Je tiens à dire que ce couple est l'un de mes favori et que c'est très triste qu'il ne soit pas plus représenté.
Aujourd'hui, c'est donc de Sanji x Usopp dans un U.A et c'est totalement un pwp. Je pense que Usopp est un peu ooc et j'ai essayé de faire de mon mieux pour que Sanji soit le même.
Excusez les fautes si ces dernières ce sont sournoisement glissées dans le texte.
Bonne lecture

Habituellement, Usopp était une personne gentille, sensible timide et légèrement peureuse. Enfin, il l'était, sauf quand il avait quelques verres dans le nez.
C'est ce que pensa Sanji, quand ils rentrèrent dans leur appartement, suite à une soirée particulièrement alcoolisée, passé avec leurs amis qu'ils connaissaient depuis le lycée.

"Sanjiiiiii ! J'en ai envie, fais moi l'amour !
- Doucement bébé, t'es bourré, attends un peu.
- Alllllleeeezzzzz ! Je te boude sinon !
- Usopp, on va le faire, juste, patiente encore quelque instant, s'il te plaît.
- Toi, tu patientais pas quand tu m'as chauffé toute la soirée ! "

Et oui, Sanji, bien qu'il soit toujours un admirateur de ces dames, était tombé amoureux du jeune homme à ses côtés. Son charme doux et sa personnalité optimiste, loufoque et inventive, l'avait fait succomber. Et puis, sans rire, le métissé pouvait être la personne la plus sexy qu'il n'avait jamais vu, quand ce dernier se laissait aller.

"Je sais que je t'ai taquiné et j'en crève d'envie aussi,  mais attendons d'être dans la chambre, je tiens pas à ce que les voisins nous entendent.
- Pas envie, je veux le faire ici et maintenant ! "

Le frisé s'échappa de la prise de son amant et le poussa contre le mur. Pas trop fort quand même, mais juste assez pour que le blond perde l'équilibre et se retrouve décontenancé.
Le brun s'agenouilla entre les jambes du cook  et lui retira le pantalon et le sous-vêtement d'un coup. Le jeune artiste sourit à la vue du sexe à demi-érigé de son petit ami. A la vue du plus jeune ainsi, Sanji hoqueta. Jamais, Usopp ne fût aussi entreprenant, surtout pour lui faire une fellation derechef.

"Merde, bébé...
- Shh, tait toi et profite."

Le plus jeune laissa sa langue traîner sur toute la longueur du membre, faisant gémir un peu plus le propriétaire de ce dernier. Il sourit et continua de lécher cet organe en écoutant les halètements avec plaisir. Sa langue passa sur le bout du sexe, s'attardant sur la petite fente du gland, et finit par l'entourer de ses lèvres.
Une main se posa sur son crâne et le basané, taquin, s'avança. Arrivé au milieu de l'imposant organe, Usopp leva les yeux. Le cuistot, les pommettes rouges, se mordait les lèvres pour ne pas crier et rameuter tout le voisinage et s'empêchait, de toutes ses forces, d'appuyer sur la tête couverte de cheveux crépus couleur d'encre.
Le cadet eut un sourire mental, creusa les joues et s'avança d'un coup, ses lèvres arrivant jusqu'à la garde, le nez dans les poils blonds et la gorge, emplit du membre de son amant.

"Ha ! Bordel de m... Usopp, aaah ! "

Avec une lenteur insoutenable, relevant presque du sadisme, le brunet coulissa vers le haut, suçota la partie découverte par le prépuce, faisant encore plus trembler de plaisir le blond, puis revient à la base. Le jeune homme répéta plusieurs fois le manège, ne quittant jamais le tableau qu'offrait son amant, des yeux.
Plusieurs fois, Sanji, essaya de le prévenir qu'il allait perdre le contrôle, jusqu'à ce que...

