50. « Sergio Ramos × Luka Modrić »
— I'll always be there for you. —
Je serais toujours là pour toi.
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⋆ 24 Juin 2024
— Croatie 1 - 1 Italie
Sergio n'arrivait pas à croire à ce qui venait de se passer. Immobile devant sa télé, il fixait les joueurs italiens sauter les uns sur les autres pour célébrer leur but de l'égalisation à la dernière minute.
L'espagnol profitait de ses vacances pour regarder chacun des matchs de l'Euro, entre une journée à la mer et l'autre. Il n'allait certainement pas manquer cette occasion incroyable d'accompagner le début de son été par une compétition entre équipes nationales !
Évidemment, Ramos était à fond derrière sa nation malgré sa retraite internationale. L'Espagne avait et allait toujours avoir une place spéciale dans son cœur.
Cependant, à l'intérieur de celui-ci il y avait aussi la place pour une autre équipe nationale. La Croatie, celle dont son copain Luka Modrić était le capitaine indiscutable.
Ce n'était pas une nouveauté. À la deuxième place pour Sergio il y aurait eut toujours la Croatie, terre natale de l'homme qu'il aimait et qui partageait sa vie depuis longtemps désormais.
Les deux équipes nationales, pour le plus grand désarroi de Sergio, étaient toutes les deux dans le même groupe, celui qu'elles devaient partager avec l'Italie et l'Albanie.
Mais lors de la dernière journée du Groupe B, l'Espagne, qui affrontait l'Albanie, avait déjà la qualification assurée. Contrairement à la Croatie qui, elle, devait se battre face à l'Italie pour obtenir la deuxième place.
Les deux équipes allaient décider leur propre destin lors de ce match, et tout était possible. C'est pour cela que Sergio avait décidé de regarder le match Croatie - Italie et non celui Albanie - Espagne qui se déroulait au même moment.
La première mi-temps de l'affrontement italo-croate n'était pas si extraordinaire que ça, mais lors de la deuxième, l'espagnol était passé par toutes les émotions possibles et imaginables.
Lorsque la Croatie avait obtenu un penalty et que Luka s'était chargé de le tirer, l'ex madrilène était resté immobile devant la télé en suivant du regard chacun des mouvements de son copain.
Et quand celui-ci avait vu son tir être arrêté par Donnarumma, Sergio avait mis ses mains dans ses propres cheveux, en maudissant son ancien coéquipier au Paris Saint-Germain.
Il savait ce que cela signifiait pour Luka, porter sur ses épaules le poids d'une nation entière. Et l'espagnol aurait aimé être là, sur le même terrain que lui, pour pouvoir le consoler après son penalty raté, en lui disant de ne pas perdre espoir.
Sergio savait de l'existence des dilemmes et des milles pensées négatives qui hantaient constamment son copain. Les complexes d'infériorité et tous les regrets pour des choses avenues même des années auparavant.
Mais l'espagnol était aussi conscient de l'ardeur que Luka mettait dans tout ce qu'il faisait, en club et en équipe nationale. Il se rattrapait toujours, et même après avoir loupé un penalty il était de retour sur le terrain, à courir comme si ses 38 ans ne se faisaient pas ressentir.
Et c'était à ce moment là, lorsque le match avait repris, que le capitaine croate avait démontré qu'il était toujours le même. Que, même lorsque la chance n'était pas de son côté, il arrivait à accomplir ce qu'il avait faire.
Sergio avait sauté sur son canapé en manquant de renverser la table basse en face de lui lorsque Luka avait marqué, exactement une minute après avoir vu son penalty être arrêté par Donnarumma.
L'espagnol était entièrement sûr d'avoir alerté tout le quartier lorsqu'il avait crié de joie, en bondissant sur les coussins lorsque son copain avait rattrapé la balle pour l'envoyer dans les filets avant de basculer à la renverse.
Mais il s'était immédiatement relevé, et sur l'écran Sergio avait regardé son copain courir en direction des supporters croates en compagnie de Gvardiol, avant d'être rejoint par ses coéquipiers, titulaires et remplaçants.
