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Pour l'anniv' de mon espagnole préférée lolaa_minhadd <3
Joyeux anniversaire Madame Koundé, et bonne lecture !

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Me Quemo
Kenji Girac

0:48 ──ㅇ────── 3:15
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Me quemo, te quemo yo.
Je brûle, je te brûle.

Tu cuerpo es un incendio.
Ton corps est un feu.

Con mi sonido te caliento.
Avec mon son je te réchauffe.

Y sube, sube, sube y da calor.
Et ça monte, monte, monte et il fait chaud.

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Eduardo adorait les vacances. Il attendait ses deux mois de congé avec bien plus d'impatience qu'un enfant pouvait attendre la fin de l'école, malgré le faite qu'il adorait jouer au foot durant toute l'année.

C'était juste une sensation extrêmement satisfaisante de pouvoir aller se la couler douce à la plage lorsque les mois les plus chauds arrivaient, sans penser au championnat espagnol et aux compétitions européennes.

Et comme le français était un très grand fan de tout ce qui était sur l'eau, il n'avait pas attendu un instant pour trouver sa prochaine destination, en arrivant même à préparer ses vacances de nombreux mois à l'avance.

Eduardo adorait improviser, se lever le matin sans savoir ce qu'il allait faire ce jour-là. Mais cette fois-ci, il avait fait de tout pour s'organiser au maximum de manière à préparer la vacance parfaite.

Car cette fois-ci il avait en effets l'intention de préparer quelque chose de bien plus qu'ordinaire. Une vacance uniquement pour lui et l'homme de sa vie, qui n'était autre que son coéquipier au Real Madrid, Aurélien Tchouaméni.

Les deux étaient ouvertement en couple depuis désormais presque deux ans, et ils n'étaient jamais partis en vacances uniquement tous les deux, depuis qu'ils se connaissaient.

C'est pour ça que le français aux cheveux longs avait préparé cette surprise, deux semaines après la fin de l'Euro. Une défaite en demi-finale qu'ils avaient digéré sans trop de difficultés en fin de comptes.

La destination choisie par Eduardo se situait au nord de l'Espagne, et il s'agissait d'une petite ville perchée sur l'Océan Atlantique, une localité balnéaire qui allait les accueillir pendant une semaine.

Eduardo avait tout préparé, il avait réservé une petite maison après avoir discuté par message avec le propriétaire qui s'était montré très aimable d'ailleurs.

Le français était extrêmement satisfait par son choix. Il savait que Aurélien n'était pas le genre de footballeur ostentatoire qui aimait partir à Ibiza ou dans les Maldives comme le faisaient tous.

C'est pour ceci que la petite ville sur l'Atlantique que avait choisi Eduardo était exactement ce qui leur fallait pour passer deux semaines de vacances entre amoureux en toute tranquillité.

Eduardo avait préparé en douce les valises pour lui et son bien-aimé, avant de lui dire qu'ils devaient partir le landemin sans lui donner aucune explication.

Chose qui avait fortement déstabilisé Aurélien qui lui, contrairement au plus jeune, avait une manie inexplicable pour l'ordre et l'organisation de plans précis à suivre. Mais cette fois-ci, il avait dû accepter de laisser le jeune prendre en main la situation.

Le matin suivant ils avaient embarqué dans l'avion qui allait vers le nord du pays où ils jouaient, et ils étaient rapidement arrivés à la destination choisie par Eduardo.

— Ça faisait depuis trop longtemps que je me promettais de trouver un endroit où on aurait pû aller ensemble en vacances. - Fit ce dernier à leur arrivée, alors qu'ils descendaient de l'avion avec leurs valises. - Donc voilà, surprise !

Leur lieu de résidence pendant deux semaines respirait l'été dans tous les sens du terme. Il faisait chaud et les bâtiments étaient lumineux au point de refléter la lumière du soleil, en représentant le modèle parfait des jolies petites villes espagnoles.

