6. « Marco Reus × Robert Lewandowski »

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Qua nessuno pensa a nessuno, no.
Ici personne ne pense à personne, non.

Sono distrutto dalle cose che non ho.
Je suis détruit par les choses que je n'ai pas.

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Reus écrasa sa cigarette terminée dans le cendrier, en fronçant les sourcils. Il ignorait quelle force surhumaine le retenait de se redresser et d'écraser son poing sur la pomette parfaite de Lewandowski.

Peut-être qu'il ne trouvait pas la force nécessaire pour le faire. Où alors il n'avait pas envie de terminer sur la première page des journaux du lendemain.

..."Édition spéciale ! Le milieu de terrain du BVB Marco Reus agresse le barcelonais et ex joueur bavarois Robert Lewandowski, dans un petit bar en banlieue de Dortmund."

Mais la surprise avait pris le dessus. Il ne s'attendait pas à revoir le visage que tant il avait aimé du polonais.

Trop d'émotions différentes étaient en train de se mélanger dans sa tête. Bien trop pour pouvoir faire le tri.

- À ton avis comment je vais, Lewandowski ? - Fit-il finalement, en tâtant sa poche pour s'assurer que son paquet de cigarettes y était toujours. C'était son unique certitude, désormais.

Lewandowski se contenta de cligner les yeux. Certes, il ne pensait sûrement pas trouver son ancien copain et coéquipier dans cet état.

Avec son sweat-shirt noir froissé, la capuche couvrant ses mèches blondes partant dans tous les sens, et les traits fatigués de son visage, Reus donnait l'impression d'être lui le plus âgé des deux.

- Je ne sais pas. Tu as changé. Les cigarettes t'ont détruit. - Constata le polonais, ses yeux sombres parcourant chaque centimètre du corps couvert de l'allemand. - Tu m'avais pourtant promis que tu arrêterait de fumer.

Marco laissa échapper un rire rauque, suivi par quelques coups de toux qui firent sursauter le jeune barman qui avait commencé à ranger les verres de l'autre côté du comptoir.

- Enculé. - Lui répondit finalement Reus lorsqu'il reprit son souffle. Comment est-ce que Robert pouvait continuer à lui reprocher quoi que ce soit ?

- Si mes souvenirs sont bons, l'enculé entre nous deux c'était toi. - Fit le plus âgé en baissant d'un ton pour que seulement le blond puisse l'entendre.

Leur relation avait été publique, mais il fallait mieux ne pas se faire entendre avec ce genre de blague a caractère sexuel. Une autre référence au passé, qui fit geler le sang de Marco.

- Ce n'est pas uniquement la faute des cigarettes. Tu m'as détruit. Remets-toi en question aussi, Lewandowski. - Reprit-il, en ignorant la remarque de son ancien compagnon.

Celui-ci haussa un sourcil, ce qui agaça encore plus l'allemand. Son interlocuteur était-il vraiment en train de faire l'innocent ? D'agir comme si rien de grave n'était arrivé ?

- Ce n'est pas seulement ton départ qui m'a affecté. Tu m'as complètement oublié. Tu n'a jamais décroché au téléphone quand je t'appelais, en me sortant des excuses bidons quand je te le demandais lors des matchs du Bayern contre le Borussia Dortmund. - Continua l'allemand, en haussant légèrement le ton de sa voix.

Peu importe si les quelques présents dans le bar les entendaient discuter comme un petit couple sur le point de divorcer.

Maintenant qu'il en avait la possibilité, Marco allait obliger le polonais à faire face à tout ce qu'il avait vécu durant ces 9 années. Par sa faute.

- Tu n'as pas idée de ce que j'ai enduré, Robert ! Tu n'en avait rien à foutre. Tu t'es marié comme ça, comme si je n'avais jamais existé. Comme si notre couple n'avait jamais existé. Comme si en partant tu avais décrété la fin de notre relation sans prendre la peine de m'en parler. - Reprit-il, sous le regard du plus âgé.