Le capitaine croate, allongé sur la pelouse, s'était retrouvé surplombé et entouré par tous ses compatriotes qui le félicitaient et célébraient son but. Et Ramos savait l'importance que celui-ci avait pour Luka.
Il ne pouvait pas être plus heureux que ça pour son copain qui avait trouvé un moyen de se faire pardonner pour le penalty raté, même si au fond il savait que personne ne pouvait réellement lui en vouloir.
Sergio était convaincu que celui-ci aurait été le plus beau moment fort de cet Euro, peu importe ce qui ce serait passé par la suite. Et si Luka pouvait réussir ainsi à conduire son pays vers la qualification, ça aurait été encore plus extraordinaire.
Pendant tout le reste du match, Sergio avait prié pour que les croates mettent un autre but, de manière à agrandir l'écart entre eux et l'Italie qui continuait à attaquer de manière confuse pour essayer d'égaliser.
Mais la domination des joueurs croates était évidente, et tout espoir était de leur côté jusqu'à la fin du temps réglementaire. L'Italie semblait s'être éteinte, tandis que la Croatie pointait sur le bloc défensif.
Lorsque les huit minutes de temps additionnel avaient été ajoutées, Sergio avait senti l'envie de lancer sa télécommande contre l'écran de la télévision. Où est-ce que l'arbitre avait vu autant de minutes à ajouter ?
Il n'avait cependant pas bronché, en se penchant vers l'avant pour mettre ses coudes sur ses genoux tout en gardant le regard rivé sur la télé où les joueurs croates donnaient tout ce qu'ils avaient pour conclure ce match.
De temps en temps, les caméras encadraient Luka sur le banc. Le capitaine était sorti, et à présent était debout en train de se manger presque les mains à cause du stress de ces dernières minutes.
Sergio n'avait pas bougé, sur son canapé, tandis qu'il attendait que l'arbitre siffle avec autant d'impatience que si il s'agissait d'une finale de Coupe du Monde qu'il disputait lui-même.
Il y a une raison pour laquelle on dit qu'un match de foot n'est pas conclu avant le coup de sifflet final. Car même quand tout semble gagné, il y aura toujours une possibilité que la situation se retroune.
Et malheureusement, ça a été au tour de la Croatie d'expérimenter ceci. Ça a été au tour de cette petite nation remplie d'espoir de subir un but lors des dernières secondes des huit minutes de temps additionnel.
Sergio venait de reparcourir dans sa tête tous les événements qui avaient précédé le but de l'Italie de la part de Zaccagni qui avait porté son équipe nationale à la qualification.
L'Espagne avait gagné contre l'Albanie. L'Italie reprenait sa place de deuxième dans le classement du Groupe B, tandis que la Croatie basculait à la troisième place, avec presque aucune possibilité de passer parmi les meilleures troisièmes.
Ramos avait jeté un coup d'œil à toutes les différentes possibilités qu'avait la Croatie de se qualifier si ce scénario se présentait. C'était presque totalement impossible à présent.
La Croatie se retrouvait cinquième dans les meilleurs troisièmes, où uniquement les quatres premières passaient. Il y avait encore une maigre possibilitée, mais cela s'avérait presque impossible. À présent le destin des croates était scellé.
L'espagnol était dans le déni absolu. Il refusait de croire que la situation avait changé d'un coup, malgré les images projetées sur sa télé des italiens en train de fêter comme des fous.
Sergio refusait d'y croire. Et il sentit son cœur prendre un coup lorsque les caméras montrèrent finalement son copain, qui devait être en train d'affronter qui sait quel combat dans sa tête en ce moment même.
Luka était caché dans l'ombre, assis sur le banc avec la main portée devant sa bouche. Il semblait lui-même ne pas croire à ce qui venait de se passer.
Le coup de sifflet final retentit, sur le score figé au 1 - 1. L'Italie passait, et les joueurs recommençaient déjà à célébrer. Quant à la Croatie, c'était fini pour eux dans cet Euro 2024. Le dernier disputé par la légende Luka Modrić.
