Une nouvelle étape (Kimpembé x Kehrer)
Alors cet OS est pour mae_od04 qui m'as demander un kimpembe x Kehrer, sans UA, avec Lemon et une fin joyeuse. Je suis désolée mae_od04 pour le retard mais avec les exams au moment où tu m'a fait ta commande et le syndrome de la page blanche, j'ai un peu galéré à finir cet OS. Je l'ai mis sur pause pour un moment parce que je n'arrivais pas à voir comment les mettre ensemble et je suis revenu donc si l'OS est un peu décousus je suis désolée. Si l'OS ne te plait pas mae_od04 dis le moi et je le reprendrai pour le réécrire dans un autre contexte.
Sur ce je vous souhaite une bonne lecture.
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On avait décider avec Thilo de sortir un peu pour se changer les idées. On était en repos et après ce match face à Rennes, je voulais avoir Thilo près de moi. Je sais que c'est dur pour lui cette saison. Il vient dans un nouveau club, un nouveau pays et s'il n'y avait pas Ju et Kévin avant qu'il ne parte; je ne sais pas comment il se serait intégré au groupe. Il l'aurait fait mais plus difficilement sûrement.
Depuis un moment lui et moi nous nous sommes rapprochés. Et bien que j'apprécie ce rapprochement, je suis de plus en plus gêné en étant à ses côtés. Contrairement à ce que les autres affirment sur les réseaux ou entre nous, je n'étais pas jaloux de Thilo et de sa relation avec babe.
C'est plutôt le contraire. J'étais jaloux de la complicité qu'avait Ju avec Thilo. Parce que dès que l'on s'est vu, il a réussi à m'intrigué. Au début j'ai mis ça sur le compte de la nouveauté. Après tout on ne se connaissait pas et babe l'avait en grande estime. Et puis après des jours, je me suis rendu compte que je passais de plus en plus de temps à le chercher du regard, à chercher sa présence. Et ça mon babe l'a très vite remarqué. Alors après des semaines à se tourner autour et avec la bénédiction de mon Ju' j'ai pris mon courage à deux mains et je lui est demander d'être mon petit-ami. Autant vous dire que j'étais au comble de la joie lorsqu'il m'a embrasser pour me donner sa réponse.
Mon amour pour Thilo n'a fait que grandir au fil des semaines et plus j'apprenais ce qu'était la vie à ses côtés, plus je tombais amoureux de lui. Finalement j'ai décider d'emmener notre relation un peu plus loin en lui demandant d'emménager avec moi. Du moins c'est ce que je compte faire ce soir. Je sais que ce n'est sans doute pas le moment idéal avec le match qu'on a eu face à Rennes et que notre relation est encore jeune, mais je ne peux me passer de sa présence. Cela en devient presque impossible pour moi de rentrer chez moi et de savoir qu'il n'est pas là. Heureusement la présence de mon trésor me réconforte lorsque je ne vais pas bien. J'espère que mon petit ami va accepter parce que j'ai vraiment besoin de lui en ce moment, tout comme je sais qu'il a besoin de moi.
On se retrouve au restaurant puisque je voulais lui changer les idées. Thilo est là, aussi magnifique que le premier jour où l'on s'est vu. Et moi comme à mon habitude je suis en retard. Mais cette fois-ci c'est parce que je suis éblouis par sa beauté et que je veux encore pouvoir l'admirer un peu avant de le retrouver. C'est mon plaisir coupable. Pouvoir le voir et l'avoir rien qu'à moi pour encore quelques minutes. Je me décide finalement à le rejoindre parce que sa présence me manque beaucoup trop.
Dès qu'il me voit son visage s'illumine du plus beau des sourires et je me sens renaître. Mon Dieu, que j'aime cet homme ! Je m'approche de lui et le prend dans mes bras. Nous sommes en public et on ne peut se permettre de laisser notre relation être découverte. Alors on se contente de petits gestes avant d'être à l'abri dans notre intimité. Je suis nerveux mais je ne veux pas le lui montrer. Cette soirée est pour lui. Je veux qu'on se retrouve qu'entre nous, sans rien pour nous gêner. Alors je garde ma nervosité pour moi et puis j'attend le moment où l'on rentrera chez moi.
La soirée s'est passé agréablement bien et Thilo à réussi à oublier le contexte au club pour que l'on s'amuse. Et je suis ravi de l'avoir aidé à changer d'air. Il allait mal depuis un moment tout comme moi. Mais je me fiche de ce qu'il peut m'arriver si Thilo est heureux. Alors le voir de nouveau sourire et apprécier cette soirée, est ma petite victoire. Il me regarde et me fais signe. On demande l'addition et on quitte le restau'.
