Un désir impétieux (Dembélé x Suarez)
Il s'agit d'une commande de mae_od04 qui a demander un Dembélé x Suerez, sans UA, avec Lemon et une fin joyeuse j'espère que cet OS te plaira mae_od04 et qu'il plaira aux autres lecteurs ;)
PS : Désolé pour la qualité de cet OS mais j'ai eu vraiment beaucoup de mal pour celui là.
Sur ce ENJOY ;)
Mardi 30 octobre
L'équipe de Barcelone sortait d'un entraînement intensif à la suite de leur victoire lors du classico. Certes l'équipe avait battu le réal avec 4 buts de plus, mais le coach ne voulait pas se reposer sur ces acquis. Alors après une séance un peu plus calme la veille, il avait imposé un entrainement plus muscler aujourd'hui. Et autant Luis aimait son club, autant le rythme imposé par le coach était infernal. Il ne savait pas quand il allait s'écrouler de fatigue. Mais ce n'est pas seulement l'entrainement qui le fatiguait. L'autre raison de sa fatigue lui faisait justement un clin d'œil. S'il pouvait il aurait attrapé ce petit effronté, l'aurait attaché et se serait amusé avec son corps. Mais pour le moment, Luis était coincé avec des enchaînement et autres reprises de volés pour pouvoir faire quoique ce soit.
L'entraînement (ou la séance de torture c'est selon) enfin terminé, le sud-américain se dirigeât comme le reste des joueurs vers les vestiaires et une douche salvatrice. C'était dans ses plans avant qu'une main le retienne et l'entraine vers l'un des seuls locaux vide et inutilisé depuis des lustres. Une fois la porte verrouillée, Luis se retrouva plaqué dessus et pût à peine apercevoir le visage de l'autre homme (s'était définitivement un homme au vu de la poigne qu'il avait), qu'il se fît embrasser. Le baiser était passionné, envieux, désireux. Et Luis se perdit dans les sensations avant de reprendre ses esprits et de repousser tout doucement son partenaire.
- Ousmane.
- Si amor ?
- Tu me fatigues !
- Oh aller, je sais que t'en as envie aussi.
- Tu m'épuise c'est à cause de toi que je suis fatigué et que j'ai failli mourir lors de cet entraînement.
- Tu n'exagères pas un peu Luis ?
- Dois-je te rappeler qui m'a tenu réveillé jusqu'à 5h du matin ?
- Mais je ne peux pas te résister amor. Tu es tellement parfait, j'ai toujours envie de toi.
- Retire tes mains de mon pantalon Ous' tout de suite.
Le français ne le fit pas et se rapprocha de son homme pour lui faire des suçons dans le cou. Évidemment, le plus âgé ne résista pas longtemps. Du moins jusqu'à ce qu'il se rappelle où cela allait le mener.
- Ous' s'il te plait, je suis fatigué et je veux prendre ma douche avant de rentrer.
Le plus jeune regarda son amant et le voyant aussi exténué ; eût pitié de lui. Après un dernier baiser, il le libéra et ils rejoignirent les douches. Une fois doucher ils quittèrent le stade et constatèrent qu'ils étaient les derniers. Ils rejoignent la voiture de Luis et une fois devant, le français tend la main pour récupérer les clés des mains du plus âgé pour laisser son amant se reposer.
- Je vais conduire et toi tu vas faire un bon gros dodo.
L'Uruguayen a un sourire épuisé et exaspéré, mais donne tout de même ses clés de voiture à son homme. Il s'installe côté passager et laisse Ousmane les ramener à bon port. De retour chez eux, le couple essaie de passer une soirée tranquille. Enfin Luis essaie de passer une soirée à se reposer alors que le français ne peut s'arrêter de le toucher toutes les deux secondes. Que ce soit pour lui tenir la main, lui caresser la joue, passer l'une de ses mains dans les cheveux du sud-américain... N'allez pas croire que le plus âgé déteste ça. Il apprécie beaucoup son traitement au contraire, mais lorsque ses yeux se ferment tous seuls et que d'un geste l'autre homme le réveille. Disons que si Luis n'était pas fou amoureux de son français, il l'aurait déjà jeté dehors. A la énième caresse de son homme le plus grand en a marre et s'enfui dans leur chambre.
- Amor ?
- Laisse-moi Ousmane ! Je suis fatigué et je ne suis pas d'humeur. Je veux juste dormir c'est trop demander ?
- Pardon mon amour. Je vais te laisser tranquille alors.
