

J'attrape mes affaires sur mon meubles et lance :

-Prends pas trop la confiance non plus, j'ai dis ça pour qu'ils arrêtent de se foutre de ma gueule!

Son rire s'arrête aussitôt et c'est au tour de Thomas de rire, je n'ai même pas besoin de lui rétorquais quoi que ce soit puisque le regard de ses acolytes font tout le boulot.

Je fonce à la salle de bains en oubliant pas mon portable, je me change en quatrième vitesse ne connaissant pas l'heure actuelle. Après m'être attaché les cheveux en une queue de cheval haute et avoir enfilé la casquette des Mets de mon cher frère, je déverrouille mon portable et l'heure numérique apparait.

Il est 8H51 .

J'étais censée être en bas depuis dix minutes!

Plus le temps de rire, je sort de la salle de bains en trombe, saute carrément sur mon lit pour attraper mon chargeur et le fourrer dans mon sac à dos, j'y accompagne mon ordinateur portable, mon casque, mon chargeur d'ordinateur, mon cahier de compo' ainsi que celui de mes créations, je bourre le reste avec des vêtements de rechanges et mes disques durs contenant tout mes fichiers que ce soit d'écriture, de son ou de documents importants pour ma chaîne YouTube.

J'enfile mes Vans en deux secondes, prends les clés de la suite, de l'hôtel que le manageur de je-ne-sais-plus-qui m'avait fourni, prends mes écouteurs et court vers la sortie, je suis bloquée par Tyler, c'est quoi son problème à celui là?!

-Putain bouge ton gros cul de là sinon je te cogne ! m'énervais-je.

Je suis déjà sur les nerfs à cause de leur connerie, du fait que mon réveil n'est pas sonné et que je puisse loupé mon taxi, Lenni qui part dans quelques jours et je ne suis pas préparée à ça, je ne veux pas louper une seule seconde!

-oulaa! Mais c'est qu'elle est violente ta soeur Dylan, rie t'il.

-Dylan je sais pas ce que tu a fait pour avoir un meilleur pote aussi con que lui, bouge de mon chemin connard je te jure ne joue pas avec mes émotions, rétorquais-je.

Un rictus joueur se place près de son sourire, augmentant mon agacement et je sens mon sang chauffer. Si il ne se pousse pas tout de suite, j'explose.

-Tyler...commença Thomas.

-Alors? reprends Tyler en riant.

Ca suffit! Il a dépassé les bornes.

Ma main droite s'abat sur sa joue droite violemment laissant une magnifique marque sur son visage. Je le pousse de toute mes forces et sort de la suite en claquant la porte, je suis énervée et je hais déjà ce gars, putain il n'est pas du tout celui que je pensais qu'il serait.

Je descends les escaliers à toute vitesse, rattrapée plusieurs fois par un serveur ou une femme pour m'empêcher de m'étaler contre le sol.

J'arrive à l'entrée de l'hôtel et sort à l'extérieur, pas de taxi, j'interpelle l'homme d'entrée qui m'annonce que le taxi s'en est allé il y à peine deux minutes.

Je maudit définitivement Tyler.

Je regarde mon portable, 9H03.

J'appelle Lenni, il décroche mais ce n'est pas sa voix.

-Allo? questionnais-je.

-Oui allo? fit une voix inconnue.

-Excusez moi, pouvez vous me passez Lenni-Kim, demandais-je.

-Il est occupé mais je lui ferais passé un message si vous voulez, assure t'il un peu trop sèchement à mon goût.

Mais c'est dingue comment les gens peuvent être cons de nos jours.

-Je suis sa petite amie, le nom Sam O'Brien vous dit'il quelque chose peut-être?répliquais-je un peu trop sèchement.

Il y eu un blanc et l'homme déglutit.

-Excusez moi mademoiselle, je vous le passe sur le champs! s'excuse t'il.

Une minute...deux minutes....

-Oui? questionne la voix que je reconnais automatiquement

-Lenni! m'exclamais-je.

-Sam! Où es tu? demande t'il.

-Mon frère m'a fait une mauvaise blague, son pote aussi, résultat, j'ai loupé le taxi, annonçais-je.

-Merde, attends je demande à Jean Yves de venir te chercher, annonce t'il.

Je l'entends crier à J-Y de m'envoyer un nouveau taxi, accepté.

-Il arrive dans quelques minutes chérie, c'est bon?

-Merci Lenni, j'arrive dans pas longtemps sourie-je.

C'est fou comment sa voix peut changer mon humeur, il y a deux secondes j'avais envie de fracasser mon portable sur le béton, et là je me sens bien.

-merci, remerciais-je.

