Akashi Seijuro x Reader

Commande de Mlle_Kurusu

Attention ! Alerte citron ! Alerte citron ! Ceci n'est pas un exercice ! Alerte Gladys !!

Comme d'habitude, le professeur ne disait rien. Tu recevais des boulettes de papiers sur toi, que ça se passe dans le dos du professeur ou devant lui, mais, comme c'était une certaine personne qui le faisait, il se taisait. Tu savais très bien ce qu'il y avait de marqué sur ces feuilles mais tu persistais à les ouvrir pour pouvoir lire: Tu sors avec moi, mes ordres sont absolus.

Comme toujours, tu te retournais vers la provenance de ses messages courtois et croisais ses yeux vairons, que tu commençais à bien aimer, avant de lui présenter ton majeur.

Lorsque la pause midi arriva tu courus hors de la salle tel Usain Bolt ou les fans qui veulent voir Kise, à toi de voir qui est le plus rapide. Seulement, en tournant dans un couloir tu rentras dans quelqu'un comme dans des histoires clichées avec des bad boy. Tu levas tes yeux et rencontras du rouge et du jaune.

- T/p, tu sais, tu serais heureuse avec moi, dit Akashi.

A un moment, tu crus voir une petite mèche blonde sur le haut de son front mais il se gratta la tête et elle disparue.

- Ne m'appelle pas t/p mais t/n, grognes-tu en te relevant.

- Je t'appelle comme je veux car tu est ma petite amie, déclare-t-il en te poussant contre un mur.

- Je ne suis pas...

- Mes ordres sont absolus.

Il te fixait intensément, montrant qu'il ne te lâcherait pas quand...

- Buuurp !

Il te rota dessus. Une petite ampoule s'alluma quelque part dans ton cerveau.

- Gladys !, cris-tu en lui enlevant sa perruque.

- Ah tu m'as recconue comment t'as fais ?

- Akashi ne roterait jamais sur les gens idiote, soupire-tu en levant les yeux aux ciel.

- Bah y a un début à tout tu sais, j'ai commencée à organiser votre mariage d'ailleurs.

- Hein ?!

- Bah ouais, il aura lieu dans trois mois, je te laisse salut ! Je vais aller me voler une petite Ferrari pour me récompenser.

- Hein ? Mais... Que...

Elle disparut aussitôt de ton champs de vision.

- T/n ? Qu'est-ce que tu fais ici toute seule ? Reviens en classe avant que tu ne te retrouves dans une situation bizarre avec des gens bizarre, ordonne la vraie voix d'Akashi.

- Bah c'est déjà fait mais la personne bizarre vient de partir, avoue-tu.

Ils'avança vers toi et posa ses mains sur tes joues et regarda partout sur ton visage.

- Gladys ne t'as rien fais j'espère ?

- Comment tu sais que c'est elle ?

- Elle est la seule personne à être bizarre à tes yeux mais aussi à partir avant que quelqu'un arrive.

- Hmm pas faux, ris-tu.

Il sembla choqué.

- Quoi ?

- J'adore ton rire.

- Ah euh merci.

- Maintenant soit ma petite amie t/n.

Tu lâchas un lourd soupire en laissant tomber ta tête vers l'arrière.

- Sérieusement, arrête de me dire ça chaque fois que l'on se croise Akashi ! Je ne peux jamais parler à des garçons sans que tu ne viennes et les menaces de leur lancer ton ciseau entre les deux yeux ou bien de leur couper ce qui fait d'eux des hommes ! Tout le monde croit que nous sommes en couple à cause de toi !

- Eh bien sortons ensemble alors vue qu'à leur yeux on est ensemble.

Il afficha un sourire mesquin mais se prit une gifle la seconde d'après. Trop choqué qu'une personne est osé lui faire ça, il te laissa filer.

- Ne m'approche plus !, l'avertis-tu en te dépêchant de t'en aller.

