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Voici pour vous un petit OS pour fêter l'anniversaire de ma lyonnaise préférée !
Joyeux anniversaire Ninis_Anderson !
J'espère que cet OS te plaira <3
Bonne lecture !

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— An evening at the Groupama Stadium. —
Une soirée au Groupama Stadium.

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Viní savait bien que l’idée de traverser la moitié de l’Europe pour voir un match de Ligue 1 avait été quelque chose d’absurde, tout droit sortie du fond de ses pensées les plus impulsives.

Mais de toute façon il était bien disposé à faire de tout pour son bien-aimé. Depuis qu'ils étaient ensemble, malgré les quelques divergences qu'il y avait entre eux, le brésilien savait d'avoir trouvé un but à sa vie.

Lui et Pablo habitaient deux villes différentes, rivales, lui à Madrid et son copain à Barcelone. Leur rencontre était avenue par hasard, lorsque l'espagnol était venu dans la capitale et qu'ils étaient tombés l'un sur l'autre au hasard.

Car le barcelonais avait eut la brillante idée de venir à Madrid en portant un maillot du FC Barcelone, et Viní, qui portait un maillot du Real, ne s'était pas épargné un commentaire qui avait enchaîné une discussion entre eux.

Depuis, ils ne s'étaient plus quittés. Physiquement, une distance bien trop grande les séparait, mais cela ne leur empêchait pas d'entretenir une relation à distance, soudée comme rien d'autre au monde.

Ils avaient des rêves communs, y compris celui de faire le tour des stades d'Europe tous les deux. C'est pour cela que Viní avait mis de l'argent de côté pour acheter des billets pour lui et son bien-aimé, pour leur premier voyage dans le pays de Jeanne d'Arc.

Pablo lui avait déjà parlé du Groupama Stadium, le stade de la ville de Lyon en France, et lors de fin de semaine là, le brésilien avait décidé de l'amener voir le Classique entre Lyon et Marseille.

Il avait suffi d’un simple message pour se mettre d'accord, avant que Vinícius ne prenne le premier train en direction de la ville française, pour quitter sa bien-aimée Madrid, après s'être procuré des billets pour lui et son copain.

Pablo et lui allaient se retrouver directement à Lyon, en début d'après-midi le jour du match. Ce soir, ils allaient laisser leurs équipes respectives de côté, en rentrant dans le rôle de supporters neutres. Ou du moins, c’est ce qu’ils s’étaient jurés.

Sur le quai de la gare de Lyon, Viní attendait, habillé d’un pull bordeaux et d’un manteau qui lui donnait un air chic. Il portait aussi une écharpe blanche, une référence purement casuelle à son club de cœur.

Les yeux rivés sur la foule, il chercha Pablo du regard, avec un petit sourire de coin qui anticipait déjà le moment où ils allaient se retrouver, et que leur délire de couple allait commencer.

Lorsqu’il aperçut enfin son bien-aimé, le brésilien se retint d'éclater de rire. Fidèle à ses principes, son bien-aimé était habillé d'un blouson couleur bleu et rouge sombre.

Un sourire provocateur illuminait son visage, comme à son habitude. Et Viní leva les yeux au ciel à peine son bien-aimé s'approcha de lui à grands pas, en sautillant comme un enfant.

— Sérieux, Pablo ? On avait dit qu'on mettait de côté nos clubs ce soir là et toi tu débarques déguisé en clown... pardon, en supporter barcelonais. - Fit le brésilien avec un air faussement outré, et dévisageant son bien-aimé.

— Ça c'est toi qui le d-... eh ! En clown tu dis ? Respecte un peu le FC Barcelone, on est premiers de Liga ! - Répondit Pablo, en fronçant les sourcils en adoptant le même air contrarié que son copain.

— Donc tu admets de ne pas avoir respecté notre pacte. - Fit ce dernier, en ignorant le sac du plus jeune, où bien entendu le logo du Barça était bien visible, mais sur lequel il n'allait pas faire de commentaires.

— Faux ! Le bleu et le rouge, ça peut être n'importe quoi. - Répondit une nouvelle fois Pablo, avec un regard taquin et son sourire omniprésent. - Le PSG, Crystal Palace, le Genoa... et même Lyon ! Si tu y vois autre chose, c'est ton problème !

Viní pouffa, avant de secouer la tête d'un air faussement désapprobateur. Il savait que Pablo adorait le provoquer, et cette petite rivalité entre eux était la chose qui caractérisait principalement leur relation.

D’ailleurs, cet échange de remarques entre eux avait commencé dès leur première rencontre, où, sans savoir qu'ils étaient destinés à finir en couple, ils avaient passé une soirée entière à débattre de leurs équipes respectives après avoir décidé de s'installer dans un bar.