Au moins ce dernier le laissait parler sans l'interrompre, en faisant au moins semblant d'être intéressé à ce que le plus jeune était en train de lui reprocher.

Quelques larmes naissantes apparurent aux coins des yeux du blond, qui les essuya grossièrement avec la manche de son sweat-shirt.

- On aurait pû y faire durer, même avec la distance ! Mais non Robert, tu était trop concentré sur ta petite personne. Sur ta grande gueule. Sur ta carrière et sur ton argent, sans prêter attention à ce que tu faisais autour de toi. - Enchaîna-t-il, sa voix commençant à trembler légèrement.

Tous les ressentis qu'il avait gardé pour lui durant ces années étaient en train de remonter à la surface, comme une avalanche inarrêtable d'émotions qui commençaient à lentement l'ensevelir.

Quelques larmes impossibles à retenir ultérieurement glissèrent sur les joues du blond.

- J'en ai pleuré, putain. J'ai pleuré pour toi, Robert Lewandowski. J'ai laissé ton départ me chambouler totalement. Me détruire. Je ne devais peut-être pas m'attacher autant toi, car un jour l'autre ce serait bien arrivé.

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In questa situazione se mi spezzi il cuore
Si dans cette situation tu me brises le cœur

mi ritrovo senza fiato
je me retrouve à bout de souffle

ma tu dammi una mano bro.
mais toi donne-moi un coup de main bro.

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Le polonais ne répondit pas, en gardant la tête baissée. Le grand Robert Lewandowski avait-il honte ? Regrettait-il ses actes et son comportement ? Cela semblait trop surprenant pour être vrai.

Le barman, toujours derrière le comptoir n'écoutait pas. Où alors il faisait semblant de ne pas écouter, tout comme les quelques clients restants dans l'emplacement.

- Mais tu l'as dit toi même, il y a 9 ans. C'est le foot. C'est normal. Ton attitude est totalement justifiée. - Fit froidement l'allemand, en agrippant le bord du comptoir avec sa main. - Pourquoi tu es venu ? Notre rencontre n'est pas une simple coïncidence, n'est-ce pas ?

- J'étais de passage ici, et une connaissance m'a informé qu'il venait de te laisser dans ce bar. - Répondit finalement le polonais, sa voix semblant étrange après le monologue de Reus.

- Brandt... mais vous n'avez même pas joué ensemble ! - Cracha le blond, en maudissant intérieurement son coéquipier.

Le hochement de tête de Robert confirma ses soupçons.

Julian était arrivé au Borussia Dortmund il y a quelques années, et il n'avait donc pas connu le polonais à part dans les récits de Marco.

Ce dernier lui avait parlé brièvement de l'attaquant parti au Bayern, mais sans jamais faire référence à leur relation passée. Sans jamais faire référence à la douleur causée par le départ de l'homme qu'il aimait.

Les circonstances de leur rencontre restaient donc un mystère.

À moins qu'il y ait aussi la contribution de Mario Götze, qui les avait tous deux connus.

- Pourquoi tu voulais me voir ? - Reprit rapidement Marco, sans s'attarder ultérieurement sur ce raisonnement farfelu. - Ta femme ne te donne pas assez de plaisir au lit ? Du coup tu t'es souvenu de ton blond qui était toujours disposé à écarter les cuisses pour toi, comme une vulgaire pute ?

Sur ces derniers mots, Marco baissa d'un ton. Même si il n'y avait quasiment plus personne dans le bar, il n'avait aucune envie que les présents puissent entendre combien il était dupe à l'époque.

Lewandowski grimaça. Étais-ce car le blond avait fait référence à la femme avec laquelle il avait divorcé ou simplement car l'allemand s'était défini avec un terme si vulgaire ?

Celui-ci déposa les coudes sur le comptoir, en prenant sa tête dans ses mains. Les traces des larmes qui avaient précédemment coulé rendaient ses joues collantes.