Je le vois me regarder avec envie, et je voudrais tellement l'embrasser mais on ne peux pas. Pas encore alors je me retiens. Je nous ramène chez moi et je sens la tension monter. L'envie est là, elle l'est toujours quand il s'agit de Thilo. Mais aujourd'hui c'est spécial. Je sais qu'il n'osera jamais me chauffer alors que je suis au volant. Il est beaucoup trop timide pour ça. Et surtout je sais qu'il a horreur quand je me déconcentre de la route. Ça me fais toujours rire mais je sais aussi pourquoi il a peur. Alors je me contente de simplement lui susurrer tout ce que je compte lui faire et du coin de l'œil je peux voir que c'est efficace. Moi même j'ai du mal à garder mon calme. Je me contente de simplement le regarder à travers le rétroviseur, sinon je sais que je m'arrêterai sur le bord de la route et ce n'est vraiment pas ce que je souhaite. Ce trajet en voiture jusque chez moi, me paraît interminable. Je vois que Thilo essaie de se calmer, et ça m'existe d'autant plus. Si ça continue je vais vraiment craquer. Finalement j'apperçois au loin mon chez moi. Ce qui me rend d'autant plus impatient et plus prudent.
Une fois garer, je tire mon homme à ma suite, hors de la voiture et me précipite vers la porte. Enfin ! Enfin chez moi. J'ai à peine le temps de me retourner, que déjà les lèvres de mon allemand trouve les miennes. Je me laisse aller dans ce baiser qui finira par me rendre fou. Prenant le contrôle de notre échange, je le plaque contre le battant de ma porte d'entrée et lui montre tout mon amour. On fini par se séparer par manque d'air, il veut reprendre mes lèvres, mais je l'en empêche et nous dirige vers mon canapé. Je stresse un peu et il le voit.
- Pres ?
Je lève mon regard vers lui et je le vois commencer à paniquer. Quel idiot ! Il est sûrement entrain de s'imaginer des choses. Je lui souris et l'embrasse tendrement. Lorsqu'on se sépare, je répond enfin à ses questions.
- Thilo, j'ai quelque chose à te demander. Je me met à genoux et il me regarde un peu paniquer et choqué. Non je ne vais te demander en mariage baby, mais c'est tout comme. J'ai un rire gêner et il me fait de grands yeux. Est-ce que tu me ferai l'honneur de démanager et vivre avec moi ?
Il ne dit rien pendant un long moment, et je me sens stupide, vraiment stupide. Puis alors que j'allais lui dire de laisser tomber, tout en m'insultant d'avoir brisé l'ambiance, il éclate de rire.
- Et moi qui me demandais depuis un moment comment te le demander Pres.
Je le regarde étonné et un sourire apparait sur mon visage.
- C'est oui alors ?
- Evidemmment mon coeur. Oui je veux vivre avec toi.
Je me relève et le prend dans mes bras. Me détachant un peu de lui, je l'embrasse et l'allonge sur le canapé me retrouvant au dessus de lui. Il me regarde et je vois le désir dans ses yeux. Je vais profiter de son corps de la plus délicieuse des manières. Je souris à mes pensées de plus en plus perveses. Et ne fais pas attention à mon homme qui en a marre d'attendre et qui s'occupe de me faire des baisers aériens dans le cou. Je frissonne. Il m'arrache des soupirs, sa langue vient se mêlé à ses lèvres et mon cou est bientôt recouvers de suçons. Les gars ne vont pas arrêter de me chambrer à l'entrainement. C'est injuste après tout, pourquoi je serai le seul à subir leur moqueries ? Je plaque Thilo sur le canapé et m'occupe de son cou, il gémit doucement. Je souris et je descend sur son torse. M'occupant de sa peau, je le torture un peu. Il se contorsionne déjà. Oh comme il n'est pas prêt pour ce qui va suivre. Mon pauvre amour. J'ai un petit rire et l'une de ses mains vient s'acrocher à mes cheveux. Je récupper cette main aventureuse, lui en embrasse le dos et la repose à ses côtés avant de retirer nos hauts. Mes mains partent s'aventurer et catographient son corps. Ses mains se fontplus joueueses et se baladent sur mon dos, me faisant frissonner. Je remonte embrasser ses lèvres pour le distraire. L'une de mes mains à trouver l'une des partie de son corps qui m'intéresse le plus. Je commence à m'attarder sur cette délicieuse partie de son corps. Il halète dans notre baiser. Sa respiration est coupé. Mais il s'accroche encore à mes lèvres, alors que j'augmente la pression sur son entrejambe. Une bosse déforme son pantalon. Et je me sens bientôt à l'étroit.