C'était simplement leur manière d'être, leur relation caractérisée par ce langage d'amour particulier qui pouvait faire croire au gens que en réalité, ils se détestaient.

Pourtant ce n'était pas le cas, pas pour le moins du monde. Leur rivalité restait dans le thème du football avec leurs deux équipes, mais l'amour qu'ils partageaient allait bien entendu au delà de tout ça.

Viní aimait leur relation, et il aimait par dessus tout Pablo, même si ils passaient la majeure partie de leur temps à se taquiner et à se vanner en soulignant la rivalité entre le Real et le Barça.

Après un baiser échangé entre une phrase provocatrice et l'autre, les deux jeunes hommes quittèrent la gare, décidés a visiter la ville avant l'arrivée du soir, où ils se seraient rendus au stade.

Ils décidèrent d'éviter les taxis pour profiter de l’ambiance et se perdre un peu dans cette ville inconnue mais qui au final n'était pas si différente de l'ambiance chaleureuse de l'Espagne.

Les supporters lyonnais et marseillais étaient présents à chaque coin de la ville, que le couple décida de visiter un peu, en se promenant main dans la main dans les rues de Lyon.

Ils passèrent par la Place Bellecour en s'arrêtant dans quelques magasins, ils passèrent près du quartier du Vieux Lyon patrimoine de l'UNESCO, en prenant en photo également la Basilique Notre-Dame de Fourvière.

Ils s'arrêtèrent bien évidemment à la boutique de l'équipe, où Pablo s'achèta un maillot de l'équipe locale, en se moquant de Viní qui refusait de le faire à cause de la ressemblance des couleurs entre Lyon et le Barça.

— Regardes, on dirait que le maillot de l'OL est l'union entre celui du Barça et celui du Real ! - Fit Pablo, en indiquant le blanc, le bleu et le rouge sur le maillot de Lyon qu'il venait d'enfiler après l'avoir payé.

— J'accepte cette justification, car tu n'as pas tord. Mais j'avoue que ce soir je pencherai du côté des marseillais. - Répondit Viní en haussant un sourcil d'un air amusé. - À jamais les premiers, comme ils disent.

Le couple madrilène et barcelonais sortit du magasin alors que les supporters commençaient tous à se diriger en direction du stade, le Groupama Stadium, qu'ils pouvaient rejoindre à pieds d'où ils étaient.

— Alors si Lyon gagne, je considère ça comme une défaite pour le Real. - Déclara Pablo d'un ton faussement solennel, tandis qu'ils marchaient main dans la main entre les passants alors que la nuit commençait à tomber.

— Tu crois vraiment que c'est comme ça que ça marche ? - Pouffa Viní en esquissant un sourire moqueur et en tournant la tête en direction de son bien-aimé. - Tu es supporter de la pire équipe en Liga, tu devrais être habitué à ce que vos rivaux vous écrasent.

— Oh, Vinícius José Paixão de Oliveira Júnior veut la guerre ? - Fit l'espagnol avec un sourire moqueur et un air faussement innocent. - Pourtant au dernier Clásico, je me souviens que c'est le Real qui s'était fait écraser.

— Sauf que ce soir, c'est le match entre les Olympiques, et crois-moi c'est Marseille qui va gagner, monsieur le lyonnais. - Répondit le brésilien en penchant légèrement la tête vers son bien-aimé avec un air de défi.

Leurs regards se croisèrent un instant et ils éclatèrent tous les deux de rire. C'était évident, ils ne pouvaient pas passer une journée sans trouver un prétexte pour se faire la guerre, une guerre qu'ils appréciaient, évidemment.

Quand ils étaient tous les deux, ils étaient dans leur bulle et le monde tout autour disparaissait. La foule autour d'eux et les regards curieux de certains n'avaient aucune importance.

Viní comptait profiter au maximum de cette soirée avec son bien-aimé, où ils étaient prêts à être à fond au Groupama Stadium, en supportant les équipes respectives qu'ils avaient choisi.

Une fois arrivés au Groupama Stadium, l'ambiance était déjà à fond. La chorégraphie des lyonnais était extraordinaire, et même les marseillais avaient leur propre tifo irremplaçable en déplacement.

Les deux jeunes hommes trouvèrent leurs sièges, entourés de supporters lyonnais qui commençaient peu à peu à s'asseoir également. Pablo s'associa immédiatement aux chants des supporters de Lyon, en prononçant les mots dans un français incompréhensible.

— Tu es déjà on fire mon cher Pablo, on dirait presque que tu es né avec un maillot de l'OL. - Pouffa Viní en regardant son bien-aimé taper dans ses mains avec entrain.

— Crois-moi, je suis prêt à te montrer ce que c'est un vrai supporter. - Répondit Pablo en fixant son copain d'un air espiègle, avant de se laisser retomber sur son siège. - Pas comme ces supporters madrilènes qui sont là juste pour la gloire.