"Oh putain ! "

Le cuisinier agrippa les mèches brunes entre ses doigts et fit un ample et violent mouvement de vas et vient. Le jeune homme à la peau couleur caramel gémit et déglutit, faisant tressaillir un peu plus l'aîné, qui sentait les mouvements de gorge sur son pénis. Usopp, lui était aux anges. Il semblerait que son têtu d'amant est enfin comprit qu'il pouvait se lâcher avec lui, pendant le sexe.
Après plusieurs coups de reins endiablés, le plus grand des deux hommes jouit à grand jets dans la large bouche et se laissa glisser contre le mur pour s'asseoir au sol. La cadet lui sourit et avala la semence chaude et amer, faisant ouvrir grand les yeux de l'aîné, stupéfait.
Puis il réalisa son brusque accès de violence, (vachement consentit tout de même).

"Oh merde, bébé ! Je... Je voulais pas ! J'te jure que j'ai voulu garder le contrôle, mais... Mais te voir ainsi, ça m'a complètement fait péter les plombs... Je suis déso... "

Une paire de lèvres bien charnues s'écrasa contre les siennes,  ce qui le fit taire. Le baiser autoritaire se finit rapidement et le plus vieux sentit deux bras fins entourer sa nuque robuste.

"Sanji, t'as pas à t'excuser. Je te remercie des efforts que tu fournis pour ne pas me brusquer et me ménager, mais j'aimerais te rappeler une chose... Je ne suis pas en sucre et je veux que tu restes tel que tu es, surtout dans l'intimité. J'adore quand on fait l'amour tendrement, je ne dis pas le contraire. Mais parfois j'aimerais que tu te lâches et qu'on baise comme des bêtes jusqu'au petit matin, en ayant fait trembler les murs et grincer le lit toute la nuit. Alors, merci de t'être lâché, merci de ne pas m'avoir traité comme une personne fragile incapable de supporter la fougue de son partenaire et je me remercie d'avoir été aussi pompette pour avoir réussi à te déballer tout ce que je viens de dire.
- Alors... Tu ne m'en veux pas ?...
- Pas le moins du monde, bougre d'âne. "

Sanji serra à son tour son amant dans ses bras, et ce dernier lui offrit le sourire le plus lumineux qu'il avait en réserve. L'aîné posa sa tête sur le creux entre la gorge et la nuque et huma l'odeur de pain d'épice qui se dégageait de la peau couleur cannelle. Après un moment à profiter de la présence de l'un et de l'autre, le cuistot dit d'un ton légèrement sarcastique :

"T'es pas censé être bourré ?
- Te faire l'une des meilleures pipes que j'ai pu te faire m'a dessoûlé. Enfin j'crois... Nan, en fait, je pense que je suis un peu pompette... J'te l'ai pas déjà dit ça ?
- Maintenant que tu le dis, je crois que oui. J'ai envie de continuer...
- Moi aussi.
- Cette fois on va dans la chambre.
- Moui, si tu veux, mais tu me portes. "

Le fumeur sourit, se leva, attrapa son amant par les fesses et le souleva. Le métissé eu un rire joyeux et passa ses mains autour de la puissante nuque de l'aîné.
Aîné qui se débarrassa de ses vêtements du bas, toujours accrochés à ses chevilles. Le frisé pouffa de rire et son petit ami le questionna.

"T'as l'air d'un pervers dans cette tenue.
- Hmm, c'est toi qui m'a déshabillé qu'à moitié pour me sucer, M.Pervers.
- Si moi je suis M.Pervers, toi t'es le roi Pervers."

Le blond sourit et fit taire l'artiste d'un baiser langoureux auquel l'autre homme répondit avec un plaisir à peine dissimulé. Sanji enleva ses chaussures et ses chaussettes avec des mouvements pas gracieux du tout et Usopp fit de même, se moquant gentiment de son amant qui galérait. Ils finirent par arriver dans la chambre et le cuisiner déposa en douceur son partenaire sur le lit. Il fit passer le tee-shirt par-dessus sa tête et le jeta à l'aveuglette, quelques part dans la chambre, sous le regard gourmand de son amour.
Le fumeur eu un regard ravageur et dit d'une voix incroyablement langoureuse et chaude :

"À toi de te déshabiller, bébé. "

Le plus jeune eu un sourire très sexy et se  débarrassa lentement de ses vêtements. Le blond gronda de frustration ce qui renforça le rictus taquin de l'étudiant en art.

