Yuki x oc (Fruit Basket) One shot
Langue/Language: Français/French
Female/Femme oc, nom/name: Yumi, pas de physique particulier.
Temper/Caractère: Calme, compréhensive, têtue, franche. / Calm, open-minded, stubborn, honest.
Word count/nombre de mots: 3133
Asked/ demandé par; Noisettou
Summary/Résumé: You just finish your work and goes home to Yuki cooking dinner and setting the table. You and Yuki spend a good five minutes before his stupid brother Ayame and Mine bother you even though you asked to be left alone during holidays / Tu viens de terminer ton travail et tu rentres chez toi avec Yuki en train de préparer le dîner et de mettre la table. Toi et Yuki passez cinq bonnes minutes avant que son stupide frère Ayame et Mine ne vous dérangent même si vous avez demandé à être seul pendant les vacances.
C'était un vendredi, fin de semaine et dans tout l'appartement, deux créatures s'agitaient, surtout le rat.
Lorsque Yuki a disparu peu de temps après être venu me chercher en cours, je m'attendais à ce qu'il soit dans sa chambre, à faire ses devoirs essayant de se reposer
Je l'ai trouvé, cependant, dans le salon, préparant le repas. Derrière Yuki se tenait une table bien dressée, déjà décoré ; à côté de lui se trouvait plusieurs plats.
« Occupé pendant que j'étais sortie? J'ai demandé après avoir pris tout cela en compte.
-Je pensais juste que ce serait une bonne surprise pour ton retour à la maison.»
Yuki se rassit pour admirer son travail manuel sur les murs.
«J'ai acheté un gâteau aussi.
-On dirait qu'il n'y a pas grand-chose d'autre à faire pour moi. »
Sur ce, je me suis effondrée avec reconnaissance sur le canapé. Même après avoir vécu avec Yuki pendant les quatre derniers mois et constaté que sa famille était plus que disposée pour payer tout le loyer, je ne pouvais toujours pas me résoudre à quitter mon travail de serveuse après les cours.
Cela devrait suffire jusqu'à ce que nous obtenions notre diplôme, même si la ruée vers les vacances nous obligeaient à repenser ce plan.
Je ne pense pas avoir déjà été si fatigué auparavant. Alors que mes yeux se fermaient, Yuki sourit. Le coussin à côté de moi bougea, puis je sentis les mains de Yuki se déplacer doucement pour que je m'appuies contre lui.
«Je me disais, t'avoir est un des plus grand plaisir dans ma vie.»
Il avait une façon si étrange de dire des choses douces quand on s'y attendait le moins. Le regarder fixement n'a probablement fait que rendre mon rougissement plus évident; je devais me couvrir avec une couverture et je m'appuya sur son épaule.
«Te rencontrer à aussi été une des plus belles choses de ma vie. Et j'espère que tu es d'accord pour que je m'endorme sur toi...»
Les doigts doux dans tes cheveux étaient une réponse suffisante.
« Ça ne me dérange pas », a-t-il dit une fois que j'étais presque complètement dans le sommeil.
«Dormir est agréable.»
Si Yuki n'avait pas dit ça ça, la scène qui a suivi ne se serait jamais produite, je le savais car nous avons jamais aucune chance. Presque avant qu'il ait fini d'exprimer son sentiment, quelqu'un a commencé à frapper à la porte. Yuki démêla ses mains de mes cheveux.
«Je me demande qui ça pourrait être» dit-il en se levant. «J'ai dit à Kakeru de ne pas venir.»
Malheur à Kakeru, s'il avait choisi d'aller à l'encontre des souhaits exprimés par Yuki d'être laissé seul le premier soir des vacances.
Il ne semblait pas que Komaki le lui permettrait, mais nous connaissions suffisamment bien le couple pour savoir qu'elle n'était pas toujours capable de le retenir. J'étais si confiant que celui qui était à la porte serait expulsé que ma seule réponse a été de me retourner et d'essayer de me rendormir.
«Que se passe t-il? Est-ce que Yumi est si fatiguée par son travail qu'elle s'endort tôt alors que c'est enfin les vacances?»
Cette voix. Je savais à qui elle appartenait. Mes yeux se sont ouverts d'eux-mêmes, je me suis retournée et j'ai vu, à ma grande horreur, le frère aîné de Yuki debout dans le salon.
« Mais Yuki ! Tu ne m'as pas dit à quel point ta petite amie avait un sommeil si léger!
-Ayame, qu'est-ce que tu fais ici ?»demanda Yuki, tournant la porte pour découvrir Mine.