Sergio regarda son téléphone posé sur la table face à lui. Il ne pouvait pas envoyer un message maintenant à Luka. Celui-ci était sur le terrain, entouré de ses coéquipiers qui venaient un à un lui parler au milieu des italiens déchaînés.
Il attrapa tout de même son portable, en le déverrouillant et en allant directement voir ce qu'il cherchait. Il était en vacance, il pouvait. Et à l'hôtel de l'équipe nationale croate à 75 kilomètres du stade de Berlin, ils l'auraient reconnu.
Le monde du football savait que Sergio Ramos et Luka Modrić étaient en couple, depuis les temps où ils jouaient tous les deux pour le Real Madrid. Leur couple était reconnu publiquement, et ils avaient la chance que cela soit désormais quelque chose de « normal ».
L'espagnol ne tarda pas à prendre immédiatement un billet d'avion en direction de l'Allemagne, tandis que à la télévisions passaient les images des croates au cœur brisé.
Luka avait aussi reçu la récompense de meilleur joueur du match. Il avait été pris en photo à se moment là. Obligé de poser avec un trophée qui ne valait rien par rapport à la qualification manquée de son pays.
Sergio avait refusé de regarder ultérieurement la télévision, en préférant l'éteindre plutôt que rester plus longuement regarder la souffrance qui apparaissait dans les iris sombres de son copain.
Ramos se contenta d'envoyer un petit message à son copain, en sachant que celui-ci n'allait pas déverrouiller son téléphone jusqu'au landemin avant le retour en Croatie. Et si c'était tôt, Sergio devait faire vite.
L'espagnol allait se présenter avant que les joueurs de l'équipe nationale de son copain rentrent dans leur pays, pour pouvoir prendre Luka dans ses bras et le serrer contre lui aussi longtemps qu'il pouvait.
Peu importe si les caméras le reprenaient, peu importe si les coéquipiers de son copain le voyaient. Il voulait juste que Luka sache qu'il était là pour lui si il en avait besoin.
Sergio alla se coucher après avoir rassemblé quelques affaires à amener, bien qu'il prévoyait de rester à peine quelques heures. Et le sommeil ne tarda pas à l'atteindre.
Dans ses rêves, Luka y était constamment. Et cette fois-ci, il n'y avait que eux deux en train de se câliner, les mains de Sergio dans les longs cheveux du croate et la tête de celui-ci posée sur sa poitrine.
À son réveil, cette scène disparût aussitôt. Mais cela avait duré assez pour que l'espagnol ait envie de revoir son copain le plus vite possible.
Sergio ne se souvenait pas d'avoir déjà été aussi rapide. Il arriva une heure avant le départ de l'avion, et il fût le premier à prendre place dans celui-ci et à attendre avec hâte qu'il décolle.
Le voyage dura bien plus longtemps qu'il ne l'imaginait, mais par chance Sergio réussit à faire abstraction en écoutant un peu de musique. Les heures de sommeil perdues se faisaient sentir, mais elles n'allaient pas l'empêcher de retrouver son bien-aimé.
L'avantage d'être footballeur se manifestait surtout quand Sergio allait dans un pays qu'il ne connaissait pas. Cette fois-ci, il réussit à s'orienter dans la ville de Berlin grâce aux conseils de Kroos, que l'espagnol avait bombardé de messages sur Whatsapp.
L'espagnol ne tarda pas à dénicher l'hôtel des croates, auquel il avait eut accès car il avait été reconnu par les gardes des environs qui, bien évidemment, savaient l'identité du copain du capitaine de la Croatie.
Il n'y avait presque personne, pas même les journalistes. Le bus était déjà là, pour rassembler tous les joueurs croates et aller ensuite en direction de l'aéroport qui les aurait reconduits dans leur pays.
Sergio ne tarda pas à se faire remarquer, en s'approchant pour signaler sa présence. Il y avait le regard de certains joueurs croates qui, en le reconnaissant, s'étaient arrêtes avant de monter dans le bus, en cherchant du regard leur capitaine.