Trois jours étaient passés, tu étais très étonnée et heureuse de ne pas encore te faire harceler par Akashi qui semblait vouer une passion à te forcer la main mais tu ressentais comme un manque car il ne faisait plus attention à toi maintenant.

- Tu me parais triste t/p, qu'est-ce qu'il y a ?

Tu tournas ta tête vers la fenêtre et sursautas en voyant Gladys assise sur le bord, une jambe repliée vers elle et l'autre qui pendait à côté de toi.

- Mais comment tu...

- J'ai escaladée pour aller voir la salle d'art juste au dessus de ta classe parce que j'ai entendue dire qu'un mannequin viendrait poser nue comme un verre, sourit-elle en haussant plusieurs fois des sourcils. Mais en me la jouant spider man je t'ai vue faire ta tête "je suis triste mais j'assume pas".

- Je suis pas triste !

Gladys posa une main sur ta bouche.

- Arrête de crier, j'ai encore la gueule de bois et en plus t'attires l'attention sur moi alors que je suis même pas de ce lycée, ni aucun d'ailleurs, je me tape l'incruste quoi.

- Désolée.

- Bon, maintenant dis moi ce que t'as.

- Mais tu dois pas aller voir le mannequin ?

- Il est pas encore arrivé t'inquiète.

- Ok, alors, euh... bah...en faite...

- C'est Akashi c'est ça ?

Tu la regardas étonnée.

- C... Comment tu...

- Facile, répond-t-elle avec un air supérieur. Il fait la tête, semble un peu en colère et ne te regarde pas. Je sais ce que t'as foutu mais t'as ruinée mon putain de travail pour votre mariage, si tu lui reparles pas aujourd'hui j'annule votre mariage et lui trouves une fille.

Elle te sourit malicieusement tandis que tu restas choquée de ses paroles.

- Mais je ne l'aime pas !, chuchotes-tu.

- Pfff, on me la fait pas à moi, même si il te soûlait à forcer là il te manque. Même moi qui n'a aucuns sentiments j'arrive à voir les tiens. Tu l'aimes fais toi à l'idée. Mais... Je peux t'aider si tu veux.

Tu te mis à plisser des yeux et peser le pour et le contre de sa proposition. Après quelques secondes tu acceptas.

- Super ! Alors maintenant, tu sais que je suis bi ?

- Bah euh oui mais je vois pas ce que...

- Akashi !, crie-t-elle, attirant l'attention de l'empereur.

Soudain, sans que tu ne t'y attendes, Gladys t'attrapa derrière la nuque et tu n'eus le temps que d'apercevoir son sourire machiavélique et ses yeux fixés malicieusement Akashi que ses lèvres sur posèrent sur les tiennes. Un bruit de chaise qui tombe et tu te retrouvas tirée en arrière, toujours sous le choc alors que Gladys se dépêcha de sortir par la fenêtre pour rejoindre son mannequin en haut.

- Bye bye les futurs mariés !, lance-t-elle avant de disparaître.

Tu sentis un regard sombre sur toi alors tu relevas, avec une lenteur dramatique, ta tête et croisas les yeux rouge et jaune d'Akashi te regarder avec colère. Sans prévenir, il te tira dehors et vous marchez quelque secondes avant qu'il ne te fasse rentrer dans une salle vide et fermer à clef derrière vous.

- Akashi ? Pourquoi tu m'as fais venir ici ?, demandes-tu sur un ton bas.

Il s'avança vers toi sans te répondre au début.

- 5 mois, dit-il simplement.

- D...De quoi 5 mois ?

- Cinq mois que je fais tout pour que tu sois mienne car tu as un sale caractere et contestes tout le temps mes ordres qui sont pourtant absolus mais là, Gladys réussit à t'embrasser. Je crois que j'ai pas le choix maintenant.

- Hein ?