- En même temps, comment ne pas être charmé par le Robert Lewandowski de l'époque ? Tu étais si beau. - Soupira-t-il, en fermant les yeux.

Cet homme si charmant et doué avec les mots avait totalement pris possession de ses sentiments et de son cœur, en brisant ce dernier à son départ.

- Toi tu l'es toujours autant. - Répondit le barcelonais, d'un ton de voix qui semblait sincère.

Reus le fulmina du regard, n'appréciant pas son sens de l'humour très déplacé. À moins que cela soit une tentative pour le faire revenir vers lui.

- Messieurs, pardonnez-moi... Je suis obligé de vous demander de quitter le local. Je vais fermer. - Intervint timidement le barman, en profitant de cet instant de blanc pour tapoter avec ses doigts sur le comptoir.

- Aucun souci. Je... nous sortons. - Répondit Lewandowski, en déposant un billet pour payer ce qu'il avait brièvement bu.

Marco se leva avant lui, en sortant rapidement du bar après avoir accordé un signe de tête poli au barman qui avait été si aimable avec lui.

Il faisait nuit, et quelques étoiles brillaient timidement dans le ciel. Reus s'arrêta pour regarder la voûte céleste, en profitant de la silencieuse atmosphère nocturne.

Robert le rejoignit bien vite hors du local, en s'arrêtant près de lui.

- Tu ne m'as toujours pas répondu. - Fit l'allemand, en plongeant ses mains dans les poches de son sweat-shirt sans quitter le ciel du regard. - Tu es revenu car tu as finalement réalisé, après tout ce temps, que tu avais merdé ?

Lewandowski se contenta l'imiter un instant en fixant le ciel, avant de tourner la tête pour espérer croiser son regard.

Chose qui n'arriva pas, car les yeux verts du blonds étaient toujours dirigés vers les étoiles.

- J'ai merdé oui. J'ai fait la plus grosse erreur de ma vie. En voulant t'éloigner de ma vie à peine j'ai quitté le club. En voulant couper les ponts avec toi. En... partant tout simplement. - Commença le polonais, sa voix ayant assumé un ton sérieux.

Marco fit l'effort de se retenir de lui répondre d'une voix amère, ou avec une remarque sarcastique. Encore heureux que Robert s'en soit rendu compte avant de prendre sa retraite.

Lewandowski qui admettait ses erreurs, ce n'était pas un événement de rien du tout. Ils devaient fêter ceci immédiatement.

Malheureusement l'allemand n'était pas équipé pour ce genre de chose. Il croyait déjà à peine que le polonais serait revenu un jour dans cette ville.

- Nous avons été presque deux ans ensemble, et je n'ai pas été capable de réaliser que ce n'était pas seulement une relation liée au club. Que si seulement j'avais fait un effort, on aurait pû entretenir une relation à distance. - Enchaîna le barcelonais, en s'approchant légèrement de son ancien copain.

Ce dernier ne prononça pas un mot. Le barcelonais ne faisait que répéter ce qu'il lui avait précédemment reproché. Une attitude à laquelle Reus avait été habitué à cause de leurs précédents.

Même si le ton de Lewandowski semblait différent par rapport aux centaines de fois où il lui avait sorti des phrases pareil, au long de leur relation.

Surtout car, après quelques mots d'excuses, leurs conflits se terminaient toujours dans un lit ou contre un mur.

- Je suis désolé Marco. J'aurais dû rester en contact avec toi. À tes côtés. Je ne t'aurais pas laissé seul. Je t'aurais aidé à dépasser ton obsession pour les cigarettes. - Le polonais prit les mains du plus jeune, qui se laissa faire sans protester.

- Au lieux de quoi j'ai continué à te détruire mentalement... et physiquement... - Une des mains de Lewandowski se posa sur la joue de son ancien copain pour lui faire tourner délicatement la tête vers lui.

