Voici la commande de Liloubella qui m'as demander un Draxembe, non UA, Lemon soft et fin heureuse. J'espère qu'il te plaira. Enjoy ;)

Une soirée originale

On revient de la trêve international, Julian est finalement revenu de blessure et s'entraîne avec le groupe depuis quelques jours. On se prépare pour notre match du weekend face à Nice ce vendredi. Je compte bien profiter de mon homme ce soir. Je sais qu'on ne devrait pas, mais on a quelque chose à fêter ce soir. Enfin si tout se passe comme prévu.

Elipse

Le match vient de se terminer, j'ai jouer. Pas Juju, il est encore trop juste pour pouvoir jouer. Mais ça ne fait rien. L'essentiel est ailleurs. Je me dépêche de quitter les vestiaires, mon allemand lui est déjà prêt et m'attend à côté de sa voiture. Oh donc il conduit ce soir ?

- Babe, tu ne veux pas me laisser conduire ? J'ai prévu de m'occuper de toi ce soir.

Je souris mais déchante très vite quand il me répond.

- Hors de question je tiens à ma vie, aller monte je pilote.

Je boude mais m'exécute. Heureusement que nous n'avons pas besoin de quitter notre appartement pour ce que j'ai prévu. En principe à notre arrivé le Neybappé doit avoir fini les derniers préparatifs. J'espère juste qu'ils n'ont pas prit trop leurs aises. Je me sentirai mal de voir ma surprise gâchée par ceux qui étaient censé m'aider. Enfin, tant que je peux être avec mon homme; je souris avant lui attraper sa main. Il me regarde rapidement me sourit et arriver à un feu rouge il me vole un baiser. J'ai vraiment hâte de rentrer.

On arrive enfin chez nous et je peux voir que le Neybappé a bien travailler et surtout ils ne sont plus ici. Super, aucun risque de les retrouver à essayer de faire des bébés dans notre lit. Julian regarde l'état du salon et se tourne vers moi.

- C'est toi qui a fait ça ?

- Avec un peu d'aide, oui. Tu aimes ?

- Beaucoup, fais moi penser à remercier le Neybappé pour ça.

- Je ne peux vraiment rien te cacher hein.

On se regarde avant de rire. Puis je tire l'une des chaises et l'invite à prendre place pour le repas.

- Si monsieur veut bien se donner la peine.

Il roule des yeux, mais s'exécute. Il traverse le chemin de roses blanche, rose, et rouge et s'installe finalement. Je cours à la cuisine récupérer les plats et une fois bien assis, On commence notre repas. J'essaie d'être le plus agréable possible et ça fait rire mon homme.

- Presko, ça ne te vas pas d'être aussi sage.

- Je suis si nul que ça ?

Je boude un peu.

- Mais non, c'est juste que tout ça; ce n'est pas toi. Alors ne te force pas, je t'aime comme tu es tu sais.

- Ju, tu es vraiment parfait.

Il se lève et vient m'embrasser.

- C'est toi qui es parfait pour moi. Murmure-t-il.

Je reprends ses lèvres avec douceur, avant que le baiser ne se fasse plus pressant. On se lève je le tire à notre chambre et m'attaque à ses vêtements. J'ai besoin de sentir sa peau contre la mienne. Il me mordille la lèvre inférieur, je gémis. Je pars à l'assaut de son cou, il soupire doucement avant de retourner nos positions et de me plaquer contre le lit. Il retire mon haut et le siens ses mains se perdent sur mon torse, les miennes sur son dos, son cou; sur chaque parcelle de peau. Il me mords, me laisse des suçons, me caresse me marque de son amour. Je ne suis pas en reste et je laisse aussi quelques taches rosées qui tire sur le violet sur sa peau.

Il finit par descendre plus bas. Je soulève mes hanches et bientôt je me retrouve nu.

- Pres ? Tu étais si presser que ça de m'avoir en toi pour ne rien porter en dessous ?

- Peut-être babe.

Son début de rire se bloque dans sa gorge face à mon regard et il grogne. Avant de s'attaquer à mon corps comme il se doit. Enfin on ne fait qu'un.

- Relax Pres.

- Embrasse moi.

Bientôt je sens notre corps à corps devenir de plus en plus violent. On court, on court vers la jouissance. Nos mains et nos lèvres se font plus hardis et dans un souffle je soupire son nom quand nous atteignons enfin les étoiles. Il me prend dans ses bras et je soupire de contentement, on reste ainsi un moment avant que je ne me dises que c'est peut-être le moment. Je me redresse, et essaie de quitter le lit quand mon homme me retient par le poignet.

- Où est-ce que tu vas ?

- Pas loin ne t'en fais pas.

Je tends mon bras vers ma table de nuit et en sort une petite boite. Je la lui tends et il me regarde sans comprendre. Sans vouloir comprendre.

- Babe, je voulias te faire ma demande un peu plus tôt et dans une autre tenue. Mais, je pense quand même que c'est le bon moment. Toi et moi on est si bien ensemble, j'ai eu l'impression de véritablement vivre quand on s'est embrassé pour la première fois. Je ne peux imaginer ma vie sans toi. Alors je te le demande veux-tu m'épouser ?

Il ne répond rien et j'ai peur. Puis il ouvre la boîte en sort l'anneau et tout en me regardant dans les yeux, le met. Je souris et il m'embrasse à en perdre notre souffle.

- Tu ne pouvais pas me rendre plus heureux. Je suis juste un peu jaloux, tu m'as devancé Presko.

- Ah bon ?

Il hoche la tête avant de récupérer dans la poche de son pantalon une boîte similaire à la mienne. On rit un peu de la situation avant que je ne reproduise son geste et que je me retrouve avec un anneau en argent simple autour du doigt. On s'embrasse encore et encore, ne se lâchant plus avant de sombrer doucement dans un doux sommeil. Heureux.

Fin