La voix du français se brisa un peu à la fin de sa phrase. L'Uruguayen ne comprit pas ce qu'avait son amant. Il voulu sortir pour voir ce qu'avait le plus jeune, mais s'en empêcha se demandant si Ousmane ne cherchait pas à ruser. Mais le temps qu'il se rend compte de la stupidité de son raisonnement, il entendit la porte d'entrée se refermer. Il se releva en sursaut de son lit et courut vers la porte de sa chambre, il fit voler le battant contre le mur, descendit les escaliers et courut aussi vite qu'il pouvait. Arriver à la porte d'entrée, il l'ouvrit le plus rapidement possible et ne pût qu'apercevoir la voiture de son amant s'éloigner dans la nuit.
Le jeune homme roulait dans la nuit. Il ne savait pas où il allait mais il voulait s'éloigné de Luis. Ses craintes se confirmaient. Luis ne l'aimait plus et il se jouait de lui. Les larmes commençaient à couler et d'un geste rageur il les essuya. Il trouva un lieu calme et isolé et se gara. Une fois le moteur éteint, il craqua et pleura toutes les larmes de son corps. Il ne savait pas combien de temps il resta à pleurer. Mais lorsqu'il n'eût plus de larmes à verser, il voulut oublier tout. Oublier que Luis ne l'aimait pas, oublier qu'il avait même un jour pût penser que l'autre homme l'aimait. Il se dirigea vers la ville et le bar le plus proche. Une fois à destination, il commanda le plus fort de leur alcool et le bût d'une traite.
Cela faisait plusieurs heures que Luis cherchait Ousmane, il ne le trouvait pas et il commençait à désespérer. Il avait peur. L'état dans lequel était sorti Ousmane ne laissait présager rien de bon. Alors qu'il allait encore une fois appeler son amant, son portable sonna affichant le numéro de son homme. Il décrocha à la vitesse de la lumière.
- Ousmane ! Je
Mais il se fît couper par une voix qu'il ne connaissait pas.
- Vous êtes bien le petit ami d'un certain Ousmane ?
- Oui c'est moi que ce passe-t-il ?
- Votre petit ami est actuellement fortement soûl et ne veut pas quitter le bar.
- L'adresse !
L'interlocuteur lui donna l'adresse et Luis ne pris même pas la peine de raccrocher et se contenta de jeter son portable sur le siège passager et de rouler à vive à allure en direction du bar.
Arrivé au bar il repéra immédiatement son français écroulé sur quelqu'un, qui semblait être le barman, et qui pleurait. Il se dirigeât vers eux, se fichant de bousculer les quelques individus encore alcoolisés qui étaient restés.
- Ousmane !
Le plus jeune se figeât dans les bras du barman et pleura plus fort. Luis ne compris pas jusqu'à ce qu'il puisse l'entendre.
- Il ne m'aime pas mais j'entends toujours sa délicieuse voix. Pourquoi je me torture comme ça ?
L'attaquant s'approcha de son petit-ami et le prit dans ses bras, le barman semblait soulagé, Ousmane devait être là depuis des heures alors.
- Amor ?
Le plus jeune se retourna et releva la tête pour croiser le regard de son ex.
- Luis ? Qu'est-ce que tu fais là ?
- Je suis venu te chercher.
- Pourquoi ?
- Comment ça ?
- Tu voulais que je te quittes non ? Tu ne m'aime plus. Il avait raison.
- De quoi et de qui tu parles.
- Leo, m'a dit que tu ne m'aimais plus, que tu es rester avec moi parce que je te faisais pitié, que tu allais me quitter et que tu attendais seulement le bon moment pour me laisser tomber.
- QUOI ? Et pourquoi tu l'as cru ?
- Parce que c'est ton meilleur ami, et qu'il te connaît mieux que personne. Je suis désolé Luis, je ne voulais pas te faire de mal. Je sais que je ne suis pas parfait, que je peux être énervant et
- Chut.
Le français baissa la tête sachant déjà ce que l'autre homme allait dire. Il essaya de s'éloigner de son ancien petit ami, mais le sud-américain raffermit sa prise sur l'autre attaquant avant de le tirer à sa suite pour sortir du bar. Il continua sa marche rapide jusqu'à arriver à sa voiture et en faisant entrer son amant à sa suite. Une fois bien installé et Ousmane ceinturé, Luis démarre pour se diriger vers chez lui.
- Luis ?