- Je suis désolé Marco. Je ne suis pas en train de te le dire car j'exige que tu me pardonnes, ou parce que je veux avoir la conscience tranquille. - Continua le polonais. - Je n'ai jamais arrêté de t'aimer, même si j'en était inconscient. J'ai voulu ensevelir ce sentiment sans réfléchir. Dieu seul sait combien je regrette...

- Je ne suis pas croyant, Robert. Je ne peux pas te croire, sur le coup. - Intervint finalement Reus, ses yeux étant restés ancrés à ceux du plus âgé lorsque leurs regards s'étaient croisés.

- Bon... pas de références catholiques alors... et en moi, tu crois ? Tu me fais confiance ? - Le questionna le plus âgé, en serrant les mains de l'allemand dans les siennes.

- Je t'ai déjà trop fait confiance par le passé, Robert. Et on m'a démontré que j'avais tort. - Répondit Marco d'un ton de voix à peine audible. Il marqua une pause, avant de reprendre.

- Mais apparemment le temps t'a aussi aidé à comprendre tes erreurs et à essayer de les réparer... - Ajouta-t-il, en laissant échapper un soupir.

- ... ça c'est grâce à un de mes coéquipiers. - Admit Robert, penaud. - Un gamin de 18 ans qui joue au Barça.

Marco fronça légèrement les sourcils. Son ancien copain avait vraiment eut besoin d'un joueur à peine majeur pour réaliser d'avoir fait une énorme connerie ?

- Gavi. Il est très futé, même si on dirais pas. - Lewandowski laissa échapper un rictus. - Je lui ai parlé de toi, de ce qui s'est passé, du faite que j'y considérait avec très peu d'importance...

Reus resta en silence, en écoutant le récit de son ancien coéquipier sans l'interrompre.

Il avait déjà entendu parler du petit prodige barcelonais, très irascible et intenable. Il avait vaguement son visage en tête, sans pourtant se rappeler exactement des photos qu'il avait vu de lui.

Comment est-ce que ce gamin avait ouvert les yeux à un Robert Lewandowski apparemment très lent en compréhension ?

- D'abord il m'a insulté de tous les noms. Pour avoir trahi le club et surtout pour t'avoir abandonné comme ça. - Le polonais esquissa un sourire à peine visible dans la pénombre, avant de reprendre.

- Ensuite il m'a parlé de sa relation avec un madrilène, Vinícius. Nos clubs sont ennemis, ils sont distants, mais ils réussissent à entretenir une relation saine, avec des efforts de la part de tous les deux. Je me suis donc convaincu que je devais faire de tout pour revenir et faire en sorte de réparer ce que j'avais brisé.

Marco s'imaginait bien le petit Gavira crier et hurler sur son ancien copain.

C'était donc grâce à ce gamin que Robert, apparemment très lent en compréhension, avait eut le déclic qui l'avait poussé à venir le repêcher des banlieues de Dortmund.

- Et ta tenue de luxe, elle t'a aidée à te convaincre, elle aussi ? - Le questionna le joueur de Borussia Dortmund, en haussant un sourcil.

- Possible. C'était romantique. Elle m'aide à me sentir plus sûr de moi, comme ça... - Lui répondit le polonais en baissant la tête pour examiner sa tenue malgré l'obscurité.

- Alors nous sommes en vrai contraste, tous les deux... - Fit l'allemand, en penchant légèrement la tête pour fixer ses propres vêtements, digne d'un homme en perte.

- Qu'est-ce que tu désires, Marco ? - Le questionna soudain Lewandowski, en reprenant un ton sérieux. - J'ai bien trop souvent écouté mes propres désirs, suivi ce que moi, je voulais faire. Je ne peux pas changer le passé. Mais je peux faire de tout pour rendre le futur meilleur. Je veux savoir ce que toi tu veux, maintenant.

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Lascia, basta, affogare in tutto questo dolore, no.
Laisse tomber, arrête, se noyer dans toute cette douleur, non.

Affogare in tutte queste parole, no.
Se noyer dans tous ces mots, non.