— Je m'en fous, le Real a 15 Ligues des Champions et Marseille en a 1. Combien de ligues des champions ont tes équipes ? - Demanda Viní en penchant légèrement la tête vers son bien-aimé, qui le repoussa d'un air faussement exaspéré.

Le stade commença a se remplir peu à peu, et le couple fût bientôt entouré de supporters lyonnais, qui chantaient de plus belle alors que que le match s'apprêtait à commencer.

Viní était le seul sans le maillot de l'OL, à l'exception d'une fille à quelques rangs devant eux, avec un maillot de l'OM. Un détail qui attira tout de suite l'attention du couple.

— Regardes, c'est nous dans un autre univers. - Fit Pablo en penchant légèrement la tête vers son bien-aimé tout en pointant du doigt la fille avec le maillot de Marseille, qui parlait avec une lyonnaise assise à ses côtés.

Viní esquissa un léger sourire en voyant la fille rousse avec le maillot de Lyon et celle brune avec le maillot de Marseille qui rigolaient entre elles, avec une complicité semblable à celle qu'il avait lui avec Pablo.

Le coup de sifflet initial ne se fit pas attendre, et le match débuta immédiatement en les captivant tous les deux, au point qu'ils restèrent silencieux pendant les premières minutes, avec les yeux rivés sur le terrain.

Au fur et à mesure que le match avançait, il y avait des occasions des deux côtés, et les deux amoureux commencèrent à se chambrer à chaque fois qu'un de leurs camps passait tout près du but.

Le match était captivant, et l’ambiance dans le stade de Lyon enflammait les tribunes. Les supporters chantaient à pleins poumons pour inciter leurs joueurs et des drapeaux lyonnais flottaient au vent.

Vers la fin de la première mi-temps, Marseille dominait sur la pelouse de leurs rivaux, au point que Viní vit le visage de Pablo assumer la même expression inquiète que celle des supporters lyonnais.

— Vous êtes un peu en train de galèrer, non ? Votre Lacazette là, je pense que la retraite l'attend. - Fit le brésilien en taquinant son bien-aimé, qui fronça à peine les sourcils lorsqu'ils arrivèrent à la dernière minute de la première mi-temps

— Chut, tu vas nous porter la poisse. - Répondit Pablo, avant de se redresser à peine sur son siège lorsque l'OL se procura un corner, qui se joua rapidement en deux temps.

Les lyonnais attaquèrent immédiatement et lorsque la balle arriva dans les pieds de Tolisso, celui-ci effectua un centre et la balle arriva juste au dessus de la tête de Lacazette, qui l'envoya en direction des cages.

Les supporters se levèrent tous de leur siège pour célébrer, à l'exception de Viní qui lança un regard chargé de désapprobation à de son bien-aimé, qui sautillait sur place en criant le nom du capitaine lyonnais, qui célébrait avec Tolisso.

— Tu disais quoi Viní ? Hein ? Lacazette la retraite ? - Fit l'espagnol en se penchant vers son bien-aimé avec un air victorieux et un air provocateur lorsque l'arbitre siffla la fin de la première mi-temps.

— Attends la fin, mon chéri. Une leçon de patience ne te ferait pas du mal, tu sais. - Répondit le brésilien, en tapotant la joue de son bien-aimé. - Et puis je te rappelle que la meilleure équipe n'a pas besoin de marquer en premier.

— Les excuses d'un perdant, c'est trop. - Pouffa Pablo en se re-installant près de son bien-aimé alors que quelques supporters se levaient pour aller chercher quelque chose à boire durant la pause.

Viní leva les yeux au ciel d'un air faussement exaspéré, avant d'abandonner pour adresser un sourire à Pablo, en profitant de l'instant pour glisser un bras autour des épaules de son copain, attirant sur eux quelques regards curieux.

Côte à côte, ils se lancèrent dans un debrief de la première mi-temps en y glissant quelques piques, avant le retour des joueurs et la reprise du match.

Les passes s'enchaînèrent rapidement jusqu'à la soixantième, en menant à l'égalisation de Marseille grâce au brésilien Luis Enrique, sur une erreur défensive des lyonnais, qui permit à Viní de se venger sur son copain.

— Tu disais quoi déjà ? Lyon va gagner, tout ça tout ça ? - Fit-il d'un air taquin en donnant un coup de coude léger à son copain, qui avait croisé les bras d'un air vexé. - Et bien non ! Do Brazil en force !

La déception de l'espagnol ne persista pas longtemps, puisque Pablo se reprit rapidement en recommençant à inciter l'équipe locale sous le regard amusé de Viní, qui s'était lui aussi investi du côté des marseillais.