L'appelé ne répond pas et Ousmane se sent de plus en plus mal. Il se recroqueville sur lui-même et attend ce que l'Uruguayen va faire avec lui. Il ne comprend pas pourquoi l'autre homme le reconduit. Il aurait penser que Luis lui aurait appelé un taxi. Si, il avait encore un peu de sentiment pour lui. Mais pas l'emmener dans sa voiture et le ramener chez lui. Du moins c'est ce qu'il pensait avant que Luis n'arrête la voiture sur le bas côté. Le français ne comprit pas ce qu'il se passait. Et il fut surpris quand Luis l'embrassa. Il ne compris pas pourquoi mais ne chercha pas à comprendre et s'abandonna au baiser. Contrairement à tous les baisers qu'ils avaient partagés, celui-ci avait une saveur différente. Peut-être à cause du contexte, peut-être parce que Luis était étrangement doux. Et Ousmane, se perd, se perd encore dans la douceur de ce baiser. Il perd pied, il se raccroche à leur dernier instant. Et les larmes coulent d'elles même, alors il se recule et essaie de briser le baiser. Ce baiser qui ressemble à un baiser d'adieu, même s'il ne le veut pas. Il ne veut pas perdre son homme mais il sait que Luis ne veut plus de lui. Il lui a fait comprendre, alors avec beaucoup de difficultés il brise enfin leur échange. Et alors qu'il allait parler, l'autre homme ne lui laisse pas le temps et prend la parole.
- Ous' regarde moi.
Le français ouvre ses yeux qu'il avait clos et plonge dans le regard intense de son homme. Une main se lève et se pose sur sa joue. Et le français accepte le contacte.
- Mon amour, ce que t'a raconté Leo, se sont des conneries. Jamais je ne te quitterais, je t'aime trop pour ça. Tu es ma vie, ma lumière, mon âme. Et même si je ne le te dis pas assez, je t'aime, je t'aime Ousmane et je ne voudrais pour rien au monde me priver de celui qui me rend heureux au quotidien. De celui à qui toutes mes pensées sont dédiées, de celui pour qui maintenant j'essaie de devenir meilleur, de celui à qui tout mes buts sont destinés.
Les larmes qui coulaient sur le visage du plus jeune furent effacés par Luis et le français se réfugie dans les bras de son amant.
- Luis, je suis désolé tellement désolé.
- Chut, tu n'a rien à te pardonner. Je sais que Leo a joué avec tes sentiments et crois moi qu'il va payer pour ça, mais crois moi. Je t'aime, et je ne te quitterai pour rien au monde.
Luis attrapa l'une des mains de son amour, la porta à ses lèvres et embrassa les phalanges du plus jeune. Son regard était doux, et son amour si évident que le jeune champion du monde, se sentait stupide d'avoir douter des sentiments de son homme.
- Viens on rentre à la maison mon amour.
Ousmane eût un léger sourire et parla pour la première fois depuis un long moment, la gorge étranglée de sanglots.
- Rentrons chez nous.
Le chemin du retour se fit dans un calme apaisant. Les sentiments de chacun étant mis au clair. Leur amour de nouveau affirmé et plus fort. Ils ne se sentaient que plus amoureux et plus heureux qu'auparavant.
Une fois la porte d'entrée passée, les deux hommes se perdirent dans le regard de l'autre avant que tout doucement, Luis se rapproche d'Ousmane le faisant reculer contre le mur; sans jamais briser le contact visuel entre eux. Ousmane se laisse faire, n'oppose aucune résistance. Face à face, avec cette envie latente de l'autre suspendue entre eux. Un regard un peu plus appuyé, une lèvre qui est mordue et enfin leurs lèvres se retrouvent. Le baiser est doux mais devient de plus en plus pressé. Ousmane est collé contre le mur à l'entrée par Luis qui le maintient en place. Leur corps sont totalement collés l'un à l'autre. Leurs langues se battent pour la domination, Luis laisse Ousmane le dominer, mais seulement pour un instant. Ses mains s'aventurent sur le corps du plus jeune, dans des caresses légères. Des frissons remontent le corps du français. Ils deviennent de plus en plus impatients. Luis commence à reculer vers la chambre, mais ne brise pas leur baiser et Ousmane le suit. Ils arrivent à la chambre et Luis faut basculer son amant sur le matelas. Le surplombant, le sud américain se soûl de la vision enivrante qu'il a sous les yeux. Ousmane, la respiration haletante, ses vêtements sans dessus dessous, les joues finement rougies, le regard emplit de désir. Quelle vision de Paradis. Impatient, Luis retire son haut et se rapproche de son amant. Il enjambe son amant pour le surplomber, un genou de chaque côté du bassin français. Le regard que lui lance le plus jeune est affamé. Et Luis sourit, un sourire de prédateur devant sa proie. Il ne va en faire qu'une bouchée. Il se penche en avant pour capturer les lèvres de son champion du monde. Les mains du plus jeune remontent vers le corps du plus âgé. S'aventurent sur son torse, laissent des frissons parcourir le corps de l'autre homme. Luis se fait plus empressé et de ses lèvres embrasse la peau du cou de son amant. Il y appose quelques suçons bien visibles. Ousmane gémit et ne sait pas où donner de la tête. Luis beaucoup trop excité et pressé, retire leurs vêtements les mettant à nu. Entièrement nus, les deux hommes se font plus pressés et affamés. Les mains parcourent le corps de l'autre, se font plus ferment, arrachent de plus forts soupirs et gémissements, jusqu'à ce que Luis arrive devant le sexe du français. Ne lançant qu'un sourire en coin à son amant comme simple avertissement, il prit entièrement son membre en bouche.
