La Demande (♥Saint-Valentin♥)
Coucou tout le monde ! Ça fait tellement longtemps que j'ai pas fait d'OS Merlin holalala !
Mais bon, déjà que je peine à trouvé du temps pour écrire simplement Lohot, Fils d'Arthur ce n'est pas étonnant !
Mais je me suis dit que je ne pouvais tout de même pas rater la Saint Valentin quand même !
Alours c'est partit !
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Aujourd'hui c'était un jour spécial. Aujourd'hui, c'était le grand jour. Ce fut les premières pensées qu'eu Arthur Pendragon en ouvrant les yeux, encore emmitouflé dans sa couverture de soie rouge.
Il roula sur le dos, et constata, comme chaque jour, la place vide à sa droite. Sauf qu'elle ne serait plus vide pour bien longtemps, dorénavant, et cette idée fit rayonner le Roi.
Il se leva de son lit, un grand sourire collé au visage. Il étira ses muscles endormis et bondit sur ses pieds, rayonnant. Aussitôt, la porte s'ouvrit à la volée. Arthur n'eu pas besoin de tourner la tête pour savoir qu'il s'agissait de Merlin. Il était le seul à ne jamais frapper.
- Bonjour, Merlin ! lança Arthur, plein d'entrain.
- Bonjour, Sire. Vous êtes déjà debout ?! demanda le valet d'un air étonné.
- Bien sûr, je n'aurai pas à subir ton horrible manière de me réveiller, ainsi.
- Allez, Arthur, dit Merlin en souriant. Je suis sûr qu'au fond de vous, vous appréciez ma rengaine.
- C'est mal me connaître, Merlin.
Le serviteur haussa les épaules, ne prêtant pas attention à la fierté du Roi, comme toujours, et se dirigea vers la fenêtre pour ouvrir les rideaux. À la dernière seconde, Arthur comprit ce qu'il allait faire :
- Non, Merlin ! Ne songe même pas à faire ça ! C'est un ordre !
- DEBOUT LES MORTS !!! vociféra le valet sans lui prêter attention, en ouvrant en grand les rideaux qui inondèrent la salle de lumière.
- Merlin ! râla Arthur en protégeant ses yeux, éblouit.
- Oui, Sire ? demanda innocemment le valet.
- Tu as le don de m'énerver, tu es au courant de ça ?!
- Oui, Arthur. Vous me le dites trois fois par jour.
- Pourquoi je est-ce que je te garde ? soupira le blond.
- Parce que je suis votre valet préféré ?
- Tu n'as aucune preuve de ce que tu avances.
- D'accord, alors, parce que je suis le meilleur valet que vous ayez jamais eu.
- Là, nous savons tous les deux que c'est faux.
Merlin fit mine de réfléchir et s'approcha innocemment de son Roi. Il lui déposa un petit baiser sur la joue, puis dit :
- Parce que vous m'aimez ?
Arthur ne put cacher son sourire une seconde de plus et éclata de rire en prenant son serviteur dans ses bras.
- Tu m'as à chaque fois, Merlin. Ce n'est pas juste !
- Mon charme est irrésistible, Sire.
Arthur ronchonna et l'embrassa dans le cou. Puis, voyant le regard adorable de son valet, il céda et lui déposa un petit baiser sur les lèvres. Merlin sourit à ce contact. Arthur le regarda un instant, puis déclara, le sourire aux lèvres :
- Un an, et chaque matins, tu trouve une technique différente pour me voler un baiser.
- Il va falloir vous y habituer, Arthur, car je compte continuer !
- Tu me fais craquer. Tu m'énerves.
- Ha, c'est la seconde fois de la journée ! releva le brun à l'entente de cette dernière phrase. On s'approche du compte !
- Tais-toi et habille-moi, idiot.
- Oui, Sire !
Arthur le regarda allez chercher ses habits, le cœur léger. Le roi observa son amant du coin de l'œil, se demandant comme chaque matin comment il avait pu vivre sans lui. Il se remémora avec bonheur leur premier baiser, un an plus tôt. Ça faisait un an, jour pour jour; et ce détail, Merlin n'avait pas l'air de s'en rappeler, étourdit qu'il était. Mais, au lieu de se vexer, Arthur en était très content, car cela l'arrangeait beaucoup.
Car c'était un jour spécial. C'était le grand jour.
Les regards échangés accompagnèrent le reste de leur matinée. Vinrent s'y ajouter les sourires du valet et les rougissements discrets du Roi.
Ils n'avaient d'yeux que l'un pour l'autre. Comme tous les jours. Ils s'aimaient plus chaque secondes. Comme tous les jours.
Il suffisait d'une maladresse de Merlin pour faire fondre le cœur d'Arthur. Il suffisait d'un rayon de soleil dans les cheveux blonds d'Arthur our faire fondre Merlin.
Et tout cela, Arthur le savait.