À l'approche des dernières minutes du match, le suspens était a son comble. À chaque action, Viní et Pablo étaient littéralement au bord de leur siège, en criant et en applaudissant, sans même se soucier de qui avait le ballon ou de l’équipe qui dominait.

La tension du jeu les avait unis une fois de plus, et leur rivalité ce soir-là s’était effacée momentanément pour laisser la place aux émotions qu'ils partageaient en assistant à ce match au Groupama Stadium, en y croyant jusqu'au dernier instant.

Le coup de sifflet final retentit, en affichant le match nul entre les deux Olympiques. La déception était bien présente pour les lyonnais, mais les chants retentissaient encore.

— L'arbitrage était frauduleux, il y avait faute sur Cherki. Et Lyon a dominé pendant toute la deuxième mi-temps. C'est trop injuste. - Fit Pablo en croisant les bras et en se laissant retomber contre son siège avec un air vexé.

— Peut-être, mais tu auras quand même passé une soirée en bonne compagnie, non ? - Le questionna son copain en se penchant vers lui et en lui caressant la cuisse en guise de consolation.

Pablo ne pût s'empêcher d'esquisser un petit sourire, attendri par son copain qui avait laissé de côté leur rivalité du soir pour le consoler, et il accepta finalement en posant sa main sur la nuque du plus âgé tandis que leurs lèvres s'unissaient dans un doux baiser.

Ils quittèrent le stade main dans la main, en riant côte à côte tandis qu'ils s'éloignaient du Groupama Stadium en parcourant les rues lyonnaises faiblement éclairées.

Ils continuèrent de marcher, en parlant de tout et de rien, en passant par des anecdotes sur leurs clubs préférés jusqu'aux détails du match qu’ils venaient de voir.

Lorsqu’ils atteignirent enfin l’hôtel où ils passeraient la nuit et qu'ils furent finalement prêts à se blottir dans les couvertures, Viní se laissa tomber sur le lit, épuisé mais heureux.

Pablo vint le rejoindre rapidement, avec un sourire taquin aux lèvres, tandis qu'il venait se blottir dans les bras du plus âgé, alors qu'ils s'échangeaient un baiser.

— D'accord, Lyon n'a pas gagné, mais c'est sûr qu'ils sont plus forts que Marseille. Tout comme le Barça est plus fort que le Real. - Fit l'espagnol en redressant à peine la tête pour adresser un sourire espiègle au plus âgé.

— Tu n'as vraiment pas l'intention de laisser tomber, hein ? - Fit ce dernier en éclatant de rire, sans réussir à assumer l'air faussement exaspéré avec lequel il aurait voulu répondre à son copain.

— Jamais. Tant que je serais en vie, tu auras toujours quelqu'un pour te casser les pieds avec ça, que ça te plaise ou non. - Répondit Pablo d'un air faussement solennel.

— Ça me plaît, crois-moi mon petit angry bird. - Pouffa Viní en prenant doucement le visage du plus jeune entre ses mains, pour le caresser délicatement. - Je t'aime fort, spécialement car tu es toi-même, mon amour.

Pablo esquissa un petit sourire, alors que leurs lèvres s'unissaient en un doux baiser, avant qu'il ne se blotisse dans les bras du plus âgé qui le serra délicatement contre lui.

— Moi aussi je t'aime fort, mon cœur. - Répondit l'espagnol d'une voix à peine audible, avant de fermer lentement les yeux en gardant sa tête posée sur la poitrine du plus âgé.

Ce dernier souria légèrement en laissant sa main caresser les mèches brunes de Pablo, avant qu'il ne ferme également les yeux en laissant le sommeil l'emporter, bercé par la respiration du plus jeune.

Leur relation était ce qu'il avait de plus précieux, et ce match n'avait fait que les rapprocher, une fois de plus, en les laissant avec la conviction qu'ils allaient accomplir ensemble leur tour des stades de leur continent.

Les lumières des rues de Lyon qui les illuminaient à travers les fenêtres eclairèrent la pièce de l'hôtel alors qu'ils s'endormaient, avec leurs respirations synchronisées et leurs cœurs battant à l'unisson.

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Bonjour bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

J'espère que cet OS vous a plu. Surtout à toi Ninis_Anderson ! Une petite fusion de ton ship préféré avec ton club bien-aimé.

C'est d'ailleurs grâce à toi que en Ligue 1 Lyon est devenu mon club préféré, suivi par Nice et le PSG qui s'approche de la zone relégation dans mon classement personnel !

En tout cas, malgré le faite que, depuis un certain match que je ne peux pas nommer, je n'arrive plus trop à me le voir, Viní, écrire cet OS m'a plu ! Surtout que c'était pour la bonne cause !

Prenez soin de vous !

Je vous aime fort <3
— Lily