21. « Arda Güler × Ferdi Kadıoğlu »

Commande de Nazjk33 !
Voilà finalement l'OS promis depuis tant de temps !


geçmiş hiçbir zaman unutulmaz
Le passé n'est jamais oublié.

Début Décembre 2023
Istanbul, Turquie.

Arda, Arda ! Par ici ! - Appela un des supporters du club turc pour attirer l'attention du madrilène, qui se tourna vite vers l'homme qui l'avait interpellé, qui tenait un maillot à lui faire signer.

Sans hésitation, le jeune joueur du Réal Madrid attrapa le feutre indélébile que lui tendait le supporter, et signa le maillot du Fenerbahçe à son nom, floqué avec le numéro dix.

Le numéro dix qu'il portait la saison dernière sur le dos dans le club turque, avant de s'élancer vers le plus prestigieux des clubs d'Europe, dans lequel il n'avait toujours pas fait ses débuts.

Blessé et donc inutilisable pour le coach italien des madrilènes, Arda avait donc décidé avec l'approbation des dirigeants du club, à l'intervalle entre les matchs de Ligue des Champions et de championnat, d'aller faire un petit tour en Turquie pour retrouver son ancien club.

Pour cette occasion, les dirigeants du Fenerbahçe avaient organisé un petit rassemblement au centre d'entraînement avant les séances de l'équipe, pour que les supporters puissent voir Arda.

Aucune rancune n'était nourrie à son égard depuis son départ. Au contraire, les supporters et les joueurs était content que leur petit poussin ait pris son envol vers le grand Réal Madrid.

Merci beaucoup, tu es génial ! - Le remercia le supporter avec un grand sourire qu'Arda lui rendit immédiatement. - Hâte de te voir débuter avec l'équipe première du Réal !

Merci pour le support, j'ai hâte aussi. - Avoua le jeune joueur d'une voix timide, en rendant le feutre indélébile à son légitime propriétaire.

Ce n'était pas un secret, il trépignait d'impatience de pouvoir finalement poser ses pieds sur la pelouse en même temps que légendaires comme Kroos et Modrić et des pépites comme Valverde et Vinícius.

Les supporters du monde entier et les médias le définissaient comme le Nouveau Mesut Özil. Mais comment pouvait-il le devenir si il n'avait toujours pas posé un pied sur le terrain ?

Tout ce qu'il pouvait faire pour l'instant était attendre patiemment que son tour vienne. Qu'il puisse commencer à se tracer un chemin vers les grandes légendes du Réal Madrid.

Il était jeune, et il avait encore le temps. Avec ses 18 ans il était un des joueurs les plus jeunes du Réal ayant déjà fait amitié avec les joueurs de son âge, notamment Jude Bellingham et Eduardo Camavinga.

Mais il devait avouer que ses anciennes amitiés dans le club turc lui manquaient. C'était son pays, le club qui l'avait formé, et il était légitime qu'il éprouve un peu de nostalgie.

Il cherchait un joueur en particulier, qu'il n'avait pas encore aperçu même ayant fait presque entièrement le tour du centre d'entraînement. Un ami pluz qu'ami qu'il voulait revoir depuis qu'il était parti.

Arda ! - Une autre interpellation le détourna de ses pensées, qui se concentrèrent entièrement sur les supporters essayant de réclamer son attention pour une signature ou une photo.

Il avait tout le temps pour partir à la recherche de son ancien coéquipier en club après avoir terminé cette séance avec les fans du Fenerbahçe, vu qu'il aurait dû repartir seulement le lendemain.

Surtout car l'équipe titulaire pour le prochain match allait venir s'entraîner dans un quart d'heure, donc il aurait tranquillement pu trouver son ancien coéquipier.

Le jeune footballeur madrilène prit alors le temps de faire le tour des supporters présents, avec toute la patience qu'il possédait. Il était expert désormais, et si il voulait devenir une star, il devait y faire l'habitude.

Il fût très vite récompensé, et se mit à l'écart une fois terminé. Les joueurs arrivant sur le terrain d'entraînement avaient attiré l'attention des supporters, et il pouvait donc s'éclipser pour observer discrètement ses coéquipiers.