Et il raccroche.Le taxi débarque quelques minutes plus tard et je monte volontiers dedans.

Il me redonne l'adresse pour être sur que je suis la bonne cliente et acquiesce, dix minutes plus tard, on arrive à la  maison de disques.

Je descends du véhicule, sac sur l'épaule et lui tends les vingt euros, il s'en vas deux minutes plus tard, je toque à la porte et un jeune d'une vingtaine d'années vient m'ouvrir, il me sourit et me demande de le suivre.

Ce que je fais, il me propose de poser mon sac sur le canapé près de moi, ce que je fais, par la suite il me conduit à la salle d'enregistrement, où je vois Lenni de dos en train de parler.

Plusieurs me remarque mais ne disent rien.

J'arrive dans son dos et l'enlace , je me soulève sur la pointe des pieds pour poser mes lèvres sur sa joue, un sourire s'étire sur son visage, je le sens puis je me sépare de lui.

J'allais parler mais il se tourne au moment où je m'y attendais le moins et plaque ses lèvres sur les miennes, il est impossible c'est pas possible! Il vient de gâcher tout le romantisme!

Sa mère a compris et éclate de rire face à mon désarroi, quant à l'équipe elle se contente de sourire.

Je recule de quelques pas, oui, nous avons failli tomber.

Bam, et merde, on est vraiment tomber.

Par contre, le délire c'est que pour nous c'est drôle, mais pour eux c'est hyper gênant, moi qui rougis pour tout et rien. Mes joues s'enflamment et je me sépare de Lenni morte de rire. Il me copie et l'atmosphère devient irrespirable perso. Je me relève, et aide aussi le nounours à se relever.

Je dis bonjour aux personne que je connais et me présente aux autres. Mais comme je suis indispensable au jeune québécois dès que je suis à quelques mètres de lui, il vient m'enlacer dans mon dos, plongeant sa tête dans mon cou, pas du tout collant hein.

Quelqu'un passe à côté et lance :

-Lenni-Kim la sangsue!

Je ris, finalement, plus personne n'est dans la pièce où nous sommes, j'en profite pour le décoller de moi.

-Tu est pire que de la glue chaton, tu le sais ça? lançais-je en riant.

-Je sais, j'suis au courant, réponds t'il en riant aussi.

Je me met sur la pointe de pieds afin de gagner quelques centimètres parce que là, c'est plus possible! Un mètre soixante-douze c'est haut pour moi!

Il rit en me voyant comme ça.

-C'est très drôle! lancais-je.

-Besoin d'une aide? questionne t'il.

Je hausse les épaules.

Il lace ses deux mains sous mes cuisses et me porte , j'enroule mes jambes autour de sa taille et mes mains se pose derrière sa nuque.

-Et voilà! C'est magique! Tu es plus grande que moi maintenant! rie t'il.

C'est vrai ça, je le dépasse.

-Allelujah ! rie-je, et il rit aussi.

Il mords sa lèvre et je me penche vers lui, mais au moment où je comptais briser la distance, c'est lui qui le fait.

Mes yeux se ferment instantanément et je souris, puis il me pose au sol et nous sépare, personnellement, je ne suis pas pour! Je rouvre les yeux et fronce les sourcils.

-Soit pas fâchée sweety, je dois aller bosser moi! s'explique t'il.

Je fais les yeux de chiens battus, il regarde la porte fermée et soupire.

-Si je me fais disputer je t'accuse! rétorque t'il.

-Pas grave, répliquais-je.

Il lève les yeux au ciel et s'excuse. Je retiens ses mains dans les miennes.

-S'il te plait, implorais-je.

-Je suis désolé, s'excuse t'il.

Il lâche mes mains.

-Lenni, tu fais ça tu n'aura pas de nouvelles de moi pendant une éternité, lançais-je.

Il dépose un rapide baiser sur mes lèvres, se sépare de moi et se dirige vers la porte.

Il se retourne et son sourire le pardonne automatiquement.

-T'as pas le droit de jouer avec mes sentiments Lalande! m'exclamais-je.

-T'avais pas qu'à être fan de moi! lança t'il déjà de l'autre côté.

C'est peut être  le mec le plus chiant et idiot mais c'est celui que j'aime, et je peut juré que personne ne me le prendra.

Je prends mon sac à dos et rejoins la salle d'enregistrement, Lenni entre vite dans celle adjacente avec le micro et le casque, il ferme la porte à clé en riant.

Attends de voir quand tu sortiras le québécois.

***

Avis??

Prochain chapitre dans pas longtemps!!

(J'retourne en cours dans deux jours..., soutenez moi svp)

-S