Capitán (Serard)

Commande de mae_od04 un Ramos et pique sans UA, avec Lemon et fin heureuse.

On l'a fait on est qualifié pour l'Euro 2020, même si on a dû arraché le match nul, mais au moins on y est. Je me tourne vers mes coéquipiers et même si il y a la satisfaction de la qualification, on ne peut être satisfait de notre match. On a dû vraiment batailler pour y arriver. Je soupir avant de saluer nos adversaires. Une fois les formalités d'usages passer (presses, interview, autographes avec les fans et le retour à l'hôtel); j'attrape mon téléphone dans le but d'appeler mon homme et entendre sa voix avant de dormir. Mais alors que je rentre dans ma chambre, je vois Gérard assis sur mon lit et qui m'attend. Je lâche toutes mes affaires et je cours pour l'embrasser a en perdre haleine. Il sourit légèrement dans le baiser avant de me dominer complètement. Je me laisse faire et lorsqu'il relâche mes lèvres j'en suis tout retourné.

- Capitán, tu m'as manqué.

- Je ne suis plus ton capitaine amor. Et tu m'as encore plus manqué tu sais.

- Sûr ?

- Évidemment, j'allais t'appeler avant de te voir dans ma chambre.

- Avoue que je t'ai surpris.

- Un peu, je pensais que tu étais encore chez toi.

- Je ne pouvais rater la qualification de l'Espagne avec mon capitán à sa tête.

Il me sourit et je rougis un peu.

- Arrête avec ça.

- Mais c'est vrai tu n'es jamais aussi sexy que sur un terrain avec le brassard de capitaine, et ton regard de tueur.

Il se mord la lèvre et je sens mon corps se réchauffer un peu plus.

- D'ailleurs, il est temps de te récompenser comme il se doit pour cette qualification.

Il me renverse sur mon lit et je ris.

- Impatient amor ?

- Très.

Il a un sourire affamé et je frissonne. On se déshabille facilement et au moment où je commence à retirer mon brassard il m'arrête.

- Garde le, ça me rappellera des souvenirs.

- Oh tu es d'humeur à être dirigé ce soir ?

- Totalement.

Il ne lâche pas mon regard en disant ça et je craque. Je retourne nos positions et me fais plus autoritaire. Mes mains vont à l'assaut de son corps et il se laisse faire. Il ne peut que gémir "Capitán" et occasionnellement mon prénom. J'ai un sourire machiavélique quand arriver à ce qui fait de lui un homme, je le prends en bouche mais ne fait rien de plus.

- ¡Capitán ! ¡Por favor!

Son corps essaie de bouger, mais je le retiens. Je m'éloigne de lui et il grogne de mécontentement.

- Aurais-tu oublié que je donne les ordres ?

Il frissonne et ses yeux se ferment légèrement. Il écarte un peu plus ses cuisses sous mon regard avide, avant de me sussuré:

- Je n'attends que vos ordres capitán.

Mes yeux s'animent d'un feu brûlant avant de lui ordonner :

- À genoux et prends en bouche.

Il s'exécute et mon sexe se retrouve dans sa cavité humide.

- Fait moi plaisir et amènes moi au bord de l'orgasme.

Il ne perd pas de temps avant de me faire une gorge profonde et mes mains se perdent dans ses cheveux, que je serre au point que ce doit être douloureux. Mais ça semble lui donner un regain de vigueur, mes jambes tremblent et sans que je ne me contrôle; je maintiens son visage entre mes mains avant de faire de violents vas et viens dans sa gorge. Il gémit comme un catin et ça m'excite encore plus. Je vais finir par le prendre tout de suite s'il ne s'arrête pas. Il relève son regard vers moi et ses yeux me font clairement comprendre qu'il fait exprès de gémir exagérément. Je quitte ses lèvres avant l'attirer à moi pour un baiser sauvage et impétueux. Il y répond autant qu'il peut mais très vite il me laisse le dominer entièrement. Quand je le relâche, il a le souffle très court, sa poitrine se soulève à un rythme irrégulier, ses yeux sont dans le vague et ses joues sont hyper rouges.

- Tu voulais vraiment me faire perdre la tête hum ? Tu n'y arrivera pas. Tourne toi, mets toi à quatre pattes fesses relevées et prépare toi pour moi.

Il m'obéis même s'il essaie de me tenter un peu plus. Je lui tends la bouteille de lubrifiant et profite du spectacle. Il relève la tête, la tourne et regarde vers moi. Y'a pas à dire, il sait vraiment s'y prendre avec moi. Alors que l'un de ses doigts le pénètre, je récupère le lubrifiant et en verse une généreuse dose sur mon sexe. Je compte y aller très violemment avec lui.

- Serg-Sergio... Ah, Sergio.

- Tu veux vraiment que j'y ailles sans douceur en toi Gérard.

Il accroche mon regard et se lèche lascivement la lèvre inférieure. Il le fait exprès, il veut vraiment avoir mal ? Je l'aurais prévenu, qu'il ne vienne pas se plaindre par la suite.

- Mets toi quatre doigts, amor parce que tu vas le sentir passer.

Il frissonne violemment, s'immobilise et ses yeux se ferment avant de se rouvrir sur moi, ardents. Il retire son doigts et enfonce les quatre d'un seul coup. Je gémis, grogne et hurle presque devant cette vision. Ma main continue les mouvements de masturbation sur mon sexe avant qu'il ne m'appelle encore dans un soupire qui me tues presque de désir.

- Sergio! Capi, capitán.

Mes mains s'empresse d'écarter ses globes de chairs pour lui permettre de se pénétrer plus efficacement. Il va de plus en plus vite en lui et ses gémissements se font plus sonores. Il a trouver sa prostate alors? Parfait. J'attrape sa main et délicatement lui retire ses doigts avant de m'enfoncer en lui sans avertissement.

- Ah!

La surprise est totale, encore plus lorsque je bouge en lui sans lui laisser un temps de répit. Sa respiration est presque impossible, il s'accroche à mes hanches, les draps, le montant du lit; tout ce qui pourrait lui permettre de garder pied mais non. Rien ne l'y aidera. Je m'en assure, en lui mordant sa peau, la caressant de manière possessive, en lui murmurant des paroles salaces, en l'embrassant avidement, en le faisant crier à chaque fois que je touche sa boule de nerfs.... Il n'en peut plus, son regard est dans le vague complet, il délire, m'appelle, me cherche et cri, cri encore et encore mon nom. Mon orgasme monte alors que son corps se contracte déjà, pris de soubresauts. Et puis il finit par jouir, se resserrant autour de moi, quand je continue de le pilonner. Au bout de quelques minutes je finis par jouir avant de m'écrouler sur le dos de mon homme.

Nos respirations trouvent un rythme normal, la température de nos corps baisse et Gérard se blottit contre moi.

- Sergio ?

- Hum ?

- Je t'aime et tu restera toujours mon capitán.

Je souris avant de l'embrasser.

- Je t'aime amor, et je resterai ton capitán autant que tu le voudras.

On se sourit avant de plonger dans les bras de Morphée.

Fin

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