Akashi x Reader

Commande de: Shiiros_Hestaria

/!\ LEMONAADE /!\ mouth (lol)

J'espère que ça te plaira !

_______________

« Mes ordres sont absolus. »

Je levai les yeux au ciel, baillant bruyamment afin de lui montrer que je n'en avais rien à faire de lui obéir comme un toutou. Il me lança un énième regard noir, sûrement la millième fois depuis ma rentrée à Rakuzan, en sachant qu'avant j'étais à Teiko et aidais quelques fois Momoi au club de basket.

Dire qu'avant qu'il ne change lui et moi nous tournions autour... Il est vraiment devenu exécrable maintenant.

Je me laissais tomber sur un banc se trouvant dans la salle de gym du lycée, me mettant à regarder dehors.

« Super il pleut, grognais-je en frappant ma tête contre le mur derrière moi. T'aurais pas pu me laisser faire le plan du prochain match sans toi Akashi ? Sérieusement.

- Tu es la manager à ce que je sache non ? Et moi le capitaine. Je sais très bien à quel emplacement mes joueurs sont parfait et...

- Moi aussi idiot, ça fait un an que je suis votre manager et que le coach me laisse faire ses plans d'attaque, alors je n'ai rien à apprendre de toi », le coupais-je sèchement.

Mon téléphone sonna quand l'empereur s'apprêtait à répliquer, je décrochais.

« Allô ?

- Euuuuuuuh (t/p) ?

- Qu'est-ce que t'as fais encore Gladys ?, soupirais-je.

- Euuuuuuuh rien du tout, chuchote-t-elle.

- Très bien alors si je rentre maintenant notre appartement sera dans le même état que ce matin n'est-ce...

- NON ! Ne rentre pas !, hurle-t-elle. J'ai... euh... Je... J'ai fais une petite mais toute petite bêtise, petite comme la taille d'Akashi en fait... »

J'entendis Akashi grogner en entendant la fin de sa phrase et je souris avant de le perdre très vite.

« J'ai fais disparaître l'appart... »

Je l'avais entendue murmurer cette toute petite phrase qui stoppa ma respiration.

« Tu as quoi ?

- Je... (T/P) ta voix est trop calme, tu me fais flipper...

- Répète moi ce que tu as fais avant que je n'arrive pour te faire bouffer les mygales que tu as lâchée dans ma chambre la semaine dernière, la menaçais-je.

- J'ai crée une baguette magique comme dans Harry Potter et, j'étais au milieu du salon, quand je l'ai secouée pour voir si ça marchait, quand je me suis rendu compte que il y avait plus rien...

- Tu es où là ?

- Chez quelqu'un, je te dirais pas qui sinon tu vas venir me frapper !

- Gladys je vais te... ! »

Elle me raccrocha au nez après poussée un petit cris aigus en me disant qu'elle allait manger.

« Chez Murasakibara..., murmurais-je.

- De quoi ?, dit Akashi en essuyant son cou pleins de sueur comme il venait de faire du sport.

- Cette grognasse est chez Murasakibara, il y a que chez lui qu'on mange à 18h. »

Je me levais, prête à courir jusqu'à chez lui.

« Je vais la tuer pour avoir fais disparaître notre appart ! Elle va les bouffer ses mygales moi je te le dis !

- Attends (T/N), me stoppe-t-il en attrapant mon poignet. Tu peux venir chez moi, tu n'as aucun toit pour dormir après tout. »

Je clignais plusieurs fois des yeux, ouvrant ma bouche avant de la refermer, tel un poisson.

« Ça ne me dérange pas, tant que c'est toi, ajoute-t-il en détournant son regard rogue du miens.

- Merci. »

Il me regarda et fut étonner de me voir lui sourire. Il finit par secouer légèrement sa tête en lâchant mon poignet.

«Je vais me changer, je reviens. Attends moi ici. »

Lorsqu'il eut finis, Akashi me conduisit jusqu'à l'entrée du lycée, là où nous attendait son chauffeur. Il me fit monter et la voiture démarra, se dirigeant vers sa maison que je connaissais bien, étant donné que je venais souvent au collège, avant qu'il ne change.


Quelques temps plus tard, nous venions de finir de manger et ses parents, aussi gentils avec moi qu'avant, étaient partis à notre arrivée, ils avaient été invités à un repas chez des amis à eux et ne voyaient aucun inconvénient à ce que je reste chez eux jusqu'à trouver un nouvel appartement pour moi et Gladys.

« Tu veux regarder un film ?, me propose Akashi en s'asseyant sur le canapé.