Arda n'eut pas un seul pas à faire, car immédiatement deux des joueurs du Fenerbahçe coururent vers lui en l'apercevant, l'entraînant dans une série de retrouvailles émouvantes.

Notamment, les deux footballeurs qui lui avaient servi de grands frères au sein de l'équipe. Irfan Can Kahveci et Mert Hakan Yandaş, toujours joueurs au Fenerbahçe.

Mais qui voilà, le champion de Madrid qui nous accorde sa présence ! - Commença Irfan, en croisant les bras contre sa poitrine et en toisant le plus jeune d'un faux regard hautain.

Je suis le champion de rien du tout, j'ai même pas joué un match avec l'équipe ! - Répondit Arda avec un petit sourire en remarquant le ton taquin de son ancien coéquipier.

Arrête, ça va bientôt arriver ! Et on sera tous là pour te supporter, petit ! - Fit Mert, en profitant pour prendre le madrilène dans ses bras avec un geste affectueux.

Mais tu sais que tu peux revenir ici si jamais ça va mal, hein ? - Reprit Irfan en affichant un grand sourire. - J'ai dit la même chose à Altay avant qu'il parte pour Manchester United...

Bientôt, en apercevant le petit groupe réuni autour de Arda, les autres joueurs du club turc se dépêchèrent de les rejoindre pour venir l'accueillir dans celui qui avait précédemment été son camp d'entraînement.

Le madrilène échangea des sourires et des accolades affectueuses avec ses anciens coéquipiers, mais toujours pas de traces de l'homme qu'il cherchait.

Son visage se decomposa lorsqu'il remarqua que l'équipe était au complet, et qu'il manquait donc bel et bien quelqu'un. À l'occasion, le seul homme auquel il pensait depuis l'accord avec le Réal. Le seul qu'il aurait réellement voulu à ses côtés.

Ouh là, qu'est-ce qui se passe Arda ? Ta tête à changé en une fraction de seconde ! - Remarqua Ezgjan Alioski, un autre de ses anciens coéquipiers auquel il était fortement lié.

Il cherche quelqu'un, et on sait tous qui c'est... - Lui répondit Emre Mor, en échangeant d'abord un regard avec le joueur qui avait posé la question, et ensuite avec Arda.

Ce dernier baissa à peine la tête, avec les joues légèrement rougies. Sa déception était-elle si évidente, malgré le faite qu'il était entouré par ses anciens coéquipiers qui le chérissaient ?

Ne t'inquiète pas chouchou, Ferdi devrait bientôt arriver lui aussi. - Le rassura Mert, en lui tapotant légèrement l'épaule. - Il a juste dû rester un instant avec Dušan, c'est normal.

Dušan Tadić, notre nouveau numéro dix. C'est le meilleur ami de Ferdi après ton départ, petit. - Expliqua brièvement Irfan au jeune madrilène, qui hocha à peine la tête.

Il le savait. Il savait que le serbe avait pris sa place depuis son départ, en prenant le numéro dix et probablement la place qu'il avait lui précédemment aux côtés de Ferdi.

Il regardait régulièrement les publications Instagram du compte du Fenerbahçe, et sur chaque photos son meilleurapparaissait avec le serbe.

Mais il ne pouvait certainement pas l'avouer tout haut. Ferdi était comme son grand frère et il n'avait aucune raison de se comporter de manière si égoïste.

OH ! Quand on parle du loup ! - Fit Ezgjan après s'être tourné en direction de la sortie du bâtiment du centre d'entraînement, d'où sortaient les deux joueurs manquants.

Quand Arda aperçut les cheveux bruns bouclés, son cœur loupa un battement. Il n'avait pas revu le plus âgé depuis qu'il était parti pour Madrid, en laissant Fenerbahçe derrière lui.

Et, même avec les quelques messages qu'ils échangaient de temps en temps, il devait admettre à lui-même que voir l'homme qu'il aimait secrètement en chair et en os faisait un autre effet.