Passa l'après-midi, tout aussi doux et tendre, puis sonna l'heure de la chasse. Merlin bouda, Arthur put lui voler un baiser pour le persuader de venir. Etait-ce nécessaire ? Non. Mais cela faisait plaisir au deux.
Chasser était devenu autre chose qu'un sport aux yeux du Roi. C'était devenu une escapade, loin de son royaume, loin de son titre pour être juste dans les bois, simplement, pour se balader avec Merlin. Comme un couple normal.
Leur couple était peut banal, pour sûr. Et, même si personne ne s'opposait au choix du jeune Roi, c'était tout de même étrange, que deux êtres de rangs si éloignés partage un amour si pur. C'était étrange dans leur quotidien, dans leur rapport l'un à l'autre, dans leur façon de se parler, mais, après tout, c'est qui faisait le charme de leur amour.
Mais, s'évader pendant quelques heures dans les bois et abandonner tout cela, était néanmoins agréable. C'était devenu une routine, qu'ils appliquaient presque tous les jours.
Sauf que cette fois-ci, ça serait différent. Car aujourd'hui était un jour spécial. Aujourd'hui, c'était le grand jour.
Arrivés près d'une rivière, Arthur ordonna une pause. Merlin s'étonna, mais ne dit rien. Le blond était aux anges.
Merlin ne se priva pas de l'admirer lorsqu'il partit chercher les sacs accrochés à son cheval. Arthur était beau aujourd'hui, plus encore que d'habitude. Le valet observa longuement le sourire de son Roi, sous le charme. Il était vraiment de bonne humeur aujourd'hui.
En réalité, Arthur était toujours de bonne humeur depuis un an. Mais aujourd'hui plus encore. Car c'était un jour spécial. C'était le grand jour.
Arthur déposa les sacs à terre. La première surprise de Merlin fut de ne pas être sommé de les ouvrir. En effet, le Roi en sortit le contenu seul, sans demander aucune aide ni donner aucun ordre.
La seconde surprise, bien plus intense, fut de voir ce qu'il y avait dans les fameux sacs : des couvertures, des coussins d'extérieur et de magnifiques fruits, divers et variés.
- Qu'est-ce que c'est que ça ?! s'exclama le sorcier
- Notre pique-nique en amoureux, répondit le Roi d'un ton mielleux.
Merlin éclata d'un rire mélodieux qui fit chavirer le cœur du blond.
- Vous êtes incroyable
- C'est ta beauté qui est incroyable, dit Arthur en l'embrassant délicatement dans le cou
Merlin rougit, ne savant plus que dire.
- Vous avez quelque chose à vous faire pardonner, c'est ça ? pouffa-t-il
- Devrais-je me faire pardonner de t'aimer autant ?
Le sorcier roula des yeux et embrassa son Roi.
De nombreux baisers suivirent celui-ci, entrecoupé par des blagues et des compliments. Ils discutèrent ainsi longtemps, puis commencèrent à grignoter, chacun profitant de la présence de l'autre. Enlacés, ils regardaient le ciel devenir de plus en plus sombre, de plus en plus rougeoyant, annonçant la fin de la journée.
C'en était une belle, d'ailleurs, de journée, pensa Merlin.
Mais il ne savait pas encore pourquoi. C'est parce que c'était un jour spécial. C'était le grand jour.
Et, lorsque le soleil avait presque disparu, Arthur sut que c'était le bon moment. Il prit la main de Merlin, le cœur battant.
Le regard grave, il le fixa longuement. Plus longtemps encore que jamais.
Puis, il s'agenouilla, d'une élégance royale.
- Merlin, murmura-t-il du bout des lèvres. Veux-tu m'épouser ?
Le sorcier resta immobile de longues secondes, les yeux brillants, la bouche entrouverte.
- Arthur..., souffla-t-il.
- Alors ? demanda le Roi, la voix tremblante.
- Oui, crétin ! Oui !
Ils s'embrassèrent en même temps, des larmes de joies roulant sur leurs joues et ne se séparèrent que lorsque le soleil disparu définitivement derrière les collines.
- Je t'aime, Merlin Pendragon. Second Roi de Camelot.
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Voilàààààààààà c'est finit
C'était super fluff, je ne sais même pas si c'est une bonne chose ou non mais bon, Saint-Valentin justifie.
Brefouillons, je voulais passé un petit message perso :
Moi aussi, je suis amoureuse.
De vous.
De vous tous, mes abonnés chéris.
Vous êtes 163.
Vous réalisez ?! 163 !!!
Je suis 163 fois amoureuse. Et ça me rend tellement heureuse.
Parce que c'est ça, l'amour, c'est lorsque quelqu'un vous rend super heureux.
Alors donnez-moi une seule preuve que je ne suis pas amoureuse de vous ! C'est simple, y en a pas !
Je vous aimes, vous êtes fous d'êtes tous là, abonnés à ce compte si banal.
Je vous aimes de tous mon cœur, chacun d'entre vous.
Bisous, mes petits Valentins !
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