"Bébé, si tu continues de me chauffer comme ça, je ne peux  pas assurer l'intégrité de tes petites fesses.
- Moi ça me va, et il en va de même pour mes fesses. "

Bordel ! Si Usopp se mettait à jouer avec ses nerfs, le cook ne garantissait que son amant pourrait s'asseoir pour la semaine à venir !
Le dernier vêtement du métissé tomba au sol, à côté du lit et le blond n'y tint plus. Il se mit au-dessus de son petit ami et prit d'assaut les lèvres pleines. Les bras bruns se crochetèrent à la nuque pâle du plus vieux et ce dernier se colla contre l'étudiant, le faisant soupirer avec plaisir.
Le baiser pris fin, et le fumeur approcha ses lèvres fines de l'oreille légèrement rougie de son partenaire, pour y murmurer quelques mots qui firent frissonner d'anticipation le cadet :

"Maintenant bébé, je vais te faire jouir comme jamais."

Le jeune artiste exhala un gémissement d'envie et son faciès déjà rouge le devint encore plus, le faisant ressembler à une fraise. À une fraise terriblement délicieuse du point de vue de Sanji. Fier de son effet, et ne s'en cachant absolument pas, le Vinsmoke eut un rictus mutin, serpenta sur le corps du métisse et attrapa un mamelon brun entre ses lèvres.
Usopp se tendit imperceptiblement, mais malgré tout, son amant le senti et commença à suçoter cette perle de chaire crispant un peu plus le jeune artiste, qui ne voulait, en aucun  cas, accorder la satisfaction à son aimé, de se montrer autant en proie au plaisir.
Le cuistot, un peu mécontent que le frisé ne se laisse pas de suite aller, sachant qu'il était très sensible au niveau des tétons, bien plus que certaines femmes même, usa de sa main sur l'autre bourgeon en le pinçant, tantôt doucement, tantôt fortement, en le massant, en le tirant avec tendresse dans tout les sens. Le brun se mit à avoir quelques petits couinements, tout à fait adorables. Le cook, très content de son effet, se mit à mordiller cette appétissante "friandise" entre ses dents, accentuant les plaintes de plaisirs de son petit ami.
Rien qu'avec ces simulations au niveau de sa poitrine, le brunet savait que son membre durcissait de plus en plus et avec autant de honte que d'excitation, il se demanda si il n'allait pas venir rien qu'avec cet acte foutrement excitant !
Mais le fumeur, arrêta et l'artiste grogna de frustration, faisant rire son démoniaque petit ami.

"Frustré ?
- Vas te faire foutre, espèces de sadique...
- Bébé, c'est toi qui te retrouvera avec mon sexe entre les fesses, donc celui qui va se faire foutre, ici, c'est pas moi.
- Ça m'aurait pas dérangé de jouir rien qu'avec ta bouche et tes mains sur mon torse.
- Je sais, mais pas maintenant, je te réserve quelque chose d'encore mieux... Tu veux bien te mettre à quatre pattes ?
- Si gentiment demandé."

Les lèvres pleines du basané se courbèrent en un sourire taquin et sexy et, comme demandé, le plus jeune se retourna, se mit sur les genoux, colla son torse contre le matelas et les draps, puis il présenta ses jolies petites fesses toutes rondes et rebondies à son amant, en cambrant un maximum son dos, provoquant clairement l'autre homme.

"Ça te va, comme cela, Sanji ?
- Oui... C'est parfait..."

Murmura le blond, complètement subjugué. Hypnotisé par les rondeurs charnues, le cuistot posa ses mains sur les dunes de chaires, les caressant avec légèreté, faisant frissonner l'épiderme couleur caramel. Il descendit ses mains pâles aux longs doigts et écarta en douceur les sphères charnues.
L'étudiant retint un soupir en sentant le souffle chaud de son compagnon, contre son intimité qui pulsait.
L'aîné se pencha sur le petit anneau de muscle et darda de sa langue, l'orifice rosé du cadet. Usopp poussa un cri de surprise et, par réflexe, poussa son postérieur vers l'arrière.

"Oh merde ! Sanji !!"

