Traduction Multimédia :

♥La beauté est dans l'œil de celui qui la regarde 

et mes yeux

sont braqués sur toi ♥

Bonjour, alors oui, ceci n'est pas un Merthur.

Je sais, vous vous dites surement que ce livre s'appelle "Recueil de One-Shot MERHUR", et que par conséquent il ne devrait ne contenir que ça.

Pour ma défense, je ne savais pas du tout que je posterai du Pergwaine dans ce recueil.

Mais bon, j'espère que ça ne vous dérange pas si j'en poste quelques un ! ^-^

/!\ Message important : Cette fiction n'est pas de moi, c'est une traduction du One-Shot de "More than a friend", écrit par alphamikefoxtrot15 sur fanfiction.net (un site que je vous conseille, il y a pas mal de Merthur vraiment bien là-bas)

Bref, je vous le traduis car il y a très peu de Pergwaine, surtout en français et que celui ci est pas mâl :

(ps : étant donné que c'est une traduction, si certaine phrase semble bizarre ou que le style d'écriture est différent que d'habitude, c'est normal.)

Chronologie : Cette histoire ce situe juste après la mort de Lancelot.

Le château semblait vide. Il n'y avait pas de blague ou de farce. Il n'y avait plus de rires qui résonnaient a travers  les chambres des chevaliers, et il n'y avait plus de fête vers minuit. Camelot avait essayer de reprendre une vie normale, du moins les chevaliers les plus proches d'Arthur ont tenté de le faire, mais pas lui. Tout était terne et ennuyeux, et tout le monde semblaient s'être transformé en robot, réglés sur leurs routine. Et, il en était de même chaque jours.

Perceval avait remarqué la baisse d'énergie de Gauvain. Avant la mort de Lancelot, il avait été l'homme que tout le monde taquinait et cela le faisait rire. Mais maintenant il se déplaçait lentement, la mine sombre. Les deux étaient proche, très proches. Assez pour Perceval pour qu'il sache que Gauvain n'était pas triste seulement à cause de la mort de Lancelot. Il avait autre chose que la perte d'un ami dans son deuil.

"Qu'est ce qui ne va pas ?", murmura Perceval.

Il s'assit à coté de Gauvain. L'autre chevalier n'était pas venu pour le petit déjeuner, ce matin. et Perceval sentait que quelque chose n'allait pas.

"Ce qui ne va pas ? répéta Gauvain, armant un sourcil en regardant Perceval. Qu'est ce que tu voudrais qui aille mal ?"

"Vous n'étiez pas là au petit déjeuner"

"Je n'ai pas faim en ce moment"

 Gauvain se leva du lit et essaya de marcher loin de son ami qui le questionnait, mais Perceval le prit par le bras.

"Voilà comment je sais que quelque chose ne va pas"

"Au cas ou vous ne l'auriez pas remarqué, Lancelot est mort. Maintenant enlevez votre main de là" le ton de Gauvain était dégouté, mais il ne ressentait aucune haine envers Perceval ou envers Lancelot : il s'en voulait lui-même.

"Je sais que lancelot est mort. On est tous triste Gauvain, mais je sais que vous n'êtes pas bouleversé seulement à cause de ça, je vous connais mieux que quiconque"

Gauvain resta immobile un moment, hésitant à se confier. Il n'aimait pas partager ses pensées ou ses sentiments.

Après une seconde d'hésitation, Gauvain se rassit sur son lit et congédia le serviteur qui les observait tout au long de leur conversation.

"J'aurais du faire quelque chose" finit-il par dire.

"Quelque chose ?" l'interrogea Perceval, d'un ton plus doux qu'avant.

"J'était là, moi aussi, je suis allé avec Merlin, Arthur et lui...J'aurait du faire quelque chose...J'aurai du empêcher Lancelot de se sacrifier"

"Pourquoi ?! Pourquoi cela aurait-il du être à vous de le faire ?"