L'entendre perdre pied et en savoir que j'en suis la cause. Je n'en peux plus. Je voulais jouer avec lui mais je ne peux pas. Trop impatient, je retire son bas et le miens. Mais ne fais pas attention à mon homme ni à son regard. J'aurais dû. Il me fais basculer sur mon dos. Et l'on se retrouve au sol. Lui au dessus de moi. Il ne perd pas de temps et me touche à travers mon sous vêtement. Sa main fait des merveilles. Et je ne peux que gémir. Mon corps est prit de tremblement. Mais Thilo n'en a pas fini avec moi. Il me lance un regard et je comprend. Je veux l'arrêter, mais il a déjà abaisser sa tête au niveau de mon sexe. Et il m'embrasse à travers ce stupide bout de tissu. Il me tente, m'ammène aux bords de la jouissance pour s'arrêter. Il continue encore et encore. Mon boxer est maintenant entièrement humide, recouvers de salive et de liquide séminal. Mon corps tremble beaucoup trop. Il le voit et il sourit. Quelle insolence. Je vais me redresser pour m'ocuper de lui, lorsqu'il abaisse mon boxer et me prend d'un coup en bouche. Je rejette la tête en arrière et m'écroule au sol. Oh PUTAIN! Il a une bouche faite pour ça, il me caresse de ses lèvres, de sa langue. Me lèche comme une sucette. Et ses yeux, me regerdent et me défient. Il veut me faire jouir rien qu'avec ses lèvres. C'est hors de question. Je vais m'occuper de son cul ce soir pas question que je jouisse et qu'il.
- OH PUTAIN ! THILOOOOOO!
Ce succube sait comment s'y prendre avec moi. Si ça continue je ne vais pas pouvoir tenir. J'essaie de penser à autre chose. A des choses qui me dégoutent pour faire tomber la pression au niveau de mon sexe. Mais rien n'y fait. Thilo est vraiment vraiment douer pour ça. Mais alors que je le pensais prêt à me faire jouir, il s'arrête. Sa main enserrant mon sexe, ne fait rien. Elle ne bouge pas. Je me redresse légèrement pour le voir. Il me regarde avec un air innocent, la bouche entre-ouverte près de mon gland et me dit :
- Remplie ma bouche de ton foutre Daddy.
Je ne peux pas me retenir et mon orgasme me frappe par surprise. Mon sperme le recouvre entièrement. Une partie disparait dans sa gorge. Il ne me lâche pas du regard et avale. Mon sexe tressaute à cette vue et mon corps épuiser s'écroule sur le sol. Je peine à reprendre mon souffle. Alors que Thilo lui est toujours bien éveillé. Il récupère le reste de mon plaisir sur son visage dans sa main et la lèche sans me quitter du regard. Je lâche un faible gémissement qui est presque une supplique. Il fini par avoir pitié. Et vient m'embrasser. Je me goûte dans sa bouche. Et reste haletant après notre baiser. Je ne sais pas à quoi je ressemble. Mais ce que je sais c'est que ses yeux sont maintenant affamés. Et ça sent pas bon pour mes fesses. J'ai à peine le temps d'y penser qu'il me retourne. Je me retrouve allonger sur mon ventre. Je sens les mains de mon homme malaxer mes chairs, les carresser, les cajoler. Je sais que ça ne va pas durer. Déjà je sens ses ongles s'enfoncer dans ma peau. Mon corps se tent, pas de douleur, mais de désir. Il connait ma pervertion, mon penchant pour la douleur. Mon sexe tressaute avec intérêt, mais ne se réveille pas encore. Alors Thilo me stimule. Et ça va faire très mal. Il me claque violement le cul. Et mon bassin se relève vers lui. Mais il ne le veux pas il veux que je souffre. Alors il m'oblige à rester entièrement immobile. Mon sexe coincé entre le sol et mon ventre. Cela va devenir extrêmement douloureux. Et il me toruture. Pendant un long moment. Ma bite frotte sur le tapis. Me faisant mal car encore sensible, mais provoquant un plaisir en moi. Dissimulé. Alors que mon derrière lui et devenu rouge, extrêmement rouge. Simplement à la suite des claques de Thilo. Mais ce n'est que le début. Thilo a d'autres surprises pour moi.