Son regard était tellement capturé par la silhouette de Ferdi qu'il ne remarqua pas le joueur à ses côtés, qui avait un bras passé autour des épaules du bouclé. Le nouveau numéro 10 du Fenerbahçe, son remplaçant plus âgé de 20 ans.

Ferdi ! Dušan ! - Cria Irfan en faisant des grands gestes pour attirer l'attention des deux joueurs, qui pivotèrent pour venir en leur direction. - Regardez qui est là !

Arda chercha à dissimuler la rougeur sur ses joues et à se cacher derrière Emre, mais son ancien coéquipier l'attrapa par les épaules pour le traîner devant lui face à Ferdi et au serbe, ce dernier le toisant d'un œil indéchiffrable et lâchant le bouclé lorsque celui-ci s'élança vers l'avant.

Les rumeurs n'étaient pas fausses, alors ! - Fit Ferdi, en se penchant pour attraper le visage du madrilène entre ses mains. - Tu es bien venu nous rendre visite, Arda !

Ouwi, ben shur que ouwi. - Réussit à articuler le madrilène, les mains du plus âgé sur ses joues l'empêchant de parler correctement et de ne pas se ridiculiser ultérieurement.

Tu m'as manqué, petit ! - Se reprit son ex coéquipier, en le lâchant et en l'enlaçant délicatement, avant de le lâcher tout autant rapidement pour le bombarder de questions. - Comment ça va au Réal ? Tu t'es fait des amis ? Il fait beau, à Madrid ?

On vous laisse seuls si vous voulez ! - Pouffa Mert avant qu'Arda ne puisse prendre le temps d'analyser et de répondre aux questions de celui qui avait été son meilleur ami à Fenerbahçe. - Après ce sera à vous d'expliquer au coach pourquoi Ferdi n'a pas participé à l'entraînement...

D'ailleurs, Arda ! - Fit une nouvelle fois le bouclé en lâchant le plus jeune. - Tu veux t'entraîner avec nous ? Vu que tu es là, ce sera comme aux bons vieux temps.

Le madrilène n'hésita pas à hocher la tête malgré ses doutes à l'égard de la dernière affirmation de Ferdi. Ça n'allait pas être comme avant. Car il sentait le regard sévère du nouveau numéro 10 du Fenerbahçe sur lui, comme une menace.

Dušan Tadić était-il jaloux du faite que, durant cette journée où il allait être à Istanbul, Arda pouvait monopoliser l'attention de Ferdi de manière à ce qu'il reste à ses côtés ?

Ce n'était absolument pas l'intention du plus petit. Il avait juste envie de profiter d'un peu de temps avec l'homme qui lui avait servi de grand frère au sein du club turc. Celui à qui il aurait dû déclarer sa flamme il y a bien longtemps.

Il détourna donc le regard, presque ignorant de manière timide la présence froide et imposante de l'homme qui avait hérité du numéro 10 après son départ.

Arda prit donc part à l'entraînement, chose qui fût décidément plaisante vu l'enthousiasme de ses coéquipiers à l'égard de sa présence. Et Ferdi n'hésita pas à se mettre en paire avec lui à la venue d'un exercice en duo.

À la conclusion de l'entraînement, le madrilène et son ancien meilleur ami se séparérent du groupe des autres joueurs, presque instinctivement, pour pouvoir parler.

Vous me manquez. Le Fenerbahçe me manque. La Turquie aussi. - Avoua Arda, tandis qu'ils marchaient en faisant le détour par l'extérieur du centre d'entraînement. - Sinon tout le monde est sympa à Madrid, je me suis fait des amis.

Personne t'empêche de venir nous voir quand tu veux, comme tu as fait aujourd'hui. - Répondit Ferdi en affichant un sourire. - Après l'important c'est que tu te sois bien intégrée là bas.

Un instant de silence prit le dessus, tandis que les deux internationaux turques marchaient côte à côte en profitant l'un de la présence de l'autre et vice-versa.

Car c'était eux et personne d'autre. Arda et Ferdi. Ferdi et Arda. Eux deux contre le monde.

Sinon, ça fait quoi de côtoyer des légendes du foot ? - Demanda le joueur de Fenerbahçe, sincèrement curieux. - Ils sont tous aigris ou bien ça leur arrive d'être sympa, parfois ?

