Suite de la commande de Shiiros_Hestaria
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Le premier jour qui venait de passer était étrange selon toi. Tu avais découvert que la classe de Hyuga faisait la même sortie que vous alors vos professeurs et les leurs ont proposés de mélanger deux groupes, un de chaque lycée, ensemble.

Au grand bonheur de Mibuchi tu étais dans son groupe même si pute-san (elle ne mérite pas de prénom) était présente. Cependant, son plus grand cauchemar de cette sortie se réalisa...

Toute la journée il avait fusiller Hyuga du regard, qui parlait et rigolait tout le temps avec toi. Depuis sa défaite contre lui, il avait de quoi le détester, surtout que le fait qu'il te parle justifiait, d'après lui, encore plus la raison qui le poussait à constamment s'imaginer une seconde au moins, que quand son rival se trouvait assez loin de lui, fermer un œil et faire comme s'il l'étranglait avec son pouce et son index en lâchant des petits bruits d'étranglement que son rival pourrait sortir, fonctionnerait si il le voulait plus que tout.

« L'espoir fait vivre », se moquait Gladys quand il faisait semblant de tuer Hyuga sans que tu ne le vois.

Oui, car, contre toute attente elle était AUSSI dans votre groupe avec (m/a).

Le deuxième jour, il avait essayé de t'ignorer tant bien que mal, parlant le plus souvent que possible avec pute-san dans l'espoir de te rendre jalouse tandis que pute-san pensait voir son rêve de merde se réaliser: Mibuchi qui commençerait à éprouver des sentiments pour elle.

[*rire moqueur des lecteurs*

- C'est ça ouais !, crie une lectrice avant de repartir dans son fou rire.]

Néanmoins, lui qui pensait que ça ne te faisait presque rien avait totalement faux.

Dès que tu le voyais parler et rigoler avec elle, tu t'imaginais que l'étrangler avec ton pouce et ton index réussirait ou qu'un death note tomberait du ciel juste en face de toi.

Seulement, non, et (m/a) et Hyuga te le rappelaient à chaque fois tandis que Gladys essayait d'en fabriquer un...

[Facepalm des lecteurs face au niveau de connerie de Gladys]

Les seuls moments où toi et Mibuchi vous parliez étaient assez tendus, dû au fait que votre jalousie maladive provoquait un ton colérique chez Mibuchi et ennuyé chez toi, ce qui vous causait moult disputes.

La dernière nuit, tu sortis sur le balcon de la chambre que tu partageais avec Gladys et (m/a) qui étaient partis à l'aventure car Gladys aurait découvert un endroit secret, toi étant la seule au courant de leur départ. Tu regardais les étoiles, repensant à cette sortie que tu avais imaginée magique, qui t'aurait permis de te rapprocher de Mibuchi mais qui au lieu de ça vous avait éloigné.

Sur le balcon juxtaposé au tiens, Mibuchi fit son apparition en ouvrant la baie vitré. Entendant un soupir, il regarda dehors et aperçut une (l/c) chevelure (c/c) qu'il aimait tout autant que sa propriétaire. Il voulut te parler et te demander ce que tu avais à soupirer tristement, mais se retint, ne voulant pas que vous vous disputiez encore une fois pour rien. Il se contenta simplement de s'accouder lui aussi à la rambarde de son balcon et d'observer les étoiles sans que tu ne l'entendes.

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«T/N», m'appelle une voix sans aucune émotion.

(Livaï ?????!! *coup de pied dans la gueule de la part de Shiiros qui me crie de continuer à écrire vu le retard que j'ai*)

Je sursautais et regardais à côté de moi. Mibuchi était accoudé au balcon se situant juste à côté de moi, nos balcon se touchant (sensuellement aimedéère !). J'en conclue donc qu'il se trouvait dans la chambre à côté de la mienne, logique après tout non ?

«Qu'est-ce qu'il y a Mibuchi ?»

Il soupira et posa sa tête contre la rambarde, ses bras ballant de l'autre côté, dans le vide. Soudainement, il attrapa une de mes mains avec la sienne et entremêla nos doigts ensemble, faisant réchauffer tout mon corps sans qu'il ne le sache.

«Excuses moi pour ses derniers jours...»

J'écarquillais mes yeux. Qu'est-ce qu'il a à être bizarre comme ça depuis notre arrivée ? On n'a fait que s'ignorer ou se disputer, causant la joie de la gognasse de la classe. 

«Mibuchi... Bien sûr que je te pardonne, après tout, je cherchais aussi et tu es mon ami.»

Un nouveau soupir mais plus profond que le précédent sortit de sa bouche. Je ne voyais pas sa tête alors je ne pus pas deviner à quoi il pouvait penser. Sa main serra plus fort la mienne, comme s'il était énervé.

«J'en ai marre de toi (t/p), je ne veux pas être ton ami moi !»

Je le regardais, les sourcils froncés, ne comprenant décidément plus son comportement. Au même moment il avait relevé sa tête et planté son regard dans le mien, sa main arrêtant de serrer fort la mienne pour que son pouce caresse le dos de ma main.

«(T/P), souffle-t-il en approchant son visage du mien. Je ne suis pas resté avec pute-san parce que ça me faisait plaisir. Tu ne sais pas à quel point ça me fait mal de te voir proche d'un garçon, surtout de Hyuga, que je n'aime pas, en sachant que tu ne m'appartiens pas...