- Avec plaisir ! »

Après une heure et demie, le film venait de se terminer alors nous partîmes dans nos chambres respectives.

Une fois que je fus douchée et sèche, j'enfilais une chemise appartenant à Akashi, il me l'avait prêté. Par chance, celle-ci m'arrivait au milieu des cuisses. Je fermais la porte de la salle de bain adjacente à la chambre dans laquelle je dors, puis m'écrasais sur le lit avant de vite me relever.

« Je vais lui dire bonne nuit, il a été gentil avec moi aujourd'hui après tout. »

Il était vrai que ses derniers temps, il était rare qu'il ne m'ordonne quelque chose, la preuve, aujourd'hui il ne m'a dit qu'une seule fois "mes ordres sont absolus".

« Akashi ? », l'appelais-je en toquant à la porte de sa chambre.

Un grognement m'indiqua que je pouvais entrer. J'ouvris la porte et le vis allonger sur son lit, un t-shirt et un jogging sur lui, son bras derrière sa tête, regardant le plafond. Son regard se tourna vers moi et glissa le long de mon corps avant de remonter pour s'ancrer dans mes yeux.

« Je vois que ma chemise te va bien, mais bon, tu es plus petite que moi cela dit. »

Il m'offrit son sourire moqueur et me demanda ce que je le voulais.

« Euh, je vais me coucher alors je suis venu te dire bonne nuit. A demain Akashi, et merci pour aujourd'hui. »

Je lui souris et me retournais pour partir dans le couloir.

« Attends (T/P) ! »

Je fis volte-face, étonnée qu'il m'appelle par mon prénom, et le vis s'avancer vers moi, jusqu'à ce qu'il me surplombe de ces quinze centimètre de plus que moi.

« Oui tu... »

Je m'arrêtais de parler, surprise de sentir une de ses mains se poser sur ma joue. Il me fixe de ses yeux rouges envoûtant, avant qu'il ne descende son regard sur mes lèvres. Je sentis mes joues se réchauffer, pas habituée à ce qu'il soit aussi proche de moi, même au collège.
Soudainement, il écrasa sa bouche contre la mienne et m'embrassa. Je sortis vite de ma transe, posant mes mains sur sa nuque en me levant sur la pointe des pieds. Son pouce caressa ma joue tandis que son autre main vint rapprocher mon corps de lui en appuyant sur le bas de mon dos.

Je me reculais, reprenant mon souffle, quand dix secondes plus tard Akashi se jeta sur moi, profitant que ma bouche soit ouverte pour introduire sa langue et m'embrasser langoureusement. Il me guida jusqu'à son lit où il s'y assit, me mettant à califourchon sur lui. Je posais mes mains sur son torse et les descendis lentement vers le bas de son haut avant de les passer sous le tissu pour caresser sa peau nu. Les vagues que formaient ses muscles se contractèrent, sa main descendant de mon dos venant glisser le long de ma cuisse dénudée. Akashi mit fin au baiser et laissa tomber sa tête dans le creux de mon cou.

« (T/p), je t'aime. Depuis... le début de nos années à Teiko je suppose. Je ne me rappelle plus quand est-ce que je suis tombé sous ton charme, tout ce je sais c'est que j'ai toujours adoré te voir sourire, me regarder et entendre ton rire. »

Il déposa un baiser sur ma peau et je ne pus retenir un petit rire.

« Moi aussi je t'aime, Akashi Seijuro. »

J'éloignai sa tête de mon cou alors qu'il continuait d'y déposer des baisers humides. Son regard emplit de désir croisa le miens et me fit frissonner. Ses pupilles rouges s'étant assombris, son regard semblait encore plus profond qu'il ne l'était auparavant. Le coin de ses lèvres se redressa, et il m'offrit le plus beau sourire que je n'ai jamais vue. Il m'embrassa tendrement, glissant ses doigts sur ma chemise afin de détacher les boutons de celle-ci pour qu'il puisse mieux toucher ma peau après avoir agrippé mes hanches.

Quant à moi, je finis par attraper le bas de son t-shirt et le remonter jusqu'en haut de sa tête pour lui enlever. Lorsqu'il fut torse nu, je ne pu m'empêcher de poser mes mains sur les épaules d'Akashi et le pousser en arrière. Je me reculais et me mis à lécher son bas ventre tout en remontant jusqu'à son oreille. Il grognait de plaisir, plaquant ses mains sur le haut de mes cuisses. Je me rassis sur lui et sentis une bosse dur. Je compris ce que c'était quand je vis Akashi rejeter sa tête en arrière en lâchant un gémissement de plaisir.