"Parce que je suis un chevalier !"s'exclama Gauvain "Je suis un chevalier et je suis sensé être grand, fort et courageux. Un héro qui sauve tout le monde. Et je ne le suis pas, Perceval, je ne le suis pas. Je peux combattre, bien sûr, je suis fort, mais c'est tout. Je ne suis pas Lancelot et j'aurait du être comme lui. Camelot a besoin de chevaliers comme lui, pas comme moi."

Comme Gauvain se tut, Perceval s'assit et réfléchit un moment. Comment était-il sensé répondre à cela ? Personne n'avait été aussi brave que Lancelot. Il s'était sacrifié pour qu'Arthur vive.

Perceval sourit un peu et posa un main réconfortante sur l'épaule de Gauvain

"Ce n'est pas votre faute. J'aurais fait pareil que vous"

" Je ne veux pas finir comme mon père, il est mort durant une bataille, et je ne veux pas mourir comme ça. J'aime le risque et le combat mais se n'est pas comme ça que je veux mourir. Plus maintenant"

Perceval fronça les sourcils " Plus maintenant ? Que voulez-vous dire ? "

Gauvain prit la main de Perceval qui était posé sur son épaule. "Vous êtes un bon ami, Perceval, vous êtes plus qu'un bon ami... vous êtes un grand ami...Vous...vous êtes plus que ça..."

"Est ce parce que je vous est sauvé la vie ?"

"Non, non, Non ! Enfin en partie, mais vous êtes si..." Gauvain se retint et se leva avant de se racler la gorge "Je devrai y aller" murmura-t-il en lâchant la main de Perceval. Soudain, il s'enfuit de la chambre. Ce n'était pas un grand chevalier, en effet.

La nuit était tombée comme toute les autres. Gauvain devint très ivre et l'un des chevaliers devait le ramener à sa chambre. Habituellement, cela aurait été Lancelot, mais Perceval se proposa cette fois ci, toujours curieux de savoir e que Gauvain avait voulu lui dire. C'était peut être une grosse erreur de lui demander, mais il devait savoir.

"Gauvain ? " Demanda Perceval en allongeant son ami sur le lit.

"Oui"murmura-t-il en s'asseyant. Il prit Perceval par les épaules. "Qu'est ce qu'il y a ?"

"De quoi parliez vous plutôt ? Quand vous avez dit que j'étais plus qu'un bon ami ?"

Gauvain rit et le fit taire d'un doigts sur les lèvres ."Vous n'avez pas besoin de me demander ça"

"J'étais juste curieux"

" Vous savez de quoi je suis curieux, moi ?" demanda Gauvain.

 Perceval secoua la tête, en essayant de ne pas trop penser au fait que leurs nez se frôlait.

Ce qui suivit ce passa en quelques instants. Perceval sentit un mélange d'émotions le submerger : La surprise tout d'abord, mais le bonheur, car il était heureux que Gauvain vienne de l'embrasser. Etait ce cela qu'il voulait dire ? Perceval haletât légèrement, et essaya de se laisser tomber en arrière, mais Gauvain le serrait contre lui et refusait de le laisser s'en aller. Le chevalier ivre regarda Perceval attendant une réaction positive. Et il ne fallu pas longtemps pour qu'il soit poussé vers le bas du lit, une paire de lèvres venant trouver les siennes.

" Saviez-vous autre chose, Perceval ? " sourit Gauvain après avoir reprit de l'air.

"Quoi ? " dit Perceval en respirant lourdement, les yeux fixé sur l'autre homme.

"Je ne savait pas que vous m'aimiez "

Fin

Voilà j'espère que la traduction est bien faite ! Si il y a des passages dit bizarrement, je m'en excuse.

Je tiens à vous dire merci pour les 2000 vues sur mon histoire "Merthur" et de mes 1000 vues sur "Merlin, Que du Fun"

Au revoir, tout le monde !