Un cri, puissant quitta les lèvres d'Ousmane. Il ne s'y attendait pas, même si connaissant l'uruguayen cela n'était pas si surprenant. Luis eut un léger rire, le son vibra dans sa gorge provoquant des sensations inédites sur Ousmane. Il cria plus fort, ses mains, se perdirent dans la chevelure de son amant. Il accompagne le mouvement de tête de son amant sur son membre, tira légèrement sur les cheveux de son amant. Le plus âgé sourit et tout en continuant ses caresses buccale, il lubrifie ses doigts pour passer aux choses sérieuses. Le corps du français tremble de plus en plus, sa respiration est plus courte, ses mains sont plus fermement accrochées aux cheveux de Luis. Le sud américain, arrête sa fellation et l'autre homme s'écroule sur le lit, sans forces et extrêmement frustré.
Mais lorsque Luis fait doucement glisser un doigt en lui, Ousmane écarquille brusquement ses yeux qui étaient mi-clos et s'agrippe au bras gauche de son amant. Luis caresse doucement la peau de l'autre homme, laisse une traînée de baisers sur ses cuisses, avant de rajouter un autre doigt. L'inconfort est vite remplacer par un sentiment de bien-être après quelques touchers bien appuyés. Finalement n'en pouvant plus et surtout parce qu'il allait devenir fou si sa peau ne touche pas celle de son français, Suarez retire ses doigts et après un dernier baiser amoureux, pénètre l'autre homme. Les mouvements sont d'abord doux, puis ils se font plus puissants et percutants. Ousmane cri à s'en arracher la voix. Et Luis ne cherche plus qu'à leur donner du plaisir alors il se fait plus pressé et branle au rythme de ses coups de reins le sexe du plus jeune. Il le sentait venir, alors il s'immobilise et prend en coupe le visage de l'autre homme. Il est magnifique, le regard ainsi perdu dans le plaisir, la respiration haletante et son amour pour Luis qui transparaît dans chacun de ses gestes.
- Ousmane, amor. Jamais, jamais je ne cesserai de t'aimer. Tu es mon tout. Et je mourrai si tu me remplaces par un autre. Alors oubli ce que Leo a dit et crois moi, crois en notre amour. Te amo, Dios te amo con todo mi corazón, todo mi cuerpo, toda mi alma.
Ousmane ne répond rien, il prend juste le visage de son amant entre ses mains et dépose un chaste baiser sur les lèvres du plus grand.
- Je t'aime Luis.
Ils se sourient, avant que d'un coup de reins, ils reprennent leur urgent corps à corps. Et alors qu'ils se perdent dans les yeux de l'autre, que leurs cœurs battent au même rythme, que leur âmes n'en forment qu'une; Ousmane voit enfin les étoiles et jouit entre eux. Luis vient aussitôt après, et s'écroule sur son amant. Reprenant leur souffle, ils se tournent l'un vers l'autre avant de s'embrasser et de se repaître de la présence de leur âme sœur.
- Ousmane?
- Oui ?
- Demain je vais voir Leo et lui remettre les idées en place. Et si jamais lui ou un autre refait ce genre d'insinuation, vient me voir. Promet moi de tout me dire et de ne pas paniquer dans ton coin. Parce-que, ce n'est pas que ces dernières semaines de sexe intense m'ont déplu mais, ça m'a beaucoup trop fatigué avec les entraînements. Tu me le promet Ousmane de ne plus paniquer et de ne pas m'épuiser avec du sexe ?
Le français extrêmement gêné cache sa tête dans le cou de son amant, avant de hocher la tête d'approbation et de murmurer un faible et embarrassé oui. Luis sourit, ressert son étreinte autour des épaules de son français et ils finissent par s'endormir heureux de s'être retrouvés.
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