— Je suis sans mots, vraiment. Le faite que tu y ait pensé et que surtout ça représente pile ce qui me plaît comme destination de vacances... c'est wow. - Répondit Aurélien avec un large sourire, en rapprochant sa valise de celle de son copain pour pouvoir enlaçer ce dernier.

Eduardo se laissa faire en rendant son sourire à son bien aimé, heureux que la destination plaise à celui-ci. Ils s'échangèrent un chaste baiser avant de se mettre en route vers la maison dans laquelle ils allaient se poser.

Celle-ci avait un design simple avec des parties colorées que le plus jeune adora immédiatement, en se perdant dans la contemplation des murs décorés tandis que Aurélien contrôlait les fonctionnalités de la cuisine.

Plus tard dans la matinée ils sortirent à deux faire les courses, vêtus d'un simple débardeur et d'un short coloré et en pouvant marcher main dans la main.

Eduardo avait comme unique objectif celui de profiter de ces vacances avec son bien-aimé en toute normalité, en profitant de la liberté de pouvoir vivre pendant deux semaines sans aucune préoccupation.

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Viens m'enflammer.
Dès le soleil couché.

Chauffer mon âme.
Jamais, jamais calme.

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— Les portions sont énormes, regardes la taille du steak que j'ai commandé ! - S'exclama Eduardo en poussant légèrement son assiette vers son bien-aimé pour que celui puisse vérifier l'authenticité de ses paroles.

Après s'être bein reposés la veille, les deux français avaient décidé de faire la grasse matinée ce jour-ci avant de sortir pour aller manger dans un restaurant au bord de la mer.

Et Eduardo ne s'était pas imaginé de si grandes assiettes pour une seule portion. Ça faisait trois ans qu'il était en Espagne, mais jamais il s'était trouvé avec en face tant de nourriture.

C'était à ajouter à la liste des choses étranges en plus des œufs de Kinder qu'ils avaient acheté la veille au supermarché. Bien plus sucré que ce à quoi il était habitué lorsqu'il les achetait quand il était France.

— C'est toi aussi qui prend de la viande alors qu'on est au bord de la mer. Je parie vingt balles que tu ne vas pas finir ton assiette. - Pouffa Aurélien en lui adressant un regard taquin.

Lui, il avait pris des spaghettis aux fruits de mer qui étaient eux aussi très abondants. Par chance ils avaient commandé que ça, en plus d'une salade à partager, qui elle était d'une taille raisonnable.

Eduardo fronça à peine les sourcils avant de commencer à couper la viande avec une expression faussement vexé qui arracha un rictus à Aurélien.

— Regardes, derrière toi ! Tournes-toi discrètement. - Fit ce dernier en guise de distraction pour le plus jeune, après avoir enroulé une des pâtes autour de sa fourchette.

Eduardo releva la tête et se tourna sans aucune discrétion pour apercevoir les couleurs familières d'un maillot du Real, porté par un jeune garçon qui s'asseyait sur la table à quelques mètres d'eux avec sa famille.

— Tu arrives à voir le flocage ? - Demanda Eduardo se tournant vers son copain tandis que le supporter madrilène s'installait dos à eux, en permettant ainsi à Aurélien de voir le nom sur son maillot.

— C'est un maillot de Luka ! Prends la pose que je puisse te prendre en photo avec le maillot derrière, il va aimer. - S'exclama le plus âgé avec un sourire avant de sortir son téléphone et de le pointer en direction de son copain.

Ce dernier posa sa fourchette pour pouvoir faire le signe de la paix avec sa main droite, tout en penchant la tête et en souriant en direction de la caméra. Aurélien prit la photo et tendit le téléphone en direction de Eduardo.

— Envoies-lui direct ! Il doit être en vacances avec Sergio sur je ne sais quelle île tropicale. - Pouffa ce dernier en rendant le téléphone à son copain, qui hocha la tête avec un petit sourire.

