Sevens deadly sins

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Tu était la compagne du roi Arthur Pendragon.

Vous vous étiez rencontrer car tu travailler dans la taverne de Méliodas en l'aidant dans ses aventures.

Depuis ton arrivée à Camelot Arthur fesait tout pour que tu te sente chez toi mais les servantes et autres domestiques fesait tout le contraire.

Visiblement ils te fesaient clairement comprendre que tu n'était pas la bienvenus au château.

Du coup tu avait prit la décision de partir alors que tu fesait ton sac tu entendit quelqu'un toquer à la porte de tes appartement.

Tu cacha ton sac sous ton lit tandis que tu retourna vers la porte.

Toi: Entrée.

La porte s'ouvrit sur Arthur qui porter son armure et sa cape.

Arthur: Bonsoir (T/P).

Toi: Bonsoir Arthur. Tu as besoin de quelque chose ?

Arthur: Aujourd'hui j'ai entendut quelque chose de déplaisant te concernant. Il paraît que tu joue avec mes sentiments et quand réaliter tu veux juste le pouvoir.

Toi: Tu ne va pas y croire ?

Arthur: Bien sûr que non. Je t'aime et je sais que jamais tu ne ferait ça.

Il te prit dans ses bras tandis que tu répondie à son étreinte.

Arthur: Bon il est tard je vais aller me coucher. Dort bien mon amour.

Toi: Toi aussi.

Il sembla surprit que tu ne lui donne pas son surnom habituelle mais il ne fit pas de remarque est partit.

Au détour d'un couloir il entendit une conversation entre deux servante.

Servante 1: Au faite la roturière que le roi a ramener.

Servante 2: Tu parle de cette fille ? Je l'ai vue piquer de la nourriture dans la cuisine.

Servante 1: De toute façon notre roi ne pourra jamais s'attacher à une personne qui n'a que peut d'importance.

Servante 2: Et puis voler de la nourriture alors que le roi l'héberge. A croire qu'elle prévoit de s'enfuir.

Servante 1: Cela nous enlèvera une épine du pieds tient. De toute façon d'ici 2 mois je suis sur qu'elle sera retrouver morte.

Et elles partirent tandis qu'Arthur était sous le choque.

Le fait que tu ne l'avait pas appeler par son surnom depuis plusieurs jours, le fait que personne ne te respect et toute les fois où tu tomber au passage d'une servante qu'il penser pour de la maladresse.

Il comprit aussitôt que depuis le début il avait fait fausse route.

Il couru en direction de tes appartement et ouvrit la porte avec force mais la fenêtre de la chambre était grande ouverte et les rideau voler au gré du vent tandis que les drap du lit était attacher en corde.

Il couru vers la fenêtre et ce pencha tandis qu'il ne vit rien mais il entendit le bruit de sabot et il te vit sur un cheval galoper en direction de la porte Est de la cité.

Il couru pour te rattraper mais des gardes l'arrêtèrent lui disant que c'était dangereux.

Arthur: Amener moi toute les personnes qui ont oser dire des mensonges sur mon amour. Tout de suite !

Les gardes: À vos ordres !

Il ce dirigea furax en direction de la salle du trone et il s'assit sur ce dernier tandis que quelque minutes plus tard la porte s'ouvrit sur plusieurs servantes dont les deux qui avait dit des atrocités devant lui.

Et vut leurs expressions ils savaient qu'ils allaient passer un mauvais quart d'heure.

De ton côté.

Tu galoper pour t'éloigner de Camelot tandis que tu avait rabattut la capuche de ta cape sur ta tête pour passer inaperçue.

Les jours passer et tu fesait des pauses pour la nuit et manger mais aussi pour que ta monture ce repose.

Tu arriva au niveau d'un village où tu posa le pied à terre tandis que tu tenait ta monture par les reines.

Les enfants courez en ce poursuivant et tu vérifia ton sac.

Tu avait besoin de nourriture et de chose pour te soigner au cas où.

Tu acheta tout ce dont tu avait besoin et tu retourna vers ton cheval quand tu vit des soldats de Camelot alors que tu t'apprêter à partir.

D'un coup tu reconnus la silhouette de ton amour que tu avait quitter pour le protéger.

Heureusement tu avait toujours ta capuche.

D'un coup un garde te montra du doigt en criant.

Le garde: Hé toi ! Enlève ta capuche !

D'un coup Arthur ce tourna vers toi tandis que tu monta sur le cheval et partit au galop poursuivit par les gardes et Arthur.

Arthur: Attend ! On veut juste te parler !

Garde: Arrêtez vous !

Tu continuer de galoper jusqu'à un ravin et ton cheval sauta pour attérir pile de l'autre côté tandis qu'Arthur et les gardes s'arrêtèrent au bord du ravin.

Soudain le vent ce leva fesant enlever ta capuche tandis que tes cheveux s'envolèrent pour passer au dessus de la cape.

Arthur: (T/P) attend !

Tu lanca ton cheval au galop en entendant Arthur t'appeler une deuxième fois mais tu ne te retourner pas.

Tes larmes glisser sur tes joues malgré que tu continuer ton chemin.

Au bout d'un moment tu entendit des bruit de sabot et tu remarqua aussitôt que les chevalier d'Arthur était sur les vite et derrière toi.

Ils avaient fait le tour et t'avait rattraper.

Arthur était derrière toi avec trois gardes tandis que tu poussa ton cheval au triple galop suivit des gardes tandis que le moindre mouvement brusque pouvais faire cambrer ta monture et te faire tomber.