Il avait l'air beaucoup plus contrarié qu'il ne l'aurait été si les visiteurs avaient été Kakeru et Komaki – et avec raison.
« Je t'avais dit de ne pas venir !
-Je le sais, Yuki, mais je sais aussi quel jour solitaire cela aurait été pour toi et Yumi si tu avais vraiment dû le passer seul.
-Laisse-moi deviner. Yuki avait déjà l'air aussi fatigué que toi et son frère n'était même pas là depuis dix minutes. Tous les autres membres de la famille avaient des plans qui ne vous impliquaient pas.»
Une très longue pause suivit cette déclaration. Puis, Ayame rayonna.
«Ne sois pas stupide, Yuki ! Je vous ferai savoir qu'il n'y a que trois hommes dans le monde entier qui se donneraient autant de mal pour passer leurs vacances avec leurs frères - moi, bien sûr, étant le premier d'entre eux.»
Yuki se contenta de froncer les sourcils.
«Nous avons essayé de rendre visite à Hatori et Mayu, chuchota Mine, tenant un doigt sur ses lèvres, mais Hatori nous a claqué la porte.
-Oh vraiment?» déclara sarcastiquement Yuki.
Ignorant cela, Ayame s'est jeté sur le canapé à côté de moi. J'ai ouvert la bouche pour lui dire de foutre le camp, mais il t'a interrompu en tapant plusieurs fois ses paumes contre ses jambes.
«Allez, allez. C'était un voyage assez long, vous savez. Il serait poli dans cette situation que la femme de la maison offre un rafraîchissement à ses invités.
-Ayame..." commença Yuki dans un soupir. Dommage pour lui qu'il ait raté sa chance de facilite les choses.
_Hé, tu l'as appelé. Ayame ne réagit pas. Hé, toi. Toi avec les cheveux stupides. Je ne cuisine pas.»
Il a ignoré votre coup dans ses cheveux et, clignant des yeux, a dit:
«Encore? J'aurais pensé que Yuki t'aurait apprivoisé dans les mois qui se sont écoulés depuis notre dernière rencontre.
-Je. Ne. Cuisine pas.
-Eh bien, pourquoi n'essaies-tu pas au moins ?
-Ayame, prévint Yuki, plus sévèrement.
-Quoi ? Est-ce une autre situation comme celle de Tohru ? T'attendais-tu à ce que j'emmène Yumi pour un repas également ?
-Je ne pense pas que ce soit une très bonne idée. as-tu murmuré brièvement.
-Pourquoi pas ? Après tout, j'ai décidé de te pardonner d'avoir pris la place de Machi en tant que bien-aimée de Yuki dans son cœur.
-Woah, qu'elle Saint Louis!» as-tu exprimé entre tes dents.
Tu n'as jamais rencontré Machi, mais étant donné les apartés constants que tu avais sur le fait de ne pas lui correspondre lorsque le frère de Yuki était dans les parages, tu commençais sérieusement à ne pas l'aimer. Yuki dut le sentir, car il tenta rapidement de changer de sujet.
«Alors, comment se passe le travail au magasin ? a-t-il demandé à Mine.
-Êtes-vous plus occupé que d'habitude ?
-Oui bien sûr!" Elle a soulevé un grand morceau de tissu que j'avais supposé être son manteau.
-J'ai apporté quelques projets pour ne pas prendre de retard pendant les vacances. Yuki parut très soulagé.
-Alors, n'y aurait-il pas quelque chose à changer en force chez Yumi?
-Quoi? vous avez demandé, mais personne n'a entendu.
-Ne sois pas stupide, a chanté Mine. Yumi n'est pas aussi mignonne que Tohru ou Machi ! L'habiller serait du gâchis.
Tout à coup, Je me levas avec colère. Les trois autres dans la pièce se turent. Je n'avais pas pris la peine de répondre à leurs questions silencieuses lorsque j'ai commencé à me diriger vers la porte - du moins pas jusqu'à ce qu'Ayame décide de parler.
« Mon Dieu. Se pourrait-il que tu ailles chercher de la nourriture puisque tu es si opposé à l'idée de la préparer ?
-J'ai juste besoin d'air frais », crachais-je.
Puis j'ouvris et referma la porte derrière moi avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit de plus pour me mettre encore plus hors de moi.
Dehors, on n'entendait plus sa voix. Tout était silencieux et sombre. Tout le monde dans le complexe d'appartements, semblait-il, était à l'intérieur, profitant de leurs proches ou d'une sieste.
Les chanceux. Une fois qu'Ayame a décidé de rester, il ne partait normalement pas jusqu'à ce que Hatori vienne le chercher. Pour une fois, j'aurais pu me réjouir de mon horaire de travail chargé, car cela m'aurais fait sortir plus souvent de la maison.