Déjà je le vois parti récupéré tout nos instruments. Et je sais que demain je ne pourrait plus bouger. Il commence avec la ceinture et mes fesses sont douloureuses. Trop peut-être ? Je sens que si j'essaie de m'asseoir, je hurlerai de douleur. Au bout d'un moment il s'arrête et abandonne la ceinture sur le sol. Il m'attache soigneusement les mains à l'avant de mon corps. Tout en me disant :
- Ne te touche pas.
Il veut tester mes limites. Et je sais que ça me fera souffrir. Mes mains sont maintenus devant moi. Mes yeux le cherche du regard. Mais il me les bande. Je suis aveugle. Et à sa merci. Si je tente quoique ce soit, je sais qu'il retardera ma jouissance. Malgré tout je souris et il le voit.
- Ça te plaît chéri ?
Je hoche la tête. Il ne m'a pas autorisé à lui répondre. Pas encore en tout cas.
- C'est bien babe, tu apprends vite. Je t'autorise à parler. Mais juste pour que tu me donne ton safe word.
Mon mot de sécurité. Lorsque l'on s'est aventuré dans le monde de la domination, je ne savais pas encore mes limites. Je ne suis toujours pas sûr de les connaître. Mais il a plus d'expérience dans domaine et m'as dit de choisir moi-même mon safe word. Le premier lieu qui m'est venu en tête et ce fût ce qui deviens notre limite.
- Russie.
- Okay, à partir de maintenant on va commencer. Si tu ne te sens vraiment pas à l'aise tu n'aura qu'à dire ton safe word et on arrête tout.
- Compris.
- Bien alors jusqu'à ce que je te le dises tu n'a plus droit à la parole. Tu peux gémir et crier si tu le souhaites. Mais je t'interdit de parler. C'est clair ? Hoche la tête si tu as compris.
Je m'executes. Et aussitôt je sens la brûlure du fouet sur ma peau. Je cris mais il continue. Il ne s'arrête pas même lorsque mes larmes coulent. Paradoxalement, mon sexe est maintenant plein de vigueur. Il le voit et relâche son fouet. Je l'entends toucher le sol. Pendant un moment rien ne se passe. Je sais qu'il est à mes côtés. Je peux entendre sa respiration qui se fait de plus en plus coupée et je devine qu'il se masturbe. Je gémis. Je veux le voir. Mais ce bandeau sur les yeux m'en empêche. Je l'imagine me regerder et être exité rien qu'à ma vue. Le tableau que je dois peindre doit lui plaire, beaucoup. Parce que je sens son souffle plus court et je le sens à la limite. Je sais que d'habitude on aurait pris notre temps. Il m'aurait rendu fou de désir pendant plusieurs jours avant de finalement me faire jouir. Mais aujourd'hui, je le sens impatient. Beaucoup trop impatient. Bientôt je sens son sexe devant ma bouche et je n'ai pas besoin qu'il me demande de le prendre que déjà mes lèvres son autour de son gland et que je commence à le lécher. Je l'entends hoqueter et je souris légèrement. Il m'attrape le visage et me maintient le visage. Je gémis et les vibrations sur son sexe le font trembler. Je rire intérieurement, et je veux le faire craquer au point qu'il me prennes violement là tout de suite. Je n'en peux plus je le veux. Maintenant. Alors je m'acharne à lui faire perdre pied. Il ne pourra pas jouir ailleurs qu'en moi. Et je sais, qu'en faisant ça, je vais le pousser à bout. Je le suçe comme la plus délicieuse gourmandise. Je veux le voir lorsqu'il me prendra violement, presqu'au point que s'en soit insupportable pour moi. Savoir qu'il me fera jouir et que je sentirai en moi des jours durant... Perdu dans mes désirs je ne sens pas mon sexe de plus en plus douloureux, ni Thilo qui maintenant m'oblige presque à lui faire une gorge profonde. Finalement se sentant sans doute venir il me repousse. Je récupère mon souffle que je ne savais pas avoir couper. Et Thilo me soulève me portant comme un sac à patate sur son épaule. Il ne me relâche qu'une fois dans notre chambre, sur le lit. Il ne me demande plus rien maintenant mais simplement me dit.
- Tu m'as pousser à bout alors attend toi à souffrir.
Il me retire mon bandeau et je suis un instant aveuglé par la lumière dans la chambre. Sans attendre il écarte mes jambes et me pénètre. Je rejette la tête en arrière. OUI PUTAIN ! C'est tout ce que je voulais. Il n'attend pas que je m'habitue à sa présence et commence à me défoncer. Je hurle de douleur et de plaisir. Il sait qu'il peut y aller franchement avec moi, la douleur ne me fait pas peur. Elle m'exite et mon sexe de plus en plus tendu et douleureux en est une preuve. Thilo me regarde dans les yeux et me murumure mon safe word. A ce moment là je comprend que je peux enfin parler et mes larmes coulent sur mes joues. Tant et si bien que je n'arrive presque plus à voir mon amant. Il embrasse mes larmes, les efface tendrement et s'arrête un instant pour me permettre de reprendre mes esprits.