Ils finirent ensuite de manger, avec bien évidemment la victoire du pari de la part de Aurélien, qui se retrouva à aider son bien-aimé à finir son assiette.

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Viens m'enflammer.
Depuis qu'on se connait.

Jamais en panne.
Avec toi je plane.

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— Celui-là, je prends ! - Fit Eduardo en se tournant en direction de son copain avec le nouveau maillot domicile de l'AC Milan, aux rayures rouges et noires avec le bord des manches blanc.

Il n'avait bien évidemment pas résisté après avoir vu le maillot de Modrić, et il avait conduit son copain chez le premier vendeur qu'il avait vu dans le petit marché près de la plage, non loin de leur petite maison.

Les deux français s'étaient donc retrouvés à acheter des reprises des maillots authentiques, dans l'espoir que personne ne les reconnaisse et fasse démarrer des rumeurs de mercato insensées.

Le français aux cheveux longs avait hésité à prendre aussi le maillot d'entraînement de l'Espagne, mais il avait préféré abandonner cette idée, en se rabattant sur le maillot du club italien.

— Moi j'aime bien lui. - Fit à son tour Aurélien, en montrant à Eduardo le nouveau maillot extérieur de Arsenal, d'une couleur noir ébène avec des rayures rouges et vertes.

— Parfait ! C'est moi qui paye ! - S'exclama le plus jeune en posant son nouveau maillot de l'AC Milan sur l'avant-bras de son copain avant de se précipiter tendre l'argent qu'il avait précédemment sorti au vendeur, avant que le plus âgé puisse protester.

— J'avais dit que c'est moi qui payais à partir de maintenant. Tu as déjà payé les vacances, toi. - Fit ce dernier avec un air faussement vexé, lorsque Eduardo reprit les maillots pour les mettre dans un sac.

— Et non monsieur Tchouaméni, vous savez bien que je ne l'aurais pas toléré ! - Pouffa Eduardo en attrapant la main libre de son copain tandis qu'ils repassaient devant toutes les petites baraques.

— La prochaine fois je ne te le permettrai pas. - Marmonna Aurélien en lui adressant un regard taquin, que le plus jeune lui rendit avec un large sourire.

Les deux amoureux restèrent marcher main dans la main, tout en se dirigeaient vers leur petite maison pour passer les heures les plus chaudes de l'après-midi à l'abri.

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Et j'ai toujours
le cœur en été.

Comme si l'hiver
était de trop.

Moi j'ai toujours
le sang chaud, yoh.

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Les jours suivants, les deux français décidèrent de passer leurs journées entières à la plage, à nager le plus loin possible des les autres baigneurs, prenant soin de poser leurs affaires et leurs serviettes sous un des parasols qu'ils avaient loué.

— Tu peux me mettre la crème solaire sur le dos s'il te plaît, mon cœur ? - Demanda Eduardo après être resté uniquement vêtu de son maillot de bain, une fois qu'il eut rangé ses affaires dans leur sac.

Aurélien hocha la tête et attrapa le tube de crème solaire avant d'en appliquer sur les épaules de son copain, qu'il massa avec des mouvements circulaires avant de descendre le long du dos de celui-ci.

Eduardo pencha légèrement la tête vers l'arrière en la tournant vers son copain, tandis que celui-ci lui attrapait la taille pour le serrer contre lui par derrière.

Le plus âgé embrassa les lèvres du plus jeune avec entrain en faisant frissonner le corps de celui-ci, qui profita de la sensation avant de se retrouver d'un coup soulevé de terre, porté comme une princesse par son copain.

Eduardo s'agrippa au cou de celui-ci en laissant échapper un petit cri de surprise, tandis que Aurélien entamait une course en direction de la mer en lançant sans aucune difficulté le plus jeune dans l'eau, là où celle-ci était le plus profonde.

— Aurélien Djani Tchouaméni ! - Pesta Eduardo lorsqu'il remonta à la surface pour reprendre son souffle, avant d'être rejoint par son copain qui plongea, ravi de son coup monté.

