Un clasico ? Un clasico (Serard)
Un OS pour Liloubella voilà le Serard que tu m'avais commander. Désolé il est court. Il fait moins de 1000 mots, mais j'espère qu'il te plaira.
Un clasico ? Un clasico.
Le clasico reporté de début d'année va enfin avoir lieu en ce 18 décembre. Le réal et le Barça. Deux mastodontes du monde du sport et du football. Et dans ces deux clubs, deux joueurs. Gerard Piqué et Sergio Ramos. Capitaine pour l'un, ancien capitaine pour l'autre. Ils évoluent au même poste, défenseurs tout les deux. Ils ont joué ensemble pour leur pays, gagnant des titres ensemble. Ils sont amis, même si les fans des deux clubs ne le comprennent pas. Mais aujourd'hui l'amitié des deux est totalement mise à l'écart. Parce qu'aujourd'hui, Gerard et Sergio sont aller trop loin. Le madrilène a dépassé les bornes et Gerard a répondu. Cela aurait pu en rester là mais le score, la tension du match, l'enjeu, tout à pousser Sergi a répondre et une bagarre a éclaté. Rapidement le match a été interrompu et quand le calme fut revenu, les deux défenseurs furent exclus. Ils se retrouvent dans les vestiaires et les mots fusent. Aucun des deux ne veut lâcher le morceau. Et puis vient ce qu'il devait arriver.
- De toute façon tu n'es bon pour personne je préfèrerai te voir mort !!!
Un immense silence s'installe. Quand il croise le regard de l'autre, il tends la main pour le toucher, s'excuser mais l'autre recule.
- Tu as été très clair. Je n'aurais jamais penser après cinq ans de relation que tu me dirai un jour ça.
- Je t'en prie, écoutes moi mes mots ont dépassé ma pensé. Je te le jures je ne veux pas ça. C'est ce stupide match, je t'en prie. Je t'en prie Gerard.
Le regard que lance le barcelonais glace le sang d'effroi le madrilène et il secoue la tête. Il s'approche de son amant qui recule et s'éloigne de lui.
- Non Sergio. Non, c'est fini. Toi et moi c'est fini.
Gerard quitte la pièce et Sergio n'arrive pas à bouger. C'est impossible ! Ce n'est pas arrivé ! Non ! Il se met en marche, se dirige vers la porte du vestiaire qui s'ouvre ses ses coéquipiers qui le regardent déçu. Il veut quitter la salle mais Zidane le regarde et il retourne à sa place pour prendre sa soufflante comme tous les autres. Quand enfin il peut se doucher rapidement et quitter le vestiaire, les barcelonais chez eux, sont déjà partis. Il n'a pas le temps de demander plus d'information que Raphaël vient le chercher pour le prévenir que leur bus va partir. Il le suit dépité et le retour à Madrid se fait dans le silence le plus complet.
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24 décembre 2019
C'est le réveillon et Sergio le passe à boire pour faire passer sa douleur comme depuis quelques jours. Les enfants sont chez son ex et il l'a remercie. Il ne sait pas comment il aurait fait avec les enfants. Leurs cadeaux encore emballé dans leur emballages, il ira demain leur donner. Pilar et son nouveau compagnon ont dû les gâté. Heureusement qu'ils s'entendent tous assez bien. Il n'aurait jamais autorisé ses enfants à rester avec Pilar et cet homme s'il était incorrect avec lui ou ses enfants. Il se rappel de leur première rencontre lors d'un barbecue avec Gerard. Sa main se crispe sur la bouteille et les larmes coulent à nouveau sur ses joues en pensant à Gerard.
- Pardon, pardon amor, pardon.
Il continue de s'excuser n'entendant pas la porte s'ouvrir. Sa bouteille tombe au sol et déverse son contenu sur le tapis. Il pleure plus fort avant de sentir des bras qui le serrent fort contre un torse puissant. Le parfum qui monte à ses narines, il le reconnaîtrait entre milles il se retourne et ses yeux s'écarquillent quand il voit Gerard.
- Ne dis rien.
Il essuie les larmes et lui murmure.
- Je ne t'ai pas encore pardonner, mais quand j'ai sû par nos coéquipiers français que tu allais aussi mal, je ne pouvais pas te laisser comme ça.
Sergio regarde son amour et quand ce dernier lui sourit il soupir de bonheur.
- Pardon amor, je t'en supplie pardonne moi.
- Tu n'a vraiment rien compris Sergio ? Je t'ai déjà pardonné. Je sais comment tu es. Et j'ai aussi ma part de responsabilité. Mais si tu me parle à nouveau ainsi
Sergio le coupe.
- Plus jamais mon amour, plus jamais. Ce fût ma plus grande erreur, plus jamais je ne te parlerai ainsi. Je m'en veux amor. Tu es l'homme de ma vie et si tu me laisse c'est que je ne te méritais pas.
Gerard sourit doucement avant de prendre le visage de son amour en coupe et de l'embrasser. Sergio se laisse totalement faire et rapidement les deux commencent à enlever leurs hauts. Quand ils sont torses nus; Sergio entraîne son amant dans sa chambre et immédiatement Gerard le pousse sur le lit le surplombant. Les caresses se font plus appuyées, les expressions de plaisirs plus prononcés, l'empressement s'empare d'eux. Ils sont maintenant nus et Sergio hoche la tête à la question silencieuse et enfin ils laissent leur amour s'exprimer.
Lorsque quelques minutes dans les bras l'un de l'autre ils se regardent, toutes traces de peines ou de colère a disparu. Seul un sentiment de plénitude et de sincère amour se voit dans leur yeux.
- Je t'aime Gerard et plus jamais je ne te ferai de mal.
- Je t'aime aussi amor. Je t'aime tellement.
Ils s'embrassent avant de doucement glisser dans le sommeil. Le lendemain la sonnette les réveillera, les enfants courront dans la maison et Sergio se lèvera paniquer sous le rire de son amant. Le père se dépêchera de s'habiller et de retrouver ses enfants les bras chargés de cadeaux, quand Gerard aura un sourire aux lèvres et se promettra d'épouser son bel espagnol.
Fin.
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