- Tu veux continuer liebe ?
- Oui, oui je te veux rien que toi. S'il te plait, je t'en prie fais moi jouir.
Il sourit et nous redresse. Je suis maintenant assis sur ses hanches, mon sexe coincé entre nos deux ventres. Il m'enlace fermement et je me sens en sécurité. Je suis bien entre ses bras je me sens à ma place. J'ai un sourire désabusé en me souvenant que je devais le réconforter, mais qu'au final c'est lui qui me fait me sentir mieux.
- Babe, à quoi tu penses ?
- A toi. Je voulais te changer les idées et c'est toi qui t'occupes de moi. Je suis vraiment nul.
- Pres' écoute moi, tu n'est pas nul et tu ne le sera jamais. Et puis tu as réussi à me changer les idées tu sais ?
- Vraiment ?
Thilo ne dit rien mais donne un léger coup de reins qui me fait gémir.
- Vraiment.
Il sourit et je sais que je ne pourrai pas quitter le lit demain. Il reprend progressivement ses coups de reins, mais il prend un rythme extrêmement long, que ça me frustre. Je geints, gémis, me plains presque. Mais rien y fait alors je renverse nos positions. Lui alongé sur son dos et moi à califourchon sur ses hanches. Je commence à bouger mes hanches, à monter et descendre sur son sexe de plus en plus vite. Au début il souriait de ma frustration. Mais lorsque j'ai augmenté le rythme de ses allées et venues dans mon corps, il a moins fait le malin. Ses mains aggripent le matelas, le drap tout ce qui passe à sa portée. Il en est presque venu à déchirer les draps. Moi le voir perdre pied ainsi me fait perdre la tête et je bouge plus vite. Jusqu'à ce que son sexe heurte violement ma prostate. A ce moment là je suis comme posséder et je bouge encore et encore plus vite. Je veux voir les étoiles. Mon corps se contracte je suis pris de soubresauts. Thilo lui en a marre et me rejetant légèrement, il change nos positions. Me retournant je me trouve maintenant allongé sur mon ventre mes fesses relevées vers le ciel, mon trou palpitant et la bite de thilo enfoncée jusqu'à la garde en moi. Il me pilonne fort, très fort. Au point que j'ai peur de plus pouvoir bouger pendant des jours. Mais ça ne fait rien puisqu'il touche à chaque fois maintenant, cette boule de nerf en moi. Y allant plus fort à chaque fois, mes jambes ne portent presque plus, il passe ses mains et me caresse partout, avant de prendre mon sexe et de le branler au rythme infernale de ses coups de reins. Il me mord le cou, me fait des suçons partout sur mon corps, me marque comme siens et je ne peux m'empêcher d'être plus exité. Je ne penses plus de manière cohérente. Tout ce que à quoi je penses maintenant, c'est son sexe en moi qui me martèle, m'arrachant des cris à m'en briser la voix. Encore, encore, encore ! Et puis mon orgasme me prend par surprise. Je me fige et jouis alors que Thilo continue de me pilonner, et de me stimuler à travers mon orgasme. Ce qui rajoute à mon plaisir. Et puis au bout de deux trois coups de reins en plus il me rejoins et me remplis de son sperme brûlant.
On s'écroule sur le lit, les respirations courtes, presque inéxistantes. Il me regarde et je vois tout l'amour qu'il a pour moi. Il fini par me détacher les poignets, et les embrasse amoureusement. On se cajolent pendant un moment avant qu'il ne me murmure un merci à l'oreille.
- Pourquoi tu me remerci babe ?
- Parce que tu m'aime et tu sais toujours quoi faire, pour me remonter le moral. Je ne voudrai t'échanger pour rien au monde.
- Je t'aime Thilo. Tellement.
Ma voix s'étrangle et il me prend dans ses bras me murmurant que tout ira mieux. Je l'espère en tout cas, parce que cette saison est vraiment la plus merdique qu'on est eu. Mais ça n'a pas d'importance pour l'instant alors que je m'endors dans les bras aimants de mon amour allemand.
Fin
Je suis désolée pour le retard immense ainsi que pour le qualité excécrable du lemon. Si jamais cet OS ne vous plait pas faites le moi savoir et je le réécrirai.
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