— Oups... je n'ai pas fait exprès. - Fit le plus âgé en nageant rapidement en direction de son bien-aimé, là où ils ne pouvaient plus toucher le fond avec le bout de leurs pieds.

— Je vais me venger je t'assure. - Marmonna le français aux cheveux longs en passant une main dans ses mèches qu'il avait prévu d'attacher avant de se retrouver lancé dans l'eau par Aurélien.

— J'en doute fortement, monsieur Camavinga. Vous ne savez pas à qui vous avez à faire. - Lui répondit ce dernier avec un faux air sérieux qu'il ne réussit pas à garder devant la fausse mine outragée de Eduardo.

Ce dernier lui tira la langue en nageant sur place pour maintenir sa tête hors de l'eau, avant qu'un éclat malicieux ne traverse le regard qu'il lança en direction du plus âgé.

— Le dernier qui arrive à la bouée là bas est gay ! - Hurla presque le plus jeune avant de s'élancer à la nage en direction de l'objet rouge qui flottait à une vingtaine de mètres d'eux, tout en éclaboussant son copain dans son élan.

Ce dernier esquissa un sourire avant de s'élancer à la poursuite de son copain qui riait devant lui, en nageant à toute vitesse dans l'eau cristalline.

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Viens m'enflammer.
Jusqu'à la nuit tombée.

Envoûter mon âme.
Jamais, jamais calme, eh.
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— Celui-ci plaira forcément à Jules ! - Fit Eduardo en montrant le magnets avec le nom de la ville décoré avec des vagues colorées à Aurélien, qui hocha la tête avec conviction.

Le plus jeune des deux français ajouta donc le magnet aux quelques autres qu'ils avaient décidé de prendre pour chacun de leurs amis, quand ils étaient rentrés dans cette boutique de souvenirs.

Il y avait de tout et n'importe quoi, même des tasses avec leurs prénoms, parmi lesquelles ils avaient seulement trouvé le prénom de Eduardo, très commun en Espagne.

Parmi les centaines de souvenirs présents, les deux français avaient cependant opté pour des magnets, car il y en avait plein de différents à pouvoir offrir à tous leurs proches.

Leurs familles, leurs coéquipiers au Real et en Équipe de France. Ils se retrouvèrent donc avec plein de magnets dans un petit sac avec de différents petits paquets à envoyer ici et là.

Les deux français sortirent du magasin main dans la main, avant de reprendre le chemin en direction de leur petite maison, qui était devenue proprement la leur bien plus vite que ce qu'ils imaginaient.

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Si tu veux tout oublier.
Laisse la musique, allez.

Danse avec moi.
Oh, chante avec moi, yoh.

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Les balades sur le bord de la mer, autrement appelée la promenade, avant le coucher du soleil était sans doute le moment préféré de Eduardo, à chaque fois que en fin d'après-midi ils décidaient de la faire.

Et pour le dernier jour qu'ils passaient ici dans le nord de l'Espagne pour leurs vacances en couple, ils avaient choisi un coin de la plage qui permettait d'apercevoir la mer vers ouest.

De ce point là, ils auraient pû voir le coucher sur soleil sur la mer, tranquillement installés sur le sable ou sur un des murs blancs qui delimitaient la plage du trottoir.

Le couple avait opté pour la première option, en allant s'asseoir l'un à coté de l'autre sur le sable sec, tandis que le soleil dépendait peu à peu avec le fond sonore des vagues calmes.

Pendant ces deux semaines ils avaient alterné entre les tours de la petite ville, les baignades pendant toute la journée, les visites dans les petits magasins, les allez-retour à la maison.

Eduardo n'avait aucun doute, celles-ci étaient les plus belles vacances de toute sa vie. Pendant deux semaines le temps s'était arrêté, et il avait pû profiter d'un peu de tranquillité avec l'homme qu'il aimait par dessus tout.