- Mibuchi je...

- Non, appelle moi Reo, (T/P)»

Nos nez ainsi que nos lèvres se frôlèrent quand il me parla.

«Reo», dis-je avant qu'il ne fasse entrer sa langue dans ma bouche entrouverte.

Il m'attira contre la barrière qui nous séparait afin que je sois plus proche tout en caressant ma langue avec la sienne mais il recula directement.

«Tu es toute seule ?

- Oui, Gladys a emmenée (N/A) dans je ne sais quel endroit pour lui montrer sa fortune.

- Très bien»

Il me poussa en arrière et passa au dessus de la barrière avant de ne fondre encore une fois sur moi pour m'embrasser tout en collant mon dos contre la baie vitrée.

«Je voulais sentir complètement ton corps contre le miens pour mieux profiter de toi ma douce (T/P), dit-il en se pressant d'un coup contre moi, passant une main dans mes cheveux et l'autre sur mes hanches.

- Quel gentlemen tu fais, ris-je doucement.

- Avec toi ? Toujours », sourit-il en coin.

/!\ Attention Lemon /!\

Il m'embrassa lentement mais sensuellement, me faisant savourer cet instant de douceur infinie. Il ouvrit ma bouche et y entra sa langue. La vitesse du baiser accéléra, ainsi que la température de nos corps. Je stoppais le baiser, reprenant mon souffle. Mibuchi se baissa et me porta dans ses bras avant de rentrer à l'intérieur de la chambre et me jeter sur le lit. Il se plaça au dessus de moi et déposa de petits bisous le long de mes lèvres, pour finir par passer sa langue sur mon cou, y faisant des suçons. Je faufilais mes bras vers le bas et mes doigts rencontrèrent la peau de ses hanches que son t-shirt ne couvrait pas lui provoquant des frissons.

«(T/P)», grogne-t-il en pressant son érection contre mon bas ventre.

Prise d'un élan de confiance je plaquais mes mains contre son torse et le retourna sur le dos, me mettant à califourchon sur lui. Il me sourit et posa sa main derrière ma tête et l'autre sur mes hanches avant de m'embrasser langoureusement. Je me mis à onduler des hanches, nous faisant soupirer de plaisir. Je me retirais du baiser pour déposer de petits bisous sur son cou. Je l'entendis grogner de plaisir avant que je ne retire son t-shirt.

Après plusieurs caresses, gémissements mélangeant nos souffles ensemble et des bruits d'habits qui se retrouvèrent au sol ainsi que celui du préservatif, les mains de Reo remontèrent sensuellement de mes genoux à mes hanches après qu'il est un peu plus écarté mes jambes.

«Tu auras sûrement un peu mal ma douce (T/P) alors –

- – Ne t'en fais pas Mibuchi, vas-y », le coupes-tu en souriant.

Rassuré que tu n'ais pas peur, il t'embrassa sur le front avant de poser ses mains de part et d'autre de ta tête. Il commença à entrer en toi doucement avant d'y aller d'un coup et s'arrêter, serrant ses dents comme tu le faisais mais pas pour la même raison, toi étant de douleur et lui de plaisir.

«Tu p...peux y aller, je vais m'habituer de toute façon», chuchotes-tu en entourant ses poignets de tes mains, appréhendant.

Reo acquiesça et se mit à faire des vas et viens.

«Tu... (T/P) tu...es si serrée... », gémit-il les yeux à moitié clos.

La douleur commençant à disparaître, un gémissement sortit de ta bouche. Aussitôt, Mibuchi lâcha un petit sourire et accéléra la cadence, finissant par buter contre un endroit qui t'es sensible.

« Reo..! »

Au bout de quelques minutes il finit par se vider dans le plastique, atteignant la jouissance, suivit de près par moi. Il se retira et jeta la capote usagé dans la poubelle de la chambre avant de venir me serrer dans ses bras, nous couvrant de la couette. Il m'embrassa le front avant de me chuchoter un «Je t'aime» remplit d'amour.

«Moi aussi je t'aime Reo»

Il sourit et nous parlons un peu, Mibuchi me demandant si c'était bien et d'autres choses qui me firent rougir, avant que nous nous endormions.

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Et voilà c'est ....

Gladys: Hep hep hep hep ! Attends deux secondes ! T'as oubliée un truc !

Auteur: Ok ok, t'as le droit à ta partie.....

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Plus loin en face de la baie vitrée donnant sur la chambre de (t/p), (m/a) et Gladys, allongée par terre dans une grotte......

« Alors ? Tu vois que c'était un super endroit ! On a tout vu !, rit machiavéliquement Gladys.

- Euh je... Tu... Ils..., bégaie (m/a) toute rouge.

- Quoi ? Ca t'as émoustillé leur partie de jambe en l'air ?

- C... Comment ça émoustillée ?!

- Bah excitée idiote», souffle Gladys en levant les yeux au ciel.

Voyant la gêne de (m/a) grandir, un air malicieux s'immisça sur le visage de Gladys.

«Remédions-en alors...»

(m/a) se tourna d'un coup vers son amie qui fondit sur elle en l'embrassant.

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Gladys: Le reste est déconseillé aux personnes innocentes ehehehe !

Auteur: ...

Bon voilà c'est finis ! J'espère que ça vous a plu !