J'avoue que je côtoie plus les plus jeunes, qui ont à peux près mon âge. - Fit Arda avec un sourire timide. - Même si Modrić s'est montré très sympa. Il m'a dit qu'il voulait que j'hérite du numéro 10 du Réal après sa retraite.

Le vrai numéro 10 du Réal, c'est Mesut Özil. - Affirma Ferdi avec un air solennel, ses cheveux bouclés rebondissant sur son front lorsqu'il tourna la tête vers le plus jeune. - Et Modrić le sait, vu qu'il veut que ce soit toi qui ait le numéro 10 la saison prochaine. The Next Mesut Özil.

Le plus âgé prononça ces dernières paroles avec un air rêveur, qui provoqua un rictus chez Arda. Son ancien meilleur ami n'avait pas changé. Et il en était heureux.

6 ans les séparaient, mais ils avaient toujours eut cette profonde complicité qui les unissait depuis les premiers jours du madrilène à Fenerbahçe. Le lien qui les unissait était plus puissant que la distance et que le temps.

C'est pour ceci qu'ils parlaient comme si ils s'étaient vus la veille. Comme si rien de tout ceci avait changé. Même si Arda devait avouer à lui même que la nostalgie l'envahissait.

Il se demandait d'ailleurs si c'était la même chose pour Ferdi. Si il ressentait un manque ou si il l'avait rapidement remplacé avec Tadić comme si de rien était.

Tu as réfléchi à haute voix, Arda. - Remarqua Ferdi d'un air amusé, tandis qu'ils arrivaient près de l'entrée du centre d'entraînement, totalement déserte depuis le départ des supporters et des joueurs du Fenerbahçe.

Comment ça ? - Fit le jeune madrilène tourna la tête vers son ami, les joues légèrement rougies. - J'ai parlé tout haut ?

Oui. - Confirma le bouclé avec un petit sourire. - Et oui, tu me manques. Et non, je ne t'ai pas remplacé avec Dušan. Il a ton numéro, oui. Mais il n'occupe pas la place que tu occupais toi dans mon cœur.

Que j'occupais ? - Demanda Arda, légèrement surpris. - Ça signifie que je ne suis plus ton meilleur ami ?

Son ancien coéquipier en club ne répondit pas, en gardant un petit sourire à peine accentué, tandis qu'Arda se tournait vers lui avec un air presque paniqué.

Tu vois, Arda... je ne sais plus si je te considère comme mon ami. Depuis ton départ, j'ai compris qu'il manquait un morceau à mon cœur et du coup... - Le joueur de Fenerbahçe marqua un pause, avec un rictus nerveux. - ...non oublie, petit.

Comment est-ce que je peux oublier ? - Insista le plus jeune, ses yeux cherchant ceux de Ferdi qui papillonnaient sur son visage sans un but précis. - Je n'ai pas oublié mon passé et ce qui va avec. Alors comment je peux oublier le faite que tu allais me dire que tu ne m'aimais plus ?

Comment allait-il réussir a faire un pas en avant dans leur relation si ils devaient retourner en arrière car Ferdi ne le considérait plus comme son ami ? Son départ en était forcément la cause.

Ce n'est pas ce que je voulais dire. - Tenta de se justifier le bouclé, mais Arda insista, son cœur battant à tout rompre après les paroles de Ferdi qui risquaient de briser leur amitié.

Mon départ à tout gâché, tu essayes de me dire ça ? - Bredouilla le madrilène. - Que je suis égoïste ? Tu as raison... mais pourquoi me le dire comme ça ? Mais si c'est pas ça, alors tu voulais dire quoi ? Que-

Que je t'aime, idiot ! - Le coupa Ferdi, ses mèches bouclés sautillant dans l'air lorsqu'il redressa la tête pour que leurs yeux puissent se croiser. - Que depuis toute à l'heure j'ai juste envie de pouvoir t'embrasser car j'ai découvert que je suis amoureux. De toi, Arda !