Cette exclamation poussée fit assez plaisir au cook. En effet, jamais le blond n'avait osé faire cela à son partenaire. Et entendre son aimé haleter de plaisir et d'envie de plus en plus fort, l'excita et l'incita à continuer.
Le basané commençait à perdre la tête et gémissait de plus en plus fort. Le contact humide et chaud lui faisait ressentir un maelstrom de sensations et d'excitation qui le menait tranquillement vers l'orgasme.
Le plus âgé, sachant qu'ils allaient bientôt passer aux choses sérieuses, inséra son index dans l'intimité humidifiée de son partenaire, et les couinements d'Usopp devinrent plus aigus. Très vite, le cuistot fit entrer deux autres doigts, sa patience arrivant à son terme.

"San- Sanji, prend moi, s'il te plaît, j'en peux plus !"

L'aîné se redressa, colla son membre dur et dressé contre la raie de son aimé, se pencha sur son dos et lui murmura à l'oreille :

"Je vais te pénétrer, maintenant, bébé."

Le pénis imposant força un peu sur l'anneau de muscle, mais finit par s'enfoncer dans les chaires moites et serrée de son amant. Le cuisinier ne s'arrêta que lorsque son sexe fût rentré entièrement dans le canal poisseux et brûlant.
Il soupira de bien-être, en se sentant ainsi encerclé, et attendit un peu, le temps que son amant s'habitue à sa présence. Le plus vieux se demanda même, si il n'était pas allé trop vite, quand il était entré...

"Bouge...
- Comment ?
- Bouge, s'il te plaît... Oooh que j'aime quand tu es en moi..."

Le plus âgé des deux rosit, mais un grand sourire carnassier et un peu pervers pris place sur ses lèvres.

"Tu veux que je bouge... Comme ça ?"

Le Vinsmoke se retira presque entièrement et donna un puissant coup vers l'avant, faisant crier son amant de bonheur.

"Oh bordel, OUI !!! Comme ça ! Encore !"

Pas besoin de plus pour donner le feu vert au cook. Il exécuta la demande de l'étudiant, se déhanchant fortement contre le derrière de l'artiste, qui en redemandait toujours plus. Ce dernier hurlait de plaisir et ses clameurs devinrent de plus en plus fortes, alors que son partenaire frappa sa prostate de plein fouet et enserra dans sa main son membre presque douloureux. Le dos du frisé se courba un peu plus, sa tête se renversa vers l'arrière, ses cheveux cascadaient sur son dos et ses épaules, tandis que des larmes de plaisir coulaient abondamment sur les joues brunes du plus jeune.
Le fumeur se retira, retourna son amant sur le dos et le re-pénétra avec force. Le Vinsmoke se dit que, oui, il adorait voir le visage tordu de plaisir de son amour.
Le métissé feula et aggripa la nuque du blond, ses ongles courts, s'enfonçant dans la peau tendre et pâle.

"Sanji ! Sanji ! Ha, Sanjiiiii !!!
- Usopp, je vais, hmmm... Je vais venir en toi, bébé, o-ok ?
- Ouiiii ! Aha ! Moi-moi aussi ! "

Dans un dernier coup de rein dévastateur, Sanji et Usopp éjaculèrent presque en même temps, et si le brunet laissa libre cour à son rugissement dû à son orgasme ravageur, l'aîné étouffa son cri en mordant le creux de l'épaule du plus jeune, le marquant, quelque part, comme sien.
Le temps de se remettre de leurs jouissances respectives, le cuistot se retira avec précaution du corps de l'étudiant. Il se coucha sur le matelas, au côté du basané et l'attira contre lui, inspirant son odeur sucrée. Le foutre chaud et épais coula des fesses du cadet, serpenta sur sa cuisse et finit par goutter sur les draps, qui étaient bons pour une lessive.

"Je t'aime bébé... J'ai adoré cette nuit...
- Moi aussi, je t'aime... On recommencera ? On refera l'amour comme cela ?
- Bien sûr, tout ce que tu veux, mon amour."

Ils se sourirent avec tendresse et amour, avant de s'embrasser avec délicatesse, en se souhaitant une bonne nuit. Le plus jeune se pelotonna contre le torse puissant et rassurant du fumeur, tandis que celui-ci entoura le corps fin de ses bras robustes, et, ils finirent par s'endormir, comme des biens heureux.