Mais je me sentais mal, sachant que j'avais laissé Yuki à l'intérieur pour s'occuper de ses proches par lui même.
Il a bien dit que sa relation avec son frère s'était améliorée au cours des dernières années, mais qu'ils se disputaient encore assez fréquemment.
Mais Yuki n'était pas celui qui était constamment comparé à des femmes qu'il n'avait jamais rencontrées ou à qui on disait qu'il n'était pas assez bon pour son autre moitié- une idée que j' avais entendue assez souvent de toute façon, étant donné que la plupart des gens à l'école pensaient que Yuki était beaucoup trop riche et beau à ce jour pour quelqu'un comme moi.
Mes réflexions amères ont été interrompues par l'ouverture de la porte à proximité. Je tournoyas rapidement sur place, me préparant à courir si c'était Mine ou Ayame.
L'inquiétude était inutile; Yuki sortit et ferma la porte derrière lui.
«Tu as oublié ton manteau," dit-il en te l'offrant. Et tes chaussures.
_Oh, tu ne savait pas quoi dire. Pardon.»
C'est tout ce que j'arrivais à prononcer en guise d'excuses pour ma récente crise de colère, puis j'ai simplement pris le manteau et l'ai enfilé.
Yuki, cependant, ne faisait que continuer à avoir l'air contrarié.
«Tu ne vas pas partir, n'est-ce pas ?
-Aller chercher de la nourriture pour ce type ? Bien évidemment que non.
Yuki cligna des yeux.
-Non, je voulais dire... Ayame ne t'a pas éloigné de moi pour toujours ?
Ce fut à ton tour de cligner des yeux, puis de rougir.
-Quoi ? Non ! J'ai juste- j'ai besoin d'un avertissement chaque fois qu'Ayame va venir pour que je puisse me préparer mentalement.
-Je... ne pense pas que je puisse promettre ça.
-Je sais.»
Tu as soupiré avec nostalgie et regardé au loin. Le complexe d'appartements s'était transformé en une sorte de pays des merveilles, sombre, avec des carrés de lumière qui brillaient de chaque pièce et de la neige tombant doucement tout autour de vous.
«Yumi, je suis désolé. Ayame veut dire bien. Il ne sait tout simplement pas comment l'exprimer. Et je ne pense pas que tu vailles moins que Tohru ou Machi. Ce sont toutes les deux de très bonnes personnes, mais je ne sors pas avec eux. Je sors avec toi.»
J'ai hoché la tête. Soudain, ma gorge s'est serrée et mes yeux ont eu l'impression de brûler. Seigneur, si je pleurais et qu'Ayame s'en mêlait, je devrais le frapper pour sauver la face.
«Je suis désolé, dit encore Yuki, d'avoir gâché ton début de vacances.
-Eh ? »
J'ai regardé follement vers le haut et autour de Yuki. Ses yeux étaient concentrés assez fermement sur le sol sous ses pieds. Pour attirer son attention, j'ai attrapé sa main dans la mienne.
«Les vacances en elles-mêmes ne sont pas ruinées. En fait, je parie que ce sera les meilleurs vacances de tous les temps, même si Ayame décide de rester un demi-mois.
-Mais il est si bruyant, protesta Yuki
-C'est calme ici.»
Toujours en train de me regarder, Yuki pencha la tête. Pour le moment, tout était silencieux à l'exception du doux sifflement de la brise qui fondait contre les feuilles d'arbres.
Même cela s'est lentement dissipé lorsque le vent à commencé à se baisser. Yuki sourit.
«C'est vrai. Et ce n'est définitivement pas calme à l'intérieur. Il me serra la main avant d'ajouter: Je sais que leur apporter de la nourriture est un problème, mais je parie qu'il n'y a personne d'autre pour se promener en ce moment. Tu veux acheter quelque chose pour que nous puissions rester dehors un peu plus longtemps ? Je lui ai serré la main en réponse.
-J'aimerais bien.
-Je vais chercher tes chaussures.»
Avant de rentrer à l'intérieur, Yuki déposa un rapide baiser sur ma joue. Il n'a pas tardé à revenir, probablement parce qu'il avait refusé d'expliquer mandisparition ou mon besoin de chaussures à ses invités. J'ai enfilé mes bottes tout aussi rapidement, puis lui ai permis de tenir à nouveau la main pendant que vous partez tous les deux. La brise qui continuait à souffler était parfaitement silencieuse et agréable.
Nous nous rapprochèrent et profitèrent de notre soirée ensemble.
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