Dancing on glass (Neuris)
Voici un OS Neuris pour aure1567 il y aura un lemon et j'espère que ça va te plaire et vous aussi lecteurs. Sur ce enjoy !
PS : J'ai inversé les rôles demandés c'était pas prévu mais la fic a choisis à ma place XD désolé.
POV Manuel
Je viens de monter dans l'Eurostar. Je vais passer le weekend à Londre après l'invitation de Leroy et d'autres joueurs allemands. Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu, alors autant profiter de mon weekend. Je ne sais pas à quoi m'attendre sûrement à des conneries vu les gars de mon équipe et je ne sais pas qui, il va inviter mais j'espère pas les français parce que ça va mal aller sinon. De ce que Julian, Kevin et Thilo nous ont dit ce sont des fous surtout combiner aux sud américains.
J'arrive chez Leroy et j'apprends qu'il organise une soirée.
- Okay mais tu ne vas pas m'entraîner dedans on est d'accord ?
Leroy : T'inquiètes pas Capitaine c'est une soirée tranquille sans prise de tête.
- Mouais.
Je n'ajoute rien et me dirige vers ma chambre pour me préparer. Je finissais ma douche quand j'entend en bas des cris et autres rires de joie. Je souris et me change rapidement avant de rejoindre le séjour. Là je vois quasiment les équipe de France, d'Allemagne, du Brésil, d''Angleterre et d'Argentine toutes réunies. Je lance un regard vers Leroy qui rit avec ses coéquipiers et je soupire.
- Tu parles d'une soirée tranquille.
- A qui le dis-tu.
Je me tourne et je vois Lloris a mes côtés.
- Oh, j'imagine que tu t'es fait voir toi aussi.
- Oh bah, ils n'ont pas vraiment eu à me persuadés, juste me mentir en me disant qu'il n'y aurait que nous et certains de leur coéquipiers.
- On est deux alors Leroy m'a dit que vous ne seriez pas là avec les sud-américains.
- Pourquoi cette aversion à notre égard ?
- Pour rien en particuliers, juste je sais que vos soirées peuvent finir en catastrophe.
Lloris rit et n'ajoute rien.
- Sinon qu'est-ce que monsieur Lloris peut bien trouver d'intéressant à ce genre de soirée ?
- Rien de particulier je préfère m'imprégner de l'ambiance.
Je lance un regard à la salle et entre les rires et les concours déjà entre les différents pays je vois ce qu'il veut dire.
- Quand on les vois de loin comme ça c'est vrai que c'est divertissant.
Il me sourit et je répond à son sourire.
- On se prend un verre ?
- Pourquoi pas ? Je pourrai mieux les supporter au fil de la soirée quand ça va inévitablement dégénérer.
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Oh comme Hugo avait raison il n'a pas fallu deux heures avant que cela part en pugillat. Les différents capitaines, vice-capitaine et les plus sensé de chaque équipes essaient de les calmer, mais quand il manque des gars comme Kanté dans la place c'est peine perduu surtout avec des gars boustés à la testostérone et au sang chaud. Kane : Les gars stop c'est pas la peine de se disputer pour ça !
Lloris : Laisse Harry, ils sont trop loin de toutes façon. Ils vont se calmer tout seuls.
- Où ils risquent de mettre le feu à la maison.
- Aussi. Mais on les stoppera avant non ?
- Aye aye captain.
Je m'approche des deux gars de Tottenham, l'air un peu perdu. Je tiens assez bien l'alcool mais celui que les sud-américains on amené est un peu trop fort pour moi.
- Je crois que je vais vous laisser, je me sens mal vous allez pouvoir gérer ?
- Si tu nous laisse ton vice-capitaine ça devrait le faire.
- Aucun souci pour ça Lloris je vous le laisse.
Je m'éloigne d'eux mais commence à tanguer avant de sentir des mains sur moi.
- Viens je t'amène à l'étage Harry peut gérer.
Je hoche la tête et je me laisse guider par Lloris. On arrive dans ma chambre pour le week-end et j'ai à peine le temps de me changer, que je ferme les yeuxen touchant l'oreiller.
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Lorsque j'ouvre à nouveau les yeux, il fait jour. Il n'y a plus aucuns bruit, si ce n'est le chant des oiseaux. Je me redresse et quitte mon lit, du moins c'est le but avant de sentir un bras tout contre mon corps. Je baisse le regard vers le bras et le remonte pour trouver Lloris à mes côtés et surtout nu. Je sursaute et m'éclate au sol à cause de ma surprise.
- Bordel. Oh bordel.