Ce dernier resta muet, ne sachant pas quoi répondre aux paroles si rapides du plus âgé. Celui-ci éprouvait les mêmes sentiments de lui. Découverts depuis qu'ils avaient expérimenté la distance entre eux.

Le sentiment était partagé et le cœur de Arda battait à tout rompre en menaçant de s'échapper de sa caisse thoracique.

Fais-le, alors. - Reussit-il à murmurer, presque envahi par tous les souvenirs qu'il avait avec son ancien coéquipier.

Quoi ? - Demanda le bouclé, sincèrement surpris par la réponse du plus jeune, en se tournant de manière à ce qu'ils soient l'un en face à l'autre.

Embrasse-moi, Ferdi. - Chuchota Arda, en redressant légèrement la tête pour que leurs regards puissent se croiser.

Ils restèrent un couple de secondes à se fixer, sans réaction. L'un en train d'analyser les yeux de l'autre comme en espérant d'y trouver une réponse.

Ensuite, le plus âgé fit un pas vers l'avant, en posant délicatement ses mains sur les joues du plus jeune. Ce dernier ferma doucement les yeux lorsque les lèvres de Ferdi entrèrent en contact avec les siennes.

Le baiser dura à peine quelques secondes, mais elles furent suffisantes à Arda pour que tout type d'émotions puisse traverser son esprit.

Les mains froides du bouclé posés contre ses joues, et ses lèvres chaudes en contact avec les siennes. Leurs nez s'effleurant à peine et les mèches rebelles du plus âgé retombant contre ses tempes.

C'est pour cela que, en manque de ce qu'il venait de vivre, Arda se rapprocha une nouvelle fois du plus âgé pour scellér leurs lèvres une deuxième fois, ses mains glissant sur le cou de Ferdi.

Celui-ci déposa cette fois-ci les siennes sur les hanches du plus jeune, amplifiant légèrement le baiser qui dura plus longtemps que le précédent, mais toujours trop peu. Assez pour que leurs sentiments partagés soient confirmés.

Tu crois que c'est possible ? - Murmura Ferdi une fois qu'ils se furent séparés, après un instant d'hésitation. - Toi, moi. Nous. Si nous devons prendre ça sérieusement... si toi, tu le veux... si tu veux qu'on devienne un couple.

Oui, c'est ce que je veux. - Répondit doucement Arda, en penchant sa tête pour que son front entre doucement en contact avec celui du plus âgé. - Car je n'ai pas oublié ce que j'ai passé avec toi en tant qu'amis, alors comment oublier ça ?

Tu pourras bien penser à ton meilleur ami quand tu manqueras ton premier but avec le Réal, alors ? - Demanda Ferdi en souriant, d'un air espiègle. - Ou alors amener une pancarte avec écrit " ce but est pour toi, mon Ferdi d'amour " si tu veux.

Pfft, tu es con. - Souria Arda, en laissant que le plus grand le prenne dans ses bras avec le même sourire relaxé. - Mais je t'aime quand même. Et bien plus qu'en tant qu'ami, j'en suis convaincu.

Moi aussi je t'aime, petit. - Lui répondit le plus âgé, en embrassant délicatement ses cheveux.

Coucou tout le monde !

Comment est-ce que vous allez ? J'espère qu'il ne fait pas trop froid chez vous.

Voici un OS qui m'a été commissionné il y a bien trop longtemps... et que je réalise et publie quem maintenant car je n'avais pas vu le commentaire dans l'introduction du recueil ( encore désolée, Nazjk33 !! ).

Sur le coup je préfère m'assurer du faite que, si vous avez d'éventuelles commissions d'OS, vous m'écrivez à présent en privé. Au moins je suis sûre de ne rater aucun message !

Changeant de sujet, vous êtes contents des résultats de la Champions League ? De mon côté oui, car les trois clubs que je chéris le plus sont passées !

Plus qu'à espérer que le PSG ne tombe pas sur Dortmund ou sur le Réal, sinon je crois bien qu'il y aura un choix à faire. Tout du moins, je ne veux pas le faire pour le moment !

Je vous laisse suite à cette petite parenthèse.

Bisous bisous !
Lily Camavinga encore et toujours.

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