A peine tu eus dis ça qu'il posa sa main sur ta joue ainsi qu'une autre autour de ta taille et t'embrassa. Tu enroulas alors tes bras autour de son cou, comme par automatisme. Vos lèvres se mouvèrent avec perfection et amour tandis que les mains du basketteur caressaient ton dos, tes hanches et tes cheveux alors que tes doigts s'entremêlaient avec les siens. Il se sépara de toi et baisa une de tes joues.

- Je ne te le dirais qu'une seule fois aujourd'hui alors écoutes bien et crois moi t/n.

- D-D'accord...

- Je t'aime.

Tu ne pus retenir le sourire qui prit place sur ton visage ainsi que tes rougeurs aux joues.

- M..Moi aussi Akash..

- Seijuro, précise-t-il avant de reposer ses lèvres sur les tiennes.

Il t'allongea sur le bureau et se plaça au dessus de toi, embrassant maintenant ton cou pour y laisser ses marques de passage. Il se mit à mordiller ton lobe d'oreille alors que tu caressais son torse recouvert de sa chemise d'uniforme, te faisant lâcher des petits gémissements. Il releva sa tête et déposa de léger baiser partout sur ton visage, te faisant rigoler.

- Sors avec moi t/p.

Tu trouvas que ton prénom sortit de sa bouche était semblable à une mélodie des plus harmonieuse.

- J'accepte Seijuro.

- De toute façon je suis un empereur, bredouille-t-il.

Tu lui pinças la joue et il te sourit, pas avec un de ses sourires habituellement mesquin, non, un vrai, accompagné de légères rougeurs sur ses pommettes. Il lécha alors tes lèvres afin que tu ouvres ta bouche et il y introduisit sa langue qui toucha la tienne avec douceur et amour. Ses mains baladeuses déboutonnèrent sa chemise alors que tu faisais de même avec la sienne. Vos chemises enlevés, Akashi attrapa tes poignets et les mit au dessus de ta tête pour descendre ses baisers humides jusqu'à la naissance de ta poitrine recouverte de ton soutien-gorge. Tu courbas ton dos et ton bassin toucha le siens qui semblait plutôt gonflé. Le basketteur laissa échapper un grondement sourd tout en contractant ses muscles. Les mains du rouge relâchèrent tes poignets pour qu'il retire son pantalon. Il remonte ses mains des tes cuisses vers ton soutiens gorge et te le retire avant de s'occuper de ta jupe qui rejoignit son pantalon.

- Depuis le temps que je voulais te toucher de cette façon, dit-il en te regardant avant de plonger sa tête vers ta poitrine tout en remontant une de tes cuisses avec sa main.

Tu lui répondis en gémissant de bien être et le sentis enlever ta culotte. Tu glissa tes mains vers le bas de torse en suivant son V qui rejoignait la virilité de l'empereur et le prit en main avant d'entamer de lents mouvements de vas et viens, faisant grogner Akashi qui après plusieurs secondes te stoppa, les mains tremblante. Il sembla fouiller un truc par terre puis quelques secondes après tu le sentis de nouveau au dessus de toi. Il te caressa la joue afin que tu ouvres les yeux. Ensuite, il t'embrassa le front en te caressant les hanches et glissa en toi. Tu eus de petites larmes sur le coins des yeux, ce qui le fit se stopper.

- T'arrêtes pas, l'intimes-tu avec un petit sourire.

Akashi reprit ses mouvements, essayant d'être doux. Après quelques secondes où il accéléra son rythme tu commenças à soupirer de faible gémissements et tu scellas tes lèvres aux siennes. Lorsqu'il donna un coup plus puissant que les autres tu rejeta ta tête en arrière et il posa ses lèvres sur ton cou, ne pouvant résister à te faire une marque qui restera plus longtemps que les autres.

Il grogna ton prénom plusieurs toi alors que tu soufflais les siens, pour son plus grand bonheur, à deux centimètres de ses oreilles. Lorsque vous atteignirent le septième ciel il s'écroula sur toi, te parsemant de petits baisers sur ta tempe.

- Tu seras toujours à moi t/p et mes ordres sont indiscutable.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top