Bientôt la routine allait devoir reprendre, avec le championnat et les entraînement avec l'équipe qui leur aurait laissé bien moins de temps à passer que tous les deux sans aucune préoccupation.

Mais le plus jeune ne voulait pas y penser maintenant. Il pencha la tête pour la poser sur l'épaule de son bien-aimé, qui passa un bras autour de ses épaules pour le serrer contre lui d'un geste délicat.

Le ciel commençait à se colorer de orange et rougeâtre tandis que le disque lumineux atteignait la ligne de l'horizon, en reflétant sur la mer ses couleurs brillantes.

Eduardo se blottissa un peu plus contre son copain, en hésitant à dire quelque chose. Ils étaient si bien là, le regard rivé vers le soleil au crépuscule.

— Merci pour ces vacances, mon amour. - Fit Aurélien en prenant la parole en premier. - Je ne me suis jamais autant amusé. Si on me donnait la possibilité de le refaire, j'accepterai direct.

Eduardo souria, en redressant légèrement la tête pour croiser le regard bienveillant que Aurélien lui adressait, avec ses iris sombres dans lesquelles le plus jeune aurait pû se perdre.

— On le refera, c'est promis. - Répondit le français aux cheveux longs. - C'est la même chose pour moi. Et à peine on pourra, on repartira direct en vacances tous les deux.

Il y avait tant de choses que Eduardo aurait voulu dire, sous ce coucher du soleil qui illuminait leurs deux visages avec des reflets rouge-orangés.

Qu'il aurait pû tout lâcher pour être uniquement avec Aurélien. Qu'il l'aimait plus que tout. Que ces semaines avaient été les plus belles de sa vie. Mais il décida de ne rien dire, en laissant ses yeux parler pour lui.

Leurs lèvres se lièrent dans un chaste baiser, l'union de leurs lèvres de la manière la plus douce du monde. À eux deux avec le coucher du soleil et la mer, ils représentaient le tableau parfait.

— Je t'aime plus que tout, mon Eduardo. - Chuchota Aurélien, en serrant son bien-aimé contre lui et en laissant celui-ci se blottir entre ses bras comme un enfant.

— Moi aussi je t'aime, mon Aurélien. - Répondit Eduardo en redressant la tête pour que leurs regards puissent se croiser et leurs lèvres se lier une nouvelle fois dans un doux baiser.

Le plus jeune était simplement heureux. Heureux d'avoir Aurélien à ses côtés, heureux d'avoir pû passer ses vacances avec lui et heureux de pouvoir le voir tous les jours malgré tout. Et c'était tout ce qui lui fallait.

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Quemo, quemo esta noche quemo.
Je brûle, je brûle ce soir, je brûle.

Y los bomberos miran el fuego.
Et les pompiers regardent le feu.

Me vuelve loco con el sonido.
Ça me rend fou avec le son.

Y con mi gente jamás vencido.
Et avec mon peuple jamais vaincu.

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Bonjour bonsoir tout le monde !

Comment allez-vous ?

Les vacances sont bientôt terminées et voilà que je publie finalement quelque chose qui est vraiment en thème été !

Mais il y a une raison précise, car cet OS est dédié à lolaa_minhadd qui fête aujourd'hui son anniversaire.

Encore joyeux anniversaire Lola, j'espère vraiment que cet OS t'a plu !

Il est parmi ceux que j'ai préféré écrire jusqu'à là, parmi cette collection de 57 publications. Et j'espère que vous, vous aurez apprécié cette lecture !

Prenez soin de vous surtout.

Bonne rentrée à tous, puisque c'est imminent !

Pour ce qui me concerne, en Italie je reprends le 14 Septembre. On posticipe un peu la période de déprime qui ira de Septembre à Juin.

Bisous bisous !
— Lily Camavinga qui saute de joie puisque aujourd'hui se joue le premier match de Bundes' du BVB.