Siamo panni lasciati al sole, oh.
Nous sommes des fringues laissés au soleil, oh.

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L'allemand resta un instant en silence, avant de relever la tête pour croiser une nouvelle fois le regard de l'homme qu'il avait tant aimé.

Leurs mains étaient restées liées depuis que celui-ci avait pris celles du plus jeune dans les siennes, comme pour vouloir les protéger.

Marco savait parfaitement ce qu'il voulait. Car les souvenirs n'arrêtaient pas de tourner dans sa tête sans lui donner un instant de paix.

L'hypothèse de pouvoir revivre ces moments un nouveau semblait un rêve impossible à atteindre. Bien trop irréaliste. Mais pourquoi ne pas illustrer à Robert celui qui avait été son rêve pendant toutes ces années.

Les larmes menaçaient de couler un nouveau.

- J-je veux juste être avec toi... - Sa voix se révéla tremblante lorsqu'il prononça la première phrase. - Je... même si c'est à distance, je veux qu'il y ait un nouveau Lewandowski et Reus. Robert et Marco. Nous...

Unes des mains du polonais abandonna la sienne pour lui caresser délicatement la joue, en posant un doux baiser sur son front. L'affection qui avait manqué à Marco depuis qu'il l'avait quitté.

- Je vais venir terminer ma carrière à Dortmund. - Fit le barcelonais, d'un ton solennel. - J'y réfléchissais depuis quelques semaines. J'ai bientôt 35 ans, et mon parcours se terminera ici. Ici au BVB. Ici avec toi.

Marco fixa le polonais, croyant à peine ce qu'il disait. Celui-ci l'enlaça, en le serrant contre lui.

L'allemand se laissa faire, en posant sa tête sur le torse du plus âgé. C'était si irréaliste. Mais pas impossible à réaliser. Ils allaient se retrouver ensemble.

Lorsqu'ils se séparérent, leurs lèvres entrèrent en contact selon la volonté des deux, se collant dans un doux baiser partageant tout ce qui avait manqué durant ces 9 années passées uniquement comme deux inconnus.

Tant de choses qui avaient manqué à Marco et dont Robert réalisait uniquement maintenant l'importance. Tant de choses avaient manqué durant ces années.

- Je ne te laisserai plus, Marco. C'est fini. - Lui chuchota le polonais d'une voix douce, en traçant quelques ronds avec son pouce sur le dos couvert du plus jeune.

- Plus jamais ? - Demanda ce dernier d'une toute petite vois.

- Plus jamais.

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Solo, solo.
Seul, seul.

Ora sono solo, solo
Désormais je suis seul, seul.

Guardo quelle foto, foto.
Je regarde ces photos, photos.

E vorrei dargli fuoco, fuoco.
Et je voudrais les brûler, brûler.

Solo, solo, solo.
Seul, seul, seul.

Ora sono solo, solo, solo.
Désormais je suis seul, seul, seul.

E ti direi solo, solo, solo.
Et je te dirais seulement que, que, que

Che lo farei di nuovo, nuovo.
Je le ferais encore, encore.

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Bonjour bonsoir, tout le monde !

Je m'excuse auprès de ceux qui s'attendaient un lemon pour conclure cet OS, mais ce ne sera pas pour cette fois !

Je voulais terminer sur cette note de réconciliation "saine", même si je peux comprendre que certaines envies meurtrières auprès de Lewandowski puissent persister.

Dans le doute, si vous voulez aller l'attraper en groupe, passez à Rome pour venir me chercher comme ça on va ensemble à Barcelone.

Car malheureusement il y est encore, et ce n'est que dans mes rêves qu'il retourne à Dortmund pour y terminer sa carrière.

Le monde est cruel.

Dans tous les cas, j'espère que vous allez bien et que vous ne souffrez pas trop la chaleur.

N'oubliez pas de bien vous hydrater !

Bisous bisous, je vous aime fort !
- Lily Camavinga (encore et toujours).

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