D'un coup le crie d'un monstre retentit et quelque chose sorti des buissons fesant cambrer ta monture qui te désarçonna et tu tomba au sol te fesant cogner la tête et te faire perdre connaissance.

Du côté d'Arthur.

Ce dernier arrêta sa monture suivit de ses gardes et il sortit son épée tandis que le monstre ce redressa.

Arthur: Ne le laisser pas approcher la reine !

Les gardes: À vos ordres !

Ils posèrent tous le pied à terre tandis que le monstre fut rapidement vaincus.

Les gardes ce charger de calmer ta monture tandis que le jeune roi couru vers toi.

Arthur: * en te soulevant * (T/P) ! (T/P) est ce que tu m'entend ?!

Garde 1: Majester il vaut mieux ramener la reine en urgence au palais.

Arthur: Oui. Merlin pourra sans doute l'aider.

Il remonta sur sa monture tandis que deux gardes te firent monter devant Arthur qui passa ses bras autour de ta taille tandis que ta tête de retrouver sur son torse.

Les gardes remontèrent sur leurs chevaux respectifs et ils rentrèrent à Camelot.

Arriver au palais tu fut conduite a tes appartement tandis qu'un garde fut charger d'aller chercher Merlin.

Arthur était rester près de toi à te tenir la main tandis que Merlin entra.

Arthur: Merlin !

Merlin: Arthur je vais te demander de sortir. Je te préviendrait quand j'aurai terminé.

Arthur sortit a contre coeur tandis qu'il resta devant la porte de ta chambre à faire les cents pas.

Au bout de quelque heures Merlin sorti de la chambre.

Arthur: Alors elle va bien ?

Merlin: Elle c'est reçu un sacré choque au niveau de la tête mais elle est juste inconsciente. Lorsqu'elle sera réveiller j'approfondirer les examins.

Arthur: Merci Merlin. Je te doit vraiment beaucoup.

Merlin: Elle ne devrait pas tarder à ce réveiller. Du coup je vais rester près d'elle. Toi en attendant tu devrait aller te reposer et reprendre tes devoirs.

Arthur: Mais si jamais elle veut de nouveaux partir ?

Merlin: Ne t'en fait pas. Je la raissonerais.

Arthur: Je te fait confiance.

Merlin: Je viendrait te voir quand les examins seront terminées.

Et Merlin rentra dans la chambre tandis qu'Arthur retourna à ses affaires royale.

De ton côté.

Tu te réveilla avec un mal de tête insupportable tandis que tu vit Merlin.

Toi: Merlin...?

Merlin: Ça y est tu reprend connaissance.

Toi: On n'est à Camelot ?

Merlin: Arthur ta ramener après que ta montre t'ai fait tomber. Tu as reçu un sacré choque sur la tête. Je vais te faire quelque examin. Voir si tu n'as rien de grave.

Toi: J'ai mal a la tête.

Merlin: C'est normal avec le coup que tu as reçu.

Elle t'examina pour remarquer que tu t'était ouvert la tête être soigna tandis que tu te retrouva avec un bandage autour de la tête.

Merlin: Arthur est au courant pour ce qui c'est passer. Cette histoire avec les domestiques.

Toi: Je comprend pas pourquoi il a jetter son dévolut sur moi.

Merlin: Car tu es la seule qui a esseyer de le comprendre, qui ne le trahira jamais et que tu es prête à tout pour le protéger. La preuve tu es partit pour que son honneur ne soit pas salit et il ne l'ai toujours pas en allant te récupérer. Preuve qu'il tient toi et qu'il te veux pour reine.

Toi: Je suis pas faite pour gouverner.

Merlin: Tout porte à croire que si. Je vais le prévenir que tu es réveiller. Tu devrait te préparer a être chouchouter.

Toi: Si tu le dit.

Et elle partit tandis qu'une demis heure plus tard la porte s'ouvrit avec force sur Arthur et Merlin.

Arthur: (T/P) !!!

Il sauta sur toi tandis que tu t'était boucher les oreilles.

Toi: Ne crie pas s'il te plaît...

Arthur: J'était tellement inquiet. Ne part plus jamais comme ça si te plaît.

Toi: Désoler. Par ma faute il t'arrive vraiment que des ennuis. Je suis un vraie aimant à problème.

Arthur: Ne dit pas ça. Tu ne m'attirera jamais d'ennuis. Tu es la femme que j'aime, que je veux pour reine et comme mère de mes enfants. Ne dit plus jamais que tu es un aimant à problème.

Il prit ton visage en coupe et t'embrasse tandis que tu finis par répondre au baiser mais vous fut interrompu par un grattement de gorge.

Merlin: En tout cas (T/P) demain tu devrait être sur pied. Mais ne force pas.

Toi: Promit.

Merlin: Je vous laisse.

Et elle partit.

Arthur: Ou on n'en n'était ?

Tu sourit tandis que tu l'attrapa par le col pour l'entrainer dans un nouveau baiser.

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Arthur: Il est bien comme chapitre. Et en plus je suis premier.

Gilthunder: L'auteur m'en veut toujours ?

Méliodas: Je te signale que tu as tuer son enfant sous ses yeux. Elle ne vas pas te pardonner du premier coup.

Arthur: La prochaine fois réfléchis a deux fois.

Gilthunder: Désoler c'était un ordre de mon supérieur.

Auteur: Dans tout les cas tu va le payer tout comme la personne qui a ordonner de m'emmener de gré ou de force.

Nami: Bon les lecteurs ont vous laisse avant que l'auteur ne face un meurtre. A bientôt !