De ce dernier, il n'y avait aucune trace. Il devait être parmi les derniers à entrer dans le bus, comme il le faisait toujours quand lui et l'espagnol étaient au Real ensemble.
Sergio fût rassuré par quelques uns des joueurs croates qui lui assurèrent qu'ils étaient en avance, et que donc il avait un peu de temps pour parler avec Luka.
Comme prévu, ce dernier fût le dernier a sortir de l'hôtel, en traînant derrière lui une valise qui semblait peser des kilos. Même si ce qui devait passer le plus était son cœur, brisé et alourdi par ses propres aspectatives anéanties la veille.
Sergio ne bougea pas, toujours sous les regards curieux des coéquipiers de son copain. C'est lorsque Luka releva la tête que le cœur de l'espagnol loupa un battement, et qu'il dû se contenir de ne pas s'élancer comme un enfant en direction de son bien-aimé.
Ce dernier s'arrêta brusquement en fixant son ancien coéquipier comme pour s'assurer que celui-ci était bien là. L'espagnol avança donc en direction de son copain, pour venir s'arrêter en face à lui.
— Mon Lukita, je suis tellement désolé pour ce qui s'est passé hier. - Fit Sergio d'une voix relativement basse, même si la présence de certains coéquipiers de son copain n'était pas un problème.
Luka ne répondit pas, en levant la tête pour croiser le regard de Sergio. Celui-ci lût dans le regard de son bien-aimé tout un mélange d'émotions différentes.
La souffrance pour la défaite du match, la sensation de ne pas avoir fait assez pour qualifier sa nation, les remords et les regrets, en plus de la difficulté qu'il avait à contenir les larmes.
Il avait eut à le faire sur le terrain la veille, pour ne pas se montrer faible face aux caméras face à ses coéquipiers pour lesquels il cherchait à être un example et face à une entière nation qui avait toujours cru en lui.
Mais cette fois-ci, Luka se laissa aller. Il lâcha sa valise d'une main et se rapprocha de Sergio, alors que les bras de celui-ci enveloppaient son corps bien plus petit.
— Shh, ça va aller mon amour. Ça va aller. - Murmura Sergio en serrant contre lui le croate, sa main glissant dans les cheveux de celui-ci d'un air réconfortant tandis que son autre main lui caressait le dos.
Avec le coin de l'œil, l'espagnol avait vu les autres joueurs croates s'échanger quelques mots, avant d'entrer un à un dans le bus pour laisser à leur capitaine et son copain un peu plus de tranquillité.
Sergio remercia intérieurement les compatriotes de Luka. Il avait un peu de temps avant que le bus parte, pour parler à son copain, lui dire ce qu'il pensait et lui assurer qu'il viendrait passer une ou deux semaines avec lui en Croatie comme ils avaient prévu.
— Ce n'est pas de ta faute. Je sais que tu vas vouloir remettre entièrement sûr tes épaules la faute pour ce qui s'est passé lors de votre match. - Commença Sergio. - Ce n'est pas de ta faute Luka, loin de là.
Le croate ne releva pas la tête, en gardant les yeux fermés et sa tête posée sur la poitrine du plus âgé qui le gardait contre lui comme si il voulait le protéger de tout ce qui pouvait l'atteindre.
— Tu as été le meilleur joueur de ce match. Tu as marqué un but et donné à ton équipe l'espoir de pouvoir vous qualifier malgré tout. - Reprit l'espagnol, en continuant à caresser le dos de son bien-aimé. - Personne ne t'en veux, mon cœur. Je t'assure.
C'était peut-être pour les paroles de Sergio, pour la surprise de le voir ici et pour la fatigue et les émotions mélangées qu'il avait accumulé en même pas 24 heures, que quelques larmes commencèrent à rouler le long du visage du croate.
Sergio le serra un peu plus contre lui, en le protégeant avec ses bras le temps que Luka puisse évacuer tout cela, en se concédant un moment de « faiblesse » dans les bras de celui qu'il aimait.