Je fis lentement glisser mes doigts jusqu'à l'élastique de son jogging, lui procurant des frissons. Je tire un peu dessus et pose ma main sur sa partie intime, faisant déglutir Akashi. Commençant à peine à attraper le haut de son boxer, il lâcha un grognement sourd.

«Dépêche toi (T/p). Je t'en prie !», me supplie-t-il d'une voix rauque.

Glissant une main contre sa peau, je vis sa mâchoire se contracter fortement lorsque je pris son membre dans ma main. Je commençais à mouver ma main verticalement tout en me penchant vers Akashi pour déposer des baisers le long de sa mâchoire. Ses gémissements près de mon oreille me provoquaient d'incroyable frissons de plaisir. Ses mains attrapaient ses draps, les serrant fortement quand d'un coup il ouvrit les yeux et enleva ma main de son boxer.

«A moi maintenant ma douce, avant que je ne vienne.»

Il me fit basculer sur le côté tout en réussissant à enlever sa chemise que je portais. Il se mit à quatre patte au dessus de moi, une main près de ma tête et l'autre à côté de ma hanche. Une d'elles partit sous mon dos et dégrafa mon soutien gorge. Akashi me débarrassa du tissu et le jeta quelque part dans sa chambre. Lorsque son visage revint en face de moi, son regard semblable à celui d'un prédateur glissa le long de mon corps, mordant sa lèvre quand il passa sur ma poitrine maintenant dénudée.

Sans que je ne m'y attende, je sentis sa main s'introduisit sous ma culotte tandis que je ne voyais maintenant plus que ses cheveux rouges et sentais ses lèvres humide rouler sur ma peau, sa langue s'enroulant parfois autour de mes boutons de chair. Un gémissement m'échappa et j'attrapais son poignet près de ma tête tout en posant ma main sur le torse d'Akashi. Je crus le sentir sourire mais il me fut difficile de penser si c'était le cas car il fit rentrer un doigt dans mon vagin et se mit à torturer mon clitoris avec son pouce. J'enroulais instinctivement mes jambes autour de son bassin, afin de ressentir plus de plaisir lorsqu'il rajouta un doigt. Je l'aperçus m'observer du coin de l'œil mais je me sentais venir et il était tellement bon que je rejetais ma tête en arrière en prononçant son prénom.

« Ak... Hm... ! Seijuro !

- Bordel, je sens que je ne me lasserais plus jamais de te voir jouir grâce à moi, surtout tu prononces à chaque fois mon prénom. », susurre-t-il contre mon oreille.

Essoufflée, je l'observais se lever et faire je ne sais quoi avant de se remettre au dessus de moi. Je m'aperçus alors, en sentant son membre à l'entrée de mon vagin, qu'il avait retiré ma culotte pendant son affaire. Ses doigts caressèrent mes hanches.

« Tu es prête (T/P) ?

- Oui Seijuro »

Il me sourit et pencha pour m'embrasser quand il me pénétra au même moment, tout en lâchant un grognement de plaisir. Il avait été tellement doux que je ne sentis presque aucune douleur. Il me regarda, pour savoir si ça allait et je lui fis signe de continuer. Il bougea ses hanches et je serrais un peu les dents. Akashi le remarqua et m'embrassa tendrement. Après un petit moment, le plaisir commença à arriver et je soupirais de plaisir le prénom d'Akashi.

« (T/p), redis-le encore, me demande le joueur de basket dans mon oreille.

- Seijuro...!

- Tu aimes ce que je te fais à voir ton état, sourit-il.

- Tu... C'est...»

Un gémissement répondit à ma place. Il accéléra la cadence, plongeant son visage dans mon cou et dans un dernier coup de reins, je finis par jouir de nouveau, suivit quelques secondes après par lui.

Il s'effondra sur moi, essayant de reprendre sa respiration, tout comme moi, avant de se lever et mettre la capote à la poubelle. Il revint sur le lit et nous couvrit avec sa couverture. Il me prit dans ses bras et me souffla:

« Je t'aime et maintenant tu m'appartiens (T/p), mes ordres sont absolus. »

Je ris, bien que légèrement dans les vapes, et dépose un baiser sur son torse.

« Moi aussi je t'aime Seijuro. J'espère aussi que tu m'appartiens tout je t'appartiens maintenant. »

Et je l'entendis. C'était presque imperceptible mais je perçus tout de même, cette chose que jamais je n'avais encore entendu, tel c'était extrêmement rare.

Son rire.

Et à partir de maintenant, je sentis que j'allais très souvent l'entendre lorsque nous ne serions que tout les deux.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top