Je jette un rapide coup d'oeil à mon corps et constate que oui, je suis tout aussi habillé que lui. Je cherche immédiatement de quoi me couvrir et me redresse avant de grimacer. Je ressens une douleur dans le bas de mon dos. Je me fige immédiatement et réalise que oui, il s'est bien passé ce que je pressuposais. Sans savoir quoi faire je me dirige à la salle de bain pour au moins me laver et me réveiller. Je veux surtout me donner du temps de réfléchir à quoi faire. Je me stop cependant devant le miroir et surtout devant les marques que j'ai. Putain il n'y est pasaller de main morte. Je me regarde toujours quand je sens les bras de Lloris entourer ma taille.
- Bonjour mon amour.
- Lloris !
Je sens que je me tends et que je suis un peu effrayé. Il me lâche immédiatement en fronçant les sourcils.
- Manuel ? Tu ne te rapelle pas ?
- Me rappeler de quoi ?!
- Oh, okay. Je suis désolé. Je pensais que tu étais sobre quand tu tétais réveillé. Tu m'as avoué être amoureux de moi et vouloir de moi.
- Je ne m'en souviens pas.
Il baisse la tête et je vois bien qu'il s'en veut.
- Je suis vraiment désolé dis moi ce que je peux faire pour me faire pardonner.
- Je ne sais pas.
C'est vrai je ne sais pas. Il a dans un sens abusé de moi mais s'il a crû que j'étais maître de moi c'est que je devais avoir sacrément décuvé non ? Il ne serait pas du genre à profiter de quelqu'un sans leur consentement. Mais je n'arrive pas à me souvenir.
- Ecoutes, je crois que t'as besoin de temps pour toi. Je vais descendre et te laisser prendre une douche. Je serai en bas si tu veux en parler et si tu ne veux pas me parler dis le à Leroy et je partirai.
Il quitte la salle de bain s'habille et sort de la chambre. Je le regarde faire encore un peu perturbé et me dirige machinalement à la beignoir. Je me fais couler un bain et reste un long moment dans l'eau.
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Lorsque je revois Lloris c'est par hasard en boîte. Je suis toujours un peu gêné de ce qu'il est arrivé surtout quand je me suis rappeler de tout et je me sens extrêmement honteux. J'ai agis comme si j'étais en manque de sexe. Je croise son regard depuis la piste de danse alors qu'il bois au bar et je le vois me rejoindre. Il a dû trouver quelque chose dans mon regard.
- Manuel.
- Hugo.
On reste là à se regarder et je le vois sourire à la musique qui passe.
- Tu m'accorde cette danse ?
- Volontiers.
Il m'attire à lui et je me laisse faire. On se laisse emporter par la musique et je me sens bien avec lui.
Lorsque je me trouve dans son lit à nouveau, j'ai l'impression que je n'ai fermé les yeux que quelques secondes entre la piste de danse et ici.
- Manuel, tu es conscient tu sais où tu es ?
Je hoche la tête.
- Oui et avant que tu demandes, oui je le veux. Je veux passer cette nuit avec toi et peut-être d'autres.
Je souris timide et il hoche la tête avant d'embrasser ma joue. Il se fait doux et attentif à chacun de mes bruits, des frémissements de mon corps. Ses mains descendent tendrement, amoureuses caressant ma peau presque avec réverance et je ne peux empêcher mon souffle de se faire saccadé, surpris par sa douceur et son amour pour moi. On s'embrasse encore et encore, ses mains sur mon intimité m'excitant un peu plus à chaque mouvements de poignet.
- Hugo, plus.
Il me sourit et embrasse mon cou qu'il marque de suçons avant de récupérer lubrifiant et préservatif pour me préparer. Chacun de ses mouvements, chaque caresses sont un pas de plus vers l'extase. Quand enfin je le sens en moi, je ne peux empêcher le sourire qui me mange le visage. C'est parfait. Totalement parfait. Je le regarde et ses yeux me font voir monts et merveilles, je rougis et cris de plaisir dès qu'il bouge en moi. Dès ce moment tout va de plus en plus vite. Mes cris se mêlent à ses soupires, mes gemissements à ses grognements, mon corps au siens et mon plaisir au siens. Plus vite encore plus vite. Il me caresses et je laisse mes mains et mes ongles marquer son corps avant de brusquement me figer fauché par mon orgasme fulgurant. Il ne mets pas longtemps avant de me suivre et se deverser dans le préservatif.
- Hugo c'était incroyable.
- C'est vrai tu as aimé ?
- Plus que ça j'ai adoré
- Tu me flatte chéri.
- Ne me fais pas croire que tu ne sais pas que tu es un bon coup.
- Peut-être que je le sais mais venant de toi ça sonne vrai mon amour.
Je souris et l'embrasse.
- Je t'aime aussi mon Hugo.
Il me sourit et me garde dans ses bras. On s'endorts paisiblement ainsi moi dans ses bras.
FIN
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