— Je serais là tant que tu auras besoin de moi. Dans les jours suivants, dans les mois suivants, même dans les années. - Chuchota Sergio, d'une voix douce. - Je sais que c'est difficile, mais tu es fort mon Lukita.
Lorsque ses larmes se consommèrent finalement, le capitaine croate trouva le courage de relever la tête pour regarder son copain, qui lui adressa un sourire réconfortant avant d'essayer avec son pouce ce qu'il restait des perles salées qui avaient coulé des yeux de Luka.
— Sergio... merci d'être venu jusqu'à là. - La voix de Luka était roque, et celui-ci se racle la gorge avant de relever la tête pour regarder Sergio dans les yeux. - Merci d'être là, toujours. Je ne sais pas quoi dire... à part merci.
— Tu peux me dire que tu m'aimes. Ça me suffira. - Fit l'espagnol d'un air taquin en adressant un sourire à son bien-aimé, avant de reprendre un ton un peu plus sérieux. - Pour toi je ferais de tout et n'importe quoi mon Lukita, vraiment.
Le croate laissa son front se poser sur la poitrine du plus âgé, sous les gestes toujours délicats et réconfortants de ce dernier. Ils restèrent un instant ainsi avant de se séparer.
— Je t'aime, Sergio. Je t'aime plus que tout. - Fit Luka, en essuyant ses yeux avec le dos de sa main avant de poser ses mains sur la nuque de son copain pour rapprocher leurs visage et scellér leurs lèvres le temps d'un instant.
Le baiser dura un instant, assez pour que Sergio sente que le croate s'était apaisé un peu. Et il était ravi d'avoir fait le choix de prendre le premier avion disponible en direction de Berlin suite au match de la veille.
— Moi aussi, mon Lukita. Je serais toujours là pour toi. - Répondit l'espagnol en reprenant son copain dans ses bras, en les enveloppant tous les deux dans leur bulle.
Le temps d'un instant, le temps que leurs pensées à tous les deux soient entièrement dévouées à l'autre. Ce n'était pas la première fois, et peut-être que ça n'aurait pas été la dernière.
Mais Sergio avait fait une promesse à lui-même la fois où lui et Luka avaient décidé que un nouveau chapitre de leur vie commençait, un chapitre où ils étaient bien plus qu'amis.
L'espagnol allait protéger son copain à tous les coups. Il aurait été capable de déplacer des montagnes pour lui, de se battre avec le monde entier et d'aller à l'autre bout du monde pour venir le récupérer.
Et cette promesse, elle résonnait une nouvelle fois dans sa tête alors qu'il serrait un nouveau le croate contre lui. Tant qu'il était sur cette terre, Sergio n'allait jamais laisser rien ni personne influencer l'amour qu'il portait pour Luka.
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Bonjour bonsoir tout le monde !
Encore un chapitre excessivement long, mais celui-ci je ne pouvais pas me permettre de le diviser en deux parties, malgré l'envie que j'avais d'écrire au delà du point où je me suis arrêtée.
En vue de l'Euro, j'ai bien trop de choses à écrire en plus des commissions qui attendent depuis trop longtemps. Publier hebdomadairement est parfois une bénédiction et parfois une malédiction, j'avoue !
Mais bon, c'est un choix que j'ai fait. Et j'espère que de toute manière cet OS vous a plu !
Je détestait déjà l'équipe d'Italie avant qu'ils éliminent la Croatie, alors je vous laisse imaginer maintenant dans quel état je suis à l'égard de l'équipe de mon pays natal.
Mais bon, allant à présent sur les événements les plus imminents, sans rester bloqués dans le passé.
Au moment où j'écris cette NDA, il est 11h29 du Vendredi 5 Juillet. Ce soir il y a Espagne - Allemagne à 18h et Portugal - France à 21h. Et j'ai très très peur.
J'espère que la France et l'Allemagne vont passer, même si les voir s'affronter me mettrai dans un dilemme non négligeable. Croisons tout de même les doigts !
L'Euro est bientôt fini, j'ai l'impression que ça a duré bien trop peu.
J'espère que vous allez bien, en tout cas !
Bisous bisous !
— Lily Camavinga
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